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en vacance avec mes deux soeurs

Chapitre 3

Inceste
suite...et fin...plutôt surprenante... J’espère que vous apprécierez...dites moi ce que vous en pensez...

Le reste de la journée s’était passé normalement, j’étais même surpris de voir à quel point Lili semblait réagir comme si rien ne s’était passé. Après la sortie familiale du soir, j’avais essayé de croiser son regard, trouver un sourire complice, un clin d’oeil, mais elle ne laissait rien entrevoir, c’était très déstabilisant. J’essayais de trouver un moment où je pourrais lui en reparler seul à seul, mais elle semblait toujours s’arranger pour être avec du monde. Je comprenais plus tard les raisons qui expliquaient ce comportement.
Il était tard dans la nuit lorsque j’entendis frapper à ma porte. A ce moment là, mon cerveau fonctionna à 200 à l’heure: j’imaginais que Lili en voulait encore, et profitait de la nuit pour assouvir avec moi les positions les plus osées, et les plus cochonnes. J’imaginais donc ma soeur arriver en nuisette affriolante, et me supplier de baisser mon bas de pyjama pour qu’elle puisse enfin venir me sucer...mais en ouvrant la porte, la surprise fut de taille, parce c’était Camille qui était derrière.
— Camille?...Mais qu’est ce qu’il se passe?...Tu as vu l’heure qu’il est?...— Oui, je sais, désolé de te déranger si tardivement Benjamin... me répondit-elle. Elle semblait terriblement gênée, son visage rouge pivoine n’avait pas pris cette couleur depuis l’épisode de la piscine avec Lili. Le silence s’éternisait.— Et bien...dis moi...qu’est-ce qu’il t’amène? T’es toute rouge, qu’est ce qu’il se passe?— Et bien, disons que ce n’est pas facile à expliquer...me répondit ma petite soeur. En fait, pour être franche et directe, Lili m’a expliqué ce que vous avez fait cet après midi à la plage...
La salope!!...Lili avait mouchardé à Camille...Sur le coup, je pensais qu’elle n’avait fait ca que pour me mettre mal à l’aise, même si je ne comprenais pas, en l’occurrence, ce que ca changeait pour Camille, ni pourquoi elle était là.
— Oui..euh...bon, tu sais...je ne sais pas ce qu’elle est allée te raconter mais...— ...Non, mais t’inquiète, pas de soucis, je ne veux pas te mettre mal à l’aise et encore moins vous juger...Je peux même te dire que je comprend tout à fait. Après tout, je serais mal placée pour dire quoi que ce soit: Lili m’a aussi dit que tu as vu notre petite séance lesbienne dans la piscine...enfin nos deux séances... — Camille, c’est un peu gênant cette conversation: dis moi où tu veux en venir...là, je ne te suis plus trop... -En fait, c’est simple. Tu sais que les garçons, c’est pas mon fort, je n’ai jamais flirté au lycée, ni au collège d’ailleurs...et puis là, bam! Je tombe sur Nicolas, et ce mec, il est parfait...et je sens que ca peut le faire vraiment entre nous...Je sens qu’il est peut être l’homme de ma vie, tu comprend, alors je veux être parfaite, je veux tout apprendre, tout savoir sur les questions du sexe...ca serait dommage que ca vienne tout gacher, tu crois pas? -...euh...oui...,...enfin non..., rhô, j’en sais rien en fait, tu réponds pas à la question là, qu’est ce que tu veux exactement?!— J’en ai parlé à Lili au début, parce qu’elle, elle en a connu plein des garcons, et elle m’a proposé son aide, mais je me suis vite rendu compte que ce coté lesbien, ca me mettait super mal à l’aise tu vois... -Moui......Ca deviens bizarre là...J’ai l’impression que ce n’est plus à ma petite soeur calme et fragile que je parle là...mais vas y, continues... -Ben la suite, tu la vois venir: je veux que tu m’apprennes ce qu’il faut savoir pour donner du plaisir à un garcon...et comme tu es un garcon, et d’après ce que m’as dit Lili, tu sais très bien te servir de ton membre...je me disais que tu pourrais m’initier...Apparemment, tu es loin d’être écoeuré à l’idée de te taper tes soeurs...je me trompe?...
