Leurs mains s’agitent sur leurs poitrines, se caressant les seins en les malaxant comme des fruits d’amour. Elles s’aventurent sur leurs pubis épilés, leurs doigts se pressant contre leurs petits boutons, ce qui les fait se trémousser comme des gamines. Tout naturellement, elles se couchent sur le tapis. Les jambes se frottent, les cuisses se contractent les unes contre les autres. Elles écartent leurs intimités pour recevoir leurs doigts découvreurs, les hanches s’avancent en remuant. Tous leurs corps s’offrent, l’une à l’autre, dans une demande de caresses mutuelles et voluptueuses. Elles font tout pour assouvir la demande de leurs sexes dégoulinant d’excitation. Après s’être embrassées tendrement sur leur peau en ébullition, elles se retrouvent très vite en position de soixante-neuf. Dans un élan mutuel, elles sucent leurs minous excités en entrant leurs langues dans leurs vagins, léchant leurs clitoris gonflés. Nous n’existons plus pour elles, Tania et moi. Et pourtant nous sommes tous les deux avides des mêmes caresses, des mêmes envies de sexes, de luxures et d’amour. Je quitte mon jean qui comprime ma bite en érection. Tania prend mon sexe bandant et me masturbe tout en suçant mes seins, les léchant avec envie, pinçant mes tétons exacerbés. Submergé par mes instincts, je l’attire par terre en branlant sa bite tendrement. Une soudaine pensée perturbe mon esprit, avec le spectacle de nos deux amies. A me sucer de la sorte, Tania me donne une envie irrésistible de la pénétrer, de prendre sa bite dans mes mains et d’enfoncer la mienne très profond dans son trou déjà trempé. Elle devine rapidement ce que je souhaite faire, attrape un petit coussin tombé du canapé, et le met sous ses reins, allongée sur le dos. Elle replie ses jambes contre elle tout en masturbant son anus avec ses doigts dégoulinant de salive, le temps que j’enfile une des capotes que j’avais remarquées sous le canapé. A genoux, face à son petit cul occupé par ses doigts qui s’agitent tendrement, j’approche mon gland, prêt à rentrer dans son trou du bonheur qui n’attend que cela. La voir dans cette position, avec ses bas résille et porte-jarretelles, sa robe retroussée, le cul bien présenté en train de se masturber l’anus, me fait bander au plus haut point. La façon dont elle est vêtue décuple mon envie de la baiser. Je pénètre ma queue dans son cul rempli d’envie. Je la baise d’une manière presque bestiale. J’apprécie de baiser Tania en travesti, c’est un véritable bonheur de l’enculer en la branlant. Mes va-et-vient accélèrent. Elle met ses pieds par terre pour pouvoir soulever ses hanches. La position n’étant pas confortable, elle m’arrête et se retourne, se mettant à quatre pattes pour me présenter son cul admirable, prête à recevoir ma bite au plus profond de ses entrailles. Tout en l’enculant à nouveau, j’approche une main près de sa bite dégagée pour la branler encore. Prenant ses couilles, je les malaxe pour augmenter son plaisir et le mien. Près de nous, nos deux coquines s’en donnent à cœur joie, se pelotant les seins, les cuisses, les fesses, toutes les parties de leurs corps, excitant de plus en plus leurs clitoris. Enfonçant leurs doigts dans les anus, et leurs pouces dans les vagins, elles se donnent du bonheur et du plaisir en exacerbant leurs chattes et leurs culs en même temps. Elles gémissent de plaisirs, et jouissent en criant leurs bonheurs. Je rentre ma bite dans le trou de Tania, la ressors, en accélérant les mouvements de mes hanches pour la limer de plus en plus vite, encore et encore. Julie, nous voyant faire, approche son visage rougi d’ivresse et m’embrasse à pleine bouche, mélangeant nos langues gourmandes. Elle