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L'université : de la soumission à la consécration

Chapitre 7

L'édifice familial chancelle

Voyeur / Exhibition
Lorsque j’ouvre un œil encore empâté par la fatigue, c’est pour constater que la plupart des personnes qui m’entourent ont déjà replié leurs affaires et ont mis les voiles. Tant mieux, parce que l’humiliation que je ressens à croiser le regard de ceux qui restent me suffit. Par chance, Camille et Nico font partie des déserteurs de la première heure. Je pense qu’eux non plus ne se sont pas sentis d’avoir avec moi l’inévitable discussion matinale.  Paul et Manu, en revanche, prennent leur temps en me jetant ostensiblement des regards de temps à autre. Loin d’avoir honte, les deux amis semblent au contraire très fiers d’eux ! Je replie donc mes affaires en quatrième vitesse et je me dépêche de mettre les voiles loin de cette atmosphère nocive !  Je n’ai qu’une envie en arrivant chez moi (car le week-end je rentre chez moi) : me confier auprès de Charlotte. Je ne pourrais sans doute pas tout lui dire, loin de là, mais ma sœur jumelle a toujours été ma confidente et je ne me vois pas ne pas lui dire au minimum que Camille m’a trompé. Ça me permettra au moins de me faire plaindre et réconforter par quelqu’un, même si elle sera loin de tout savoir.  Mais je ne tarde pas à déchanter en franchissant le seuil : la maison est vide. Je prends aussitôt conscience que c’est normal en ce qui concerne Charlotte, puisqu’elle est à la piscine tous les samedis matin. Comment ai-je pu l’oublier ? Anna est restée à l’université, mon père travaille les samedis, mais ma mère ? Elle devrait être là, elle !  Puisque je ne pense pas qu’elle soit partie, je me dis que si elle n’est pas à l’intérieur... elle doit être dehors ! Après tout il est près de 11h, il fait un soleil magnifique, il n’y aurait donc rien d’étonnant à ce qu’elle se fasse dorer au soleil au bord de la piscine (car oui : nous avons une piscine et Charlotte va malgré cela à la piscine municipale, mais tout simplement parce que c’est infiniment plus simple et plus agréable de faire des longueurs dans un bassin de 50m que dans un de 8m).
  En m’approchant de la baie vitrée qui donne sur l’arrière de la maison, je constate que j’avais vu juste : elle est bien allongée sur un transat, seins nus, mais malheureusement allongée sur le ventre. Dommage, j’aime beaucoup voir les seins de ma mère quand elle se fait bronzer. D’ailleurs, j’aime beaucoup voir les seins de toutes les femmes de ma famille...  Je sursaute en voyant un mouvement auprès d’elle : elle n’est pas seule ! Je me cache derrière le rideau le plus proche, qui m’offre un point de vue idéal : je suis invisible, mais je vois tout. Je ne peux toutefois m’empêcher de sursauter en reconnaissant la personne présente : c’est Nicolas !  Putain, ce mec est partout ! Mais qu’est-ce qu’il fout avec ma mère, qui plus est alors qu’elle est à moitié à poil ?###Catherine (la mère de Justin), un peu plus tôt dans la matinée###
  Je me décide enfin pour la piscine, et je commence donc à rassembler mes affaires. J’attrape ma serviette et mon vieux bikini, puis je m’enferme dans ma chambre pour l’enfiler. En m’observant dans la glace, une fois prête, je me fais l’observation qu’il serait temps d’en acheter un nouveau : celui-ci n’est plus très adapté. !
  J’ai en effet pris quelques kilos ces derniers temps, même s’ils ne se voient pas trop, car ils sont bien répartis. Je pèse 65 kilos pour 1m68, ce qui n’est pas excessif pour mes 41 ans, mais mes seins ont pris du volume au passage, ils débordent donc de partout. C’est assez gênant, mais d’un autre côté je suis pour le moment seule à la maison, alors c’est l’occasion ou jamais d’en profiter.  Penser à ma poitrine me remet en mémoire la scène pénible qui s’est jouée ce matin : Marc, mon mari, est entré dans la pièce pendant que je me changeais, et le regard qu’il a lancé sur ma poitrine indiquait sans ambiguïté qu’il appréciait sa récente prise de volume. Il m’a souri et s’est approché de moi, puis il m’a attrapé un sein sans préambule, qu’il a commencé à malaxer. Il sait pourtant que je ne supporte pas quand il fait ça, mais on dirait qu’il s’en fiche !  Il m’a attiré à lui et m’a embrassé fougueusement. Je sentais qu’il voulait me faire l’amour, là, tout de suite, surtout lorsqu’il a glissé son autre main dans mon maillot pour caresser mes fesses.