Voilà pourquoi Lil m’évitait depuis notre séance cochonne de la plage: elle me réservait sa petite vengeance personnelle, et voulait pas laisser quoique se soit en m’en parlant avant que Camille ne vienne me voir. Elle savait que je tenais à ce que l’innocence de Camille soit préservée et elle s’arrangeait pour que finalement, ca soit moi qui vienne violer cette pureté...Quelle perverse!!!
Je ne voulais pas me lancer dans ma théorie que je savais bancale en expliquant à Camille que j’avais voulu la protéger de Lili. J’étais super mal à l’aise...
— Désolé, c’est non Camille. Hors de question. Et tu peux tout aller raconter à qui tu veux, tout chantage ne me fera pas changer d’avis. Et puis, si ton copain te crois vierge, et qu’il voit que ce n’est pas le cas, ca lui fera bizarre aussi. — Tu as un peu raison: et puis, la première fois, ca a un coté magique que l’on partage avec son partenaire...Laisse moi te sucer alors, et donne moi des conseils! Je t’en prie!
Tout en parlant, elle avait fait glisser mon short et pris mon sexe en main. J’avoue que je n’avais pas été très réactif et que l’idée de me faire sucer par Camille m’excitait aussi, mais je ne voulais pas faire cette erreur.
-En plus, elle est super grosse! J’ai vraiment envie de la prendre en bouche, la glisser au fond de ma gorge...et que tu me guide...
-Non, rien du tout Camille, retourne te coucher...
Ma réaction avait été rapide. Je remis mon short et la poussait vers la porte. Elle finit par sortir, visiblement très décue. Mais je savais qu’elle me remercierait un jour. L’acte incestueux était un truc de dépravés...j’avais basculé, Lili aussi, mais je voulais que Camille garde cette pureté.
Les jours passèrent, les choses semblaient redevenir normales. J’attendais juste d’avoir une discussion avec Lili au sujet des derniers évènements, mais en un sens, j’appréhendais aussi ce moment.
Un matin, au petit déjeuner, il fut prévu que les parents partent se promener à pied, et que les enfants aillent à la plage. Au moment de partir, Camille préféra rester seule à la maison et se reposer. J’étais finalement content de me retrouver seul avec Lili. J’avais des choses à lui dire! Quelle saletée perverse!...
Lili et moi avions décidé de rejoindre la plage à pied. Cela faisait 10 bonnes minutes que nous marchions quand je me rendis compte que je n’avais pas pris mes lunettes de soleil et la crème solaire. Je laissais donc Lili installer nos linges et je revins à la maison. Pour atteindre ma chambre et y récupérer mes lunettes de soleil, je devais traverser toute le couloir. Un bruit bizarre éveilla mon attention. Il provenait de la chambre de mes parents. Je m’approchais discrètement de l’entrebâillement de la porte, et ce que je vis était à deux doigts de me faire tomber dans les pommes. Camille était dans la chambre de mes parents, seins nus, et je ne compris pas tout de suite ce qu’il se passait car de mon poste d’observation, je n’avais qu’une vue partielle sur la chambre...Tout se révéla d’un seul coup, lorsque je penchais ma tête pour mieux voir et que j’entendis une voix masculine:
-Voilà, c’est exactement comme ca...tu vois, t’as tout compris, si tu fais bien ces petits coups de langue sur la base du gland, tu mets dans le mille à tous les coups...
Son et image, j’allais m’évanouir. Dans une position obsène en petit short, seins nus et le boddie lui tombant sur la chute de reins, Camille était en train de sucer mon père, qui en grand pédagogue, lui donnait toutes les instructions nécessaires. Il avait posé ses mains sur la tête de Camille et imprimait par moment des allers retour dans la bouche de sa fille, par des petits coups de bassins. Ces mouvements surprenaient parfois Camille qui se retrouvait avec toute la bite dans mon père dans sa bouche, jusqu’au plus profond de sa gorge, et semblait parfois étouffer...mais se reprenait vite.
-J’ai bien fait de dire à ta mère que j’avais mal au crâne, avec le tour qu’elle va faire avec les Dupond, on est tranquille un moment. Et toi, tu as bien fais de me demander de l’aide, c’est un vrai plaisir que de t’aider ma petite fille...
