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Une voisine délicieuse

Chapitre 8

Une balade en forêt

Hétéro
Marine et moi continuons de coucher ensemble, Pierrick le sait et accepte le choix de sa femme, on peut même dire qu’il l’encourage à le faire. En même temps, leur couple n’est que mieux depuis que l’on couche ensemble. Marine teste des choses avec moi, et si elle aime, elle en parle avec son mari pour savoir si lui aussi aimerait essayer. Je vous ai déjà raconté quand je lui ai fait découvrir l’anal, ainsi que la double pénétration et les jouets. Nous avons aussi expérimenté quelques scénarios, notamment l’élève qui prend des cours "particuliers", ou l’agente immobilière prenant sa com en nature.
Aujourd’hui, nous allons faire une promenade un peu plus dans les terres. Nous allons nous promener en forêt de Fontainebleau. Ayant bossé par là-bas je connais quelques coins jolis, et d’autres avec très peu de passage pour profiter du calme et du chant des oiseaux.
Nous y allons donc, je conduis la voiture pour y aller, Marine à côté de moi. La route se passe sans problème, trafic fluide, beau temps, une journée idéale pour se balader. Vers la fin, je sens que Marine se tend. Elle a la bougeotte sur son siège. Puis d’un coup, je ne sais pourquoi, mais elle se détache et se baisse sur moi pour m’enlever la ceinture, ouvrir ma braguette, et sortir mon pénis de mon boxer.Elle commence les va-et-vient et prend mon gland en bouche. Sa langue sur mon gland me tend et je fais un écart de trajectoire. Je rattrape le coup avant de finir dans le fossé heureusement.
— Doucement ma belle, évitons d’avoir un accident.
Marine ralentit la cadence, mais à peine. Heureusement que nous arrivons au parking où je voulais me mettre. C’est un parking très peu connu, il est presque tout le temps désert, comme aujourd’hui. C’est un petit parking en sable et gravier. D’un côté, il y a un talus le séparant de la route, de l’autre la forêt. Je me gare vite fait en épi, coupe le moteur, me détache. Je pose la main au niveau de son menton pour lui remonter la tête vers moi.
Nous nous roulons une bonne grosse pelle bien baveuse, mes mains viennent parcourir son visage, son corps, ses jambes, ses seins. Je les malaxe doucement, tendrement, amoureusement. Une de mes mains glisse dans son pantalon. Ah d’accord, je comprends mieux pourquoi elle m’a sauté dessus, je sens vibrer contre ma main.
— J’ai dit à Pierrick que nous allions nous balader en forêt, alors il m’a dit de prendre ça avec moi. Je ne pensais pas qu’il le déclencherait si tôt. J’ai pris longtemps sur moi, mais je n’en pouvais plus.
Maintenant que j’ai l’explication, je me rends compte que son petit mari est très joueur. Je prends l’œuf qui vibre toujours dans ma main, il est trempé, je le pose sur son anus et pousse doucement dessus jusqu’à ce qu’il soit complètement avalé. À peine l’ai-je posé contre, que Marine s’est mise à gémir fortement. Je n’ai jamais essayé, mais ça doit un peu chatouiller, je pense. Une fois entièrement en elle, elle se trémousse encore plus qu’avant. Une fois cela fait, ma main retourne à son minou et vient lui pincer le clitoris. Elle crie son plaisir.
Je le pince, le fais rouler entre mes doigts. Je le lâche et viens la pénétrer de deux doigts pendant que mon pouce caresse son bouton de plaisir. Elle crie son plaisir, crie sa jouissance.
Une fois remise de ses émotions, elle se penche de nouveau vers moi, son bras avance vers ma tige, mais au lieu de la prendre en main, elle bifurque vers le réglage du siège et le recul. Je me retrouve très loin de mon volant d’un coup, j’ai de la place devant moi. Marine m’enfourche tel un cheval, j’aime être sa monture. Elle me prend le pénis, et vient le frotter à ses lèvres au travers de son pantalon. L’idée était bonne, malheureusement avec la couture, ça me fait plus de mal que de bien. Je lui fais savoir ce détail.
— Bon bah je vais être obligée de l’enlever alors.
En disant cela, Marine retourne sur son siège, le recule, et descend son pantalon. Je n’en perds pas une miette. Je n’avais pas fait attention en glissant la main tout à l’heure, elle n’a même pas de culotte ma cochonne. J’aime quand elle fait des coquineries comme ça. Je profite d’être libre de mes mouvements pour remettre mon siège en place et sortir de la voiture. Je fais le tour, fais coulisser la porte arrière de son côté, ouvre sa porte, lui prends la main, la tire délicatement pour qu’elle sorte et l’emmène s’allonger sur la banquette arrière. Ses jambes pendent par la porte. Je les prends par les chevilles, lui écarte, et viens fourrer ma langue en elle. J’aime la goûter, j’aime qu’elle m’inonde de son plaisir comme elle le fait actuellement.
