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L'université : de la soumission à la consécration

Chapitre 1

L'accueil

Erotique
Petite précision préliminaire : ce (cours) chapitre n’a qu’une vocation introductive, il ne contient donc pas de scène de sexe proprement dite. Bien qu’il soit probablement nécessaire à la compréhension globale de l’histoire, je préfère le préciser à l’intention des impatients…   Une année scolaire qui commence est toujours un événement, mais aujourd’hui est un jour particulier : j’entre à l’université ! Je m’appelle Justin, j’ai 18 ans et je suis impatient de découvrir ce que la vie universitaire a à m’offrir.  Le premier « cours » en amphithéâtre auquel nous devons assister est assez long, puisqu’il s’agit d’une présentation de l’université et de son fonctionnement. Mais une fois que la partie désagréable est expédiée, nous pouvons passer à la partie intéressante : les parrainages.  En effet, chaque nouvel arrivant se voit attribuer un « parrain » (pour les filles) ou une « marraine » (pour les garçons), qui doit le guider dans ses premiers pas à l’université. Nous attendons donc, impatients, avec Camille, ma petite amie, ainsi que Nicolas et Charlotte, respectivement mon meilleur ami et ma petite sœur.   Nicolas et Charlotte sont ensemble, et à vrai dire elle n’est pas à proprement parler ma petite sœur, puisque nous sommes jumeaux. Mais elle est née vingt minutes après moi, alors je l’ai toujours appelée comme ça. Et les habitudes ont la dent dure… En tout cas, il se trouve qu’ils entrent tous les deux à l’université en même temps que moi.
  Pour les présenter rapidement, Camille est brune, assez fine (elle mesure 1m68 et pèse 54 kg) et dotée d’un corps magnifique. Seul petit bémol : sa poitrine se limite à un bon B, ce qui n’est pas trop mal, mais j’aimerais un bonnet supplémentaire. Nicolas doit avoir environ la même carrure que moi, qui avec mon 1m76 et mes 72kg me considère comme à peu près dans la moyenne (il mesure tout de même 2 ou 3 centimètres de moins). Nous sommes tous les deux relativement sportifs, mais secs (d’ailleurs, nous allons courir ensemble tous les dimanches matin).  Enfin Charlotte est un peu plus petite que Camille et presque aussi menue (1m65 pour 54 kg). Même si elle ne correspond pas forcément à l’image qu’on pourrait se faire de la bombe sexuelle (elle évoque bien plus la petite fille sage que la femme fatale), je la trouve absolument charmante. Elle est très mignonne, possède une poitrine généreuse – même si elle ne la met pas en avant par les décolletés qu’elle mériterait - et elle est surtout douce, intelligente, pleine de joie de vivre.   Même si j’ai honte de l’avouer – puisque c’est ma sœur - je rêverais d’être avec Charlotte.  Comprenez-moi bien : j’aime beaucoup Camille, je n’ai absolument pas envie de la tromper (et encore moins de la quitter), mais quand je suis avec Charlotte… c’est différent. Nous avons toujours été dans une forme d’osmose parfaite, nous nous comprenons sans parler, anticipons les désirs de l’autre avant qu’il ne les formule…  Surtout que depuis un certain temps, ce simple état de fait assez fréquent chez les jumeaux a changé : maintenant, j’ai l’impression d’être sur une autre planète quand je suis avec elle, tout mon corps est en ébullition, mes soucis s’envolent… Bref, je crois qu’au fond, je suis fou amoureux d’elle.  Ceci étant, toutes ces questions ne se posent pas : je suis avec Camille et Charlotte est ma sœur. Point final.
