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Une voisine sympa (enfin je pense)

Chapitre 1

Intro de l'histoire

Hétéro
Mois d’août, il fait chaud je me mets à l’aise sur mon balcon, torse nu et en short, bien calé dans le fauteuil, me voilà somnolant quand j’entendis une petite voix me dire bonjour, je sursaute et vite, je me mets un polo, et là, il y a une jeune fille tout sourire et qui me dit :
— Excusez-moi si je vous ai réveillé.— Non, pas de soucis, je somnolais.— Je suis votre nouvelle voisine, je m’appelle Estelle.— Bonjour Estelle, moi c’est Pierre.
Et nous voilà en train de discuter par balcons interposés, elle me demande la vie dans la résidence et surtout comment se procurer un bracelet pour aller à la piscine.
— Ah je peux vous passer le mieux, attendez 1 minute, je reviens.
Un aller-retour dans l’appart et me revoilà avec le précieux sésame pour la piscine et je lui tends.
— Voilà mon bracelet, je vous le prête.— Merci beaucoup, me dit-elle, il ne va pas vous manquer.— Non pas du tout, je ne vais pas à la piscine.— Je vais y aller maintenant, car j’ai chaud, me dit-elle, et sur ce, elle me dit au revoir avec son charmant sourire.
Je retourne sur mon fauteuil en pensant à cette charmante voisine, elle a de faux airs de Elsa Esnoult, actrice que je trouve superbe. Je finis par m’endormir en rêvant de plein de choses, et surtout à ma voisine, quel âge a-t-elle, que fait-elle dans la vie, etc. Je me réveille vers 20h, toujours sur mon balcon et dans mon fauteuil, il est temps de manger et d’aller se coucher, car demain, je travaille. 6H du matin, il est temps de se lever, je déjeune, prends ma douche et me voilà parti au taf.
J’allume mon PC et je commence à trier mes mails, mails de taf, mails de communication de l’entreprise, mails pour nous présenter les nouveaux arrivants, ah il y a une nouvelle RH, tiens, une autre Estelle, dommage il n’y a pas sa photo, voyons son parcours, 35 ans, des diplômes à rallonge, on verra le jour où elle viendra se présenter, la journée se passe normalement, midi, je mange avec mes collègues et nous parlons de tout et de rien, des nouveaux, ceux qui partent, du foot, rugby, etc. 17h, journée finie, je rentre, enfin un peu de repos, une petite bière pour s’évader de la journée, je regarde les personnes qui sont à la piscine, et j’aperçois ma voisine qui arrive de son travail (je pense), bien habillée, nous nous disons bonjour de loin, je retourne m’asseoir tranquille et je vaque à mes occupations, un peu de ménage, je me prépare un petit repas, je me le fais tranquille, quand on vient toquer à ma porte, je vais ouvrir et c’est ma charmante voisine.
— Bonjour, j’espère que vous allez bien, permettez-moi de vous inviter à boire un verre pour vous remercier de m’avoir prêté votre bracelet.— Merci, c’est avec plaisir.
Donc me voilà en train de boire un verre avec une charmante femme, elle est vraiment superbe, grande, des yeux verts, blonde, une poitrine de feu et impressionnante, et je pense qu’elle est sportive, je me fais un peu cramer quand je l’ai regardée, surtout sa poitrine
— Je me suis habillée assez décontracté, car en journée, je suis plus habillée strictement.— Cela ne me dérange pas, lui dis-je.
Je lui demande si elle a essayé la piscine, elle me répond que oui. Nous discutons de son travail, et là, elle me dit :
— Je viens de commencer comme RH dans une société aéronautique.
Et là, j’en reste sans voix, car j’ai compris que cette charmante femme était la nouvelle RH de ma boîte.
— Et vous, me dit-elle, vous travaillez où ?— Et bien, je pense que l’on travaille dans la même boîte.— Ah oui ? me dit-elle.
Oui et je lui dis le nom, et là, on se met à rire, et nous trinquons à son arrivée. Et de verre en verre, nous commençons à discuter plus librement, je lui demande si elle a quelqu’un, ce qu’elle fait en dehors du taf.
