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Réunion

Chapitre 1

Hétéro
L’allée passé, je me gare dans le parking et me rends à la porte d’entrée.Je grille une cigarette à la porte en en attendant que celle-ci s’ouvre, le vieil escalier en bois de la maison de maitre grince sous chacun de mes pas.Je me présente à la porte du bureau et attends d’être invité à entrer, pendant que Madame est en communication téléphonique, je profite du temps qui m’est donné pour observer la vieille bâtisse.Les plafonds sont hauts bordés de moulures, les lumières comme les meubles sont designs, sur la cheminée est ornée d’un vieux miroir doré.Madame porte une robe d’été bleue légère qui lui arrive juste au-dessous des genoux, ses chaussures à brides, lui font de jolis pieds.Je suis enfin invité à entrer dans le bureau et m’installer à la table, ce qui me donne tout le loisir de l’observer pendant qu’elle vient me rejoindre à la table.Ses chaussures compensées lui soulignent le galbe de ses mollets, sa petite robe lui dessine une fine silhouette.
Notre réunion commence.Le temps passe, mon regard se porte de plus en plus sur elle, sur ses mains soignées, sur son decolté.sa robe est stricte et ne me laisse rien percevoir de sa lingerie, mais je perçois le bout de ses seins qui se dresse de plus en plus à travers le fin tissu.Elle constate que je deviens de plus en plus distrait à ses explications. Ses tentons se dressent d’avantage, Je peux les dessiner au travers du tissu. Madame s’arrête de parler.Tout en se levant et prétextant la chaleur, elle me propose une boisson.Invitation que j’accepte volontiers, je ne peux que la suivre du regard.
Perchée sur ses hautes chaussures, elle se rend à l’armoire à boissons, je suis ses longues jambes, son fessier.Elle revient s’installer à la table avec les boissons fraiches. Nous prenons le temps de cette petite pause fraicheur pour discuter d’autre chose que du travail.
Ses seins comme ses tètons, sont dressés, gonflés.
Nous reprenons, notre réunion de travail.Midi se rapproche, la chaleur se fait de plus en plus forte.Les ouvertures entre les dossiers superposés sur la table en verre, me laissent voir ses jambes, celles-ci se découvrent doucement de plus en plus.
Midi, le soleil en pleine fenêtre, la chaleur devient insupportable.Madame me propose d’aller nous restaurer à une terrasse du centre-ville.
Nous marchons dans les rues et profitons de la fraicheur des quelques coins d’ombre pour aller rejoindre le métro.Nous arrivons à l’arrêt en même temps que celui-ci, les voitures sont bondées par les étudiants, nous nous frayons un chemin à travers ceux-ci jusqu’à une place ou nous pouvons nous tenir.
A chaque arrêt, des personnes montent et nous poussent l’un contre l’autre.Je sens sur ma main qui me maintient à la barre métallique, un tissu qui se frotte au rythme du métro. Nous nous regardons dans les yeux, je descends mon regard sur ma main.Je peux sentir sur mes doigts le frottement de son sein, son tèton gonflé.Je reporte mon regard dans le sien et constate Madame s’est empourpré et pourtant ne change rien à la situation.Je profite du mouvement du métro pour continuer à caresser ce teton durcit.Le métro ralentit, elle m’invite à me préparer à descendre.Malgré la chaleur de la rue, je profite des courants d’air.Nous marchons encore quelques minutes jusqu’à une taverne que nous traversons pour aller rejoindre un jardin intérieur ou nous nous installons.
Je m’étonne du peu de monde installé, ce jardin intérieur ensoleillé indirectement, frais par les arbres et les plantes qui l’arborent.Nous prenons une boisson fraiche avant de choisir nos plats, nous mélangeons les discussions de travail et privées.Je continue à l’observer, ses jambes croisées, ses tetons pointés qu’il y a peu de temps je caressais du bout des doigts.Enfin servis, nous profitons d’un vin rosé frais ainsi que des plats.Nous reprenons une bouteille de rosé, elle est installée au fond dans sa chaise, les jambes croisées.Sa robe, remonte au fur et à mesure de nos conversations, je sens mon sexe durcir, tirer de plus en plus sur mon boxer.
