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vacance avec mon maître

Chapitre 6

SM / Fétichisme
Les jours passent, entre farniente et partie de boules dans tous les sens du terme. Nos maîtres trouvent toujours le moyen de s’amuser avec nous. Souvent, une de nous deux est attachée, ou fouettée ou occupée à sucer, nos trous sont régulièrement visités, et pour moi, qui ne peux jouir que sur ordre de mon maître, je suis très souvent en manque. Un matin, nous allons faire les courses au marché du village. Nous partons toutes les deux, nos maîtres se prélassant au bord de la piscine. Nos tenues sont courtes et décolletées, et bien sur, nous portons aucun dessous. Nous y allons à pied à travers un petit chemin. Le village n’est qu’à deux kilomètres. Une fois arrivées sur le marché, nous flânons et achetons de quoi manger aux producteurs locaux. Certains nous matent sans vergogne. Il y un petit producteur de fromage de chèvre qui n’arrête pas de mater Justine. Elle en fait exprès de l’allumer. Je la regarde faire Elle se penche pour tâter les fromages, hésite, passe à un autre fromage, se retourne vers moi. Je m’amuse à soulever légèrement le pan de sa robe pour que le fromager puisse voir ses fesses. J’ai cru qu’il allait avoir une apoplexie. Nous lui prenons plusieurs fromages. Comme pourboire, Justine relève discrètement sa robe. Le jeune homme peut voir son pubis lisse et annelé. Il devient tout rouge. Je dis à Justine qu’il doit être encore puceau. Elle rit et passe un doigt sur sa fente, le rentre dans son vagin, le ressort et le mets dans bouche en le suçant. Je vois une énorme bosse sur le pantalon du fromager. Je me tourne et embrasse Justine sur les lèvres. Le mec n’en peut plus mais , hélas, il n’ose pas dire à Justine de venir dans sa camionnette. Tant pis pour lui, nous lui faisons un grand sourire et nous partons.
Justine prend le cabas et nous marchons pour rejoindre notre sentier. Un homme s’approche et se plante devant moi. C’est un travailleur. Il a de grosses mains, des chaussures de sécurité. Il est moustachu, cheveu brun, yeux noirs, ses biceps sont de la grosseur de mes cuisses. Son tee-shirt est d’une propreté douteuse. Il prend la plaque que j’avais mise au-dessus de la robe, la lit, la tourne, sort son portable et appelle le numéro. Je ne dis rien et instinctivement, j’ai mis mes mains dans le dos. Justine s’est arrêtée un peu en arrière et attend sans rien dire. Une fois que l’homme a écouté le message il dit: j’ai trouvé votre femelle, une autre l’accompagne. J’emmène les deux. Vous pouvez me joindre au 06.... Il nous regarde et dit: Suivez-moi.
L’homme marche jusqu’à une camionnette. Il nous fait monter à l’arrière, nous dit de nous asseoir par terre. Nous ne pouvons rien voir.Il se met au volant et roule. Nous ne disons rien. Je me dis que c’est mon maître qui a préparé tout cela. Ce ne peut être que lui, encore une de ses idées vicieuses L’homme gare la camionnette, ouvre la porte de côté et nous demande de descendre. Nous sommes sur un chantier, il y a une baraque plus loin. Nous entrons. Cette baraque sert de cantine aux ouvriers. L’homme prend un talkie-walkie et parle. Je ne connais pas cette langue, c’est une langue de pays de l’est, pourtant l’homme n’a aucun accent quand il parle en français. L’homme se retourne vers moi, me regarde :Mets-toi à poil, monte sur la table à quatre pattes, ton cul vers la porte. Je veux qu’ils aient une belle vue quand ils vont rentrer. Cela fait trois mois qu’ils sont ici, trois mois qu’ils n’ont pas baisé, alors tu penses bien que baiser une femelle, ils n’attendent que cela. Vingt gaillards en manque, rien que pour toi. Quand ils en auront fini avec toi, tu ne pourras plus t’asseoir.
L’homme éclate de rire. A ce moment, son portable sonne.— Oui, bonjour. Oui, j’ai trouvé votre femelle qui traînait.— ….— Pas de souci, je vous la garde. Vous passerez la prendre ou je vous la ramène ?— ….— Bien, je vous la ramène quand je veux. Très bien.— ....— Hum, elle doit être bonne oui.— ..— Je vous la passe.
Il tend le portable à Justine. Celle-ci écoute et répond : bien maître et redonne le portable. L’homme dit à Justine de se mettre à genoux, bouche ouverte. Je suis à quatre pattes sur la table, il y a une glace devant moi, je peux voir la porte. L’homme prend un panier et le pose à coté de moi sur la table. Il est plein de capote. Nous sommes en position, en attente.