— Qu’est-ce que tu fais ? Lui ai-je alors demandé.
  J’étais un peu gênée par la situation, car Charlotte était toute proche, mais de toute façon je supporte de moins en moins qu’il me touche.
— Les enfants sont à côté, ai-je argumenté en le contournant pour fuir la pièce.— Ça va, a-t-il riposté, visiblement vexé, je ne faisais que t’embrasser !

  “M’embrasser ? Mon œil !”  Je songe en sortant que je suis sans doute assez dure avec lui. Je ne cesse de le rudoyer sur ce sujet, alors qu’après tout il ne fait qu’essayer de remettre un peu de passion dans notre couple. Et à sa décharge, il faut dire que nous ne faisons quasiment plus l’amour. C’est comme si ma libido s’était totalement évaporée...  Je chasse ces idées en arrivant au bord de l’eau, puis je déploie ma serviette sur un transat. Par chance, au vu de l’heure, il n’y a plus personne : Charlotte est partie à la piscine et Justin n’est sans doute pas près de rentrer. Je serais tranquille au moins ! Je m’apprête à entrer dans l’eau quand je prends conscience qu’une silhouette s’approche de moi. Un peu inquiète, je tourne la tête... mais il ne s’agit que de Nicolas, le petit ami de ma fille cadette.  Il vient dans ma direction à pas lents, uniquement vêtu d’un short de bain et d’une serviette qu’il a négligemment posée sur ses épaules. Inconsciemment, mon regard se perd dans la contemplation de son torse musclé. C’est fou ce qu’il a grandi vite ! Depuis quelque temps, les derniers vestiges de l’enfance l’ont déserté, laissant la place à un très beau jeune homme. Et il est évident qu’il s’entretient...   Ses tablettes de chocolat sont nettement dessinées, ses pectoraux également, et son visage a beaucoup gagné en mâle assurance. Ses cheveux sombres perpétuellement en épis contrastent avec son regard d’un bleu acier, qu’ils contribuent à mettre en valeur. En le voyant ainsi, on a peine à croire qu’il n’a que 18 ans.
  “Elle en a de la chance, ma fille !”  En arrivant à ma hauteur, son sourire s’élargit, et je prends alors conscience que je l’observe bêtement.  “Mais quelle conne !”
— Bonjour Catherine ! Me lance-t-il. Personne n’a répondu quand j’ai sonné, mais j’ai entendu du bruit venant de derrière, alors je me suis permis de venir voir. Charlotte n’est pas là ?— Non, elle n’arrive que vers midi et demi.— Mince, quel idiot ! Répond-il. Je pensais qu’elle serait déjà revenue.
  J’ai l’impression que son regard s’attarde pas mal sur mes seins tandis qu’il me parle, mais je me fais sans doute des idées. C’est un beau jeune homme bien bâti, il a sûrement mieux à faire que de fantasmer sur sa vieille belle-mère ! Et de toute façon heureusement, ce serait atrocement malsain. Mais alors pourquoi je ne cesse d’y penser ? Pourquoi j’ai autant de mal à détourner les yeux de son torse musclé ? Pourquoi j’ai aussi peu envie qu’il s’en aille ?
— Tu veux te baigner un peu quand même ?
  Les mots ont franchi mes lèvres avant même que je ne prenne le temps de réfléchir. Mais qu’est-ce qui m’a pris ?  Il me sourit, mi-timide mi-séducteur, ce qui me fait immédiatement chavirer. Ça fait un bon moment que je fantasme sur lui, et plus je lutte pour m’interdire ces pensées, plus elles me submergent. Je tente bien de me raisonner : il a la moitié de mon âge, à peine, et il est le petit ami de ma fille, mais rien n’y fait !
— Pourquoi pas ? Dit-il en haussant les épaules.