Il est près de 16 heure, nous reprenons le chemin du métro.Madame se place près d’une vitre, la foule nous rapproche encore une fois.Je suis maintenant collé à elle, je dois lâcher la barre d’une main pour ne pas basculer et la retenir.L’avarie passée, ma main est posée sur sa hanche.Je caresse sa peau à travers le tissu, je suis de mon pouce l’élastique de son string.Elle se rapproche de moi, se colle contre mon sexe, qui est toujours aussi tendu.Elle bouge son bassin, mon sexe tendu est entre ses fesses.Ma main agrippe sa taille, mes doigts jouent avec le tissu de sa robe.Elle se déhanche, ses fesses dansent sur mon sexe gonflé.Ma main glisse sur le tissu, mes doigts remontent sa robe.Je caresse la peau douce de sa cuisse.Elle se colle à moi, je descends sur sa cuisse, je descends sur son haine, jusqu’a la fine dentelle.Je passe un doigt sur le fin tissu humide, je sens son clitoris gonflé.Je m’attarde sur son bouton, que je caresse en tournoyant du bout du doigt.Je n’en peux plus, mon sexe est coince par l’élastique de mon boxer, je passe mon doigt dans l’échancrure de son string.Je suis sur son bouton, sur sa peau, je descends sur ses lèvres gonflées, ses lèvres ouvertes, humides.Je glisse entre elles, je sens sa mouille sur mon doigt, je parcoure l’entrée de ses lèvres, de haut en bas, de bas en haut.Je fais des allées et venues, Je plonge mon doigt en entier au plus profond dans sa chatte.Elle m’agrippe la hanche, se colle à moi, je sens sa respiration qui s’intensifie.Mon doigt fait des allées et venues dans cette chatte brulante et dégoulinante.Elle nous rapproche de la barre, se frotte les seins contre ma main pendant que je continue à la doigter.Ses jambes emprisonnent ma main, la serrant à m’en faire mal, m’empêchant tout mouvement.Ma main libérée, remise de ses émotions et après s’être un peu réajustés, profitant de l’arrêt du métro nous descendons.
Notre arrêt est dépassé depuis un moment déjà, nous devons couper à travers la ville pour retourner au bureau.Nous passons par de petites ruelles, ce qui me permet de découvrir la ville.Tout en marchant, Je me rapproche d’elle, je l’enlace de mon bras, l’attire contre moi.Ma main sur sa hanche, je sens le sa peau sous le fin tissus de sa robe.Nous arrivons à la hauteur d’une entrée de parking, dans lequel elle m’attire.Nous parcourons les couloirs, jusqu’à l’ascenseur que nous prenons.Les portes à peine fermées, je passe ma main derrière sa tête que j’attire à moi.Je dépose mes lèvres sur les siennes, que je force de ma langue.Ma main libre remonte sur un de ses seins que j’empoigne.Elle porte un demi soutient gorge qui me laisse pleinement jouer avec son teton et qui m’excite encore à nouveau.Mes doigts emprisonnent son tetons dressé, que je fais rouler sous ceux-ci.Je le pince, je le tire, Je malaxe son sein, le presse.Nos langues se mélangent jusqu’à l’arrêt de l’ascenseur qui ouvre ses portes.Nous en sortons et nous dirigeons vers les toilettes de l’étage.Nous entrons dans une des toilettes des femmes.Je la colle à une des parois, reforce l’entrée de ses lèvres, qu’elle ouvre sans attendre.D’un pied je lui écarte ses jambes, ma main plonge dans son entre cuisses retrouver ce fin tissus de dentelle. Je tire sur le tissu mouillé, lui écartant ainsi ses lèvres.Je libère son sein de ma main, pour la porter à ma ceinture que je défais ainsi que mon pantalon, qui tombe à mes pieds. je continue à jouer de main avec son string.