Je la fouille de ma langue, viens glisser deux doigts juste en dessous de mon menton, et joue avec son clitoris de l’autre main. Que de plaisir de lui en donner ! Je ne tiens plus de voir son abricot en gros plan comme ça, il faut que j’aille m’y mettre au chaud. Je me redresse, ouvre complètement mon pantalon, tire légèrement Marine par les cuisses pour la rapprocher du bord du siège, puis viens placer mon pénis à son entrée principale.
Je m’engouffre dedans rapidement, et reste là au fond, sans bouger. Je me penche et l’embrasse amoureusement. Notre baiser est long, doux, délicieux. Je commence à faire des va-et-vient doucement, puis accélère la cadence petit à petit. Je me redresse, pour pouvoir y aller rapidement, je la pilonne comme jamais je ne lui ai fait. Elle crie son plaisir, j’espère qu’il n’y a pas de randonneurs dans les parages. Je continue de la prendre avec force pendant un bon temps, mais je fatigue, je commence à me faire vieux dis donc.
Je ralentis la cadence, reviens me coucher sur Marine et l’embrasse en même temps. Nos lèvres sont collées, nos langues joueuses. Elle me pousse légèrement, nos lèvres se décollent.
— Tu fatigues, prends-moi les fesses en levrette s’il te plaît.
Je ne me fais pas prier, je me redresse et lui tends la main pour l’aider à se lever. Marine la prend, je la tire pour l’aider. Nous sommes debout, elle se retourne, et se penche sur les sièges. Je l’arrête, lui indique que j’aimerais la prendre en levrette, mais contre la voiture. Du coup, elle pose ses mains sur le bord du toit, tend les bras, écarte les jambes, et tend son fessier en arrière. Je me colle derrière elle, la tige en main, et viens la présenter à son entrée. Je pousse et m’engouffre d’un coup dans sa caverne aux bonheurs, ce qui lui fait pousser un cri aigu de plaisir. Je recommence à faire mes allers-retours dans son vagin, je suis bien au chaud à l’intérieur, j’aime être en elle et partager son petit jardin secret. Son côté petite mère de famille prude m’excite beaucoup, mais la voir se “dévergonder” est encore plus excitant.
Mes aller-retour en elle sont tout en douceur, ni trop lents, ni trop rapides. Je suis penché sur elle, et lui murmure à l’oreille comme j’aime jouer avec elle. Pendant qu’elle est occupée à se tenir à la voiture, mes mains sont venues rentrer dans son chemisier. J’avais remarqué un détail avant, mais j’en ai confirmation maintenant, elle n’a pas mis de soutien-gorge non plus. Je lui masse donc ses beaux petits seins, titille ses tétons pointant vers le ciel. Mes caresses en plus de mon déhanché lui font pousser de longs oui soufflés.
Une de mes mains arrête de jouer avec son sein, sort de son haut, et vient lui caresser les fesses avant de lui mettre une fessée qui la fait gémir. Mon pouce vient lui caresser son œillet où est toujours l’œuf bien au chaud. Il ne vibre plus malheureusement, je ne sais depuis combien de temps exactement. Je tire sur la ficelle et lui enlève de son petit trou qui est un peu élargi. Je viens y glisser mon pouce à la place. Il nage un peu dans ce passage, je le remplace donc très vite par deux doigts qui sont déjà un peu plus serrés. J’imprime quelques allers-retours dans ses fesses avant de les retirer, retirer mon pénis d’entre ses lèvres, et de venir lui prendre son trou de sortie.
Mon pénis s’y glisse sans grande résistance sous les gémissements de Marine m’encouragent à continuer. Je la sodomise fortement, mes couilles venant claquer contre son fessier, ses gémissements bien audibles me donnent tant de plaisir. Ma seconde main a lâché elle aussi son sein et titille son clitoris pendant que l’autre lui tire ses cheveux en arrière, ce qui a pour effet de lui faire lever la tête. Je lui ramone son conduit de cheminée tout en lui soufflant des mots salaces comme des :
— Hum oui t’aimes ça ma cochonne, t’aimes quand je te prends comme ça, t’aimes être à la vue de tout le monde.
Marine me répond de manière tout aussi salace des mots comme :
— Oui j’aime, j’aime être ton jouet, j’aime imaginer qu’on nous regarde. J’imagine Pierrick nous regarder sa bite à la main.
Il ne me faut pas longtemps pour atteindre l’orgasme et me vider. Je lui ai dit un peu avant, alors elle s’est empressée de se dégager et de venir me prendre en bouche et tout avaler.
Une fois rhabillés et requinqués, nous partons main dans la main nous balader dans cette belle forêt.
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