  Il me tourne le dos pour aller poser sa serviette sur un transat, ce qui m’offre une seconde pour essayer de réajuster le haut de mon maillot. Mais je baisse finalement les bras : de toute façon il n’y a pas grand-chose à faire : mes seins débordent. Lorsqu’il revient vers moi, ses yeux sont à nouveau attirés irrésistiblement vers ma poitrine, même s’il détourne fréquemment le regard pour le cacher. Cet intérêt pour mes attributs mammaires me gêne, mais au fond ça me fait plaisir aussi. Il est plutôt flatteur de penser qu’un jeune homme comme lui puisse être attiré par une femme comme moi.  “Ne rêve pas trop ma vieille, il se dit sûrement que ta tenue est indécente, c’est tout !”  Chassant ces idées, j’attrape l’échelle et commence à descendre doucement dans l’eau. Elle n’est pas trop froide, heureusement, ce qui me permet de ne pas trop traîner. Je suis à deux doigts de sursauter, toutefois, lorsque je me retrouve à moitié immergée. Nicolas est debout à côté de l’échelle, prêt à me suivre. Sauf que, descendue comme je le suis, je me retrouve avec le visage au niveau de son entrejambe. Or une bosse apparaît de manière évidente dans son short.   “C’est moi ou il bande ?”  Perturbée, je reste figée quelques secondes, le regard braqué sur lui. Ou plutôt sur la bosse qui déforme son short.
— Ça va Catherine ? Me demande-t-il.
  Il ne s’est manifestement rendu compte de rien.
— Oui, oui, parvins-je à bafouiller en reprenant ma descente. C’est juste qu’elle est un peu froide.
  Il rit, puis je le vois prendre son élan et plonger. Il ressort bientôt de l’eau, mais il s’amuse un peu en nageant quelques mètres avant de s’immerger de nouveau. Je choisis de l’imiter en me décidant enfin à lâcher l’échelle. De l’eau jusqu’aux épaules, je me rapproche de lui en nageant doucement.
— Tu es habitué à faire du sport on dirait, lui fais-je remarquer en montrant ses bras musclés.— Un peu, répond-il en souriant. C’est mieux pour mon travail.— Tu travailles ? En plus de l’université ?
  Pour le coup, je suis vraiment étonnée que Charlotte ne m’en ait jamais parlé : il n’a que 18 ans et il est toujours à l’université.  Nicolas semble soudain gêné.
— Oui enfin... un peu, répond-il finalement. Mais ne le dites pas à Charlotte, elle n’aimerait pas. C’est juste pour me faire un peu d’argent de poche, vous voyez.— Je vois oui, et qu’est-ce que tu fais ?
  Étrangement, sa gêne ne le quitte pas. Je suis d’ailleurs très étonnée qu’il me fasse cette confidence à moi, sa belle-mère, s’il ne tient pas à ce que Charlotte le sache.
— Je suis masseur, lâche-t-il en regardant ailleurs.
  Je suis persuadé qu’il me ment, ou en tout cas qu’il ne me dit pas tout. Curieuse, j’aimerais en apprendre plus, mais je ne veux pas jouer l’inquisitrice.
— Il faudra que tu me montres ça, alors !— Avec plaisir ! Répond-il, son beau sourire revenant enfin sur son visage.
  Nous nous amusons ensuite ensemble une vingtaine de minutes, puis je décide de sortir de l’eau. Il ne doit déjà pas être loin de 11h, et je voudrais encore avoir le temps de bronzer.
— Vous sortez déjà ? Me taquine-t-il.— Oui, je vais bronzer un peu.— Bonne idée ! Lance-t-il en me suivant. D’ailleurs, si vous voulez, je peux vous faire un massage.
  La demande, pour innocente qu’elle soit, me laisse interdite un instant. Je ne sais pas pourquoi, mais cette idée me gêne. J’aurais l’impression de transgresser un interdit en le laissant me masser. Je repense à la bosse entre aperçue dans son short tout à l’heure.  “Ne sois pas idiote, ça n’a rien à voir !”  Comme je reste vers mon transat sans répondre, il se rapproche de moi et pose doucement ses mains sur mes épaules. Il commence à me les caresser, entamant immédiatement un massage improvisé. Effectivement, il est très doué. Un frisson de plaisir me parcourt déjà, me secouant des pieds à la tête. J’adore ce qu’il fait, mais je ne suis pas loin de trouver ses gestes trop tendres, presque érotiques...  “Arrête !”  Presque par défi envers ma paranoïa, je choisis de jouer le jeu. Au moins un temps. Je m’allonge donc à plat ventre sur le transat. Il reprend son massage là où il l’avait laissé, frottant mes épaules avec adresse. Au bout de quelques minutes, ses mains descendent sur mes omoplates, puis juste dessous. C’est fou ce que ses pressions expertes me font du bien !
— Je peux dégrafer votre haut ? Demande-t-il.
  La question est presque rhétorique, tout cela est normal pour un massage. Mais là encore, mes pensées s’égarent et me font douter.
— Oui, vas-y, lui dis-je néanmoins.
