Le lendemain, Marion trouve un post-it sur son bureau en arrivant. — Me voir ! Ce n’est pas signé, mais elle reconnaît l’écriture et le style très directif de son boss. Après ses exploits d’hier à la réunion, Marion s’inquiète de ce que le chef de chantier a pu dire à son chef. Rien que d’y repenser, son ventre se contracte et elle sent l’excitation revenir. — Reprends-toi Marion et vas-y tout de suite, se dit-elle, ce n’est sûrement rien. Son chef n’est dans l’entreprise que depuis trois mois. À part bonjour bonsoir, elle n’a pas eu beaucoup affaire à lui. Elle le trouve plutôt froid : jamais un sourire ni une plaisanterie. Toujours « corporate ». Il ne cherche visiblement pas à connaître les membres de l’équipe. Elle toque à sa porte de bureau, il lui demande d’attendre, comme à chaque fois. Elle est sûre que c’est pour montrer que son temps à lui est plus important que le sien.Elle commence à préparer ce qu’elle va dire au sujet de la réunion d’hier, quand la porte s’ouvre.Marion est surprise qu’il soit venu ouvrir la porte. En général, il crie d’entrer depuis son bureau. Il la prie d’entrer. Elle passe devant lui et elle sent son regard se poser sur son cul quand elle avance. Elle est gênée. C’est la première fois. Jusqu’à présent, c’était à peine s’il captait qu’elle était présente.Elle reste debout devant le bureau, attendant qui l’invite à s’asseoir. Au lieu d’aller s’asseoir, il vient s’appuyer sur le bureau, à côté d’elle.Marion comprend que le chef de chantier n’a pas été discret sur la nature de la réunion d’hier. Elle se sent rougir sous l’œil insistant de son boss. — Monsieur Brochard, le chef de chantier m’a dit que vous aviez été très efficace hier. Il semble que vous ayez répondu à toutes leurs attentes, lui dit-il, avec un sourire.— J’ai fait de mon mieux, répond Marion avec une voix étranglée, en se trouvant très cruche. Elle le trouve vraiment très près d’elle. Elle sent son parfum. Elle ne l’avait jamais remarqué, mais il est très agréable. — J’aimerais que vous me fassiez un compte rendu très détaillé, reprend son boss en glissant sa main le long de sa cuisse.
Marion sursaute. Elle se sent à la fois excitée et gênée. Les intentions de son chef sont claires. Elle ne l’aurait jamais imaginé baiser avec des nanas du bureau. Visiblement, elle se trompait ! — Je ne sais pas par quoi commencer, répond Marion, sentant son ventre se vriller et la mouille commencer à inonder son string.— Je vais vous aider, lui répond-il en remontant sa main le long de l’intérieur de sa cuisse, sous sa jupe.
Est-ce que je vais réellement me taper mon boss ? Le cerveau de Marion carbure à fond. Elle est super excitée. Elle voit la chair de poule sur la peau de sa cuisse, là où sa main est passée. Elle a trop envie qu’il continue.Il commence à caresser sa chatte humide au travers de sa lingerie. Elle n’ose pas le regarder, mais entend son souffle qui se saccade.Son majeur fouille doucement et trouve l’entrée de sa chatte. Il s’enfonce et commence à l’explorer.Marion est trempée. — Donc, vous avez apporté des modifications au plan, semble-t-il, lui glisse-t-il en se rapprochant encore d’elle. Ses seins durcis frôlent son torse. — Oui ! répond-elle en soupirant, je peux vous montrer. Elle baisse les yeux vers son entrejambe. De sa main droite, Marion libère le sexe qui formait une bosse évidente dans son pantalon de costume. Elle commence à le branler doucement en lui caressant les couilles. Il est déjà très dur. — Ah oui, je vois, répond-il goguenard. Ses doigts se retirent de sa chatte et il vient carrément remonter sa jupe au-dessus de sa taille et descendre son string sur ses pieds. Marion l’envoie valser sous une chaise.Il la prend par la taille et la fait pivoter pour que son cul s’appuie sur le bord de son bureau. Il pousse son ordi portable et s’approche entre ses jambes, l’invitant à s’allonger en arrière. Marion se dit : "je vais vraiment baiser avec mon boss sur son bureau". Sa queue bien dure la pénètre immédiatement.Marion a la tête sur une pile de papiers qui finissent par terre, tant elle est secouée par les coups de boutoir de son boss. — C’est bien cela que vous avez vu avec M. Brochard hier, n’est-ce pas Marion ?— Oui à peu près, répond-elle en souriant. Il se penche sur elle et remonte ses jambes pour entrer plus profond en elle. Marion sent le plaisir monter. Il la pilonne avec énergie tout en lui parlant de détails du plan des travaux. Ça doit l’exciter ! Elle n’ose pas trop bouger ni parler. C’est la première fois qu’elle baise avec un hiérarchique. Bizarrement, le cul à l’air sur le bureau, défoncée avec énergie, elle se sent un peu timide. Il se retire et l’aide à se relever. — Retourne-toi ! dit-il en la prenant par l’épaule. Il arrive derrière elle et la penche sur le bureau. Son pied lui fait écarter les jambes. Sa bite retrouve vite le chemin de sa chatte trempée.Accrochée à ses hanches, il augmente le rythme de ses va-et-vient.Le téléphone sonne.Une de ses mains vient écraser sa joue sur le bureau, comme pour s’assurer de son silence. De l’autre, il décroche et se présente d’une voix étonnamment maîtrisée. Comme à chaque fois, la contrainte et le danger excitent Marion. La main qui la maintient contre le bureau avance vers son visage et il enfonce son majeur dans sa bouche. Il vient titiller sa langue et son palais. Elle sent une vague de plaisir monter pendant qu’il continue à la défoncer tout en donnant des consignes à sa secrétaire au téléphone. Dès qu’il raccroche, il lui tape sur les fesses. — T’aimes ça hein ? Marion jouit d’un seul coup, c’est rapide et aigu. Elle sent la contraction tordre son ventre et sa mouille couler.Il se retire d’un coup et la relève. — J’veux jouir dans ta bouche ! Marion se redresse, elle aurait bien gardé sa queue encore en elle un moment pour achever son orgasme. La jupe sur les hanches, elle s’exécute et se met à genoux devant lui avec une légère frustration. Elle guide sa queue turgescente jusqu’à sa bouche. Il prend sa nuque dans sa main gauche pour imprimer le rythme qu’il veut.Il s’enfonce tout au fond de sa gorge et éjacule. Marion est obligée d’avaler si elle ne veut pas s’étrangler. Il se retire et rajuste son pantalon. — Je suis très heureux de découvrir l’étendue de vos compétences, Marion. Vous êtes d’une polyvalence insoupçonnée, dit-il pendant qu’elle cherche son string et remet sa jupe en place. Il ouvre la porte et Marion quitte le bureau. Qu’est-ce qu’elle vient de faire comme connerie ?
