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Réunion avec l'institutrice

Chapitre unique

Hétéro
Ce jour là, sortant tout juste du boulot, David se rendit à l’école pour un rendez-vous avec l’institutrice de son fils. Cette dernière l’avait contactée par SMS dans la journée, désirant le voir au plus vite. A vrai dire, ce rendez-vous hâtif l’inquiétait : habituellement c’était son ex femme qui s’occupait des contacts avec le corps enseignant, elle y avait mis un point d’honneur à la fin de leur relation. Il devait y avoir un problème, mais lequel ? La perspective de devoir passer du temps assis dans un bureau ne l’enchantait guère, d’autant qu’il s’était toujours senti mal à l’aise avec les professeurs tout au long de sa scolarité. Mais peu importait son envie, seul son devoir de père primait et pour ça, il allait devoir supporter ces quelques minutes en compagnie de Madame Boileau.Madame Boileau… Sûrement une vieille femme rigide qui cherchait des problèmes là où il n’y en avait pas. David ne comprenait pas pourquoi sa présence était nécessaire : son fils était un enfant sage, plutôt doué en cours et particulièrement sociable. Où pouvait bien être le problème que sa mère n’aurait pu régler elle-même ? D’autant que le petit était avec elle cette semaine…
Quand il arriva à l’école sur les coups de cinq heures et demi, la cour était déserte et il dut trouver son chemin tout seul dans les couloirs pour finalement dénicher la classe de CE2. Qu’elle ne fut pas surprise de voir qu’il s’était bien trompé !
Madame Boileau n’avait rien d’une vieille acariâtre, bien au contraire. De longs cheveux blonds, une silhouette gracile, le teint clair rehaussé par des joues bien roses, des lunettes encadrant ses yeux d’un bleu très clair, elle ressemblait plus à une étudiante timide qu’à une institutrice. Elle le salua d’un sourire et l’invita à entrer. Troublé par la beauté de cette femme, il s’installa en face d’elle sans dire un mot et attendit qu’elle s’explique.

— Bonjour, Monsieur Tarand c’est ça ? Je suis Noémie Boileau, l’institutrice de votre fils Nolan. — Enchanté. — Je suis contente de vous voir, je crois que nous ne nous sommes pas encore rencontré. J’ai plus souvent l’occasion de parler à votre femme. — Ex femme. Nous sommes divorcés. C’est elle qui gère les rendez-vous en général.— D’accord. Je voulais quand même vous voir par rapport à Nolan. Cela fait deux jours qu’il a un comportement plutôt étrange. — Comment ça ?— Et bien, il semble triste. Il ne parle presque plus, ne joue pas avec ses amis à la récréation. C’est assez inhabituel chez lui, il est plutôt du genre expressif et joyeux. Je l’ai questionné aujourd’hui et il m’a avoué qu’il était triste à cause de vous. — A cause de moi ? Comment ça ?— Écoutez cela va peut être vous semblez bizarre mais il pense que vous êtes un méchant. — Un méchant ?! Mais pourquoi ?— Apparemment il aurait trouvé des choses dans votre chambre. Il a appelé ça un attirail de méchant. — Oh merde …. pardon. Je comprends mieux maintenant. Ce n’est rien de grave, ne vous en faites pas. Juste quelques jouets, disons… intimes. — Je ne comprends pas… Expliquez moi, je vous avoue que je suis un peu inquiète pour lui.— Et bien… J’ai dans un placard plusieurs cordes, ainsi que d’autres ustensiles comme des cravaches et menottes. Pour des petits jeux sexuels. — Oh, fit-elle en rougissant. Pardon je ne voulais pas être intrusive.

Tandis que David lui expliquait la teneur de cet " attirail" , il avait vu les yeux de la jeune institutrice s’écarquiller de surprise et de gêne et une certaine lueur s’était allumée dans ses pupilles. L’avait-il choquée ? Peut-être. En tout cas, il semblait aussi qu’il avait éveillé en elle une série d’images qui la troublaient.

— Je suis désolé. Le petit a dû fouiné pendant que je prenais une douche. D’habitude je camoufle bien ce genre de choses. — Ce n’est pas grave, ne vous en faites pas. Je pense juste qu’il va falloir que vous ayez une petite discussion avec votre fils, pour le rassurer. — Bien sûr ! En tout cas merci de m’avoir prévenu. — C’est normal. Je n’aime pas me mêler de la vie de mes élèves mais il me semblait important de vous avertir. Bon et bien, maintenant que tout ceci est réglé, est-ce que vous avez des questions par rapport à la scolarité de Nolan ? — Non, pas comme ça. Je suis content de voir qu’il a une maîtresse qui s’investit autant pour le bien être de ses élèves. — Je vous en prie, c’est mon métier. Contente d’avoir pu échanger avec vous. Je vous souhaite une bonne soirée. — A vous aussi. Au revoir. — Au revoir.

