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L'université : de la soumission à la consécration

Chapitre 4

Soumission

Trash
Je suis pris de tellement d’envies contradictoires que je ne sais d’abord pas quoi choisir. J’ai envie d’aller voir Camille, bien sûr, et de lui cracher à la figure tout ce que j’ai à lui dire. J’ai aussi envie de faire la même chose avec Nicolas. Et puis enfin, il y a Anna, et notre situation désormais bien ambiguë. Lorsque je prends enfin ma décision (à savoir aller voir Camille), Léna me prend de court en entrant dans ma chambre (sans frapper).
- Nicolas n’est pas là ? me demande-t-elle d’emblée.- Non, et j’ai aucune idée d’où il est.- Peu importe, c’est pas lui que je venais voir, répond-elle. Je voulais juste être sûre qu’on soit seuls.
  Sur ce, elle ferme la porte et s’installe sur mon lit.
— Ta sœur m’a tout raconté, et je suis venu te dire de ne pas quitter Camille.— Quoi ?— C’est un ordre, lui semble-t-il utile de préciser.
  Cela me laisse pantois.
— Tu es sûre que ma sœur t’a TOUT raconté ?— Si tu veux parler de la pipe que tu l’as forcé à faire : oui ça aussi.— Forcé ? Elle exagère !
  Léna ricane.
— Ne le prends pas mal ! Ta sœur a été plutôt impressionnée d’ailleurs. Même si nous promouvons l’obéissance, nous aimons les fortes têtes à « l’Éveil ».— Et pourquoi tu viens me dire ça ?— Je suis de ton côté. Je suis ta marraine, tu te souviens ? Mon but est de te faire progresser au maximum au sein de la fraternité.— C’est bien aimable, mais alors pourquoi tu ne veux pas que je quitte Camille ?
  Pour la toute première fois, elle semble vaguement gênée. Compte tenu de ce que je sais d’elle, ça m’inquiète au plus haut point.
— C’est un test d’obéissance.— Un test, encore ?— Oui, et celui-là ne te plaira pas.— Tu veux dire encore moins que les autres ?
  Elle se dandine, visiblement de plus en plus mal à l’aise. Au bout d’un moment, je fronce les sourcils et l’interroge :
— Qu’est-ce que tu me caches ?— Je crois que l’histoire entre Camille et Paul va devenir de plus en plus...
Elle n’achève pas, me laissant imaginer les pires scénarios.
— Quoi ? De plus en plus quoi ? Chaude ? Crois-moi elle ne pourrait pas l’être beaucoup plus !— C’est pas ça. Elle va devenir de plus en plus... publique.
  Cette déclaration me coupe le souffle.
— Publique ?— Oui, c’est une idée de ta sœur. En gros, Paul et Camille ne vont pas beaucoup se cacher. Il va même faire en sorte que ça se sache au maximum, ce qui fera de toi...— Le cocu de service.
  J’achève à sa place tellement la colère le dispute à la honte. Je me doutais que ma sœur chercherait peut-être à se venger, mais là !
— Et quel est le but, au fond ? A part me faire du mal bien sûr.— Je te l’ai dit, c’est un test d’obéissance. Si tu acceptes d’être la risée de l’université, tu auras prouvé ta fidélité.— Super !— Monter dans les échelons de la fraternité n’est pas simple, et jamais gratuit. Tu sais au fond, c’est presque un honneur qui t’est fait.— Tu te moques de moi ?
  Elle me sourit.
— Je te promets que tu ne regretteras pas de passer cette épreuve. Outre le fait que Jules ne pourra que t’en récompenser, je compte bien t’apporter une compensation, moi aussi.
  Son sourire s’élargit.
— Si tu ne quittes pas la fraternité, dans un mois jour pour jour, je te laisserais me baiser.— C’est cher payé !— Tu trouves ?
Je me rends compte de ma gaffe une seconde trop tard.
— Non, je ne veux pas dire... pardon, mais ça représente quand même beaucoup pour une petite baise !— Une ? Pour qui tu me prends ? Tu pourras me baiser où tu voudras, quand tu voudras. Je serais ton jouet personnel.