  “Que pourrais-je répondre d’autre ? Il va me prendre pour une vieille coincée sinon. D’un autre côté, que se diraient mes enfants ou mon mari s’ils arrivaient à ce moment-là ?”  Ses mains semblent aussi expertes pour retirer un soutien-gorge que pour le reste. Il le dégrafe en un clin d’œil, puis laisse retomber les lanières sur les côtés. Il reprend alors son œuvre, descend jusqu’en bas de mon dos, puis remonte tout aussi doucement.  Je ne pourrais dire combien de temps durent ses caresses, car je suis complètement transportée par son savoir-faire. En transe. Les yeux mi-clos, je crois que je pourrais même m’endormir. Mais je le vois bientôt se redresser à côté de moi.
— Huumm... c’est déjà fini ?
  Je le taquine d’une voix empâtée par le bien-être. Il sourit.
— Non, mais j’ai mal aux genoux.
  A ma grande surprise, il vient alors s’asseoir au-dessus de moi, une jambe de chaque côté de mes fesses. Il se tient légèrement surélevé, ce qui fait qu’il n’y a quasiment pas de contact, mais la position me perturbe.  “N’est-ce pas trop proche, pour une belle-mère et son gendre ?”
— C’est comme ça que tu masses d’habitude ?— Ça arrive, répond-il, parfaitement sérieux. Ça dépend des clientes.— C’est vrai ? C’est assez... intime, non ?— Je n’ai que peu de clientes, on est donc devenus plus intimes avec le temps.
  J’ai de plus en plus de mal à me convaincre que je me fais des idées. Ce qu’il me décrit a plus à voir avec le travail d’un gigolo qu’avec celui d’un masseur. Et quel salon embaucherait un jeune de son âge à temps très partiel ? Mes pensées vagabondent tandis qu’il reprend son œuvre.  Je ne tarde pourtant pas à en perdre le fil de nouveau, tellement ses caresses me transportent. Il me masse maintenant les bras autant que le dos, je suis de nouveau dans un état second.  Bientôt, un élément me ramène brusquement à la réalité. Tout à son travail, il a progressivement relâché sa position, ce qui fait qu’il est maintenant assis sur mes fesses. Cela ne me pose pas de problème en soi, mais je sens désormais nettement ce que je n’ai fait qu’apercevoir tout à l’heure : il a une érection.  Son sexe dressé est niché juste au creux de mes fesses. Je le sens même se balader le long de ma raie, selon s’il s’étend pour me masser le haut du dos ou s’il se détend pour me masser le bas. Et mes yeux ne m’ont pas menti : ce n’est pas un pénis, c’est une matraque !  Cette situation me trouble et me gêne atrocement. Ce qui se passe n’est pas tout à fait anodin, il est en train de ressentir une excitation sexuelle en caressant mon corps presque nu.
“Mais je suis sa belle-mère, et j’ai deux fois son âge !”  Pour ne rien arranger, ses doigts se font de plus en plus aventureux. Il me masse bientôt le devant des épaules, et plus seulement l’arrière. Ses mains descendent doucement, jusqu’à caresser la naissance de mes seins.“Va-t-il s’arrêter ? Faut-il que je l’arrête ?”  Je ne voudrais pas faire un scandale lié à une mauvaise compréhension de ce qui se passe, mais cette érection me perturbe. Surtout qu’il devient de plus en plus caressant, et de moins en moins massant.  Heureusement, ses mains stoppent leur course juste avant d’atteindre mes seins. Elles repassent sur mon dos, caressent jusqu’au creux de mes reins. Mais elles se dirigent ensuite sur mes flancs, puis sur mon ventre. Instinctivement, je me redresse légèrement, ce qui constitue une terrible erreur. Ainsi encouragé par cet abandon provisoire, Nicolas se fait plus aventureux. Ses mains glissent sur mon ventre, je sens ses doigts se rapprocher de mon pubis.“Jusqu’où va-t-il aller ? Que va-t-il faire ?”
  J’ai honte de l’admettre, mais je ne suis plus seulement gênée par la situation, je suis aussi... follement excitée ! Une étrange chaleur se répand lentement entre mes cuisses, et mes frissons ne sont désormais plus uniquement dus au bien-être de son massage.  “Mon dieu, j’ai l’impression d’être redevenue une adolescente ressentant ses premiers émois !”  Sauf que ce n’est pas le cas, ce ne devrait pas être le cas. J’ai certes une sexualité un peu en berne avec Marc, mais je suis en train d’être massée par mon gendre !  “Stop ! Je suis en train de me poser des questions liées à l’adultère, ce qui non seulement est moche, mais surtout ici totalement hors de propos. Il s’agit du petit ami de ma fille !”  Sauf que mes pensées en déshérence laissent le temps à Nicolas de poursuivre son œuvre. Ses doigts sont désormais à la frontière de ma culotte, mais ils n’en tiennent pas compte et se glissent légèrement dessous, entrant en contact avec mes premiers poils pubiens...Je veux l’arrêter, mais il est déjà ressorti. Sa main continue sa route, comme si de rien n’était.