Les bruits de suscions furent la seule réponse de Camille. Ma petite soeur semblait y prendre beaucoup de plaisir, et par moment elle arrêtait de pomper mon père: tout le masturbant, elle venait lui lécher les couilles d’une langue que je devinais déjà très experte. A un moment, mon père se leva, et allongea Camille, qui sembla prendre peur. Mais d’un geste rassurant, mon père lui fit comprendre qu’elle ne risquait rien. Dans cette position, je ne pu que constater à quel point Camille était jolie allongée nue sur un lit, le ventre plat, les courbes émouvantes et parfaitement dessinées... les seins ronds,gonflés de désir. Mon père avait du le remarquer aussi puisqu’il se mit à caresser ses pommes d’amours tout en faisant jouer sa langue sur la vulve de Camille. Il trouva rapidement le clitoris de ma soeur qui frémit et émis un cri de jouissance. Le petit abricot était pris d’assault et cette découvert mettait Camille dans tous ses états. Mon père ne glissa pas son doigt dans la fente de sa fille, ni même son pénis en érection: il semblait garder quelques principes. Puis il remontait à hauteur de sa poitrine, et titilla les tétons de Camille, promenant sa langue sur toute la surface de ses seins: Camille gémit de nouveau.
-T’inquiète pas Camille, je ne vais pas te prendre, ca serait aller trop loin, mais tu as un corps de rêve, j’aurais été bien bête de ne pas en profiter: après tout, je te rend service, tu me rend la pareille!Remarques que ce n’est pas l’envie qui manque, le prend pas mal, mais tu es quand même une sacrée petite salope, et je ne suis qu’un homme: une autre femme, ca fait longtemps que je l’aurais prise en levrette...Je me retiens là...Allez, reprends où tu en était... lui dit-il en s’asseyant de nouveau, et posant ses mains sur la tête de Camille pour lui faire comprendre qu’elle devrait quand même terminer de le sucer.
Camille ne se fit pas prier et semblait y prendre beaucoup de plaisir. Puis elle se remis à pomper mon père, aspirant le gland et faisant entrer tout son sexe dans sa bouche. Je regrettais d’avoir refusé mon « aide » à Camille, parce qu’elle semblait être passée experte en fellation. Au bout d’un moment, mon père finit par lui jouir au fond de la gorge. Sous l’effet de la surprise, deux ou trois giclées de sperme tombèrent malgré tout sur le visage et dans les cheveux de Camille qui ne se fit pas priver pour récupérer un maximum du liquide et l’avaler goulument.
Autant sonné qu’excité, je reparti en direction de la plage...
Mais je décidais de ne pas rejoindre Lili à la plage, j’avais trop honte, et j’étais complétement perdu. Dans quelle famille de dépravés étais-je tombé? Mes deux soeurs qui se caressent dans la piscine, ma petite soeur qui me supplie de la laisser me sucer, mon père qui apprend à sa propre fille à faire une fellation, et puis quoi après? Une partouze familiale?!... J’étais choqué et je cogitais à 1000 à l’heure. J’avais besoin de faire le point.
Après une balade d’une bonne heure, je finis par comprendre que j’étais un sacré hypocrite. Parce que je blâmais ma famille alors que mon comportement était le même que le leur. Après tout, j’avais baisé Lili sur la plage, et je m’étais trouvé comme pauvre excuse les effets de l’alcool, et une hypothétique punition, mais la vérité, c’est que j’avais rêvé de posséder Lili, par tous les orifices, de lui faire avaler ma semence, de copuler avec elle, j’étais donc au moins aussi pervers qu’elle. Une espèce de Dr Jekyll et Mister Hyde, une bête qui se tape sa soeur sur la plage, et qui par moment, tente de protéger sa petite soeur, respecter le peu de pureté qui demeurait dans cette famille. Et voilà que cette pureté était toute aussi pervertie, sucant goulument mon père, qui ne demandait que ca, et qui était à deux doigts de pénétrer sa propre fille...
Evidemment, au repas du soir, j’eus droit à un sermon de la part de Lili que j’avais abandonnée à la plage, appuyée par mes parents...Peut-être avais-je même préféré ne pas rejoindre ma soeur à la plage, de peur d’être tenté de nouveau de lui faire son affaire... Je n’eus même pas la moindre défense: que dire? « Ben quoi maman? J’ai été choqué de voir Camille sucer papa, et du coup, j’ai préféré ne pas aller me taper Camille à la plage... »...la pauvre, elle aurait sauté par la fenêtre...après avoir basculé dans la folie.