descend sa main pour rejoindre la mienne sur la bite gonflée de Tania. Elle la branle accompagnée de ma main, allant et venant, de son gland à la racine de son membre, en étirant bien sa peau. A chaque mouvement de Julie, accompagné par mes coups de butoir dans son trou béant, Tania gémit de bonheur. Parfois elle serre les fesses pour mieux sentir les va-et-vient de ma bite qui perfore son cul. J’aime ces moments où ses parois intimes exercent des pressions plus fortes le long de ma verge bandante, cela me fait me dresser davantage. Julie descend sa bouche, mordille mes seins au passage, m’embrasse le bas-ventre puis le long de ma bite, accompagnant mes va-et-vient avec sa langue qui lèche ainsi l’anus de Tania qui se tourne un peu. Elle prend sa verge dressée, la met dans sa bouche pour la sucer tout en la masturbant, tournant sa langue autour du gland violacé. Ses lèvres avides de bites aspirent le jus de Tania qui, n’en pouvant plus, finit par éjaculer dans sa bouche. Julie, qui est à quatre pattes en train de se faire doigter la chatte et l’anus par Claire, reçoit le foutre de Tania qui, s’agitant, en met partout sur son visage tendu. Sa langue lèche tout ce qu’elle peut récupérer autour de ses lèvres pour goûter et avaler ce nouveau sperme chaud, sorti du corps de Tania. S’apercevant de l’action, Claire lèche le visage de Julie et l’embrasse à pleine bouche, la serrant contre son corps, faisant passer le sperme de Tania de la bouche de Julie à la sienne. Cette vue me fait jouir à mon tour, éjaculant dans ma capote, avec des cris d’extase. Aussitôt sorti du cul de Tania, Claire se jette sur moi pour enlever mon préservatif, et aspirer les dernières gouttes de sperme qui sortent encore de mon sexe jouissant. Sa bouche à peine remplie, elle m’embrasse goulûment, mélangeant nos langues avec mon sperme. Julie veut y goûter aussi, et remplace la bouche de Claire par la sienne. C’est un délice de volupté. Nous sommes tous heureux de nous être donnés l’un à l’autre, avec tant d’amour et de sexe. Le mot qui me vient à l’esprit à ce moment précis est « extase ». C’est si bon de se lâcher à ce point, de laisser libres nos sens les plus intimes, sans tabou. Un pur bonheur nous envahit. Nous sommes comblés. Julie s’approche de mon oreille. — Merci mon amour. Je t’aime.— Moi aussi ma chérie. Merci de t’être lâchée à ce point. Il faut que je te dise, j’ai adoré te voir avec Claire. Vous allez bien ensemble. Julie se retourne vers sa complice de sexe et d’amour. — C’était délicieux, Claire, j’ai adoré.— Moi aussi Julie. Il faudra remettre ça, tu veux bien ?— Oh oui, quand tu veux, mais avec Tania aussi.— Tu sais Tania, j’ai adoré ton sexe. Cette ambiguïté que tu inspires m’a plu au plus haut point. Tu es très féminine. Rien que d’y penser j’ai envie de recommencer. J’ai aussi adoré te voir avec mon homme.....— Gourmande, dit Tania. Et, enlevant sa perruque : — Au fait, si tu me rencontres dehors, s’il te plaît, moi c’est Batiste, d’accord ?...— D’accord Batiste, mais j’aime bien Tania aussi, dit-elle avec un clin d’œil complice.— Oui, deux en un quoi... On éclate de rire tous les quatre. On se promet de se faire une petite bouffe un de ces soirs. Après tout, nous ne sommes pas loin les uns des autres, et entre voisins, cela se fait, non ? — Au fait Claire, tu penses à me redonner mon passe, à l’occasion ? hi hi........—-------------------------- Post-scriptum : Si je n’ai pas décrit d’usage de préservatif dans mon texte, il est bien évident qu’une telle protection est malgré tout indispensable pour le bien de toutes et de tous...
L'auteur a signalé qu'il n'y aura pas d'autre chapitre pour cette histoire.