— En ce moment, je suis célibataire, je m’occupe de mon travail et je verrai plus temps pour avoir quelqu’un, j’aime bien le sport, fitness, course à pied, shopping, elle rit.— Et vous alors.— Moi je suis un célibataire endurci (grands éclats de rire) et mauvais caractère.— Ah bon ? me dit-elle.— Et comment me trouvez-vous, serais-je à votre goût ? dit-elle avec un sourire assez coquin.— Magnifique, mais je suis trop vieux pour vous et nous travaillons dans la même société.
Il y a un petit blanc et c’est à ce moment-là que j’en profite pour partir, car demain, il y a boulot.
— Bonne fin de soirée.— A demain, me dit-elle.
Le lendemain matin, me voilà à mon poste, je ne dis rien à mes collègues au sujet de la nouvelle RH, car j’aime bien être tranquille, vers 10h, remue-ménage, voilà Estelle qui fait le tour de la société et qui vient se présenter. Comment faut-il que je réagisse ? Je la tutoie ou vouvoie, je lui serre la main, les présentations, le chef de service.
— Bonjour messieurs, voici Mme Estelle Pillon, votre - plutôt - notre nouvelle RH.
On nous présente chacun notre tour, et vient le mien.
— Bonjour, comment allez-vous, monsieur Labrune ? Quel est votre rôle dans l’entreprise ?— Bonjour Mme Pillon, eh bien, je réalise l’étude mécanique, etc.— Merci pour vos explications, je pense que nous serons appelés à nous revoir.— Oui.
La matinée se passe bien, à table, la discussion est centrée sur la nouvelle RH bien sûr.
— Tu as vu, elle est bien roulée.— Ah oui, et en plus elle a tout où il faut.
Moi je dis :
— Oui pas mal (je ne dis surtout pas qu’elle habite à côté de mon appart).— Quoi pas mal, elle est canon tu veux dire.— Oui, oui.— Arrête de faire le mec blasé, elle est superbe et bien foutue.— Oui c’est vrai.— OK on ne peut pas discuter avec toi.
Fin de la discussion, le repas est fini, nous retournons au taf.Je rallume mon PC et là, je vois un mail d’Estelle, plutôt de la RH.
« Rebonjour Mr LabruneMerci pour vos explications et surtout pour la discrétion de votre part pour ne pas avoir parlé de notre voisinage.Pourriez-vous passer à mon bureau vers 15h ? Je dois vous parler de quelque chose. »De quoi veut-elle me parler ? Je n’ai rien dit. 15H, je frappe au bureau de la RH.
— Entrez.— Bonjour Mme.— Pas de madame, pour toi, c’est Estelle.— Oui Estelle.— On se tutoie aussi, mais rien que quand nous sommes seuls.— Bien évidemment.— Tout à l’heure, j’ai remarqué encore que tu avais les yeux un peu perdus sur mon anatomie.— Heu oui, en toute franchise, je te dirais qu’habillée en pantalon et blazer, cela changeait d’hier soir.— Merci.— De rien.— Ce soir, cela te dit de boire un verre chez moi vers 19h ? Avant, j’irais faire un petit tour à la piscine.— Oui pas de soucis.— Donc à ce soir, et restons discrets au taf sur notre voisinage.
La journée se finit et je rentre vers 17h, je prends une douche et je m’installe sur le balcon, je regarde dehors pour voir ce qu’il se passe et j’aperçois à la piscine ma charmante voisine qui est seule, c’est vrai qu’elle a une poitrine d’enfer, je reprends mes esprits, il est 18h, je vais me reposer un peu avant d’aller à mon rendez-vous. 18h45, je me prépare un peu et me voilà devant sa porte, je frappe, elle m’ouvre, elle me fait un grand sourire, c’est vrai qu’elle a un air d’Elsa Esnoult, mais en plus grande.
— Rebonjour Pierre.— Re, Estelle, bien finie la journée.— Oui, je pense que je me suis fait draguer par des collègues de ton service.— Ah OK, je m’en doute (rire).— Cela fait du bien de se faire apprécier, que veux-tu boire ?— Un verre de vin.— A la tienne.