L’homme s’est assis et allume une cigarette. La porte s’ouvre. J’aperçois des têtes, les corps sont luisants de sueurs. Le travail au soleil donne chaud. Un sifflement accompagne leurs entrées. L’homme parle. Les ouvriers écoutent, opinent de la tête. Un se déboutonne et se tourne vers Justine. Il lui enfonce sa queue dans la bouche. Elle fait une grimace et commence à sucer l’homme.
Un autre se positionne derrière moi. Il prend une capote. Je sens sa queue rentrer doucement dans mon vide couille. Elle est épaisse et pas très longue. Il me besogne fortement. Ses cuisses tapent sur mon cul. Il éjacule très vite. Il se retire, un autre le remplace. Sa queue est plus fine, il éjacule pratiquement tout de suite, une autre vient. J’entends des rires, des râles. L’homme dit quelque chose. Tout le monde se met à rire. Les ouvriers se succèdent, mon vide couille est constamment rempli. Justine suce. A un moment, je sens une queue forcer mon anus. Elle rentre en une seule fois. Je suis baisée et enculée, je vois les regards des hommes, ils ont encore envie. Ils sont jeunes et vigoureux. Le panier de capotes est à moitié vide. Je n’ai aucune idée de l’heure qu’il peut être. J’ai juste mal aux genoux. A aucun moment cela ne s’est arrêté. J’ai toujours une queue dans un de mes trous. Le panier est vide, mon vide couille est irrité, mon anus béant. Ma bouche n’a pas été utilisée. Les ouvriers repartent. L’homme ferme la porte, se déboutonne et me donne sa queue à sucer. Le spectacle a dû l’exciter, il éjacule tout de suite. Je me rhabille, Justine s’essuie la bouche. L’homme nous ramène au gîte. Il nous dépose à l’entrée et repart immédiatement. Je regarde Justine :
— Ca va— Oui, j’ai un peu mal à la mâchoire et certain s ne connaisse pas le savon— J’ai mal, il va falloir que je me passe de la pommade. C’est une idée de mon maître, il m’a dit qu’un jour il me ferait baiser par des ouvriers— Tu vois Marie, je suis sure que j’aurais bientôt la même plaque que toi— Encore une idée de nos pervers de maître, pour notre plus grand plaisir.
Sur ses paroles, nous entrons et retrouvons nos maîtres. La seule chose qu’ils nous disent, allez vous laver. Le bain et la crème nous font le plus grand bien. En ressortant, je m’installe toute nue dans le hamac et m’endors. Il est tard. Un bon sommeil réparateur, comme on dit, ne pourra que me faire du bien. Je me réveille, ouvre les yeux. Mon maître me regarde, je lui souris.— Alors, femelle, bien reposer- Oui maître— As tu pris du plaisir— Pas vraiment, j’avais l’impression d’être un tas de viande, et puis, à un moment, j’ai pensé à vous, alors, là, cela a été vraiment très facile et je me suis dit que vous seriez fière de votre femelle.— Je suis fière de toi. Maintenant, vient me sucer et quand je te saillirais, j’exige que tu jouisses.
Je souris, descend du hamac, me positionne devant mon maître, sors délicatement sa belle queue, et commence à le lécher, d’abord le gland avec la langue, ensuite je le prends dans bouche, lentement, je glisse le long de son membre et je l’avale entièrement, ressors et recommence. J’adore sucer mon maître, j’adore sentir ses vibrations. Je prends ses bourses dans mes mains tout en continuant de le sucer. Je sais qu’il est prêt à jouir mais il se retient. Sur un ordre , je me tourne et présente mon cul. Il cherche un peu et rentre dans mon vide-couille trempé. C’est la meilleure des queues que je connais, elle me pénètre, me fait un effet dingue. J’adore la sentir en moi. Je voudrais pouvoir refermer mon sexe sur elle et la garder toujours en moi. J’aime quand elle rentre délicatement et s’enfonce en douceur, mais j’aime aussi quand elle me besogne durement et tape au fond de mon vide-couille. J’aime quand elle se durcit, se tend et que je sens son liquide chaud se répande. Je frémis, tremble, gémis, mes yeux se révulsent. Je jouis, je jouis d’être prise par mon maître, je jouis et c’est bon, très bon. Je suis heureuse, en plus, mon maître jouit juste après et je peux le sentir, je peux apprécier sa jouissance, son plaisir, son bonheur. Je suis heureuse de rendre mon maître heureux
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