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Vacances...

Chapitre 4

Inceste
Le repas a été parfait, mais la crainte de perturber le dernier diner de vacance de ma fille et de mon gendre m’a empêché de l’apprécier sa juste valeur. Néanmoins, j’aime la compagnie de Fred et passe quand même un bon moment. Les deux jeunes ne se sont pas trop chamaillés et je souris de voir ma fille les joues colorées, animées par les boissons généreuses. Par contre, au fur et à mesure que la soirée s’avance, je décèle parfois une lueur d’inquiétude dans son regard. Je la sens anxieuse, perturbée, ne sachant comment annoncer sa nouvelle détermination à son mari. Celui-ci, qui ne se doute pas des tourments de sa femme, raconte des anecdotes du bureau tout en jetant des regards fréquents à sa fille, regards plus concupiscents que paternels. Annie, elle, inconsciente du trouble qu’elle provoque, partage ses attentions entre ses parents, une caresse à sa mère, une à son père. Elle joue avec le feu quand sa main effleure la cuisse de Fred haut vers l’aine ou la poitrine de sa mère. A la fin du repas, Marco qui n’a rien remarqué, nous quitte pour jouer à sa console dans sa chambre.Un silence presque pesant accompagne sa sortie. Au lieu de profiter de l’occasion pour prendre congé, je me dis qu’il est temps de crever l’abcès.— Annie mon chou, n’aurais-tu rien à dire à tes parents ?— Euh…La jeune fille regarde tour à tour son père, sa mère et moi, son grand-père. Elle ne parvient pas à se décider.— Tu aurais des secrets pour nous ma puce ? s’étonne Fred… Tu ne vois pas ce qu’elle aurait à nous dire ? interroge-t-il Catherine.— Euh… No-non, je ne vois pas.Je devine que si, elle voit très bien mais elle a peur. Tout à coup moi aussi j’ai peur des conséquences, peur de jeter la zizanie dans leur famille. Non, ça n’arrivera pas, ils s’aiment trop pour cela. De toute façon vu comment Fred nous regarde, il est trop tard pour reculer. J’insiste.— Allez Annie du courage !Son père scrute mon visage. Je devine qu’il se demande : « Que sait-il que j’ignore ? »  Annie se lance enfin :— Ben… Euh… Ben voilà… Euh… Pendant ces vacances… Euh… On a découvert maman et moi… Euh… Qu’on s’aimait plus qu’on croyait.— Vous m’en voyez ravi, affirme son père.— On… On… On a échangé des caresses…Elle n’ose en dire plus. Fred intrigué, fronce les sourcils, les relève.— Des caresses… Euh… Amoureuses ?Il se retourne vers ma fille le regard interrogateur.— Oui mon chéri, amoureuses concède celle-ci… Mais cela n’enlève rien à l’affection que je te porte.— Elles t’ont fait plaisir ces… Euh… Caresses ?— Oui, à ma grande honte j’avoue que j’ai aimé.— Pourquoi à ta honte ?Catherine est un peu interloquée par la réaction ou plutôt le manque de réaction de son mari qui semble accepter le fait.— Ben… Euh… Qu’une mère et sa fille…Annie est lancée sur le chemin des révélations.— Je dois t’avouer autre chose Maman. Papa et moi on échange plus que des caresses…— Oh ! Tu… Tu fais l’amour avec lui ?