Alors qu’elle se releva pour lui serrer la main, il ne put s’empêcher de jeter un œil discret à ses jambes, dénudées par la robe légère qu’elle portait. Durant cette poignée de mains à peine plus longue que la bienséance ne l’exige, il plongea de nouveau son regard dans le sien et découvrit que la petite étincelle qui s’y était allumée tout à l’heure y brillait encore. Alors qu’il revenait à sa voiture, il ne cessa de penser à cette femme à la voix si suave, ainsi qu’à sa peau, qu’il avait trouvé d’une douceur exquise. Il aurait aimé la sentir se promener sur son corps.Tandis qu’il prenait le chemin de son appartement, son imagination s’emballa, lui renvoyant des images de ses jambes, qu’ il venait explorer du bout des doigts… Aussitôt, la réaction ne se fit pas attendre et son pantalon devint alors bien inconfortable. Tiraillé par une solide érection, il chercha son téléphone afin de contacter une de ses amies, pour remédier à cette envie pressante.
Mince ! Son téléphone ! Il se souvenait de l’avoir posé sur le bureau de l’institutrice tout à l’heure mais lors de son départ, il avait tellement été obnubilé par cette femme, qu’il avait oublié de le récupérer. Il reprit donc la route de l’école, espérant qu’elle serait encore là, malgré l’heure avancée.

Quand il arriva devant l’enceinte de l’établissement, il fut soulagé de voir que le portail était encore ouvert et se précipita vers la classe de son fils. La porte de la salle était à demi ouverte et au moment où il allait frapper pour annoncer sa présence, il fut stoppé net par un bruit qui le transit de la tête aux pieds.
Un gémissement. Féminin. Madame Boileau était-elle en charmante compagnie ? Il glissa un oeil par l’embrasure et sentit alors son érection redoubler de puissance. La jeune institutrice était seule. Assise à son bureau, elle avait les jambes écartées, en appui sur la table et la main plongée sous sa robe. Les yeux à demi clos, elle se mordait les lèvres pour contenir ses soupirs tandis que ses doigts s’agitaient entre ses cuisses. Sans s’en rendre compte, David sortit son sexe et commença à se masturber devant ce spectacle si appétissant. Alors il avait eu raison : ses histoires de cordes et de fouets l’avaient bien excitée. Suffisamment pour qu’elle décide de se donner du plaisir ici, sur son lieu de travail. Et si il tentait sa chance ?
Enhardi par l’excitation, il commença à approcher, doucement, jusqu’à se trouver assez proche d’elle pour pouvoir entendre les clapotis de ses doigts fouillant son intimité.
C’est alors qu’elle ouvrit les yeux. Surprise, elle s’immobilisa , comme paralysée, la bouche grande ouverte et ses joues s’empourprèrent aussitôt. David était inquiet. Il se demanda si elle allait l’invectiver et lui ordonner de partir, le prenant pour un pervers.
Mais lorsqu’il vit son regard descendre jusqu’à son membre tendu, il comprit qu’il ne lui inspirait aucune peur. Bien au contraire.
Elle fixa le sexe qui pointait dans sa direction avec une telle lueur d’envie, qu’il s’approcha alors un peu plus, jusqu’à se trouver à portée de main. Noémie reprit son labeur digital, le visage tourné vers lui, gardant la bouche à demi ouverte. David continua de se branler devant son visage empreint d’excitation, si bien que lorsque son gland frôla les lèvres de la jeune femme, il dut se retenir de ne pas lui arroser sa belle figure.
Elle sortit sa langue pour recueillir le liquide qui perlait au bout de ce vît et avec une gourmandise non dissimulée, elle se mit à lécher cette chair tendue qui s’offrait à elle. L’homme grogna quand il sentit la bouche s’emparer de son membre et savoura cette exquise succion en contemplant l’entrecuisse humide de la jeune femme. Sa main s’aventura sur son épaule, dénudant celle-ci pour laisser apparaître la splendide poitrine qui se présentait à lui. Il mourrait d’envie de pincer ces tétons qui pointaient ostensiblement, d’y passer sa langue, de les dévorer. Mais pour cela il devait mettre fin à cette divine fellation et il n’en eu pas le courage.
L’institutrice avalait sa chair avec tellement d’appétit, hors de question de se priver d’une si délicieuse pipe ! D’une main, elle massait ses testicules tandis que sa bouche allait et venait de plus en plus loin, le gobant presque entièrement. Bientôt, il plongea sa main dans ses cheveux pour accompagner ses mouvements, l’aidant à engloutir l’intégralité de son membre.
Au bord de l’orgasme, il dut se contrôler et par sa crinière, la tira en arrière. Pendant quelques secondes, il s’amusa à passer sa verge luisante de bave sur ses joues et sa langue tendue. Puis il la fit se relever afin de pouvoir enfin goûter à sa délicate poitrine, qu’il dévora avec avidité. N’y tenant plus, David la poussa sur le bureau, faisant tomber au passage le monceau de papiers et autres fournitures qui s’y trouvaient déjà.
La croupe ainsi offerte, il ne se priva pas pour plonger sous la robe de l’institutrice et lécher les filets de cyprine qui maculaient ses cuisses. Il remonta doucement jusqu’à sa vulve, encouragé par les gémissements de plus en plus audibles de la belle. Elle avait une délicieuse saveur et il prit un malin plaisir à déguster sa chair avec lenteur, sachant pertinemment que la demoiselle en voulait bien plus.
Quand il fut certain qu’elle était au bord de l’explosion, il sortit un préservatif de son portefeuille et l’enfila, avant de se présenter devant cette croupe qui se trémoussait d’impatience. Il fit aller et venir doucement son sexe le long de son sillon, frottant au passage le clitoris enflé, ce qui lui déclencha des soubresauts. Elle tenta de se relever pour s’empaler d’elle-même sur cette verge si rude mais d’une main sur son épaule, il la maintint allongée sur le bureau.
Ses belles fesses blanches donnèrent envie à David d’y laisser une marque et il décida de prendre une règle en plastique qui traînait encore sur le bureau, afin de lui administrer une petite correction. La première claque la fit sursauter et elle laissa échapper un cri, mêlé de surprise et de plaisir. La trace rouge s’effaça presqu’aussitôt, alors il lui en donna une deuxième, plus forte, puis passa ses doigts sur sa vulve trempée.

