Vendredi soir, enfin ! Je peux chercher ma copine à la gare. Depuis la rentrée de septembre, on fait nos études dans deux villes différentes et nous sommes trop éloignées l’un de l’autre pour nous voir régulièrement. Au bout de cinq longues semaines, mon amoureuse a pris l’initiative de me rendre une visite le temps d’un week-end. Au programme : passer du temps ensemble pour découvrir la ville tout en déroulant de manière passionnée nos sujets de conversation habituels. Depuis quelques jours, elle me taquine sur la première chose qu’on fera une fois arrivé chez moi : une bonne partie de jambes en l’air pour rattraper le temps perdu. En effet l’année dernière, étant dans la même ville, on ne se privait pas de faire l’amour au moins une fois par semaine. Autant vous dire qu’on s’est chauffés progressivement au cours de nos cinq semaines de relation à distance, entre SMS très suggestifs et appels vidéo qui se transformaient en strip-tease ou en séance de masturbation. Après une chaude étreinte pour nos retrouvailles dans la gare, on se dirige rapidement chez moi. A peine entrée dans l’appartement, elle m’embrasse langoureusement. Nos mains deviennent rapidement baladeuses. Je lui caresse doucement le dos jusqu’à la naissance de ses fesses. Elle se colle contre moi, je sens son pubis contre mon sexe qui se tend progressivement. Elle passe ses bras autour de mon cou et me caresse le visage tout en continuant à explorer ma bouche avec sa langue. J’aventure mes mains plus bas pour caresser et pétrir ses fesses. Toujours accrochée à moi, elle commence à onduler son bassin sous l’effet de mes caresses. Mon caleçon a le plus grand mal à contenir mon sexe tendu. Elle décide alors de se reculer pour sortir de mon étreinte et ainsi pouvoir diriger sa main vers la bosse qui déforme mon pantalon. Elle ne fait d’abord qu’effleurer à travers le tissu pour prendre conscience de sa dimension puis commence des mouvements circulaires alternativement sur ma tige et mes bourses. En bon élève et voulant lui rendre la pareille, je déboutonne son pantalon et glisse doucement ma main le long de sa culotte trempée sous l’effet de l’excitation.Je provoque ses premiers roucoulements par l’effet de frottement du tissu sur cette zone si sensible. Elle s’enhardit à son tour en déboutonnant mon jean et en passant directement sa main dans mon caleçon. Elle prend délicatement ma queue en main et commence à imprimer des mouvements de va-et-vient qui m’arrachent un léger grognement de satisfaction. Elle vient alors m’embrasser et dans un sourire coquin, me fait comprendre qu’il est temps de passer aux choses sérieuses en m’entraînant jusqu’au lit. Arrivée sur le lit, elle commence à se déshabiller. Je regarde son haut coulisser le long de sa peau douce qui dévoile directement des petits seins dont les tétons pointent fièrement vers moi. Elle finit d’enlever son pantalon puis sa culotte. Je peux ainsi admirer ses belles cuisses puissantes et fermes. Une petite toison recouvre son intimité. Son corps est une invitation aux caresses. Sa silhouette dégage une forme de volupté et de tendresse. Elle s’allonge, écarte les jambes et commence à se caresser. Après m’être déshabillé à mon tour, je m’allonge sur elle ; mon membre tout dur collé contre sa cuisse ; et commence à l’embrasser. Je descends ma main vers son intimité pour titiller sa vulve et ses lèvres. Avec ma bouche, je descends vers ses seins pour agacer ses tétons en y frottant mes lèvres puis en les léchant et les suçant. Encouragé par ses premiers soupirs de satisfaction, j’aventure un doigt pour caresser son clitoris puis un autre pour faire des allers-retours à l’entrée de son vagin. Ses gémissements me servent de guide pour prolonger mes attouchements aux endroits les plus sensibles.Elle passe ses mains derrière mon dos pour me maintenir contre elle. Ses mouvements de bassin et ses gémissements sont de plus en plus prononcés. Tout en changeant le rythme de mes caresses, je concentre mes efforts sur son clitoris tout en joignant un deuxième doigt à mes allers-retours à l’entrée de son vagin. Je sens alors sa respiration s’accélérer, bientôt c’est l’ensemble de son corps qui se tend et elle finit par exploser dans un long râle terriblement sensuel. Après m’avoir remercié de ce