— Oui, depuis l’anniversaire de mes dix-huit ans.Percevant les sentiments contradictoires qui agitent ma fille j’interviens.— Vous voilà donc à égalité maintenant. Que décidez-vous ?Quelques secondes de silence qui semblent une éternité, puis Fred se lève.— Ben pour une surprise…Il serre sa femme et sa fille contre lui. Il se tourne vers Catherine, leurs lèvres se joignent, puis c’est au tour d’Annie de recevoir la bouche de son père. Les deux femmes se sourient. La mère caresse l’épaule de sa fille, sous le regard attendri de Fred.— Vous êtes mes deux chéries, dit-il en les embrassant sur la joue… Faudra que vous me montriez ça toutes les deux un de ces jours, ajoute-t-il après un silence. Ce doit être charmant.— Oh Fred ! Tu n’as pas honte ? s’exclame Catherine.— Papa, tu es un gros cochon !— J’assume et je revendique. Michel, vieux forban ! Tu étais au courant n’est-ce pas ?— Oui, j’avais reçu les confidences de part et d’autre.— Oh ! Tu savais pour Annie et son père et tu ne m’as rien dit ! me reproche Catherine.— Ce n’était pas à moi de trahir leur secret.Ma fille ne s’enfuit pas et reste dans les bras de son mari. J’étouffe un soupir de soulagement, ouf c’est gagné ! A mon tour d’entrer dans le grand déballage.— Euh… Moi aussi j’ai quelque chose à déclarer.— Papa ! s’insurge Catherine qui voit bien où je veux en venir.— Tu regrettes ce qui s’est passé ?— Euh… Non.— Il est préférable que tout soit clair entre nous.— Cela concerne vous deux ? interroge Fred… Alors je m’assieds, poursuit-il sur ma mimique affirmative.Il ne lâche ni sa femme ni sa fille qui s’installent chacune sur un genou. Je continue :— Voilà. Il y a longtemps, vingt-deux ans et presque quatre mois pour être plus précis, ma fille est venue se réfugier chez nous à la suite d’une déception sentimentale… J’étais seul… Et ce qui devait arriver arriva…Inutile de préciser, Fred comprendra.— Vingt-deux ans ? interroge-t-il.— Oui.— Donc juste avant que nous nous fréquentions. Il y a prescription, je vous donne l’absolution.— Ben… Euh… Cet été… Euh…— Oh Maman ! Tu as baisé avec Papy ? Quand ça ?L’indignation d’Annie me fait sourire.— Tu es trop curieuse, mais oui, j’avoue qu’il y a quelques jours…Fred fronce les sourcils. Annie se moque de lui.— Tu serais jaloux Papa ? Tu es mal placé tu sais pour leur faire la morale.— Euh… Tu as raison ma chérie.Il embrasse sa femme un peu inquiète.— J’espère qu’il t’a fait jouir ton père.Catherine se cache dans le cou de son mari.— Réponds-moi franchement. Il t’a fait jouir ?— Ou-oui, murmure-t-elle.Fred me dévisage un instant puis son regard s’éclaire : — Il semble cher beau-père que nous soyons fabriqué du même bois ! Vous en avez encore beaucoup des surprises comme ça ?Un instant j’ai sur la langue d’avouer qu’Annie et moi… Ma petite fille n’a rien dit : elle ne tient peut-être pas à divulguer nos relations. Et puis je ne sais pas comment réagiraient ses parents.— Euh… Je ne crois pas. Pour mon compte, c’est terminé.Un silence s’installe, le temps de digérer les divulgations. Fred fait descendre ses deux femmes.— Je ne sais pas ce qu’il en est pour vous, mais moi j’ai besoin d’un sérieux remontant pour faire passer ces révélations, déclare-t-il. Whisky ou Cognac, Michel ?— Je ne serai pas contre un petit Cognac.— Et toi ma chérie ?— Pareil.— Moi aussi je veux du Cognac, je n’en ai jamais bu ! réclame Annie.— Tu es trop jeune.— J’ai plus de dix-huit ans, tu es bien placé pour le savoir.— Bon d’accord, un Cognac pour mademoiselle…Fred fait le service, un fond de verre pour Annie, un demi pour Catherine et un ballon bien rempli pour moi et lui.— A notre santé !— Oh ! C’est fort ! s’écrie Annie.— Trempe un sucre dedans, conseille sa mère.Nous sirotons en silence. Je me demande ce que mijote mon gendre. Malgré son apparente décontraction, il m’en veut peut-être. Ayant pris une décision, Fred repose son ballon.— J’en avais besoin !Je note le regard égrillard. Il prépare quelque chose, la soirée n’est pas terminée !