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Vacance inoubliable

Chapitre 4

Trash
James baisse à nouveau mon short et recommence à me pénétrer. Plus personne ne vient nous déranger, James viens juste de finir de m’enculer et me demande :— Depuis mardi, mes cousins...— Ne te fatigue pas, j’ai compris. Je passerai ce soir, quand la maison sera calme.
Il est presque minuit et James m’a déjà bien utilisé, le cul à l’air, je sais que je prends le risque de me faire surprendre mais cela m’excite beaucoup.J’entre chez Mathieu, sans un mot, je m’installe à quatre pattes au bout du lit, j’exhibe mon anus déjà ouvert. Il guide lui-même sa queue, m’encule profondément en une seule fois, il n’a sans doute pas l’intention de me ménager. La seule chose que j’aime chez lui, il est endurant, il me défonce pendant plusieurs minutes, m’arrache des gémissements, il jouit enfin. C’est tout de même un bon coup.Pour Florent, c’est comme à son habitude, il me prend, se débrouille bien, mais ne contrôle toujours pas, deux minutes plus tard, les jeux sont faits.J’arrive chez Philippe, le cul en accès libre comme un hall de gare, avec lui, ma libido est exacerbée. Rapidement, j’attrape sa belle queue et lui suce goulûment, quelques instants plus tard, il ôte sa queue de ma bouche. Je m’allonge sur le bord de son lit les jambes en l’air. L’anus ouvert, son gland pousse délicatement mon anus qui s’ouvre comme une fleur s’y engouffre.— Encule-moi ! Je suis ta petite salope !
Il s’allonge sur moi, c’est le moment que j’attends. Je pose mes mains sur ses hanches pour l’accompagner, il sent toujours si bon.Sa queue tordue est de plus en plus agréable et me laboure avec bonheur. Je me branle en même temps, Philippe m’arrête et prend ma queue dans sa main. Je vois qu’il a un peu de mal à coordonner la sodomie avec la masturbation.— Encule-moi, laisse-moi me masturber et défonce-moi !Juste après qu’il ait joui, je le remercie pour ce moment et rejoins le camp. Dans le couloir personne, je couvre mon anus avec ma main pour éviter que du sperme ne coule sur le sol. J’arrive au camp, James m’attend, il bande, je le soupçonne de se masturber en mon absence. J’enlève ma main, m’allonge rapidement sur le dos, j’écarte les jambes et présente mon intimité, un filet de sperme en coule.— La récolte a été bonne, apparemment.— Je pense aussi que je me suis bien débrouillé et j’adore quand la sodomie est grasse. Viens, fais-toi plaisir, il reste de la place.En une minute, tout était dit, heureusement que je n’ai pas compté sur lui pour avoir du plaisir. Il est beaucoup trop tard pour aller dans la salle de bains, je me replie vers une serviette hygiénique pour finir la nuit.
Le lendemain matin, il pleut, c’est déprimant. Après le petit-déjeuner, une partie d’entre nous va aux courses, je reste avec la mère de James pour ranger la maison. Pendant le déjeuner, le ciel se dégage, l’humidité conjuguée au soleil rend l’atmosphère tropicale. Nous prenons le café dehors. Je ne trouve aucune opportunité pour une petite sodomie, une après-midi gâchée.Après le dîner, la chaleur ne tombe pas, je n’ai qu’une envie me déshabiller. Vers 23 heures, tout le monde part se coucher. Cette moiteur est insupportable, je passe à la salle de bains me rafraîchir, de retour dans la chambre. James baisse mon pyjama immédiatement.— J’ai envie de prendre ton petit cul !— Oui, mais pas ici, avec cette chaleur, j’ai envie de me faire prendre dehors, derrière le bâtiment.
— Je suis trop excité. Aller viens, on descend, tu vas voir ce que je vais te mettre dans le cul !— Non, attends que la maison s’endorme. Je caresse le pénis de James pour le faire patienter, tout est calme dans la maison, je ne regrette pas d’avoir stimulé James, la fille qui tombera sur lui n’a pas fini d’en prendre, il est insatiable.Je descends en pyjama pour ne pas prendre de risque. Dehors la température est toujours tropicale au milieu de la cour, j’enlève mon pyjama, James me met une belle claque sur les fesses, je souris et me dirige derrière le bâtiment.À peine ai-je le temps d’y arriver, James bande déjà, une belle queue bien dure. Il m’empoigne par les hanches pour me soumettre sans ménagement et m’encule, je m’appuie sur le mur tant bien que mal, c’est génial, il me laboure généreusement. Je lui demande de ralentir sinon dans quelques secondes, ce sera fini !Il se fige pendant quelques secondes, j’en profite pour dandiner mes fesses de droite à gauche pour faire bouger sa queue en moi, j’aime bien. Il reprend une allure plus ou moins rapide, je lâche un petit ah ! À chaque coup de queue. D’un seul coup, Philippe apparaît à l’angle du bâtiment.