Nous trinquons à son embauche et sa venue dans la résidence, on reparle de ce qu’elle aime faire, sport, piscine, etc. Je lui demande si des fois, on la compare à cette actrice chanteuse Elsa, et elle me dit :
— Oui.— Mais tu es plus grande et blonde.— Ah AHAH oui et même plus de poitrine, elle est faite 92, moi 95— Oula, à 3 centimètres près.— Eh oui, c’est comme vous les mecs, avec la longueur de votre tige.— Pas faux (rire).— Et des fois, je mets un soutif rembourré pour avoir plus de poitrine.— Et pourquoi ?— Pour me faire désirer, surtout quand je sors.— Bien.— Attends, tu vas voir.
La voilà partie, elle revient quelques instants après, et effectivement, cela se voit.
— Alors tu vois.— Ah oui, je ne vois que cela.— Tu vois l’effet sous un polo, imagine sous une robe ou tee-shirt.— J’imagine et espère le voir.— Qui sait.
La soirée se passe, on se quitte et on se dit à demain. A peine 1h après, toc, toc, je me lève, j’ouvre et ma petite voisine qui est debout devant moi en maillot de bain.
— Et que fais-tu là ?— Je suis allée me baigner et en remontant, je me suis dit que peut-être, mon cher voisin serait debout.— Je dormais, Estelle.— Oh pardon.— Pas grave, veux-tu boire quelque chose ?— Du coca ou si tu as.— Limonade.— Parfait.— Tu n’arrives pas à dormir.— Non, c’est le taf qui me stresse un peu.— Allez, ne t’en fais pas, tout va aller, mais tu es allée te baigner comme cela.— Oui pourquoi ?— Quand même, ton maillot est assez échancré.— Oui c’est un string, me dit-elle en se retournant, mais vu l’heure, il n’y avait personne.— OK, allez, rentre te coucher, on se voit demain.— Bises, et bonne nuit, et elle rentre chez elle.
Ah ces jeunes, toujours à fond, mais moi je me lève tôt, dring dring, quoi qui -y a-t-il ? Oh non, 6h déjà, j’ai envie de dormir, mais non, il faut aller au taf, vite déjeuner, une douche et hop, au taf, j’arrive au boulot, et là, mes collègues me disent :
— Eh Pierre, tu as fait la fête toute la nuit ou quoi ?— Non pourquoi ?— Tu as des cernes.— Non, c’est les voisins qui ont fait du bruit toute la nuit.— Bonjour messieurs, comment allez-vous ?— Bonjour Madame Pillon, disent-ils tous en chœur.— Belle journée pour travailler.— Oui.
J’aurais besoin de quelqu’un pour une affaire urgente.
— Vous avez Pierre, disent-ils.— Bien Pierre, voulez-vous me suivre s’il vous plaît ?
Je remercie mes charmants collègues pour le cadeau, et eux, ils se marrent, je me vengerais. Nous arrivons à son bureau.
— Alors Pierre, tu m’as l’air fatigué.— Oh oui.— Est-ce à cause de moi ?— Non, j’ai l’impression que des voisins on fait la fête toute la nuit.— La fête, moi, je n’ai rien entendu.
J’ai pensé quelle chance elle a eue.
— Allez viens ici, au sujet de la fête, c’était moi, et j’étais seule, donc tu en conclus quoi ?— Ah bon c’était toi, mais tu n’étais pas seule.— Si, mais on peut se faire plaisir toute seule non.— Heu oui.— Pour me faire pardonner, je vais te sucer.
Et voilà qu’elle baisse mon pantalon et mon caleçon et qu’elle avale ma bite, ma parole, je n’ai pas eu le temps de réagir, mais elle a faim, cette jeune femme, je lui dis de faire moins de bruit, mais que c’est agréable, et au bureau en plus, je sens que je vais bientôt tout lâcher, je lui dis, mais elle continue, tant pis, j’explose.
— Eh bien, mon cochon, tu avais des réserves.— Un peu.— Il a bon goût, j’aime. Allez, tu peux revenir au taf, ce soir comme hier 19h.— OK à ce soir.
Fin de ce chapitre, le prochain sera plus hard.
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