— Ma chérie sais-tu ce qui me ferait plaisir ?— Non mais tu vas me le dire, sourit Catherine prête à tout pour se faire pardonner.— Ben j’aimerais que tu me montres comment vous vous aimez ton père et toi.J’avale sec, je ne m’attendais pas à une telle demande ! Puis je souris, ma foi pourquoi pas ? Catherine sous la surprise reste quelques secondes interloquée puis balbutie :— Oh ! Tu… Tu… Tu…Annie se lève d’un bond.— C’est ça ! Tu baises avec Papy, moi je m’occupe de Papa !Elle s’assied sur les genoux de son père. Sans attendre de réponse elle l’embrasse. Les mains de Fred s’égarent sur son corps. Je m’approche de Catherine prostrée dans son fauteuil.— Ma chérie…Elle m’adresse un pauvre sourire.— Viens…Je l’entraîne sur un des deux canapés…Il faut que cette étreinte soit parfaite et nous laisse un souvenir inoubliable. Avec des gestes tendres, j’ouvre le chemisier sur la poitrine nue que je parsème de petits baisers. Je note avec satisfaction qu’elle accepte la situation, je sens ma fille se décontracter peu à peu. Je fais glisser la jupe sur les hanches, le bassin. Catherine soulève les fesses juste ce qu’il faut. Elle ne porte pas de dessous. Est-ce que Fred s’en est rendu compte ? J’agace de la langue le nombril.— Hi ! Tu me chatouilles !Je m’écarte, souris à ma fille qui me le rend. En un tour de main je quitte pantalon et slip et m’installe entre les cuisses écartées.— Oh oui ! soupire Catherine.Une exclamation d’Annie me fait tourner la tête. Sur l’autre canapé le couple est aussi dénudé. La jeune fille maintient la tête de son père contre son sexe. Tout se passe à merveille. Si Catherine serre les lèvres pour ne laisser passer qu’un faible gémissement de plaisir, sa fille, elle, est plus démonstrative.— Aaah !… Ouiii! Encooore !… C’est booon !…  Aaah ouiii !J’échange un regard complice avec Fred. Nous nous sourions avant de replonger satisfaire nos partenaires…Mon gendre émerge le premier. Il installe Annie sur le canapé.— Ffuut ! Quel pied ! s’exclame ma petite-fille.J’ai de la peine à retrouver une respiration normale. J’ai l’impression d’être vidé par la fulgurante jouissance qui m’a étreint. Est-ce ma Catherine qui me fait cet effet ou plutôt que moi et mon gendre faisions l’amour avec nos filles respectives ? Catherine, elle, se trouve bien, la phase de honte éprouvée au début de l’étreinte a disparu. Elle sourit à son mari.— Alors ? interroge celui-ci. Le verdict ?— Quel verdict ?— Ben qui te fait le mieux l’amour, ton père ou moi ?— Qu’est-ce que vous avez vous les hommes à toujours vouloir mesurer, être le plus fort, le meilleur en tout ? Contentez-vous de bien faire votre travail et de nous faire jouir. De toute façon vous êtes différents et on ne peut pas comparer !— Tu as raison Maman, approuve Annie.Un silence s’installe.— Viens t’asseoir à mes coté ma chérie, invite Fred.Catherine se pelotonne contre son époux. De son coté Annie se colle contre moi.— Tu acceptes ma présence ? demande-t-elle.— Bien entendu.Nous restons tous les quatre silencieux savourant l’instant présent.— Tu sais chéri, commence Catherine, toi et Papa comme je t’ai dit, c’est pas pareil… Mais avec toi il y a quelque chose en plus, l’amour. Je t’aime… Tu m’en voudras pas Papa de ma franchise ?— Pas du tout ma puce, pas du tout.— Tu sais, lui dit Fred, ça c’est la plus belle déclaration que tu m’aies faite.Lui et Catherine s’embrassent comme des amoureux qu’ils sont encore. Annie me murmure à l’oreille :— Dis, pour quelqu’un qui a prétendu qu’il ne faut pas de secrets en famille, tu t’es bien gardé de révéler ce que nous avons fait ensemble !— Veux-tu que je leur en parle ?— Ce n’est pas utile.Je regarde ses parents se bécoter.— Est-ce qu’ils ne sont pas mignons comme ça ? lui dis-je à voix basse.— Ils me donneraient des idées, réplique-t-elle sur le même ton.En cachette elle tente d’attraper ma verge.