— Que fais-tu là ?— Je vous ai vus de ma fenêtre, quand j’ai ouvert les volets, je t’ai vu enlever ton pyjama dans la cour et quand James t’a claqué la fesse, j’ai compris !
Avec cette arrivée soudaine, le sexe de James est complètement inutilisable et mon anus l’a expulsé. Je demande à Philippe de s’approcher et je glisse ma main dans son pyjama, il bande déjà le coquin, je le décalotte délicatement. James bande de nouveau. Je m’agenouille et j’alterne entre fellations et caresses à chacun d’eux. D’un regard James comprend qu’il doit s’occuper de moi. Je me relève pour de nouveau lui offrir mon cul, maintenant, je peux à loisir continuer de sucer goulûment Philippe, James bien installé en moi, me comble et se plaque au fond de moi pour jouir en se retirant, il secoue le reste de sperme qui en coule.

 Je demande à James de ne rien gâcher ! James me présente sa queue, je le lèche comme me l’aurait fait Evans., à son tour Philippe se cale derrière moi et m’introduit sa queue, la levrette ce n’est pas le plus pratique pour lui, oui mais là j’en ai deux à m’occuper. En baissant le bassin, son gland rentre en moi.La pénétration me procure beaucoup de plaisir, ses couilles tapent contre mes fesses à chaque coup, je continue avec difficulté la toilette de James, son sexe est devenu mou, le nettoyage est plus simple. Je me doute que Philippe soit excité par le spectacle et effectivement, il jouit rapidement. Me voilà sur le carreau, plus personne n’est en état. Mais moi, j’ai toujours envie.— Je mérite mieux quand même !Je m’allonge dans l’herbe les jambes en l’air, avec mes mains écartent mes fesses pour permettre à mon anus d’être grand ouvert, même si je n’ai pas besoin, pour qu’il le soit. James se masturbe et je vois que Philippe hésite à faire de même.James qui me prend tous les jours n’a absolument pas de gêne et je vois que ma position le stimule et sa belle queue redresse la tête, hum, il est prêt, s’allonge sur moi pour m’enfiler comme une perle. Philippe regarde fasciner par mon comportement de salope.
 —Viens, mets-toi à genoux, je vais te faire patienter !Il obéit, j’accueille son sexe mou dans ma bouche. Philippe ne loupe rien de la pénétration, son pénis grossi dans ma bouche, il aime, cela ne fait aucun doute, maintenant sa queue occupe toute ma bouche, quelques instants plus tard un liquide brûlant me coule dans la gorge. Zut !James jouit de nouveau, se relève doucement, un fil de sperme nous lie. J’abandonne la queue de Philippe redevenu inutilisable !Je demande à James de s’occuper de moi, faute de queue en forme, il m’introduit deux doigts et me masturbe, je jouis m’arrosant le ventre de sperme, j’adore. Tout le monde est comblé, je pense, nous pouvons nous coucher. James me dit discrètement :— Tu es une vraie salope ! Avec un sourire.— Qui m’a initié à la sodomie ?
C’est la veille du départ des cousins, vivement ce soir ! Je suis le dernier levé, les parents sont partis, les cousins et James jouent au football. Je prends mon petit-déjeuner tranquille, j’aperçois Evans qui traîne dans la cour, tient ! Je l’appelle, il se dirige vers la maison, entre et vient me faire la fête. Je le caresse et rapidement, il me met des coups de museau sur mon sexe, il y a juste le léger tissu qui les sépare.J’avoue si je l’ai appelé, c’est que j’ai une petite envie de sa langue magique.— Attends, elle est là !Je dégage mon pénis qui a déjà doublé de volume, personne à l’horizon. Sa langue entreprend immédiatement son œuvre, cela est divin, elle est chaude et terriblement habile, je commence à me masturber et jouis quelques secondes plus tard, Evans ne perd rien, il récupère tout le sperme, je laisse mon sexe à son bon soin et je finis le petit-déjeuner, détendu.
