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En vacances

Chapitre 2

Hétéro
Pris par la surveillance des grillades, Pat ne s’était pas soucié de l’absence prolongée de son invité surtout que Gen lui tenait compagnie, intéressée par la cuisson ou par la présence de son hôte.Paul réapparaissait le premier un peu gêné de ce qui s’était passé et tentait de noyer le poisson :— Alors tout va bien ? Pas besoin d’aide, demandait-il joyeusement ?— Sers-nous l’apéro, pendant que je retourne les viandes...A ce moment-là, Jenny s’approchait silencieusement, par derrière, de son ami pour se coller à lui et l’embrasser dans le cou :— Bonjour, mon lapin ! Je ne t’ai pas trop manqué ?Surpris Pat manquait de lâcher les viandes qu’il retournait justement :— Un peu mais je suis en agréable compagnie et Geneviève est une élève douée pour ce qui est    de retourner les saucisses, répondait-il malicieusement...Surprise mais pas choqué par les propos de Pat, elle rétorquait aussi vite :— C’est la meilleure cela, je n’ai même pas touché une seule viande et...A Paul de poursuivre :— C’est vrai pour ce qui est de s’occuper des saucisses, elle est une experte...— Bande d’obsédé, vous ne pensez qu’à cela vous les hommes !Jenny, par solidarité féminine, prenait sa défense :— Laisse Geneviève, les hommes sont ainsi mais le problème c’est qu’on les aime comme ils sont...
Jenny avait opté pour une minijupe rose à franche et un haut tout mimi qui mettait en valeur sa poitrine arrogante ce dont ne manquait pas de faire remarquer son ami, discrètement :— Tu sais que tu m’excites habillée ainsi ?— Je n’en doute pas, le pire c’est que tu ne peux pas oublier nos invités...— Attends ce soir...— Pourquoi pas plutôt, rétorquait-elle en s’éloignant.Un moment surpris ces paroles, il reprenait le fil de son travail avant de rejoindre ses amis et prendre l’apéro en toute tranquillité.Nous bavardions quelque peu en descendant quelques apéritifs. Il m’incombait toujours de faire cuire la viande sur le barbecue et j’avoue que je ne me débrouillais pas trop mal. En cette chaude fin d’après-midi, Geneviève m’offrait ses services afin de voir comment je pratiquais puisqu’elle n’était pas très familière de ce genre de cuisson. J’acceptais avec empressement (tu parles!) car cette brune était si bandante surtout que sa poitrine était plus grosse que celle de son amie.