— Oh ! Tu ne m’aimes plus ?A mon grand désespoir je suis obligé de confesser ma méforme. Je n’ai plus l’habitude de tel excès sexuels. Je me sens vieux. — Tu devrais demander à Marco de venir, dis-je à voix haute.Cela fait dresser l’oreille à Fred.— Pourquoi venir ? Ah ! Parce que entre cousins ?…— Pour ne rien te cacher.— Je savais bien que vous me réserveriez encore une surprise. Tu étais au courant chérie ?— Euh…— Bah ce n’est pas grave… Fais-le donc venir ton étalon.Annie regarde alternativement son père et moi, son grand-père. Je devine qu’elle se demande si elle doit se rhabiller. Puis, prenant sa décision, elle hausse les épaules et sort de la pièce pour revenir l’instant d’après, tirant un Marco gêné. Fred interrompt d’embrasser sa femme juste le temps de déclarer :— Fais comme tu veux.Le garçon, au début un peu éberlué, comprend vite quand il voit son oncle coucher Catherine sur le sofa et s’installer entre les cuisses. Il pousse Annie qui lui sourit, sur l’autre canapé…Je n’ai rien d’autre à faire que de comparer leur technique. Le couple formé par ma fille et son mari est plus calme, plus pondéré que l’autre couple formé par ma petite-fille et Marco. Quand ils ont terminés, je n’ai pas retrouvé la forme. Annie nous sert du coca que nous buvons. Fred s’adresse à Marco.— Elle est jolie ta tante n’est-ce pas ? Ne me dis pas que tu n’as pas eu envie d’elle de toutes les vacances.Son neveu rougit et regarde sa tante pour savoir que dire.— Euh… Oui même que… commence Catherine.Mon gendre reprend la balle au bond.— Ne me dis pas que toi et Marco… Il s’en est passé des choses pendant ses vacances !— Une seule fois, je t’assure.— Je confirme, approuve Marco. D’après ce que j’ai pu en juger, Tata est aussi bonne que Maman.— Ah ! Parce que toi et ta mère…— Oui. La première fois, ça s’est passé pour mes 18 ans. Papa et Maman m’ont offert le plus beau cadeau d’anniversaire…J’ai juste le temps d’agripper Annie qui se trémoussait sur son siège. Pour faire diversion je me mêle de la conversation.— Parce que le mien de cadeau n’était pas bien ?— Je n’ai pas dit ça. Ce jour là, quand tout le monde est parti et que Clémence est allée se coucher, ils m’ont fait venir dans leur chambre… Ils m’ont demandé comment je me débrouillais avec les filles… J’été gêné car à cette époque j’étais maladivement timide… Ils ont insisté et m’ont fait avouer que ça n’allait pas fort, que je ne savais pas comment faire… Papa a proposé que Maman me montre… Je croyais qu’ils se moquaient de moi, alors Papa a fait une démonstration avec Maman, puis j’ai du refaire sur Maman, Papa corrigeait… Puis on a terminé ensemble Maman devant et Papa derrière.— Tu baisais ta mère pendant que ton père t’enculait, n’ai pas peur de le dire, précise Fred.— C’était sensas, continue Marco. Souvent après ça, on a recommencé quand Clémence est couchée. Ils me demandent de venir dans leur chambre pour, disent-ils, une révision de mes connaissances… Ça se termine toujours pareil, Maman devant Papa derrière…Fred regarde Catherine avec envie. Ma fille fronce les sourcils.— Non !— Chérie ! S’il te plait !— Euh… On verra… Mais pas avant deux ans !Je devine qu’ils pensent à leur fils. Marco semble avoir donné des idées à Fred…— Ah ! Je comprends mieux pourquoi tu es si performant, meilleur que mes autres copains ! s’exclame Annie.— J’ai hâte d’être juillet prochain, poursuit mon petit-fils toujours dans son monde et qui ne semble pas avoir conscience de l’interruption.— Pourquoi ?— Ben c’est l’anniversaire de Clémence, elle aura dix-huit ans, et Papa et Maman ont promis que je participerai…Je m’exclame :— J’ai une idée ! Pourquoi ne pas fêter cet anniversaire ici ? Entre les deux maisons, il y a de quoi recevoir tout le monde.Fred et Catherine se regardent en souriant. Même Marco semble d’accord.— Très bonne idée, j’en parlerai à Papa.