Je partis me coucher directement, et tout en continuant de cogiter, je finis par me dire que foutu pour foutu, je devais arrêter de me mentir. Je voulais me taper Lili, j’ai l’avais déjà fait, et je désirais que ca recommence. C’est pervers, mais c’est un fait. Lili le voulait aussi...alors il fallait arrêter de réfléchir, et vivre au jour le jour...Après tout, avec ce que j’avais vu aujourd’hui, ca devait être dans les gênes... Si l’occasion se représentait, je continuerais à me farcir Lili, rien à faire de la morale, j’avais un grain, nous avions tous un grain, il fallait s’y faire...
Evidemment, quand on se couche a 21h, le lendemain matin, on est réveillé assez tôt. Pour ma part, il était à peine 7 heures passées quand j’ouvris les yeux. Impossible de me rendormir, je décidais donc de sortir calmement de la chambre et de partir faire des longueurs dans la piscine.
La fraicheur de l’eau eu un effet tonifiant qui me fis sortir radicalement de mon coaltar matinale. J’enchainais les allers retours dans notre piscine, crawl, brasse, brasse coulée, je me sentais plein d’énergie. J’entamais ensuite plusieurs longueurs en apnée. Au bout d’un moment, en remontant à la surface, j’entendis du bruit au salon. De la porte fenêtre qui donnait sur la piscine, j’entendis une petite voix féminine lointaine que je ne reconnu pas tout de suite. J’imaginais voir arriver Lili, aguicheuse à souhait, et je commençais déjà à me demander si elle avait envie qu’on fasse l’amour de nouveau, après tout, depuis l’épisode de la plage, nous n’en avions pas reparlé elle et moi. Et comme j’étais certain qu’elle voudrais le faire, je me demandais aussi si elle préférerait que je la prenne dans la piscine, ou plutot que l’on retourne dans sa chambre, après tout, tout le monde était à la maison... Je me voyais déjà, l’aggripant par derrière sur le rebord de la piscine, une main sur sa chute de reins, et l’autre sur l’un de ses gros seins...

Rêvant de mes délires incestueux enfin assumés, je redescendis directement sur terre en voyant débarquer Camille. Le souvenir de la fellation qu’elle avait faite à mon père avait quand même maintenu mon état d’excitation. Camille était en bikini, et semblait vouloir venir nager.

« Quelle heure est-il? Tu es bien matinale...lui dis-je, ne sachant pas trop quoi dire, encore perdu dans mes pensées.Je peux dire pareil pour toi...Il est 7h20. En fait, ca fait 15 minutes que je te regarde nager. Je ne dormais plus, et je t’ai entendu descendre.Tu veux nager aussi? Je te laisse la place si tu veux...Eh, c’est bon, je vais pas te manger...Y’a de la place pour deux dans cette piscine, non?...m’a-t-elle répondu, tout en plongeant dans l’eau.
Je repris mes longueurs, l’air de rien. Elle me regardait depuis ¼ d’heure? A quoi pouvait elle bien penser?...Je n’insistais pas et je continuais à nager.Camille nageait aussi dans son coin, mais elle ne semblait pas être tout à fait motivée. Elle s’arrêta subitement et vint s’accouder sur le bord de la piscine, restant dans l’eau. Elle n’arrêtait pas de m’observer. L’air de rien, je continuais mes allers retour dans l’eau tout en l’observant moi aussi par moment.
Je ne remarquais par alors tout de suite que Camille venait d’enlever le haut de son bikini, et s’arrangeait pour que le niveau de l’eau lui arrive juste au niveau des têtons. Les petites vagues de la piscine révélaient pas moment les deux auréoles rosées, qui semblaient déjà durcir. Je mis cela sur le compte de la fraicheur de l’eau. Le temps passait. Camille enleva alors le bas de son maillot de bain, et pour bien s’assurer que je le remarque, elle le posa juste à coté d’elle, sur le rebord de la piscine. Elle du remarquer que cette nouvelles tenue légère me surprenait un peu.
- « Ben quoi? On est chez nous non? Quel mal je fais à me mettre à l’aise?... »
Là dessus, elle vint s’asseoir sur le rebord de la piscine, juste à coté de l’échelle.