  La distribution des parrains et marraines commence donc, ce qui m’arrache à mes pensées déplacées. Après plusieurs personnes que nous ne connaissons pas, c’est Camille qui, parmi nous, est la première à se voir attribuer un parrain : un certain Paul, de troisième année. Il me déplaît immédiatement : bien qu’il ait l’air sympathique de prime abord, je n’aime pas sa haute taille et sa carrure d’athlète.  Un bellâtre sans intérêt.  Il y a sans doute une pointe de jalousie dans ce constat mais qu’importe : cette première impression me restera.  La répartition se poursuit néanmoins, et Nicolas ne tarde pas à être appelé à son tour. Et là surprise : c’est ma seconde sœur, Anna, qui sera sa marraine ! Car oui, si j’entre à l’université en même temps que ma sœur jumelle, notre aînée y est quant à elle déjà.  Nicolas affiche un sourire radieux. Bien sûr, on peut imaginer qu’il est heureux de tomber sur quelqu’un qu’il connaît déjà, à plus forte raison sa belle-sœur et la grande sœur de son meilleur ami. Mais je sais qu’il y a aussi une autre raison, qu’il n’admettra évidemment pas devant Charlotte : il a toujours eu un faible pour Anna.   A vrai dire, je peux le comprendre : honnêtement, elle est magnifique. Elle est déjà très mignonne, et surtout elle arbore une poitrine plus qu’appétissante, je dirais facilement un D. Et elle est d’autant plus attirante que les rumeurs qui me sont parvenues aux oreilles la décrivent comme peu farouche avec les hommes. Et même si, en tant que petit frère, ce n’est pas forcément ce qui fait le plus plaisir à entendre, je dois reconnaître que j’ai plus d’une fois fantasmé sur elle…
  Mais c’est au tour de Charlotte d’être appelée, ce qui chasse de nouveau mes pensées. Son parrain s’avère être un jeune homme métis de la même carrure que Paul, et qui d’ailleurs semble appartenir au même groupe d’amis. Il est très mignon et apparemment très populaire, si j’en crois les réactions des anciens. Plusieurs applaudissent, félicitant Charlotte pour sa chance. J’ignore si je dois m’en réjouir ou m’en inquiéter, mais je penche nettement vers la seconde solution.  Enfin, après plusieurs autres répartitions, c’est enfin mon tour. Ma tutrice est une jeune rousse plantureuse, Léna, que je jurerais être une amie de ma grande sœur. Il me semble les avoir vues ensemble une fois tout à l’heure, ce qui demanderait à être vérifié. Me jurant de le découvrir bientôt, je me dépêche de la rejoindre pour me présenter rapidement. Elle semble très sympathique, autant qu’elle est jolie, et ses mensurations plus proches de celles de ma sœur que de celles de Camille ne font qu’accentuer ma bonne impression.  Les présentations se font rapidement, puis l’exposé recommence. Les parrains nous promettent une fête d’accueil ce soir même, ce qui nous aide grandement à patienter ! En effet, le campus est agrémenté d’un internat dans lequel est hébergée l’énorme majorité des étudiants. Ainsi, toutes les soirées s’y déroulent (sachant que, de ce fait, même ceux qui n’y sont pas hébergés y passent souvent la nuit, plus ou moins clandestinement).  Le soir venu donc, nous nous retrouvons avec mes amis devant l’internat, puis nous allons ensemble rejoindre le groupe déjà festif. La soirée se déroule de manière assez classique, avec les ingrédients habituels des fêtes d’étudiants : alcool, musique, danse… et sexe même, si on en croit les couples vite formés qui s’éloignent en se bécotant déjà.  La plupart des personnes – nous les premiers – en profitent pour faire connaissance avec leurs nouveaux camarades, mais aussi pour mieux connaître leur parrain/marraine. En ce qui me concerne, il se confirme que Léna est très sympathique, même si voir Camille passer plus de temps avec Paul qu’avec moi m’énerve un peu (ainsi d’ailleurs que Charlotte avec Jules, même s’ils se séparent beaucoup plus rapidement). Nicolas, en revanche, semble à mille lieues de telles considérations, apparemment trop heureux de pouvoir enfin approcher Anna.