Je fronce de nouveau les sourcils. C’est tentant, mais le piège semble évident.
— Et qu’est-ce que tu y gagnerais, toi ?— Ce que j’y gagne ? Enfin tu n’as toujours pas compris quel genre de fille je suis ?
  Elle s’approche de moi et murmure tout contre mon oreille :
— Depuis que je t’ai vu je n’ai qu’un rêve : devenir ta chienne !
  C’est à mon tour de sourire. Vu sous cet angle, la proposition devient immédiatement plus tentante ! Mais ça ne nécessite pas moins de devenir la risée de l’école, et de le faire sciemment.  Léna me laisse ensuite à mes réflexions et j’en profite pour me diriger en direction de l’appartement de ma sœur. Puisque je ne peux pas parler à Camille, je ne peux pas non plus à Nicolas. Ne reste donc qu’Anna.  Elle me reçoit assez froidement, mais je n’en attendais pas moins. Je m’installe néanmoins sur son lit et je l’informe aussitôt que je suis au courant de son plan. Et que je l’accepte.
— Tu fais le bon choix, me dit-elle. La fraternité nécessite des sacrifices, mais elle a surtout beaucoup à t’offrir.— J’ai une condition ! ne puis-je m’empêcher d’ajouter, sans vraiment y avoir réfléchi.— Une condition ?— A chaque fois que Camille et Paul m’humilieront de cette manière, tu devras me tailler une pipe.
  Je m’attendais à un refus, mais Anna explose carrément de rire.
— Tu plaisantes ? T’as toujours rien compris, hein ? Alors je vais remettre les pendules à l’heure : si tu veux faire partie de l’éveil, tu obéis aux règles. Sinon tu te casses !— Mais...— Pas de mais ! Ah si tiens : pour punir ton insolence, je vais ajouter une règle : à chaque fois que je le déciderais, tu devras venir me lécher. Où qu’on soit, quelles que soient les personnes autour de nous, tu devras m’obéir comme tu le fais à Léna.— Et pourquoi je ferais ça ?— Déjà parce que tu m’en dois une, et aussi parce que si tu refuses tu es viré !
  Je commence alors à comprendre, mais un peu tard, qu’à l’éveil il vaut mieux savoir fermer sa bouche...
— D’ailleurs, ajoute ma sœur, tu vas commencer tout de suite.
Elle s’allonge sur le lit dans une posture aguicheuse.
— Voyons si tu es aussi doué que Léna le prétend.
  Elle soulève alors sa jupe, révélant un string noir en dentelles. Honnêtement, l’idée de voir ma sœur nue suffit à mon bonheur et à me faire accepter mon « sacrifice ». Je m’approche doucement, pose mes mains sur ses cuisses tant désirées (mon Dieu qu’elles sont douces !) et commence à faire descendre son string.  Mes yeux sont aussitôt attirés par sa magnifique vulve, toute épilée. Il ne s’agit après tout que du troisième sexe féminin que je vois dans ma vie, et qui plus est celui de ma sœur ! Je n’ai encore rien fait, mais ma gaule est colossale. Qu’est-ce que je ne donnerais pas pour la baiser !!  Mais je ne peux pas, et je me décide donc à accepter mon sort avec humilité. Je caresse un peu ses cuisses de mes mains, puis je remonte doucement sur son ventre. Pendant ce temps, ma bouche l’embrasse tendrement sur le pourtour de son sexe, sans encore l’atteindre. J’aime la faire attendre...  Ce qui m’occupe l’esprit, sur le moment, je dois avouer que ce sont surtout mes mains. Ces deux petites coquines qui s’approchent doucement mais sûrement de ce qui me fait le plus fantasmer chez ma sœur : sa poitrine ! Mais alors qu’elles sont presque arrivées sur place, et que mon sexe est sur le point de faire exploser mon caleçon qui peine à le contenir, ma sœur les repousse.
