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Une voisine délicieuse

Chapitre 1

Un service qui rapporte

Hétéro
Depuis longtemps, je fantasme sur la fille de ma voisine. C’est une femme de 42 ans nommée Marine. Une magnifique femme aux cheveux bruns, lui arrivant dans la nuque. Des yeux marron rieurs, un sourire rieur également. En fait, son visage entier respire la joie de vivre. Elle n’est pas très grande, un mètre 65-70 je dirais, une taille fine, des hanches pas hyper-larges, un fessier dont serait jalouse une adolescente car ne débordant pas sur les côtés, ne faisant pas trois kilomètres de long à la Nicky Minaj. Il est juste assez musclé, on sent que c’est une femme de 40 ans qui a eu deux accouchements, mais qui prend soin de son corps quand même. Ses seins sont loin d’être énormes, elle doit faire un bonnet B, guère plus. Autant dire qu’elle est tout à fait à mon goût.
Je m’entends très bien avec elle et sa mère. La mère me demande régulièrement des conseils pour telle ou telle chose, ou de l’aide pour du bricolage ou jardinage. J’ai récemment fait le tri dans mes affaires et leur ai proposé des affaires de pêche car son fils adore aller pêcher. En échange, j’ai été payé en brioches car elle fait des pâtisseries à damner un saint.
Depuis quelque temps déjà, ça sent un peu le roussi entre elle et son conjoint. Ne supportant plus cette ambiance pesante et conflictuelle, et voulant sortir ses enfants de cette atmosphère, elle est revenue vivre avec eux chez sa mère, donc la maison à côté de la mienne.
Marine est adorable, comme sa mère Monique. Il y a peu de temps, j’ai beaucoup discuté avec cette dernière car elle avait des problèmes avec son vélo. Je l’ai donc regardée tout en discutant. Je lui demande des nouvelles de sa fille, car sachant que ça allait mal entre elle et son conjoint, je m’inquiète pour elle comme pour ses enfants. Elle me raconte donc que ça ne s’arrange pas vraiment. Ça ne s’améliore pas, mais ça n’a pas l’air d’empirer pour autant. Savoir que leur relation stagne dans ce monde m’embête beaucoup. Même si cela ne me regarde pas, je ne prends pas parti, mais cela me touche énormément qu’elle ait des problèmes et j’aimerais vraiment l’aider pour quoi que ce soit, l’aider à profiter de la vie, avoir du plaisir.
Dernièrement Monique m’a parlé de son petit-fils (le fils de Marine) qui se met facilement en colère en ce moment, depuis qu’il joue à ce jeu vidéo, il devient hargneux et colérique. Elle m’en parle car ça lui fait du bien de vider son sac et j’écoute attentivement, on ne sait jamais, je peux peut-être être de bon conseil. Après tout, certes, j’ai le double de l’âge de Raphaël, mais je suis resté très longtemps dans la catégorie "No life" avec les jeux vidéos, je vois donc tout à fait de quoi elle parle. Ça me tourne dans la tête depuis quelque temps, et j’ai eu l’idée : pour soulager Monique mais aussi Marine, pourquoi ne pas prendre le petit avec moi pour aller pêcher, bricoler, faire ce qu’il aime mais le sortir un peu, lui changer les idées, essayer de parler avec lui. Car il ne s’en rend pas compte, mais ça fait du mal autour de lui.
J’ai donc proposé l’idée. J’ai voulu l’emmener sur les bords de Marne qui sont juste à côté pour pêcher, mais nous sommes en plein hiver alors on va éviter. Après tout il a, maintenant, un super lancer (mon ancien), et des tonnes de matériel, alors voyons s’il sait s’en servir. Je lui ai filé tout ce que j’avais, mais je ne sais pas s’il sait à quoi tout sert, c’est donc l’occasion de lui expliquer tout en le sortant. Nous avons passé l’après-midi dans la salle à manger, assis à table et nous avons fait le tour du matériel. Je lui ai expliqué à quoi servait chaque chose. Nous sommes allés vite fait au bord de l’eau pour qu’il s’entraîne au lancer et que je lui donne des techniques.
Quelques jours après, sa mère sonne à ma porte, les bras chargés d’une boîte de pâtisserie. Elle me dit que c’est pour me remercier, que Raphaël a adoré cette après-midi et que maintenant il n’arrête pas de demander s’il peut venir me voir. Il passe plus de temps à vouloir venir que sur son jeu débile. Je suis devenu une monnaie de chantage.