Je préférais ne rien répondre, mais il est clair que Camille me faisait de l’effet. Je pouvais voir son petit abricot épilé en passant à sa hauteur, et je commençais à avoir très chaud, malgré la fraicheur de l’eau.Elle avait des courbes délicates, des petites fesses musclées, un ventre plat qui mettait parfaitement en valeur sa jolie poitrine. Ses seins pointaient et semblaient m’inviter à une séance de massage très particulière. Je n’en pouvais plus, j’en avais marre de passer pour un con, d’autant plus que Camille n’était pas la sainte nitouche que je m’imaginais, il n’y avait qu’à voir la manière dont cela s’était passé hier, et la manière dont elle m’allumait en ce moment. J’avais une solide érection dans le maillot de bain, et je voulais que Camille le sache.
Je me dirigeais donc vers l’échelle de la piscine, pour en sortir à l’endroit exact où se situait ma soeur, en tenue d’Eve. Je montais échelon par échelon, avec la grosse bosse que mon maillot de bain moulant mettait bien en valeur. La suite se passa comme au ralenti. Au moment où j’achevais de sortir de la piscine, Camille se rapprocha de moi tendit sa main qu’elle posa sur la bosse formée par mon sexe en érection. Nos regards se croisèrent alors, et je lus dans les yeux de Camille, un mélange de supplication, et de gourmandise. Une sorte de complicité fraternelle se créa en quelques instants.
Alors que je finissais de sortir de l’eau, la main de Camille était restée sur mon sexe, et comme je demeurais alors immobile, debout devant elle, Camille se mit à genou devant moi, baissa mon short de bain, et prit mon sexe dans sa bouche. Elle aspira mon gland, puis pris toute ma queue dans sa bouche, jusqu’au fond de sa gorge: j’avais un sentiment de déjà vu, mais pas de déjà vécu!
Elle n’utilisait pas ses mains, seule sa bouche et sa tête faisaient les mouvements d’aller retour. Puis ses mains vinrent masser mes couilles pendant qu’elle poursuivait ses caresses avec sa bouche. A ce rythme, je ne tiendrais pas longtemps!Camille prit ensuite alors mon sexe enfin dans sa main, et le léchait sur toute sa longueur. Comme elle l’avait fait avec papa hier après midi, ma soeur me lécha les couilles, l’une après l’autre, et pris tout son temps pour terminer cette toilette hors du commun. Elle repris alors sa fellation en me sucant le gland, avec des petits coups de langue doux et délicat. Toute la longueur de la langue râpeuse de Camille caressait mon pénis, et par moment, sa bouche formait un anneau qui encerclait mon gland, dans une succion délirante.
Jamais personne ne m’avait aussi bien sucé, pas même Lili, même s’il fallait reconnaître qu’une fellation aquatique est moins aisée.L’excitation était encore plus intense, parce que j’imaginais ma petite soeur comme la pureté même, l’intello, la fille sage, et le fait de commettre un tel acte immoral avec elle, c’était comme violer un temple sacré, aller contre toutes les règles de bien séances, bref, d’un degré d’excitation extrême.
Camille avait beaucoup progressé depuis que je l’avais observée, et j’imaginais qu’après avoir quitté la maison hier, les cours que lui avaient prodigués mon père n’en étaient pas restés là. J’étais persuadé qu’il n’avait pas du s’ennuyer, et avec eu l’occasion de faire boire à sa chère fille, une bonne quantité de sperme, à travers 2 ou 3 fellations au moins. Et Camille avait du y prendre goût et adorait désormais venir récolter et boire les gorgées de spermes dès qu’elle pouvait en trouver.

Concentré et les yeux fermé devant ma soeur, j’essayais de retenir le moment fatidique où tout s’arrêterait et où à mon tour, je remplirais la gorge de Camille. Je n’en fus donc que plus surpris lors que le ressentis une langue me lécher le cou et des lèvres se refermer dans un baiser des plus sensuels. Sans avoir rien dit, Lili, toute nue, nous avait rejoins et espérait bien participer à notre petite fête.Je contemplais donc ses seins, et ses formes plus généreuses, mais tellement désirables. Ca m’aurait donné la gaule, si ca n’était pas déjà le cas et que mon sexe n’était pas déjà pris en charge par Camille qui semblait se moquer totalement de la présence de sa soeur. Lili m’embrassa goulument, puis s’agenouilla à coté de Camille, pour tenter d’avoir accès à mes sacs.