  Au bout d’un moment, vers 1h du matin, Léna s’excuse puis s’éclipse rapidement. Je constate que plusieurs parrains/marraines ont apparemment fait de même, mais je me retrouve avec mes amis, ce qui nous permet d’échanger sur nos impressions à ce stade la soirée. Ils ne nous laissent toutefois pas seuls longtemps, puisqu’ils reviennent une bonne demi-heure plus tard, tous ensembles, comme s’ils avaient tenu une sorte de petite réunion.
  Soudain, Jules se dirige vers la musique et l’éteint, ce qui déclenche un concert de protestations. Il n’a pourtant pas trop de mal à obtenir de nouveau le silence en levant la main.
— Je suis désolé, déclare-t-il, mais il est l’heure d’aller se coucher. Vous avez des cours demain et il ne serait pas sage de commencer votre deuxième jour sur les rotules. Mais pas d’inquiétude, nous aurons plein d’autres occasions de faire la fête !
  Bien que la plupart des convives aient toujours l’air déçus de cette annonce, ils l’acceptent bien et se consolent en se disant que ce n’est que partie remise. Après tout, dès ce week-end ils pourront s’amuser toute la nuit ! Alors que nous nous apprêtons nous-mêmes à partir, Léna s’approche et m’invite à la suivre. Je me tourne alors instinctivement vers Camille pour lui transmettre le message, mais Léna me devance.
— Non non, juste entre nous ! me dit-elle. Chaque parrain ou marraine verra son filleul isolément, il y a quelques étapes d’intégrations qui sont propres à chacun.
  Je hausse les épaules : c’est original, mais pourquoi pas ? Je la suis donc sans discuter, Camille étant d’ailleurs également abordé par Paul. Léna m’attire à l’écart, jusque dans sa chambre. Là, elle s’assoit sur son lit et m’invite à faire de même.  Elle me tend alors une petite enveloppe sur laquelle est seulement inscrite la mention : « pour l’élève de Léna ». Devant mon regard interrogatif, elle m’explique qu’il existe plusieurs fraternités au sein de l’université, et que la plus sélective et la plus recherchée d’entre elles s’appelle « L’éveil ». Les nouveaux étudiants sélectionnés pour en faire partie sont traditionnellement appelés les « élèves ».   Je me hâte alors d’ouvrir l’enveloppe. La lettre qui se trouve à l’intérieur, tapée à l’ordinateur, m’indique qu’elle est sans doute similaire pour tous.  Cher élève,  Tout d’abord, l’ensemble de l’équipe de « L’éveil » te félicite pour ta présélection, qui indique qu’un membre titulaire t’a remarqué et a souhaité faire de toi son filleul - ou sa filleule - pour t’initier à notre fraternité. Nous espérons que tu sauras te montrer digne de la confiance qu’il - ou elle - a ainsi placée en toi.
  Afin de déterminer si tu peux effectivement adhérer à la fraternité et devenir membre titulaire, un ensemble d’épreuves te seront imposées. Ces épreuves pourront être différentes d’un élève à l’autre, puisqu’elles sont à l’entière discrétion de ton initiateur ou de ton initiatrice.  Durant toute la durée de la mise à l’épreuve, les élèves seront entièrement soumis à une discipline stricte et rigoureuse. Tout refus d’obéir à un ordre ou une directive de l’initiateur ou de l’initiatrice sera immédiatement suivi d’une exclusion. De même, l’élève devra rendre compte de son comportement auprès de son initiateur ou de son initiatrice, qui seul(e) aura autorité pour lui autoriser les actions suivantes :
— Boire de l’alcool ou consommer tout autre produit stupéfiant ;— Sortir de l’enceinte de l’université ;— Avoir des rapports sexuels (y compris avec son compagnon ou sa compagne habituel(le) ;— Visualiser des contenus pornographiques, pratiquer la masturbation, ou tout autre comportement ayant trait à la sexualité ;— Dévoiler tout ou partie du contenu, des membres ou des pratiques de la fraternité ;— Toute autre action, comportement, ou attitude que déciderait son initiateur ou son initiatrice.
