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Vacance, Julie et Claire

Chapitre 1

Orgie / Partouze
Nous partons en vacances. Nos affaires sont dans les valises, et celles-ci dans la malle. Julie, ma femme est toute heureuse de sortir de chez nous.— J’espère que tu me feras bien l’amour— Pourquoi, tu as peur que je rate ton con ?— Crétin, ça tu ne l’a jamais fait. Tu sais ce qui m’excite.— Oui, je te caresse partout, t’embrasse sur la bouche, sur l’autre bouche et te la mets au fond.— Agis au lieu de bavasser.— Je ne peux pas agir, je bande : touches.Je n’ai pas besoin de répéter deux fois, elle pose sa main sur ma bite. C’est vrai, je bande, je ne sais trop pourquoi depuis notre départ. — Pourquoi tu me fais ça maintenant, tu sais que quand je sais que tu bandes, je mouille, j’ai envie de jouir.Sans plus rien dire, elle sort ma bite du pantalon. Je bande comme si je ne l’avais pas baisé depuis une éternité alors qu’avant de partir nous avons tiré vite un premier coup. Julie me laisse la pine dehors pour passer sa main sous sa jupe. Je sais qu’elle ne porte rien dessous. Sa main s’attarde sur son bijou. J’aperçois sa main bouger : elle se branle. Je ralenti l’allure pour moi aussi me branler devant elle. Sauf que je ne vois pas sa main sur sa chatte. Elle peut bien voir ma main aller et venir. Je suis obligé de me garer juste avant de jouir. J’allais le faire quand sa main remplace avec bonheur la mienne. Elle me branle presque aussi bien que moi. Je regarde sa main aller et venir vite sur ma colonne. J’avance mon bas ventre juste un instant avant d’éjaculer. Julie est prévoyante, elle pose un kleenex sur ma bite juste au moment où mon sperme sort. Quand je commence à débander, elle pose le kleenex sur ses narines pour sentir l’odeur particulière de la semence.Je suis soulagé, elle pas encore, elle continue. Je l’aide en levant sa jupe pour bien voir comment elle se masturbe, comme si je ne le savais pas. Pour moi c’est toujours un plaisir renouvelé de vois ses doigts sur son bouton. Quand elle jouit, j’adore qu’elle se doigte. Cette fois encore elle refait le même geste : elle me donne sa main à lécher. Son goût intime est le meilleur des remontants. Elle ne veut surtout pas que je range ma queue. Elle reste avec la jupe remontée. Si des camionneurs passent ils verront tous nos sexes.Une heure plus tard, Julie remarque qu’un petit chemin nous éloigne de la route. Je le prends sur ses instructions. Je trouve une petite clairière. Le temps que je descende, elle est déjà nue, elle m’attend, toujours assise dans la voiture. Je vais l’embrasser. Elle reprend ma bite ans sa main, me masturbe à peine avant de la mettre dans sa bouche. Oh, elle ne me suce pas longtemps : elle ne cherche que mon gout qui l’a met en appétit. Je me trouve avec le pantalon sur les chaussures. Elle me lèche la colonne, jusqu’aux couilles. En passant une main derrière mes fesses elle cherche et trouve mon anus. Elle aime bien entrer un ou deux doigts dans mon cul tout en me suçant. J’y trouve mon compte. Je sens ma verge gonfler encore plus quand sa langue s’attaque au gland. Elle passe sa main libre sur sa chatte. Cette fois encore je vois sa main qui la branle. Elle coordonne tellement bien ses mouvements que nous jouissons ensemble. Mon sperme est avalé normalement (contrairement aux débuts où elle en était dégoutée). — Je sens que ces vacances vont être des vacances de baise.— Tant mieux. J’ai encore envie.— Branle-toi encore.Elle obéit bien en se masturbant. Je me demande comment elle peut faire pour jouir autant. Le reste de la journée est calme. Sauf l’autostoppeuse.Il devait être aux environs de 16 heures quand devant nous une jolie fille lève son pouce. — Arrête-toi.— Pourquoi ?— Elle est bien fichue, je me la paierais bien.— Toi, tu veux une fille ?— Tu n’en profiterais pas toi ?— Si.