Pendant ce temps-là, Paul s’occupait à mettre la table et à préparer la salade avec Jenny.C’était devenu rapidement un jeu pour eux de se frôler et il en profitait pour caresser une fesse de Jennifer. Aussitôt après, il passait une main sous le débardeur de celle-ci et lui caressait ses seins d’une façon non équivoque ce qui provoquait l’érection de ses mamelons. Paul admirait les seins pointant fièrement sous le tissu. La maîtresse de maison n’avait nullement l’intention de se libérée de cette étreinte car elle sentait gonfler contre ses jolies petites fesses, le gourdin de son amant qu’elle avait sucé quelques minutes auparavant :— Oh.Paul .j’ai temps envie que tu m’enfournes ta grosse bite.tu m’as tellement excitée tantôt .— Oui mais là, on risque de se faire surprendre.— .tant pis.il me faut quelque chose.j’ai trop envie de jouir.La jeune femme avait les mains posées sur le plan de travail, Paul se reculait un peu pour lui faire écarter légèrement les jambes.Afin de ne pas être surpris, il regardait fréquemment par la fenêtre avant d’immiscer sa main droite sous la mini jupe et d’écarter la ficelle du string que portait Jenny :— .vas-y.branle-moi.j’en meurs d’envie, lâchait la belle blonde en le regardant !!!!Les jambes de Jenny formaient un V inversé parfait, Paul l’obligeait à se pencher en appliquant sa main gauche sur le dos et ses doigts commençaient à fouiller l’intimité de sa partenaire.Les lèvres vaginales étaient déjà si humides que Paul introduisait directement son index dans le vagin mais Jenny qui était si excitée en voulait directement plus car il fallait éteindre l’incendie qui lui taraudait le bas de son ventre :— Mets en deuxième.je ne tiens plus..fouille-moi la moule..Et sans attendre, Paul lui fourrait son majeur en plus recevant l’approbation de celle qui se faisait fouillée :— Ouiiii..Vas-y..ramone-moi..— Qu’est-ce que tu peux mouiller Jenny, rétorquait Paul !!!!Excitée au plus haut point, Jennifer passait une main sous sa jupe, écartait sa culotte et commençait à titiller son clito pendant que les deux doigts de Paul bougeaient à l’intérieur du vagin de la blonde qui ne s’arrêtait plus de gémir en silence :— Hummmm.ça me fait du bien.continue bourre-moi la chatte.Les jambes de Jenny tremblaient de plus en plus, annonçant un orgasme imminent. Sa chatte, totalement épilée, était trempée et dégoulinait entre sur ses cuisses. Son corps tremblait de plaisir et n’était qu’un orgasme tout entier :— Ouiiiiiiii.encooooooooore.rempliiiiiiiiiiiiiiiiis-moi.AAAAhhhhhh.salaud !!!Jennifer reprenait difficilement ses esprits car cet orgasme, elle le voulait depuis tout à l’heure.Les doigts de son amant glissaient sans problème hors de cette fournaise et les lui montrait :— Lèche ta mouille maintenant !Elle obtempérait sans discuter car même si elle aimait Pat, Paul pourrait lui faire faire tout ce qu’il veut tellement il dégageait une envie saine de lui obéir.
Geneviève et moi, nous étions sur la terrasse et sous prétexte de mieux voir la cuisson, elle se collait à moi pendant que je disposais la viande sur la grille. Ses seins frôlaient mon bras et son ventre se frottait sur ma hanche.Elle était très excitante avec ses beaux cheveux bruns qui lui tombaient sur les épaules. Et je ne pouvais faire autrement que d’approcher ma main de sa poitrine dont je pouvais remarquer le sillon naissant fait par ses seins soutenus dans un beau soutien blanc.Loin de reculer, elle bombait le torse, sans trop de difficultés afin de mieux s’offrir. Sans hésiter, je passais la main sur son débardeur et commençais à caresser sa grosse poitrine à travers le tissu.Elle me souriait, me tendait ses lèvres que je m’empressais de recouvrir des miennes. Le baiser échangé fût un baiser passionné. J’étais vraiment très excité par cette situation inattendue que je me demandais comment allait réagir Jennifer si elle se rendait compte de ce qui se passait. Alors que j’étais à cent lieux de me douter de savoir ce qui se passait dans la cuisine.Gen caressait mon pénis par-dessus mon short et me disait en me souriant :— Je sens que le souper s’annonce très appétissant. Elle se cabrait davantage lorsque ma main se dirigeait vers son ventre et elle écartait légèrement les cuisses pour mieux permettre la caresse. Je devinais ainsi qu’elle ne portais pas de string et ma main passait sous le tissu de la jupe afin de mieux sentir sa chatte déjà toute mouillée. Je souriais de la tournure que prenait cet après-midi :— Qu’est-ce qui te fait rire, me demandait Geneviève en réajustant sa mini jupe ?— Ce qui me fait rire ? Ce qui se passe pour le moment.— Tu le regrettes ?— Non absolument pas ! Surtout que tu es très jolie et que ton physique ne m’est pas indifférent.— Je sais, je l’ai senti.et j’espère en voir plus après le dîner !!!Mais nous cessions provisoirement ces chaudes discussions pour nous diriger vers la salle à manger afin de rejoindre les autres.
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