— Ça ne me dérange pas du tout, ne t’inquiète pas, après tout c’est moi qui ai proposé, si je peux faire partager les choses que j’aime faire avec lui et lui apprendre des choses qui lui serviront tant mieux. À la base c’était surtout pour vous décharger ta mère et toi.— Eh bien merci beaucoup alors tiens ces pâtisseries sont pour toi.— Merci c’est adorable, tu n’étais pas du tout obligée. Par contre ça te dérange de les porter à l’intérieur car je suis dégueulasse de la tête aux pieds et ne voudrais pas tout salir.— Pas de problèmes.
Je lui ouvre le portail et la porte. Elle dépose la boîte sur la table. Je me lave les mains et lui propose un café. "Avec plaisir" me répond-elle avec un sourire me faisant fondre. Je fais donc couler deux cafés, lui propose du sucre.
Nous nous asseyons sur le canapé du salon, discutons en prenant notre café et mangeant ses pâtisseries. Je lui demande comment ça se passe entre elle et son mari, si ça s’améliore. Elle me répond que non et me raconte "ses malheurs". Je sens que cela la peine, elle a la tête basse, je vois ses yeux se mettre à briller.
Elle est assise en tailleur sur le canapé, je lui pose une main au-dessus du genou en lui disant qu’elle n’a pas à se forcer si elle n’est pas prête à en parler mais que si elle a besoin de se libérer je suis là. Je suis passé par là et sais que ça fait du bien de sortir ce qui nous ronge. Délicatement, elle pose sa tasse sur la table basse, relève la tête vers moi et me dit "Merci" sur un ton à moitié larmoyant et se jette sur moi pour me prendre dans ses bras pour me faire un gros câlin. Je la prends également dans mes bras et lui frotte le dos. Elle pleure en me disant que ça fait bien longtemps qu’un homme n’a pas été aussi gentil avec elle. Je ne dis rien, lui caresse le dos et lui laisse mon épaule comme mouchoir.
Elle pleure dans mes bras pendant quelques minutes avant de renifler, se redresser.
— Excuse-moi, je ne sais pas ce qu’il m’a pris.— Tu avais tout simplement besoin de te vider, alors ne t’excuse pas.— Bah si j’ai sali ton sweat en plus.— Ne t’en fais pas pour ça, en plus je coupe de la pierre avec depuis tout à l’heure donc c’est plutôt moi qui t’aie sali dans l’histoire.— Ça me gêne que tu aies eu à subir tout ça quand même.
Elle dit sa dernière phrase en rebaissant la tête. Je place une main sous son menton, lui remonte la tête, puis lui caresse la joue en lui disant:
— Ne t’inquiète pas pour ça, un ami c’est là pour partager les bons moments, mais aussi pour soutenir dans les mauvais. Tu ne m’as pas du tout dérangé, au contraire, ça me fait plaisir que tu te livres à moi car ça te fera du bien. Je suis flatté également que tu sois assez confiance en moi pour m’en parler.
Elle me regarde dans les yeux, puis avance doucement sa tête vers moi. Les années collège sont loin pour elle comme pour moi, pourtant cette scène au ralenti me refait penser à mes premiers baisers de collégien. Je m’avance vers elle, nos bouches se posent l’une sur l’autre, se collent. Nous restons comme cela un long moment avant qu’elle ne se recule et dise qu’elle a eu un moment d’égarement. Je l’attrape par le col de sa chemise et la tire vers moi pour la ré-embrasser. Nos lèvres se rejoignent une fois de plus, ma bouche s’ouvre légèrement pour laisser passer ma langue. Je sens sa bouche s’ouvrir également. Je commence à découvrir cette bouche en rentrant dedans petit à petit ma langue en elle. Je finis par trouver la sienne. Elles s’emmêlent, et se mettent à valser ensemble. Sa salive rentre dans ma bouche comme la mienne dans sa bouche. Cette saveur est somptueuse.
Ma main est revenue se poser sur sa joue au début de ce baiser, puis est passée dans ses cheveux et caresse maintenant l’arrière de son crâne. Sa main vient faire la même chose dans mes cheveux. Ma deuxième main lui caresse le bras, puis se rapproche de son sein. Quand celle-ci arrive au niveau voulu et touche cette belle rondeur, je sens son corps frissonner. Elle se décolle de moi, et me dit:
— Non arrête, on ne devrait pas faire ça.— Et pourquoi on ne devrait pas ? Tu en as envie autant que moi, il n’y a pas de mal à se faire plaisir. Écoute tes envies pour une fois.