— Pas de ça ! Dit-elle. Lèche-moi seulement.— Mais c’est meilleur avec un malaxage en même temps...— Bien essayé, mais je sais très bien que tu fantasmes sur ma poitrine, alors je la garde en réserve. Et j’ai ordonné à Léna de faire pareil !
Je maudis ma sœur. La garce ! Elle a très vite vu comment trouver la corde sensible : je n’ai connu que la poitrine de Camille, qui n’est pas très grosse, et je rêve tellement d’en toucher de plus dodues...Elle ne me laisse pas plus réfléchir et me pose une main sur l’arrière du crâne pour me forcer à la lécher. Je m’approche donc de son sexe, contraint et forcé, et je commence à l’embrasser doucement. Il est doux, légèrement ouvert déjà, et la simple pensée qu’il appartient à ma sœur m’excite à me rendre fou.
— Huuummm... soupire déjà Anna. Tu aimes lécher ta grande sœur, hein ??
  Elle me devine décidément très bien ! Comme une approbation silencieuse, je m’empare de son clitoris avec mes lèvres et le suçote quelques secondes. Elle ne peut se retenir de gémir. Ma langue s’active avec tendresse sur ses lèvres, que je pince de temps à autre avec les miennes, puis elle se glisse à l’intérieur. J’aime beaucoup lécher sa fente, mais comme la plupart des femmes, Anna préfère quand je m’attarde sur son clitoris, ce que ses gémissements indiquent assez clairement.  Je m’exécute donc et joue le jeu de la soumission : son plaisir est mon seul but, car il est ce qui me rapproche le plus de la libération. Plus je serais soumis, plus vite ira mon intégration. Et plus vite je pourrais baiser Léna...  Le vagin de ma sœur commence à s’humidifier de plus en plus nettement, jusqu’à devenir complètement gorgé de mouille. Enhardi, je caresse sa petite chatte désormais béante de mon index, puis je lui insère doucement à l’intérieur. Elle gémit de nouveau de plaisir.
— Mets-moi en plus... soupire-t-elle.
  Je suis à deux doigts de lui obéir (c’est le cas de le dire), mais une nouvelle pensée perverse m’arrête au dernier moment : j’ai déjà profité d’elle une fois ; et si je recommençais ? Je ne lui obéis donc pas, mais je retire au contraire mon doigt.
— Qu’est-ce que tu fais ? grogne-t-elle. Je veux que tu me doigtes !— Tu es sûre ?
  Je déboutonne alors mon pantalon et le fais descendre rapidement, laissant émerger mon sexe bandé à l’extrême. Anna pose son regard sur ma verge, et malgré tous ses efforts elle ne peut dissimuler la lueur de désir qui passe dans ses yeux.
— Tu ne voudrais pas ça plutôt ?— Justin, qu’est-ce que tu... ?
  Je fais de nouveau passer mon index sur son clitoris, que je caresse tendrement avant de le faire rouler entre mes doigts. Anna se dandine de plaisir, rendue folle par mes attouchements.
— Tu ne préfèrerais pas une bonne queue bien dure à l’intérieur de toi ? Tu ne voudrais pas que je te ramone la chatte ?— Justin tu... tu es mon frère !
  Je vois bien qu’elle hésite, de plus en plus. Sa volonté ne tient plus qu’à un fil.
— Et ton frère est en train de te caresser la chatte. Tu aimes ça, non ? Ou tu préférerais peut-être que j’arrête ?
  Je joins alors les gestes à la parole et arrête mes caresses sur son clitoris.
— Non, continue ! supplie-t-elle.
  En quelques secondes, j’ai complètement retourné la situation. Désormais, c’est elle qui me supplie. J’en profite et m’approche d’elle petit à petit. Bientôt, mon sexe dressé n’est plus qu’à quelques centimètres de son vagin. Je reprends alors mes attouchements, ce qui lui fait lâcher un nouveau gémissement de plaisir.
— Tu veux sentir la grosse bite de ton frère en toi ?— Je... répond-elle seulement.