  “Après tout, peut-être que c’est le cas. Combien de temps a duré ce contact ? Pas plus d’une seconde certainement. Un faux mouvement, voilà tout.”  Sauf qu’il a forcément senti mes poils, il a donc su qu’il était allé trop loin. Que le « jeu » était allé trop loin.   Mais il continue, reprenant ses caresses de plus belle. Il me masse un peu les épaules, puis ses mains repassent devant, du côté de mon torse. Elles descendent, comme tout à l’heure, jusqu’à effleurer le haut de mes seins... Sauf que cette fois, il ne s’arrête pas ! Il caresse doucement mes mamelons, ses doigts effleurent mes tétons. Ils sont bien durs et dressés, ce qui ne laisse aucun doute quant à l’émoi qui est le mien.“Et, si j’en crois la barre de fer logée dans le creux de mes fesses, le sien n’est pas moindre !”  Le temps que je réagisse, ses mains se sont refermées autour de mes seins, qu’il me presse tendrement. Je me redresse alors, sans doute plus brusquement que je ne l’aurais voulu, et le repousse un peu rudement.
— Qu’est-ce que tu fais ?— Je vous masse, répond-il en jouant les innocents.— Nicolas, je suis ta belle-mère...— Oh pardon Madame, n’y voyez rien de déplacé ! C’est juste qu’en général, les clientes préfèrent un massage total du buste. Mais ça n’a rien de... Sexuel.
  Je le regarde en fronçant les sourcils. Me prend-il vraiment pour une idiote ? Mais d’un autre côté, ne serait-ce pas plaisant de jouer le jeu avec lui ? De voir jusqu’où il pourrait aller, jusqu’où pourrait nous entraîner ce “jeu” ?
— D’accord, je suis désolée d’avoir réagi comme ça.
  Il me dévore du regard, et je mets un moment à me rendre compte qu’en me relevant, je lui ai totalement dévoilé ma poitrine désormais nue.
— Vous avez de très beaux seins, me dit-il, sans chercher à cacher qu’il les observe.
  Je rougis jusqu’aux oreilles, comme une adolescente.
— Merci.
  Il approche sa main, lentement, et je le laisse faire. Il attrape alors un de mes seins et commence à le malaxer avec tendresse. Il fait rouler le téton entre ses doigts, puis de son autre main il fait de même avec son jumeau. Il n’y a plus l’excuse du massage. Il n’y a plus d’excuse du tout. Mais j’adore ça...
— Ils sont énormes, souffle-t-il, apparemment hypnotisé par la masse de chair qu’il tient délicatement entre ses doigts. Et ils sont si doux...— Merci, je réponds dans un souffle.
  Je ne sais pas trop quoi faire. Une partie de moi souhaite tout arrêter, bien consciente que je suis déjà allé trop loin, tandis qu’une autre veut prolonger ce « jeu » jusqu’à son terme. Perdue entre les deux, je ne réagis pas, laissant Nicolas poursuivre son avantage.  Il commence alors à me caresser le téton avec son pouce, en faisant des cercles autour, puis en l’effleurant parfois. Bientôt, son index le rejoint et il le pince légèrement, mais avec tendresse. Il continue ainsi à jouer avec un moment. Mon entrejambe est trempé, et je dois me retenir pour ne pas soupirer d’aise.  J’ai presque réuni assez de forces pour lui dire de s’arrêter lorsqu’il approche soudainement son visage de ma poitrine et embrasse mon téton avec douceur. Une vague de frissons m’envahit de nouveau, ce qui me fait perdre la tête. Le temps que je me reprenne, il me tète déjà le sein droit, qu’il tient dans sa main, tout en malaxant le gauche. Je suis aux anges, et lui aussi.
  "Encore une minute. Je l’arrête dans une minute."