Je veux toucher cette chatte mouillée. Je glisse ma main sur ses lèvres gonflées, sur son clitoris prés à exploser. Mon doigt la pénètre de tout son long, lui libérant ainsi de sa bouche des gémissements.Il coulisse en elle, il ressort à chaque mouvement recouvert de sa mouille dégoulinante.Un deuxième doigt la pénètre maintenant.Ses gémissements se font de plus en plus forts.Je lui agrippe ses cheveux, la force à s’abaisser.Elle s’agenouille, face à mon sexe tendu, Je lui presse celui-ci contre ses lèvres qu’elle ouvre.Je sens ses lèvres chaudes, pulpeuses, sa langue douce qui le lèche parcourant mon membre.Je sens en moi l’excitation qui parcourt tout mon corps, tous mes muscles.Ma main se resserre sur ses cheveux, je lui donne le rythme de ses allées et venues.Je sens mon désir monter, je calme ses mouvements.Elle souhaite forcer ma venue dans sa bouche.Je ressers ma prise sur ses cheveux, sortant mon sexe de sa bouche.Elle tente de venir du bout des lèvres sur mon gland.Je tire ses cheveux vers le haut, l’obligeant à se relever.
Je lui fais faire un demi-tour sur elle-même.Elle s’appuie à la toilette.Je remonte ses robes sur ses fesses.Je glisse ma main entre ses cuisses, sur sa chatte dégoulinante.D’un geste sec Je lui enfourne deux doigts et commence des vas et viens.
La maintenant toujours par les cheveux:— "Alors tu aimes la jute dans ta bouche?"
N’ayant aucune réponse de sa part, j’accélère mes mouvements et plonge mes doigts jusqu’a ce que ma main but contre son corps"Alors tu aimes la jute dans ta bouche?"Elle libère timidement un "oui de sa bouche.
Une nouvelle fois je répéte ma question, toujours en accélérant les mouvements dans sa chatte qui dégouline encore d’avantage.Un "oui, oui, j’adore cela" plus franc sort alors de ses lèvres.
Je passe derrière elle, mon sexe gonflé de cette excitation, et remplace mes doigts par celui-ci.D’un coup sec et profond, je lui fourre ma queue dans sa chatte.Sa mouille coule sur mon sexe gonflé.Ma main libère sa tête, et empoigne sous sa robe un de ses seins gonflés.Je le presse, je presse son teton, je le pince, le fais rouler sur mes doigts en le tirant.Ses gémissements s’accélèrent.
-"Alors t’es une petite saloppe qui aime enfiler des bites ?"
Elle libère à nouveau timidement un "oui de sa bouche.
J’agrippe ses hanches de mes mains, sa peau devient blanche sous mes doigts.Je la fourre.
-"Alors t’es une petite saloppe qui aime enfiler des bites ?"Pendant que Je la fourre profond.Mon gland bute au fond de sa chatte, qui dégouline.Répétant ma question.
"ouiiii" sort alors de ses lèvres.
Tout en continuant mes vas et viens profonds.
-"Alors, Tu vas denir ma saloppe ?"
Mes mains renforcent leurs prises.
-"Alors, Tu vas devenir ma saloppe ?"
Mes vas et viens s’accélèrent, au plus profond.
Ses gémissements sont des râles.
"Alooors ?"
Je lui bourre sa chatte trempée.Sa mouille coule le long de ses jambes.Mon gland pilonne le fond de son antre.Je suis presque à bout de souffle.Je ne peux presque plus tenir.
Je me colle à elle, dans le fond de sa chatte.Je la maintiens contre moi, pendant que je me décharge en elle.
"Alooors ?"

à suivre
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