L’effet n’était plus le même, parce que voir ses deux frangines s’affairer à 4 mains et deux langues sur mon pénis fut un véritable supplice et le plaisir était très difficile à contenir. Je finis pas arroser le visage des deux frangines: le visage d’ange de Lili à cet instant précis restera gravé dans ma mémoire: elle avait ce regard de séductrice, plein de feu, et ces yeux bleus azur mettaient en valeur ses cheveux blonds gauffrés : une vraie déesse. Le reste du portrait? Des gouttes de spermes parsemées dans ses cheveux et sur son visage, ses joues, ses tâches de rousseurs, semblaient souiller cette beauté naturelle, mais ne la rendaient que plus excitante. Bizarrement, il me semblait en avoir mis autant sur le visage de ma petite soeur, mais tout le sperme qui avait giclé sur ses joues avait déjà été récolté et avalé par Camille.
Je dois bien admettre qu’entre le moment où Camille était arrivée et celui où j’avais lâché la purée, il n’avait pas du se passer plus de 2 minutes...J’étais un peu honteux, et je voulais quand même que tout cela dure. Ca allait donc continuer, il le fallait. C’est alors que j’eus un bref instant de lucidité: en fait, ce fut le seul instant de lucidité de ces minutes passées et à venir, puisque je finis par dire qu’il était préférable de continuer dans la chambre de l’un de nous trois, car si on se faisait capter à poil, en train de se léchouiller, de se sucer...voire pire (mais ca, je ne le dis pas), il pourrait y avoir des problèmes...
Nous sommes donc rentré à l’intérieur, et en entendant les bruits de gémissements de ma mère à travers la porte de la chambre de nos parents, je pus en conclure que ce matin, ca serait baise city à la maison.
Une fois arrivés à l’étage (la chambre des parents étant au rez de chaussé, heureusement, sinon il nous aurait été très difficile d’être parfaitement silencieux) notre petit jeu incestueux pu reprendre.J’avais lâché la purée dehors, mais une fois dans la chambre, je me sentais déjà prêt à remettre ca, Deux femmes pour moi, qui plus est, mes deux soeurs, avec chacune une corps de rêve...quel plaisir!
En entrant dans la chambre, je n’arrivais pas à réaliser ce qui était sur le point de se passer, et ma machine à cogiter se remit en route instinctivement.
« Eh, les filles, ca vous fait pas bizarre quand même?...Je veux dire, on est frères et soeurs, et on est sur le point de... »...
Je n’eus même pas le temps de terminer ma phrase. Pour éviter que je commence à tergiverser, Lili qui me connaissait bien, me pris les lèvres, et me fit un long baiser qui réveilla cette forte chaleur dans mon ventre. Le contact de ses gros seins sur mes pectoraux termina le travail et en quelques secondes, mon petit soldat, que je croyais à terre pour un petit moment, se redressa et ce, malgré l’effort qu’il venait d’accomplir sur le visage de mes soeurs.
Je reprenais donc les commandes, et je pris les seins de Lili dans mes deux mains, tout en continuant à frotter ma langue contre la sienne dans sa bouche. Je me concentrais ensuite sur mes caresses en m’appliquant à bien exciter ses têtons, éveillant un désir qui semblait déjà bien présent. Ma langue pris le relai, et les pointes roses de Lili se gonflaient, comme un fruit bien mur, prêt à être cueilli. J’allongeais Lili sur le lit, et j’enfouissais ma tête au centre de sa poitrine, léchant le creux de ses seins, appuyant et ramenant chacune de ses deux collines à hauteur de mes oreilles...Décidément, les seins de ma soeur recouvraient mon visage: ils étaient énormes. Alors que je m’allongeais enfin, Lili qui avait bien compris à quel point ses seins m’excitaient, entrepris une branlette espagnole.
Pendant ce temps, Camille qui avait tout observé jusque là, profita de ma position allongée pour me chevaucher, et approcher son petit abricot juste à hauteur de ma bouche. Comprenant le message, je me mis à lécher la chatte de Camille qui semblait y prendre beaucoup de plaisir. A nouveau, elle se fiait à son expérience paternelle d’hier, et sous l’effet de mes coups de langues, elle semblait déjà mettre des petits coups de bassins, sans trop s’en rendre compte. Ma langue léchait le clitoris de Camille, puis je m’attaquais à ses petites lèvres délicates...Camille haletait sous mes caresses, et j’enfouis alors ma langue du mieux que je pus au fond de son vagin tout en caressant son clitoris avec mes doigts. Mon autre main vint prendre possession des seins de Camille, qui bien que plus petits, en remplissaient entièrement la paume. Camille finit par se cambrer en échappant un petit cri: ma soeur venait de jouir violemment. Pendant ce temps, Lili me sucait, et semblait ne pas trop s’occuper de ce qu’il se passait entre moi et Camille. Elle mettait tout son art dans cette fellation, et je du vite ralentir la frénésie de Lili pour éviter de juter trop vite. Heureusement que j’avais déchargé déjà une fois, sinon, elle en aurait déjà plein la bouche. Il ne fallait quand même pas que Lili me suce trop longtemps, sinon, je finirais malgré tout par lâcher la purée.