  Mais sa main gauche ne tarde pas à abandonner mon mamelon pour me caresser. D’abord le bras, puis l’épaule. Ses gestes sont doux, lents, contrôlés. Il ne semble pas si innocent et inexpérimenté que cela finalement. Bientôt, il me caresse le ventre, descend au-dessous de mon nombril. Je sais où il va, mais je ne sais pas si je dois l’arrêter.  "Oui, c’est déjà allé trop loin !" hurle une partie de mon esprit.  "Non, laisse-le juste encore un peu", rétorque l’autre. "Tu n’es plus à ça près, et ce ne sont que des attouchements. "
  Je jette un rapide coup d’œil sur la bosse qui déforme son short : elle n’a pas diminué, bien au contraire. Je suis si prude, si ignorante de toutes ces choses que je pensais que ma libido – déjà basse au départ – s’était envolée avec les années. Mais non, il fallait juste la solliciter de la bonne manière ! Moi qui n’ai jamais eu de telles pensées, je rêve maintenant de m’emparer de son sexe, que je devine à travers le tissu, et de faire tout plein de choses avec...  Je n’ai jamais compris qu’on puisse prendre du plaisir à prendre un sexe en bouche, et désormais j’en rêve. Je voudrais le sucer comme la dernière des traînées, rattraper toutes ces années durant lesquelles ma sexualité a été un encéphalogramme plat.
  “Mais qu’est-ce qui m’arrive ?”  Pendant que les pensées se bousculent dans ma tête, je suis trop lente à réagir et il me prend de vitesse : ses doigts atteignent déjà mon pubis. Il joue un peu avec les poils qu’il trouve là (je ne m’épile pas ici), puis il continue sa descente. Il effleure mon clitoris, ce qui me provoque un tel frisson que je ne peux retenir un gémissement.
— Arrête, lui dis-je enfin. Il ne faut pas...
  Mais ses doigts sont aux portes de mon vagin, son index en caresse l’entrée.
— Vous êtes trempée Catherine, je ne vais pas vous laisser comme ça.— Il ne faut pas...
  Mais il m’interrompt en m’embrassant fougueusement. Ses lèvres sont si douces contre les miennes... Je sens sa langue forcer mes lèvres, que j’entrouvre presque malgré moi. Elle s’introduit en moi, la mienne répond par réflexe. Son haleine est douce et agréable. Ce baiser me rend folle.  Son index pénètre soudain en moi, tandis que son pouce titille mon clitoris. La sensation est si intense que je ne contrôle plus rien. Ma main vient se loger dans ses cheveux, je l’attire à moi pour l’embrasser plus fougueusement encore. J’ai la sensation d’être folle amoureuse, comme une jeune fille qui découvrirait l’amour. Il s’agit pourtant de mon gendre, qui n’a pas la moitié de mon âge !  Je tente d’ailleurs de me raisonner en me disant qu’il pourrait être mon fils, puisqu’ils ont justement le même âge, mais en imaginant Justin à sa place mon excitation redouble.
  "Alors là je deviens cinglée ! Je suis en train de fantasmer sur mon propre fils !"
  Mais je ne peux plus réfléchir. Je fais même des mouvements de bassin pour accompagner ses caresses. Il me rend complètement dingue. La chaleur dans mon bas ventre devient brûlante, je sens déjà monter l’orgasme. Il le sent lui aussi, son doigt s’active plus fort en moi.  Malgré moi, j’abandonne ses lèvres pour gémir de plaisir. La sensation est si forte que des larmes commencent à me venir aux yeux. Il me doigte maintenant avec vigueur, tandis que son autre main me tient toujours un nichon, qu’il presse avec tendresse en jouant avec le téton. Le bonheur est si intense que mes premiers cris se confondent avec des pleurs.   Lorsque l’orgasme commence vraiment, je suis tellement balayée par le plaisir que sa main doit lâcher mon sein pour me maintenir en place. Je me démène en tous sens, hurlant ma jouissance comme une possédée. Je sens même ma mouille inonder sa main, alors que je suis d’ordinaire assez sèche.
  "Mais qu’a-t-il fait de moi ?"
  Il me faut près d’une minute pour me calmer, et je constate en reprenant mes esprits que Nicolas me regarde avec gourmandise. Sans un mot, il retire son short. Son sexe dressé est impressionnant, plus grand de trois ou quatre centimètres que celui de Marc. Je ne me l’avoue qu’à demi-mot, mais je rêve de le prendre en moi...
— Qu’est-ce que tu fais ?
  Je lui pose la question naïvement, mais avec sincérité.
— Le jeu est déjà allé bien trop loin, il est hors de question d’en faire plus. — Il n’y a pas que vous qui allez prendre du plaisir quand même ? Répond-il.
  Je l’observe un instant, interdite. Il n’a pas tort, il serait un peu injuste de le laisser comme ça après ce qu’il vient de me faire. D’un autre côté, j’ai maintenant suffisamment repris mes esprits pour me rendre compte de ce que nous venons de faire.