L’après-midi est assez frustrante rien à me mettre dans les fesses, James et les autres sont occupés à profiter de cette dernière après-midi. Je bouquine et profite du soleil.Après le dîner, James posa le damier sur la table, le championnat commence, je vais dehors pour passer le temps.Il est 22 h 15 la nuit commence à tomber, j’entreprends d’effectuer le tour du propriétaire et d’attendre la fin de la partie. Je ne veux surtout pas savoir à qui je devrai aller rendre une visite cette nuit.Émoustillé de la situation et très excité. Mon sexe pourtant au repos mouille mon slip, personne à l’horizon de toute façon dans la pénombre, je sors mon pénis mouillé, je l’essuie.Un bruit me fait sursauter en posture délicate, ouf ce n’est qu’Evans.— Bah tu tombes bien toi !Je lui présente mes doigts et il s’empresse de les lécher, du même coup, je lui présente également mon sexe pour une petite toilette. Trop excité de tout cela, je me masturbe et éjacule deux minutes plus tard. Evans effaçant toutes traces, je reprends le chemin de la maison déjà soulagé d’un fardeau.
La partie touche à sa fin, je vais savoir avec qui je dois être très gentil. C’est Mathieu qui a gagné, déçu du résultat, c’est donc lui qui va me prendre, j’aurai largement préféré Philippe. Il est pratiquement minuit, la maison est calme, je rejoins la chambre de Mathieu.Dès mon entrée, je vois que Mathieu m’attend, je m’installe au bout du lit et lui présente mes fesses. Rapidement, il m’encule comme à son habitude sans ménagement, heureusement que mon anus est habitué à ce traitement et cède sans broncher. Il me défonce le cul, c’est quand même un super coup, aucune tendresse, mais une maîtrise parfaite de sa queue. Je sens les à-coups, je me dis bon bah, c’est fait, calé au fond de moi, il se vide, il se retire, je viens pour me redresser et :— Non, tu restes dans cette position, je t’ai gagné pour la soirée, tu restes jusqu’à ce que je te dise que j’ai plus besoin de toi, petite salope !Je reste à quatre pattes, je sens le sperme coulé entre mes fesses.— Tu aimes te faire enculer, je vais t’offrir ce que tu veux !Mathieu m’introduit un doigt dans le cul commence des va-et-vient tout en commençant à me traire, d’un seul coup, il me donne une claque sur mon sexe en érection !— Tu n’as pas le droit de jouir, tu as compris !Continuant de me sodomiser, mais maintenant avec deux doigts, il me trait en même temps.  J’ai beaucoup de mal à gérer cette sodomie, la situation de soumission m’excite au plus haut point, un léger à-coup de mon pénis me donne droit à une nouvelle claque !Il arrête son petit manège qui malgré tout m’émoustille vivement, il se repositionne derrière moi, me pénètre pour littéralement me labourer délicieusement, par chance, il ne me touche pas sinon je crois que j’aurais joui immédiatement et je pense que j’aurais été puni.Quelques minutes plus tard il jouit de nouveau, c’est la fin !— Tourne-toi et vient me sucer !J’obéis et je le suce et lui lèche tout le pénis ainsi que ses couilles.— Montre-moi ta queue, j’espère que tu n’as pas joui !Il inspecte mon pénis, le contact de sa main me déclenche des à-coups, la punition tombe, il claque et vient calmer mes envies.— Tu vas dormir là, si j’ai envie, je pourrai t’enculer à loisir.Effectivement, il se réveilla plusieurs fois dans la nuit où il m’encula à chaque fois sans que j’aie le droit de jouir.Vers 5 heures du matin, il me réveille, me demande de me mettre sur le dos, j’obéis, il me tient par les chevilles, c’est moi qui le guide jusqu’à mon anus et il revendique encore une fois son droit de cuissage. Il se fige dans mon cul me prend le pénis et me dit que maintenant  j’ai  le droit de jouir et me branle, je jouis quelques secondes plus tard, il a du sperme plein les mains, il me fait lécher ses doigts et recommence à m’enculer pour jouir en moi.— Tu peux y aller maintenant, tu as été une bonne salope.
Je rejoins ma chambre pour enfin me reposer. James dort, je n’ai pas l’intention de le réveiller, je crois que j’ai mérité un peu de repos, après cette nuit de soumission.  Le lendemain matin, c’était le départ des cousins, les parents de James demandèrent si les petites vacances s’étaient bien passées. Tout le monde était unanime, ils avaient adoré les vacances (et les soirées bien sûr).Pour dire vrai, j’avais bien pris l’habitude, disons les mots de me faire enculer par des queues différentes, c’était une expérience plutôt sympa.Je ne regrette pas mon initiation à la sodomie. C’est la queue de Philippe qui va me manquer, mais bon celle de James me consolera.
À suivre…
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