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Une voisine délicieuse

Chapitre 5

Hétéro
Je me redresse, lui enlève le bandeau et lui détache les poignets. Je me lève et vais au bout du lit lui détacher les pieds. Une fois tout cela fait, je lui demande de se mettre en position pour une levrette. Marine ne se fait pas prier et le fait avec une telle énergie, on sent l’envie.
— Est-ce que tu veux que je te remette le bandeau ?— Oh oui s’il te plaît, je monterai encore plus haut comme cela.
Je viens à sa tête, lui passe le bandeau qu’elle s’ajuste puis retourne au pied du lit où j’ai ce magnifique point de vue.
— Maintenant, tu vas faire ce que je te dis.— D’accord, que veux-tu de moi ?— Déjà, commence par me montrer comment tu t’es touchée en regardant ce porno hier soir petite coquine, montre-moi comment ton plaisir est monté.— Dans ce cas, laisse-moi me mettre sur le dos s’il te plaît.— Entendu, mais je compte sur toi pour m’offrir la meilleure place.
Marine s’allonge sur le dos, pose sa tête sur un oreiller, passe son bras au-dessus d’elle, et commence à caresser son petit minou. Elle commence par se passer un doigt entre les lèvres, en lui faisant faire des allers-retours, puis fait ses trajets un peu plus profondément en elle. Son petit bouton est ressorti de sa cachette et demande des caresses. Comme elle est sur le dos, les jambes largement écartées pour que j’aie une vue parfaite sur son intimité, je ne peux qu’être excité. Ma main est descendue sur mon pénis pour me caresser avec de lents va-et-vient, ma bouche a envie de la dévorer. Son index, quant à lui, vient se glisser entièrement dans sa gaine, ce qui lui fait pousser un fort soupir. Elle se pénètre assez rapidement avec son doigt, qui est très vite rejoint par deux autres, pendant que sa main joue avec son téton en le caressant, le pinçant.
Elle est d’humeur coquine, et me commente tout ce qu’elle fait en me disant par exemple qu’elle pensait à moi en faisant ça hier, ou qu’elle aime se toucher, mais préfère que ce soit mes mains qui le fassent.
— Arrête-toi maintenant et remets-toi en levrette que je m’occupe de ta prise.— Oui s’il te plaît, même si on dirait que tu as remis le courant, il faut vérifier que tout marche à l’intérieur.
J’ouvre ma boîte à outils de plaisir et prends un outil dans un tiroir, mon plus petit plug métal, le badigeonne de lubrifiant, puis viens le poser sur sa petite rondelle rosée. Le froid du métal la fait se contracter et pousser un petit gémissement. Je pousse légèrement dessus et le voilà englouti en elle.
— Hum c’est froid, j’adore, continue.— Ce n’est pas prévu que j’arrête, alors profite donc.
Je joue d’une main avec son clitoris, tout en faisant des petits allers-retours en elle avec le plug pour détendre son muscle. Ses longs soupirs roques m’encouragent à continuer, pourtant, j’arrête et ressors le plug. Je le pose sur un mouchoir, prends la taille au-dessus, mets encore du lubrifiant, et le voilà se posant sur son petit trou comme son petit frère. Le voilà au chaud à l’intérieur, à faire des trajets, pendant que je suis à nouveau à m’occuper de son clitoris. Je joue comme ça une petite minute, puis le retire, le pose sur le mouchoir avec l’autre, puis recommence avec la taille au-dessus, le plus gros que j’ai. Celui-ci met un peu plus de temps pour s’enfoncer, en même temps ça se comprend. Ma main sur son clito combiné au plug fait gémir Marine, elle soupire, ses gémissements, me demande de continuer, m’encourage en me disant qu’elle adore que c’est trop bon.