— On ne peut pas...
  Je rougis jusqu’aux oreilles, ce qui le fait exploser de rire.
— Quoi, qu’est-ce qu’on ne peut pas faire maintenant ? Vous croyez qu’au point où on en est, on peut encore s’encombrer de la morale ?— Tu es mon gendre !
  Mais j’insiste sans conviction, il le sait bien. Il rit de nouveau.
— Oui, et votre gendre vient de vous offrir le plus bel orgasme de votre vie. Vous ne croyez pas que vous pouvez lui rendre la pareille ?
  J’hésite une seconde, mais vu ce qui vient se produire la réponse qu’il convient de donner est évidente.
— D’accord, mais pas de pénétration, hein ? Lui dis-je néanmoins.
  Il paraît déçu, mais se reprend vite.
— Faites comme vous voulez : branlez-moi ou sucez-moi, mais faites vite. Je n’en peux plus, je vais exploser !
  Docile et décidée à en finir au plus vite, je prends son sexe dans ma main et commence à le masturber doucement. De ma main gauche, j’attrape ses testicules et je les malaxe tendrement. Bientôt, il penche la tête en arrière et respire plus fort. J’adore le regarder ainsi, je le trouve très beau. Et j’adore lui faire du bien.
  "Comme il m’en a fait."
  Mes pensées divaguent. Pourrions-nous continuer ? Je n’ai jamais eu la moindre pensée déplacée, je n’ai jamais envisagé de tromper mon mari, et voilà que je rêve de le faire avec mon gendre. Mais que suis-je devenue ?
  "En même temps, cette relation est trop malsaine, trop dangereuse. C’est bien plus que mon mari que je pourrai perdre dans cette affaire. Hors de question de continuer."
  Mais cet orgasme qu’il m’a donné, jamais encore je n’avais ressenti cela ! Qu’il soit très doué ou que la situation m’ait excitée au-delà du raisonnable, c’est la vérité. Jamais je n’avais pris autant de plaisir. Mais alors, pourquoi s’arrêter ?  Alors que je me pose un million de questions, Nicolas glisse une main derrière ma tête et me caresse doucement les cheveux.  "Qu’il est mignon !" ne puis-je m’empêcher de penser.  Mais je me trompe sur ses intentions.
— Sucez-moi, me supplie-t-il alors.
  Il accompagne sa demande d’une légère pression à l’arrière du crâne, pour m’inciter à me pencher vers son sexe.
  "Pas si mignon finalement !"
  Là encore, décidée à en finir au plus vite, je m’exécute docilement. Je me penche en direction de son pénis, que je prends une seconde pour observer au plus près. Au-delà de sa taille, je le trouve... beau. Moi qui n’ai jamais aimé cela, j’ai soudain envie de le prendre en bouche.  Nicolas n’est d’ailleurs pas en reste, il m’appuie encore légèrement sur l’arrière de la tête.
— S’il vous plait Catherine, sucez-moi... soupire-t-il.
  Je m’exécute enfin. J’embrasse d’abord son gland, trempé de liquide séminal, puis je le suçote avec tendresse. Son goût est plus fort que celui de Marc, mais meilleur aussi. Sans doute est-ce dû au fait que ce n’est qu’un adolescent. J’avale le lubrifiant qu’il sécrète avec plaisir, presque avec gourmandise. Non seulement il n’est pas mauvais, mais surtout cela m’excite de jouer les salopes. C’est la première fois de ma vie que cela m’arrive.  Là encore, Nicolas m’arrache à mes rêveries d’une nouvelle pression sur le crâne. Il n’est plus d’humeur tendre et joueuse, il veut en finir. Le geste est brutal, je me retrouve soudainement avec près d’une vingtaine de centimètres de queue dans la bouche. Il m’attrape une bonne touffe de cheveux, puis il m’insuffle lui-même son rythme. Sans tendresse, mais sans me faire mal. Il me fait monter et descendre sur sa verge avec vigueur.
— Putain, c’est trop bon, lâche-t-il. Allez-y Catherine, sucez-moi bien !