— Alors j’ai envie de baiser cette nana.C’est bien la première fois depuis notre rencontre qu’elle veut coucher avec une fille. J’arrête la voiture. C’est Julie qui lui propose de l’embarquer à condition qu’elle monte à l’arrière avec elle. Pas sotte la fille, elle comprend aussitôt ce qu’on lui demande. Elle regarde ma femme en la détaillant, elle me regarde aussi. Nous devons lui plaire. J’ai encore la braguette ouverte et Julie la jupe à la taille. Elle comprend que nous ne sommes qu’à la recherche d’une baise à trois. Son sac prend la place de Julie qui est maintenant derrière moi, à coté de cette fille bien sexy en plus. Je ne fais pas un kilomètre quand Julie l’attaque. Elle pose une main sur la jambe de la fille, l’embrasse sur la bouche. Ce qui m’étonne est que le baiser est partagé. La suite est des plus surprenante, c’est la fille qui commence à passer ses mains sur la chatte de ma femme. Julie écarte les jambes en se laissant faire. Je vois que la main est sur l’entrejambe. Julie commence à gémir. Rien qu’à ce bruit je sais qu’elle est branlée, qu’elle ne va pas tarder à jouir. Je peux voir dans le rétro que Julie assure de son coté sa part de baise. Je vois sa main écarter les cuisses de l’autre qui s’ouvre. Je ne peux pas voir sa cramouille. Je suppose qu’elle doit être drôlement mouillée. Petit à petit les deux filles sont nues. Je bande de plus en plus. Je veux me mêler à leurs jeux. Je trouve un endroit où arrêter la voiture. Je dois faire environ deux kilomètres avant de trouver un endroit agréable. Si elles sont nues, il n’y a pas de raison que je reste vêtu. Je sors donc, me met nu. Je bande tellement que les filles ne regardent que ma bite. Quand elles sortent il faut qu’elles viennent vers la malle ouverte d’où je sors deux couvertures pour les étendre au sol. Je compare les deux corps. Je connais bien celui de Julie, je détaille celui de son amante. Beau brin de fille, digne d’être baisée. Finalement je comprends mieux le désir de ma femme. Elles restent très proches, se tenant par la taille. Je remarque que ma femme pose vite sa main sur la chatte de cette étrangère : elle sait que j’ai envie de la fille. Je vais vers elles pour les embrasser, disons embrasser la nouvelle. Ses lèvres sont fraiches, comme sa salive. Sa langue est très active. Je me colle contre elle, ses seins contre ma poitrine. Je sens sa main sur ma bite : elle commence à me branler. Julie la regarde faire sans rien dire. Je sens qu’elle voudrait elle aussi participer à la curée sur moi. Elle doit remettre son projet puisqu’elle se penche en avant, vient contre moi, sa bouche sur la chatte de son amie. Je vois sa langue sortie sur la chatte. Ce doit être une manie, elle passe une main derrière pour entre dans le cul. La nouvelle réagit plutôt bien. Je demande à Julie de lever ses fesses pour que je ramone son cul avec mes doigts. Elle le fait volontiers. Les deux filles jouissent presque ensemble. Je reste un peu à l’écart avec ma bite. Elles me couchent pour venir me lécher. Une fellation avec deux filles dont l’une, Julie est championne me botte. Je regarde les langues faire leur travail avec beaucoup de délicatesse. J’allais jour quand elles cessent. Dommage j’aurais bien aimé jouir des deux filles à la fois. Ce n’est que partie remise. Je reste sur le dos : les deux filles viennent se faire mettre. D’abord ma femme dans le cul. Elle s’est assise sur ma bite, les jambes écartées à cheval sur moi. Elle s’est enculée seule sans problème : elle en a l’habitude. L’autre est venu sur ma bouche. Outre son gout j’apprécie son odeur différente de celle de ma femme. Elle me donne ce qu’elle veut. Dans l’immédiat elle me veut dans l’anus. Ma langue durcie la contente un moment, juste avant qu’elle glisse sur moi vers son puits. J’entre là aussi. J’y prends moins de plaisir. Par contre son clitoris est agréable à lécher. Les deux femmes se penchent en avant pour s’embrasser et se peloter. Je sais que Julie doit se masturber en ayant ma pine dans le cul, comme toujours. Je la sens jouir : elle se relève pour changer d’endroit. Je me trouve dans son vagin. Là encore elle fait tout le travail : je suis le pacha avec son gynécée. Mais j’arrive à la fin de ma résistance. Je jette le reste de sperme. Les voici en 69 pour Julie donner mon sperme et l’autre sa mouille et ma salive. Elle monte dans la voiture, toujours nues pour se mignoter encore. Je ne sais pas du tout où va la stoppeuse. Ce n’est quand arrivant à l’hôtel que j’apprends que nous passerons les vacances ensemble. Du coup je peux baiser comme je veux cette nouvelle femme. Je connais son nom : Claire. Elle est étudiante en droit en dernière année. Elle n’aura pas manqué ses vacances, nous non plus.
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