Lili le compris, et revint vers Camille et moi. Elle se mis alors à embrasser Camille de manière très sensuelle. Comme libérée par ce premier orgasme, Camille semblait moins réticente à ces gestes lesbiens. Lili en profita pour allonger Camille, et à son tour, entrepris de lui donner tout le plaisir nécessaire. Elle commença par l’embrasser dans le cou, puis descendit doucement, petit à petit, n’oubliant pas la moindre parcelle du corps de sa petite soeur. Le torse de Camille était totalement enduit de la salive de Lili qui avait aspiré les seins de sa soeur, titillé les tétons, tourné autour de son nombril, et elle repris le flambeau en faisant un nouveau cunilingus à sa petite soeur. Heureuse de pouvoir enfin accéder au sexe de Camille, Lili vit une belle victoire après spn refus dans la piscine.
Pour matérialiser ce succès, Lili enfoui deux doigts dans la sexe de Camille, puis massa l’intérieur de son vagin avec douceur, puis de plus en plus rapidement. Elle fit même glisser un troisième doigt, et ce qui fit soupirer Camille de plus belle. Lili revint ensuite embrasser de nouveau sa soeur, puis se redressa pour frotter son sexe contre celui de Camille. Après quelques instants passés à sa masser mutuellement la chatte, Lili repris son cunilingus.
Toute occupé à lécher la chatte de Camille, Lili du se mettre à quatres pattes, sans s’en rendre compte. Je profitais, et sans hésiter, je vins me positionner derrière Lili, et je fis pénétrer mon sexe en elle. Le frétillement que je ressentis dans le corps de Lili me fit comprendre que ma soeur acceptait cette pénétration avec joie. Elle se cambrait pour rythmer mes aller retour. Lili mouillait tellement que l’on pouvait entendre le glissement de mon sexe dans son vagin. Comme je ne voulais pas prendre le risque de jouir dans ma soeur, je me mis à lui caresse l’anus avec un doigt. Je crachais sur son trou, et j’en profitais pour insérer un, puis deux doigts dans son trou du cul. Camille observait, puis refermait les yeux pas moment, conquise par la langue de sa soeur. Je sodomisais enfin Lili profitant de cette position en levrette très pratique. A ce moment, Camille qui semblait avoir jouis une second fois se redressa et embrassa Lili. Je remarquais quand même que ma grande soeur était en sueur, et semblait essoufflée. J’imagine que l’activité de sa langue, l’assaut de mon baton dans son cul, et le plaisir qu’elle ressentais y étaient pour beaucoup.

Je décidais de me retirer de Lili pour que Camille participe à nouveau. En voyant que j’arrêtais de pistonner Lili, Camille en profita pour m’allonger de nouveau, mais ce fut elle qui me suca, tandis que Camille s’allongea sur moi, présentant ses deux melons à hauteur de mon visage. Tel un enfant allant chercher le ponpon, je levais ma tête pas aller donner des coups de langues sur ses seins et tenter d’en aspirer une bonne partie dans ma bouche. J’étais comme le nouveau né qui cherche la tétée. Les seins lourds de Camille me tombaient sur la tête, me caressant les joues. J’en saisis un et je pris son têton et une partie de sa mamelle dans ma bouche, ce qui eu pour effet de faire un sucon assez gigantesque: une sorte de souvenir pour les jours à venir. Pendant que Lili me présenta alors son abricot pour que je m’en occupe, je ressentis quelquechose de bizarre et d’agréable sur mon sexe, mais comme ma bouche était obstruée par les petites lèvres de Lili, je ne pu rien dire.