  Elle ne peut se résoudre à le dire, pourtant ses yeux parlent pour elle. Elle n’a qu’un désir : se faire baiser. Peu importe par qui. Ou peut-être même que c’est plus que ça ? Peut-être que la situation l’excite autant que moi au fond ? Le fait que je sois son frère contribue-t-il à la mettre dans cet état ?  Quoi qu’il en soit, je n’en peux plus d’attendre. Je présente ma queue contre son vagin, puis je fais coulisser le gland tout le long de sa fente. Anna soupire de plaisir lorsqu’il effleure son clitoris. Nos deux sexes sont dégoulinants de nos mouilles mêlées, qui les relient entre eux par de longs filets. La passion est désormais dévorante entre nous, encore accentuée par l’inceste.  Soudain, Anna capitule enfin.
— Baise-moi ! crie-t-elle en s’oubliant totalement.— Tu es sûre ? Je suis ton frère quand même...
  Follement excité moi-même, je dois lutter de toutes mes forces pour lui infliger ça. Mais ce retournement de situation me rend ivre de plaisir, et je rêve de l’entendre débiter des paroles interdites. Surtout que ça scellerait son abandon...
— S’il te plaît petit frère, mets-moi ta bite bien au fond de la chatte ! Baise-moi comme une chienne, je sais que t’en as toujours eu envie !
  Ses paroles me ravissent au-delà de tout ce que je pouvais imaginer. Je n’ai jamais été aussi excité.
— Tu veux que ton petit frère te baise ?
  Ses mains se posent sur mes fesses, m’attirent à elle.
— Oui petit frère, baise-moi ! hurle-t-elle.
  A ces mots, je ne peux clairement plus attendre. Ma bite est déjà à l’entrée de son vagin, je commence à l’insérer douce...
- STOP !!!
  L’injonction me fait sursauter. Le temps de comprendre ce qui se passe, je réalise que ma sœur s’est redressée et n’est déjà plus à portée de pénétration.  C’est injuste, mon gland commençait à peine à franchir la barrière de ses lèvres intimes ! J’allais enfin pénétrer dans cet antre si désiré, insérer ma bite tout au fond de la chatte de ma sœur, jouir en elle. Et toucher ses gros seins, les malaxer, suçoter ses tétons... Mais non, tout ça s’est envolé en un instant.  Je me retourne enfin, pour constater que c’est Jules, le président de la fraternité, qui se tient dans l’embrasure de la porte.
— Anna, je suis déçu, lâche-t-il.— Jules je... je suis désolée, se justifie-t-elle. Mais tu sais comme je suis...— Oui je sais, répond-il d’une voix déjà radoucie.
  En revanche, quand il se tourne vers moi, je comprends aussitôt que je n’aurais pas droit à la même mansuétude.
— Quant à toi... murmure-t-il d’une voix pleine de menaces.
  Il n’ajoute rien, mais à ma grande surprise il retire son pantalon et baisse son caleçon. Je suis à deux doigts de sursauter en voyant son sexe : il est énorme ! Avec 17 centimètres, je ne m’estime pas spécialement mal doté, mais il doit lui frôler les 25, ce qui me fait particulièrement complexer. D’autant plus qu’il n’est même pas totalement bandé !
— Suce-moi, dit-il simplement, d’une voix qui ne souffre d’aucune réplique.
  Le ton de sa voix, plein de froideur, me fait presque peur, j’ai l’impression d’être son serviteur. A moins que ce ne soit de la colère : m’en veut-il à ce point d’avoir failli baiser ma sœur ? Je tente de jouer le tout pour le tout.
— Je ne peux pas faire ça ! lui dis-je avec un sourire, comme si je prenais sa demande à la plaisanterie.— Et pourquoi ? demande-t-il.— Enfin Jules c’est ridicule, je n’ai rien fais de mal...— Ah oui ? Tu connais notre règlement !— Mais...— Suce-moi, répète-t-il.