— Je m’en chargerai moi même, dis-je. Je compte descendre en ville.Maintenant que ma belle-fille commence à me devenir sympathique, je ne vais laisser ce soin à personne ! Je quitte un instant la pièce. Quand je reviens, Annie se fait besogner par Marco et Catherine se fait enculer par son mari, du moins je le suppose d’après leur position. Je ne la savais pas adepte de ce sport là, bon à savoir. Il est temps de prendre congé. Une caresse à ma petite-fille, une à ma fille et je sors. De toute façon, fatigué comme je suis, je ne leur serais d’aucune utilité…Le temps est doux, je ne me suis pas rhabillé, et rentre chez moi mes vêtements sur le bras. Au moment de fermer la porte, je regarde en arrière, quatre silhouettes nues vont vers la piscine. Ils font du bruit, pourvu qu’ils ne réveillent pas les voisins… Une lumière s’allume, ça y est ! Ils les ont réveillés ! Il est temps de faire quelque chose. Peut être des arbustes à croissance rapide et une haute palissade en attendant ? Demain je téléphone à mon pépiniériste…
Le lendemain, un coup de klaxon me réveille en sursaut. Je me lève précipitamment pour les embrasser avant leur départ. Fred est entrain de charger la voiture avec l’aide de Marco.— Va voir ce qu’elles font, me demande mon gendre. Demande-leur de se dépêcher.Je fais le tour des pièces de leur maison. Je les trouve dans la chambre d’Annie. Elles sont là à se caresser. Qu’elles sont belles ! Catherine est au dessus entrain de lécher Annie. Les fesses de ma fille m’attirent irrésistiblement. Je n’y tiens plus, dégage mon sexe et enfonce le dard dans le postérieur offert.— Aah ! Que fais-tu Papa ?— Tu en pas idée ? Ton cul est trop tentant ! Tu croyais que je n’y penserais pas ? Mauvais calcul… Han… Han… Han… Han… - Mmmmh !— Encule-la ! Tu as raison, elle aime ça ! m’encourage ma petite-fille.Je sens les doigts d’Annie à travers la fine membrane qui sépare les deux trous. C’est délicieux… Je ne résiste pas autant que je voudrais et m’épanche dans l’orifice soi-disant interdit.— Aaggrrhh !Après quelques instants de repos je déclare :— Fred vous demande de vous presser, pas de batifoler.— Ça te va bien de nous faire la morale après ce que tu as fait à Maman ! persifle Annie.Plus tard c’est le départ. Je les embrasse tous terminant pas ma petite fille.— Oh ! Tu bandes Papy ! s’exclame Annie qui n’en perd pas une.Oui je bande. Malgré la proximité d’une éjaculation, sentir ma petite fille se frotter contre moi n’est pas sans conséquence.— En voila des façons de parler à son grand-père ? sermonne ma fille.— Mais c’est la vérité, se justifie Annie, il bande !— Tenir An… Euh… Catherine dans les bras me fait toujours de l’effet, dis-je.Si Annie avait été seule dans sa chambre peut-être aurais-je pu enfin lui faire l’amour ? La chipie devine mes pensées.— Moi aussi j’ai envie de toi, me murmure-t-elle en cachette… Ce n’est que partie remise.Oui elle a raison… Ce n’est que partie remise.— Nous comptons sur ta visite… Avant l’hiver, déclare Fred.Oui, je leur réserve mes prochaines visites… Après avoir rencontré mon fils… Et ma belle-fille… Je regarde l’auto démarrer. Dommage, oui dommage que les vacances terminent. Un jour de plus, deux au maximum, et je baisais ma petite-fille…De retour dans mon salon je repense à la semaine écoulée… En plus d’avoir enfin fait l’amour à ma fille (l’épisode quand elle était jeune ne compte pas : c’était un accident), j’ai découvert que l’inceste était chose courante dans la famille et personne ne semble s’en porter plus mal ! Librement consenti c’est une chose merveilleuse… J’étouffe un petit rire : Catherine et moi étions les plus naïfs puisque ce n’est que ces derniers jours que nous avons succombé… Non pas succombé : adopté ce mode de relation. Maintenant que j’y ai goûté, je ne compte pas en rester là ! Malgré moi ma main glisse dans mon short. Ces réflexions ont réveillé mon désir. Je sors mon sexe et me masturbe en revoyant en esprit ma fille se déchainer sur moi… Personne ne vient interrompre ma caresse…
A suivre… 
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