Cette sensation était bien simple, Camille avait franchis le coté obscur: lassée de me sucer, frustrée de voir sa soeur s’envoyer en l’air avec son frère, elle avait finit par me chevaucher, et en saisissant mon sexe à la verticale, elle s’était empalé doucement le long de mon pieu. Elle faisait maintenant des allers retour assise sur moi, rouge de chaleur, rouge de plaisir, et peut-être un peu rouge de honte également. Le cap était franchit, Camille n’était plus un ange, mais une belle salope aussi chaude que Lili, et elle n’avait plus d’excuses. Elle nous avait demandé une initiation au début des vacances, uniquement au flirt et à la fellation, car elle voulait rester pure pour son mec. Même papa n’avait pas réussi à baiser sa fille hier, bien qu’il lui ait fait remarquer qu’elle était une belle petite salope.Ces temps étaient résolu, car j’étais en train de baiser avec elle, et sa virginité était bien perdue définitivement ce matin.
J’ étais content, tout allait bien, ma bouche satisfaisait Camille, mes mains massaient ses gros seins, je faisais l’amour avec ma petite soeur, je ne pouvais pas comprendre ce qui arriva. Je voulais parler, mais Lili se cambra et revenait appuyer son sexe sur ma bouche. Je n’eus donc pas le temps de prévenir qui que ce soit, et Camille tout à ses mouvements de bassins n’eut que le temps de remarquer bien trop tard que j’étais en train de jouir. Elle ressentit chaque sacade de mon éjaculation, chaque petit coup de jet qui venait la crépir au plus profond, aux portes de son utérus. La vagin de Camille était remplit par mon sexe et par une quantité de sperme que je n’aurai pas imaginer être aussi importante. Les choses étaient allées trop loin, j’avais été négligeant, j’avais copulé avec ma petite soeur, et si ca se trouve, je l’avais fécondée...
Camille était effrayée à la vue de tout ce sperme...elle était affolée, et sonnée, comme un boxeur dans les cordes: elle semblait incapable d’esquisser le moindre geste, et je comprenais pourquoi. Un peu perdue, et ne semblant pas tout comprendre, Lili s’approcha de Camille et entrepris de récupérer tout le sperme sortant du vagin de sa petite soeur. Après quelques coups de langue, et eu fini la toilette et avala toute la semence récoltée...Camille n’avait pas bougé, elle était ailleurs, le regard vide laissait apparaître quelques larmes...

9 mois plus tard...-Félicitation ma petite, c’est un garçon! Où est le papa? Ahh, et bien bravo Sébastien, te voilà père!
Le médecin de la maternité tendait fièrement à ma petite soeur et à son copain un petit bout de 53 cm pour 3,100 kg. Mes parents étaient aux anges, Camille sourit.
— Il est en parfaite santé, aucun soucis, ca sera un vrai champion!...précisa le médecin et donnant le bébé à ma petite soeur.-Allez, on va prendre la photo, du papa, de la maman et du petit bambin!...Tout le monde dit cheese!-Quand même, ca fait super tôt, reprit ma mère. Vous êtes encore si jeune, vous ne vous connaissez que depuis...et bien, 9 mois en fait, pas tout à fait. - Ecoutes, laisse les tranquille, reprit mon père. Ils s’aiment et c’est le principal. Quand on a un bébé, c’est le fruit de l’amour, ils vont s’installer, Camille reprendra des études par correspondance et puis voilà! Félicitation Sébastien, tu n’auras pas mis beaucoup de temps à me faire devenir grand père! T’es un sacré lapin toi!...lui dit-il, non sans une tape amicale sur l’épaule. Le pauvre Sébastien ne savait pas où se mettre!

En sortant de la maternité, Lili ne pu s’empêcher de me regarder.
-Ca te fais quel effet?...me demanda-t-elle. Tu l’aurais cru qu’elle allait le garder?-Ecoute, les parents sont contre l’avortement, Camille n’a pas trop de volonté...Il faudra faire avec...-Et tu crois que si les parents savaient que leur petit fils est le résultat de l’accouplement contre nature entre leurs deux enfants, ils seraient toujours contre l’avortement?...Camille n’a pas eu d’autre choix que de sauter sur Sébastien, et lui faire croire que la capote avait percé, mais nous trois, nous savons tous que tu es le père de ce bébé.-Je me contenterais de mon rôle de parrain...et je suis content que le bébé soit en bonne santé...terminais je. J’aimerais toujours cet enfant, comme si c’était mon propre neveu...
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