  Son ton me fait peur. Je jette un regard vers ma sœur qui m’observe d’un air désolé, comme si elle ne doutait pas un instant de ma soumission. « C’est triste, mais tu ne pourras pas échapper à ta punition » semble-t-elle dire.  Sans vraiment comprendre pourquoi, je m’exécute alors en m’agenouillant devant lui. Je tends la main pour attraper son sexe, presque timidement. Il est véritablement énorme, ma main n’en fait le tour qu’à grand-peine. Il m’impressionne vraiment, non seulement par la taille mais aussi parce qu’être ainsi agenouillé devant un autre homme et tenir sa verge en main est intimidant et dérangeant pour un pur hétéro comme moi.  Et terriblement humiliant, surtout devant ma sœur !  Je le caresse néanmoins doucement, je fais coulisser mes doigts le long de cette immense lance de chair. Son sexe grandit encore, se dresse de plus en plus nettement jusqu’à s’ériger totalement, le gland suintant de mouille, juste en face de mon visage. Je suis terrifié.  Je le masturbe un petit peu en l’empoignant dans ma main, autant que possible puisqu’elle n’en fait pas le tour, puis j’approche mes lèvres et embrasse le gland. Il est déjà humide, et c’est avec un dégoût que je ne parviens pas à dissimuler que je fais courir ma langue dessus pour recueillir tout son liquide. Je prends ensuite son sexe en bouche et commence à le sucer.
  Je suis immédiatement saisi d’un haut-le-cœur. L’odeur est forte, âcre, et la sensation est terrible : je suis en train de sucer un homme ! Je suis à genoux devant lui, totalement soumis, et j’ai accepté de prendre sa virilité dans ma bouche sans broncher. Des larmes commencent à perler dans mes yeux et roulent le long de mes joues. Je suis totalement défait, vaincu, humilié. Je suis devenu sa chose. Un peu comme avec Léna, mais en pire, tellement pire. Et si ça venait à se savoir ? Je n’ose trop y songer...  Pendant ce temps Jules soupire, il semble apprécier. Il glisse une main derrière mon crâne et accompagne doucement mes mouvements. Je n’avais jamais imaginé qu’un tel sexe pouvait exister. C’est un véritable monstre ! Il ne l’a rentré qu’à moitié et il m’emplit déjà la bouche. Je le masturbe de plus en plus vite tout en le suçant mais ça ne semble pas encore lui convenir, puisque la pression sur mon crâne se fait de plus en plus forte.  Bientôt, c’est à deux mains qu’il me tient la tête et il m’insuffle son rythme. Il m’oblige à aller plus vite et plus loin. A un moment, il me bloque même la tête contre lui, me forçant à enfoncer toujours plus profondément son sexe en moi. Je suis à deux doigts d’étouffer, écœuré, et je tente de me débattre.
— Respire par le nez ! m’ordonne-t-il.
  Je ne peux pas répliquer, je juge donc plus sage de l’écouter. Je tente de faire comme je peux, mais la sensation d’étouffement est toujours là. J’ai l’impression que son sexe va me faire vomir. Lorsqu’il bute au fond de ma gorge, je me dis qu’il va s’arrêter. Après tout, il ne peut pas aller plus loin. Pourtant, il continue à forcer, comme s’il pouvait encore progresser. Je tente encore une fois de me retirer en gigotant, mais il me tient trop bien.
— Laisse-moi un peu profiter ! Tu ne pensais quand même pas que les plaisirs offerts par « L’éveil » étaient gratuits ?
  Il force encore et toujours, et soudain son sexe se plie légèrement, épouse la forme de ma gorge et pénètre à l’intérieur. Sans que je sache exactement comment, il est parvenu à rentrer totalement en moi - et mes lèvres butent maintenant contre son pubis. Il jouit un peu de sa position, puis il se retire enfin.  Lorsque ma bouche est de nouveau libre, mon premier réflexe est d’aspirer un grand coup pour remplir de nouveau mes poumons. J’ai bien manqué d’étouffer ! De la bave et de la mouille mêlées s’écoulent de ma bouche et tombent par terre, mais je ne peux le retenir. Je suis totalement vaincu, démoli.  Pourtant, Jules ne me laisse guère récupérer. Il me prend le menton, me force à relever la tête et réinsère sa bite dans ma bouche sans me demander mon avis.