  J’imagine que ces propos graveleux lui font du bien, l’aident à s’exciter encore d’avantage. D’ailleurs, moi aussi ils m’excitent. Je rêve de m’avilir de la pire des manières, de lui dire que je suis sa pute, sa chienne, qu’il peut faire ce qu’il veut de moi. Heureusement, j’ai la bouche trop pleine de sa virilité pour parler.  Ce traitement ne tarde pas à l’emmener au point de rupture. Sa respiration s’accélère, les mouvements qu’il m’impose aussi. Il commence à me faire mal en me tirant les cheveux de plus en plus fort, mais il change bientôt de tactique. Maintenant, il me maintient au contraire le visage en place et m’impose ses mouvements de bassin. Il me baise la bouche, je suis plus que jamais son jouet, son vide-couilles.  Il gémit de plus en plus fort, je sens qu’il arrive. Soumise, je le laisse faire à son rythme, me contentant de bien serrer les lèvres pour lui procurer un maximum de plaisir.
— C’est trop bon Catherine, je viens ! Hurle-t-il.
  Je songe un instant que Justin a pu rentrer, et qu’il est donc risqué de crier ainsi, mais un jet de sperme bien chaud jaillit dans ma bouche, coupant court à mes pensées.
— Bouffez tout, vieille salope ! Ajoute-t-il avec poésie.
  Un deuxième jet arrive, visqueux et aussi abondant que le premier. Je ne suis pas loin d’avoir déjà la bouche pleine, mais je refuse de les avaler, souhaitant lui montrer à quel point je suis docile et soumise.
— Ah... grogne-t-il tandis que les derniers jets arrivent, de moins en moins abondants. C’est trop bon Catherine, vous une vraie chienne en chaleur ! Putain ce que c’est bon !
  Lorsqu’il a manifestement fini, que son sexe a cessé de se contracter et que le flot de sperme s’est tari, je lui adresse un grand sourire puis ouvre la bouche pour lui montrer tout ce que j’ai recueilli.  Il me caresse alors la joue, dans un geste d’une tendresse retrouvée, bien que nettement paternaliste.
— Merci Catherine, vous pouvez tout avaler maintenant.
  Toujours aussi docile, je m’exécute. Son sperme n’est pas mauvais, bien que la quantité rende tout de même l’exercice écœurant.
— Maintenant, nettoyez-moi.
  Il me considère manifestement comme sa chose, une hiérarchie inversée s’est mise en place entre nous. Je suis sa belle-mère, mais il me domine nettement. Et je crois bien qu’au fond, j’aime ça autant que lui. Je m’avance donc pour lécher son gland, puis toute la longueur de son sexe. Hors de question de laisser la moindre goutte, je veux qu’il soit fier de moi !  Il se rhabille alors sans un mot, ce qui me laisse un peu perdue. Je l’imite en réfléchissant à toute allure. Le charme commence à se rompre, je reprends doucement mon rôle d’adulte. Toujours dans le mouvement de ce qui venait de se passer, j’attendais qu’il prenne la décision de ce qui suivrait à ma place.
  "Mais bon dieu, à quoi tu joues Catherine ? C’est toi l’adulte !"
  L’horreur de ce qui vient de se passer me submerge alors d’un coup.
  "Mais qu’ai-je fait ? Bien sûr qu’il faut mettre un terme à cette folie "
  Alors que je rassemble des forces pour dire à Nicolas que, malgré ce qui vient de se passer, il faut que ce soit la seule et unique fois, il se retourne vers moi et me sourit. Ma résolution s’effondre alors d’un seul coup.  Il s’approche de moi et m’embrasse tendrement sur les lèvres.  "Dis-lui que c’est fini !" hurle la voix dans ma tête.  Mais je reste silencieuse.
— A bientôt Catherine ! Lance-t-il en s’éloignant.
  Je m’effondre alors sur le transat, en larmes. Anéantie.###Justin###
  Bien que Nico soit parti depuis cinq bonnes minutes, je suis incapable de quitter ma mère des yeux. Bon ok, c’est en partie parce qu’elle ne remet pas son soutien-gorge immédiatement - ce qui me laisse encore quelques secondes supplémentaires pour la mater – mais pas seulement. Je suis réellement ébranlé, sous le choc. Mais qu’est-ce qui se passe ? Tout le monde est-il devenu fou ?  Dans le même temps, la résolution grandit en moi : ça fait une semaine que je subis toutes les humiliations possibles et imaginables, dans l’espoir d’obtenir quelques miettes, alors que d’autres se contentent de se servir et obtiennent tout. Et si c’était ça le test, au final ? Peut-être que je devrais changer d’angle d’attaque et commencer à prendre ce que je veux !
  Aussitôt cette résolution prise, les idées commencent à se bousculer dans ma tête. Les pièces du puzzle s’assemblent, qui me permettront de réaliser mes fantasmes les plus inavouables. Jusqu’au dernier.  J’en suis encore loin, mais les choses changeront vite, je m’en fais la promesse.
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