— Encore… réclama t-elle.
Il fut surpris de l’entendre réclamer plus, mais c’est avec grand plaisir qu’il l’en gratifia d’une troisième, puis une quatrième et ainsi de suite jusqu’à ce que les marques rouges zèbrant sa peau laiteuse perdurent. Une fois satisfait, il colla son bas ventre à sa fente et d’une poussée, il la pénétra de tout son long. Dans un cri guttural, elle se laissa aller à cette intromission vigoureuse et savoura les coups de boutoirs lents mais puissants qu’il lui assénait. David regarda son sexe envahir la grotte de la jeune femme, se régalant des gémissements qu’elle produisait à chaque coups de reins.
Il la saisit par les hanches et continua de la pilonner encore et encore, de plus en plus fort, si fort que le bureau se déplaçait sous la force de leurs ébats. Il était hypnotisé par cette croupe qui avalait son sexe, toujours plus loin et son attention se porta sur le petit anneau encore inutilisé. Il cracha dessus et lorsque sa salive glissa le long de son sillon et atteignit le petit orifice, il y passa son pouce et força légèrement pour le faire entrer. Le petit "Oh oui" qui s’échappa de la bouche de l’institutrice le rassura et il commença à lui enfoncer son doigt un peu plus, tout en continuant de la marteler.
Elle en quémanda encore, se redressant pour pouvoir s’empaler encore plus et il lui agrippa le cou, lui présentant son pouce devant la bouche. Elle ne se fit pas prier et suça ce doigt qui, il y a peu, fouillait ses fondements.
David n’avait plus qu’une idée en tête : enfoncer autre chose que son pouce dans cet orifice si serré. Il sentit que c’était ce qu’elle désirait et il se retira, afin d’enlever le préservatif. Une fois découvert, son sexe se présenta devant l’anneau et poussa légèrement. Le muscle résista un temps, puis finalement, cèda sous la pression de ce vît, qui se planta en elle.
Avec quelques jurons, il se mit à la gratifier de longs et vifs coups de bassin, s’enfonçant en elle de plus en plus. A pleine main, il saisit sa poitrine et la malmena, se servant de sa prise pour donner de brusques assauts. Soudain, elle hurla, terrassée par un orgasme violent, qu’il sentit se diffuser dans tout son corps. Ses jambes se mirent à trembler et elle ne tenait désormais plus debout que par l’emprise qu’il avait sur elle.
A bout de souffle, il se défit de cette étreinte et elle s’écroula, à genoux sur le sol. Se masturbant au dessus de son visage rougi par l’effort, il explosa en jouissance, maculant ses lèvres, ses joues et son menton de sa semence laiteuse. Les yeux brillants, elle se lécha les lèvres avec délectation, nettoyant la jouissance qui parsemait son visage, tout en soutenant son regard.

— Merci beaucoup, dit-elle en se relevant. C’était… un vrai plaisir. — Le plaisir est pour moi, sourit David en se rhabillant. — Et si nous allions chez vous ? Je suis assez curieuse de voir votre " attirail de méchant". C’est purement professionnel, évidemment, fit-elle en lui lançant un clin d’oeil amusé. — Ah oui ? Et bien je ne peux qu’applaudir votre professionnalisme ! Allons-y alors. J’ai hâte de vous montrez ça.

Fin.
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