— Finis-moi maintenant !
  Encore une fois, il s’agit d’un ordre, pas d’une question. Je m’exécute donc, reprenant son sexe dans ma main pour le masturber pendant que je le suce. Décidé à en finir au plus vite, je ne ménage pas mes efforts et ne tarde pas à l’emmener au point de rupture.  Il me tient alors la tête, qu’il m’attrape des deux mains, et se met à crier :
— Ah putain je vais venir ! Avale tout, salope, ne met rien à côté !
  Il semblerait que l’orgasme lui ait fait perdre les quelques traces de tendresse qu’il conservait encore. Je sens son sexe grossir encore, se contracter, puis un énorme jet de sperme brûlant et épais se répand dans ma bouche. La masse manque de m’étouffer, aussi j’essaye de l’avaler immédiatement, ce qui n’est pas simple avec son sexe dans la bouche.  L’odeur et le goût sont déplaisants, entêtants. La consistance rend son ingestion difficile, et à peine suis-je parvenu à en avaler une partie qu’un nouveau jet rejoint le premier, puis un autre encore. Son éjaculation est à la mesure de sa bite : longue, chaude, puissante.  Son sperme se répand dans ma bouche plus vite que je ne peux l’avaler, mais la présence de son sexe m’empêche de le recracher. Pourtant, une partie s’échappe et coule le long de mon menton. Lorsqu’il se calme enfin, j’ai la bouche complètement remplie de sa semence, et la quantité que j’ai déjà avalée m’écœure à tel point que je ne suis pas loin de vomir.
— Avale tout, répète-t-il.
  Mais je ne peux pas, je recrache le surplus qui s’écoule sur mon menton et tombe par terre. Sa main m’agrippe alors les cheveux, me force à m’aplatir.
— Qu’est-ce que tu fous ?! Je t’ai dit d’avaler !— Je ne peux pas, je vais vomir si j’avale tout.— M’en fous, tu vas pas gaspiller mon sperme ! Tu es une petite pute, tu t’es bien fait plaisir en reluquant ta sœur alors maintenant tu vas me faire le plaisir de tout nettoyer !
  Pitoyablement soumis, je m’exécute. J’avale tout d’abord ce qui me reste dans la bouche, non sans un haut-le-cœur, puis je me lèche les babines pour récupérer ce qui se trouve autour de mes lèvres. Prenant quelques secondes pour récupérer un peu, je me penche ensuite et commence à lécher le sol. Jules ricane, cette vue semble bien lui plaire.
— Tu n’oublieras pas ma queue, il en reste aussi dessus.
  Dès que j’ai tout bien nettoyé parterre, je reprends son sexe en bouche pour le nettoyer de toue la fertile crème qui le macule. Je ne tarde pas à terminer, mais je ne suis toujours pas sûr que je ne finirais pas par vomir tout ce sperme. Je n’ai jamais vu quelqu’un éjaculer autant, loin s’en faut !
— Très bien, j’ai beaucoup aimé cette petite séance, conclut-il. Même si j’espère qu’elle n’aura pas à se reproduire.
  Je hoche la tête en signe d’approbation. Evidemment que non elle ne se reproduira pas, car je vais tout de suite quitter cette fraternité de fous ! Je ne suis quand même pas maso... Même si j’ai adoré la partie avec Léna, et plus encore avec Anna, le jeu n’en vaut pas la chandelle : qui me dit qu’il ne me violera pas purement et simplement la prochaine fois ?! Qu’il ne va pas me sodomiser comme une bête, me déchirant avec son énorme bite ? Je ne tiens pas à prendre le risque !  Et puis de toute façon, tout cela m’entraînait sur une pente dangereuse que je ne maîtrise pas du tout. Je n’avais pas envie de tromper Camille, même si les tentations qui dansaient sous mon nez m’avaient un temps laissé croire l’inverse. Je serais dorénavant un bon petit copain, fidèle et dévoué. Fini les conneries !  Si j’avais su, à ce moment-là, à quel point je me trompais...
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