Alors elle me prend la tête entre ses mains et saute sur ma bouche. Notre baiser est long, intense, langoureux. Je l’allonge sur le canapé, ma bouche toujours collée à la sienne. Ma main vient lui caresser le cou, ses seins, son ventre, vient se glisser sous sa chemise et lui caresse son ventre tout doux, chaud. Elle met fin au baiser et mentionne qu’on pourrait nous voir depuis la rue. Je me redresse, lui souris. Je me lève, la prends par la main et l’entraîne à l’étage dans ma chambre. Je referme la porte derrière elle puis l’embrasse comme un damné.
Nous sommes debout, fusionnés. Je la pousse délicatement pour qu’elle se laisse tomber sur le lit, mais elle en a décidé autrement. Elle me regarde, fait non de la tête, me tourne et me pousse sur le lit. Me voilà assis sur le lit à la regarder, la désirer.
Elle entame un lent déhanchement, commence à déboutonner sa chemise lentement, bouton après bouton, en me regardant dans les yeux. Dans ma tête j’ai la musique d’un strip-tease qui tourne. J’aimerais me déshabiller, mais je n’ai aucune envie de la perdre ne serait-ce qu’une seconde de vue.
Elle finit de déboutonner sa chemise, écarte les plis délicatement et dévoile un magnifique soutien-gorge corbeille bleu sombre en dentelle avec un petit nœud bleu clair au milieu. Elle va doucement chercher à le dégrafer, toujours en me regardant. Elle le détache, puis fait glisser ses bretelles une par une, centimètre par centimètre. Elle finit par tendre les bras, le faire glisser et me l’envoyer. Je le porte à mon nez et hume son doux parfum. Je le lâche, enlève mon haut vite fait et repose tout de suite mes yeux sur elle. Ses seins sont magnifiques, bien ronds, ils sont fermes, deux belles aréoles d’un beau rose. Au milieu d’eux, deux petites tétines pointant fièrement dans ma direction comme un signe de défi. Elle recommence sa danse et commence à tirer sur l’élastique de son jean.
Cette fois c’est mon tour de faire non de la tête. Je me relève et la pousse sur le lit. Elle est allongée là. Je me penche au-dessus d’elle, l’embrasse, puis commence à descendre ma bouche. Je l’embrasse dans le cou, puis sur la naissance de son épaule, je glisse avec mes bisous le long de son bras, puis me décale sur ses seins. Je commence à faire des bisous sur tout le tour et réduis le diamètre de mon cercle au fur et à mesure jusqu’à atteindre le centre : ce délicieux téton m’appelant pour que je vienne le dévorer. Ses mains sont posées sur ma tête, à me caresser le cuir chevelu. Une de ses mains descend et me caresse le dos.
J’embrasse son téton, le fais rouler entre mes dents, le mords. Je le lèche, viens titiller le bout avec ma langue. Je fais pareil sur l’autre pendant que ma main s’occupe du deuxième. Puis me voilà reparti pour mon parcours. Je descends sur son ventre l’embrasse tout le long, m’arrête à son nombril et lui aspire avant de le goûter du bout de ma langue ce qui la fait se tordre de plaisir.
Je continue de descendre doucement jusqu’à arriver à son jean. Je le déboutonne, l’attrape au niveau de ses hanches, le fais glisser tout en embrassant la partie du corps se dévoilant. Vient la découverte d’une belle culotte assortie au haut, avec le même petit nœud bleu clair. Je continue d’embrasser, même par-dessus le tissu, tout en descendant et descendant son jean. J’arrive jusqu’à ses chaussures, lui enlève, puis finis d’enlever son jean. Je prends son pied dans ma main, embrasse son talon, embrasse tout le dessous de son pied, en remontant jusqu’aux orteils. Je lui suce chaque orteil, un par un, lui embrasse le dessus de ses pieds, puis remonte tout le long de sa jambe. Je remonte sur la jambe droite, qu’elle ne soit pas jalouse de la gauche sur laquelle je suis descendu.
J’arrive à sa hanche, me décale et embrasse sa culotte. Je descends toujours en embrassant mon chemin et arrive au-dessus de ses lèvres. J’aime cette odeur et cette humidité que je sens sous mon nez et mes lèvres. Je lui embrasse ses lèvres à travers son bout de tissus. Elle a l’air de bien aimer car elle me caresse la tête et bouge à la rencontre de ma bouche.
Je remonte jusqu’à l’élastique, le prends entre mes dents et redescends en plongeant mon regard dans le sien. Elle ne dit rien, mais son regard me supplie d’arrêter cette torture.
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