moment de plaisir intense, on reste quelques instants enlacés. Puis elle me renverse afin de se retrouver à califourchon sur moi en positionnant son bassin au niveau de mon sexe. Elle me chuchote à l’oreille que le deuxième round peut commencer et qu’elle prend la direction des opérations. A califourchon sur moi, elle masse le haut de mon corps tout en frottant sa vulve contre ma hampe par la mise en mouvement de son bassin. Des effleurements autour de mes pectoraux, une main qui se dirige vers les abdos, elle dessine des formes sur mon corps à travers ses caresses. Mon sexe perle et se dresse contre son vagin sous l’effet de ses stimulations. Je grommelle de plaisir. Elle décide alors de faire intervenir sa bouche et ses lèvres en descendant le long de mon corps en me couvrant de doux baisers. Quand elle arrive au niveau de ma queue, elle glisse ses lèvres sur toute la longueur de ma hampe jusqu’à arriver aux testicules qu’elle prend soin de léchouiller avec délicatesse. Elle remonte ensuite le long de ma hampe en y déposant des baisers qui me font tressaillir. Arrivée au niveau du gland, elle prend en main ma queue pour la décalotter complètement. Débute alors un jeu alternant entre succion, coulissement de ses lèvres et branlette. Elle maîtrise parfaitement l’art de la montée du plaisir en réussissant à me maintenir au bord de l’éjaculation pendant plusieurs minutes. Le temps s’est suspendu au rythme de ses mouvements de langue et de ses lèvres chaudes qui enserrent mon gland dans un océan de plaisir. Je lui signale que j’atteins le point de non-retour. Elle retire sa bouche au dernier moment, je déverse alors ma semence au rythme d’un long râle orgasmique. Ma période réfractaire et mon grand relâchement musculaire qui suivent contrastent avec l’excitation dont elle fait toujours preuve. Pour la satisfaire, je lui propose une petite séance de cunnilingus. Je suis sur le dos. Elle se met à califourchon au-dessus de ma bouche. J’ai ainsi une vue imprenable sur son nid d’amour et mes mains peuvent avoir accès au creux de son dos et à ses seins. Je décide de jouer avec son excitation en caressant ses cuisses avec mes mains tout en déposant de légers baisers tout au long de sa vulve en insistant de plus en plus sur la zone proche du clitoris. Je remonte mes mains et entame un massage lent et sensuel de son dos. Elle se courbe sous mes caresses et accentue la pression de son sexe sur ma bouche. Tout en continuant à titiller son clitoris, je dirige mes mains vers ses seins pour les caresser et les pétrir. Face aux sensations de ce double contact, elle gémit de plaisir et son antre s’humidifie. Sa main droite se dirige vers ma queue déjà bien dressée. Elle me fait part de son désir d’être pénétrée. Je prends l’initiative en la renversant sur le dos et en la prenant en position du missionnaire après avoir enfilé une capote et glissé un coussin pour surélever son bassin. J’effectue des va-et-vient en variant le rythme. Progressivement, elle relève ses jambes pour optimiser l’angle de pénétration et m’agrippe par les fesses pour imposer sa cadence. Allongé sur elle, je caresse son visage et viens l’embrasser goulûment. Nous gémissons de plaisir tous les deux. Elle se sent parfaitement remplie et je ne me lasse pas de faire voyager ma queue chaudement étreinte dans sa grotte humide. Elle décide alors de changer le cours des évènements en adoptant notre position préférée : l’union du lotus. Je m’assois en tailleur et elle vient s’empaler sur ma queue en passant les jambes autour de ma taille et ses bras autour de mon cou. Elle prend le contrôle en venant frotter son clito contre mon pubis pour un maximum de sensations. De mon côté, mes mains parcourent l’ensemble de son corps en s’attardant sur le creux de son dos et la naissance de ses seins. Au fil des minutes, je sens la sauce monter et mes grognements s’amplifient. Je la sens partir au fil de ses gémissements. Lorsque son orgasme se déclenche, la contraction délicieuse de son vagin sur ma queue provoque une éruption de plaisir de mon côté. On avait passé les derniers instants pratiquement en apesanteur. On ne se regardait plus. On s’était laissé guider par nos sensations et notre instinct. L’union des corps s’est effacée devant la transcendance des esprits.