  Il est précisé que la liste ci-dessus, contraignante et restrictive, n’est nullement obligatoire. Il est possible à l’élève, dès aujourd’hui, de renoncer à sa candidature et ainsi de conserver sa pleine et entière liberté. En revanche, dès signature du présent contrat, l’élève est considéré comme engagé auprès de « L’éveil ». A ce titre, toute rupture ultérieure du contrat sera considérée comme une exclusion, et donnera ainsi lieu à une impossibilité pour l’élève de postuler à toute autre fraternité, comme l’indique le règlement de l’université.  Bonne chance à tous !  En terminant ma lecture, je suis partagé entre l’amusement et une certaine appréhension : tout cela est vraiment sérieux ? Ce qui est écrit dans cette lettre me semble étrange, exagéré, improbable. Je repense aux termes employés : « entièrement soumis à une discipline stricte et rigoureuse », « rendre compte de son comportement auprès de son initiateur ». Et que dire de certaines interdictions : « avoir des rapports sexuels » ou même « pratiquer la masturbation » ?  Léna m’observe avec attention, mais son sourire amusé laisse entendre qu’elle guette ma réaction. A vrai dire, je ne suis pas bien sûr de ce que j’en pense.
— C’est sérieux ?
  La question est naïve, mais sérieuse. Je ne sais pas comment je dois comprendre ce qu’il y a dans cette lettre. Pourtant, cela la fait ricaner.
— Bien sûr que ça l’est ! Mais ne t’en fais pas, il n’y a rien d’insurmontable. J’ai bien réussi à devenir titulaire, moi. Et ta sœur aussi.— Mais comment j’ai été sélectionné ? Je ne suis à l’université que depuis tout à l’heure !
  Son sourire devient séducteur, ce qui me provoque une bouffée de chaleur.
— Tu m’as plu, répond-elle simplement.
  Un vague « merci » est tout ce que je parviens à bafouiller, car si je suis flatté par sa remarque, je suis aussi un peu gêné. Elle me fait clairement du rentre-dedans, et il faut bien reconnaître qu’elle ne me laisse pas du tout indifférent. Elle est très mignonne, sensuelle sans être provocante, et sa manière de me distinguer des autres et de me faire sentir que je lui plais n’est pas désagréable non plus.   Mais une pointe de culpabilité m’assaille lorsque je pense à Camille. Je n’ai pas le droit d’avoir ce genre de pensées ! En même temps, je ne fais rien de mal… Il y a bien ce règlement étrange, mais rien ne m’oblige à aller trop loin. Je repense alors aux derniers paragraphes « dès signature du présent contrat, l’élève est considéré comme engagé ». Si je signe, je ne pourrais plus revenir en arrière !  Mais je ne sais même pas pour quoi je m’engage…  Un peu intrigué par tant de formalisme, je me résous tout de même à signer la feuille. Une fois que c’est fait, Léna la récupère et la range soigneusement. Il me reste pourtant plusieurs questions en réserve :
— Qui d’autre est présélectionné ? Un de mes amis a été retenu ?— Je ne sais pas qui sont tes amis, mais pour ta sœur non.— Je t’ai plu à ce point ?
  Elle me sourit.
— Il y a de ça, mais le fait qu’Anne soit une des plus haut placées du club a joué aussi.
  Cela me surprend. Ma sœur fait partie de ce club étrange ? Mais comment se fait-il que je ne le sache pas ? Je me promets de lui poser la question dès que possible.
— Si Anna a poussé ma candidature, pourquoi Charlotte n’est pas élève ?— Anna a jugé qu’elle ne serait pas prête.
  Un sourire énigmatique accompagne cette déclaration, mais je ne vois pas du tout ce qu’elle peut entendre par là. Laissant cette question pour plus tard, j’attends que Léna m’indique ce qui va suivre. Après tout, elle est mon initiatrice maintenant.
— Tu as bien compris tout ce que ça implique ? me demande-t-elle.
  Je fais oui de la tête.
— Tu es prêt à m’obéir, quelle que soit ma demande ?
  Là encore, j’acquiesce sans un mot. Son sourire s’élargit.
— Très bien, dit-elle. Alors lèche-moi la chatte !
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