Je lâche le plug et son clitoris pour pouvoir m’enfiler une capote sur ma tige, monte sur le lit et me présente derrière elle. Je pose mon gland à l’entrée de son vagin et me glisse rapidement dans son corps. Je fais des mouvements assez rapides, ce qui lui arrache des petits cris de plaisir. Je retire le plug de son petit trou et lui mets une fessée. Je laisse ma main lui caresser et lui prendre la fesse avant de glisser mon pouce dans sa rosette. Ces mouvements de ma part lui font pousser deux cris, un au moment où ma main touche sa fesse, et l’autre au moment où mon pouce la fouille. Je fais des va-et-vient avec mon bassin, mais aussi avec mon pouce.
Je lui lime de plus en plus intensément son vagin, quant à son petit trou ? Il n’est plus vraiment petit. Mon pouce a cédé sa place à deux doigts, puis carrément trois. Je ne pensais pas qu’elle serait capable d’en prendre autant aussi vite. Je sens la moutarde monter, je ralentis progressivement la cadence et finis par m’arrêter et sortir d’elle.
— Tu t’arrêtes ? Tu fatigues ?— Non, mais tu m’excites beaucoup trop, être en toi et t’entendre soupirer, gémir, et me dire le bien que je te fais a raison de moi. Mais avant de me vider, j’aimerais savoir, es-tu prête à du gokkun ?— Du quoi ? Qu’est-ce que c’est ?— Prendre le sperme en bouche et avaler, après avaler tu n’es pas obligée si tu ne te sens pas bien sûr.— Euh. Je ne te promets pas d’avaler, mais je veux bien essayer en bouche voir le goût.
J’étais toujours derrière Marine, elle toujours prête en levrette. J’enlève la capote qui rejoint les plugs sur le mouchoir, m’enduis de lubrifiant le pénis, pose une main sur ses fesses et appuie légèrement qu’elle baisse son bassin. Mon autre main tient ma tige pour la guider. Je me pose à l’entrée de ses fesses, et viens pousser doucement pour me faire engloutir. Je me faufile centimètre après centimètre dans son petit trou, ce qui lui fait pousser des longs râles de plaisir. Arrivé en butée, je commence des va-et-vient assez rapides qui lui font crier son plaisir. Je ne faiblis pas et ponctue mes mouvements par des fessées lui rougissant peu à peu le globe. Je passe mes bras sous son ventre, puis d’un coup la bascule et la mets sur moi. La voilà allongée sur moi et dos à moi, les jambes en l’air, pendant que je pilonne son petit chemin. J’ai une main posée sur son ventre pour la retenir, pendant que l’autre s’occupe de chatouiller ses lèvres et son clitoris.
Marine laisse ses cordes vocales monter la gamme, je la sens proche de l’orgasme, j’accentue donc ma pression sur son petit bouton tout en continuant de lui labourer le fessier.
Je ne vais plus tenir longtemps non plus à être dans ce conduit chaud et serré. Je donne tout ce que j’ai pour un sprint qui lui fait crier sa jouissance dans un magnifique orgasme commun :
— Ouiii Pierre je jouiiis !
En disant cela, elle m’asperge les cuisses de son savoureux jus d’abricot. Je ralentis la cadence petit à petit jusqu’à m’arrêter totalement pour la laisser se remettre de ses émotions.Marine met près d’une minute à reprendre son souffle, se redresse, en faisant cela forcément, elle me sort de son petit trou, se retourne et m’embrasse d’un doux baiser. Elle s’allonge à moitié sur moi, vient lover sa tête dans mon cou. Son souffle chaud me caresse et me fait encore plus profiter de ce moment.
— Merci Pierre.— Ce n’est pas moi que tu dois remercier, mais toi, tu as juste écouté ton corps et ses envies.— Tu m’as donné les outils pour alors si je te remercie. Je file à la douche avant de mettre du jus partout, tu viens ?— Avec plaisir, je te savonnerai ton magnifique corps avec le plus grand plaisir.
Marine se lève, me prend par la main et m’emmène dans la salle de bain. En arrivant, elle allume l’eau pour qu’elle chauffe, se retourne, et m’embrasse à pleine bouche. Nous voilà partis pour une longue pelle avec nos langues s’entrecroisant. Un baiser divin et infini.
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