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Vacances 2018

Chapitre 3

Erotique
Vacances 2018

Vendredi 10 Hier soir, après cette étreinte violente, Christine a porté Ophélie jusqu’à sa chambre. Elle lui a enlevé le collier puis elles se sont endormies.Réveillée ce matin, accoudée, elle regarde Ophélie.
— Comme tu es belle, ma chérie.
Sa main descend vers le cou, la poitrine, continue sa progression sur le ventre, puis plus bas. Ophélie écarte ses cuisses pour encourager la main ; aussitôt, celle-ci s’engouffre dans l’espace libéré en même temps que la bouche saisit le téton. Les doigts effleurent la toison blonde, fourragent celle-ci, détourent les grandes lèvres, investissent l’entrée poisseuse, remontent vers le clitoris qui ne cesse de grossir, et dont elle fait rouler sous son doigt, puis elle repart vers l’orée du vagin. Elle sent trembler les jambes de sa belle-sœur alors que le bassin se colle vers les doigts qui la fouillent. Ophélie pousse une sorte de râle puis roule sur le lit, le regard chaviré. Sans qu’elle puisse contrôler ses bas instincts, son désir n’est pas complètement assouvi ; sur le côté, elle présente ses fesses, dos cambré, le sexe offert.
Encouragée, électrisée, Christine repose sa main sur la fente, pousse ses doigts, s’acharne de plus en plus vite entre les jambes, dans la vulve suintante, essayant de soutenir le rythme de sa belle-sœur qui agite les reins de façon frénétique. C’est elle qui mène la danse, possédée par une faim insatiable qui la fait délirer. Christine est aux anges. Jamais elle n’a rencontré de partenaire aussi excitante et désirable, alliant fougue et perversité. Une perle rare dont elle tient à exploiter le potentiel érotique jusqu’à ses dernières limites. Aussi, elle ne cesse de fouiller lorsque sa belle-sœur est terrassée par son deuxième orgasme, encore plus dévastateur. Insensible à ses suppliques, elle active son va-et-vient, ne lui laissant aucun répit. Elle voit ses efforts récompensés lorsqu’Ophélie est éblouie par un orgasme presque simultané.
Quand son corps s’assouplit, Ophélie veut rendre ce qu’elle a reçu comme plaisir. Elle se retourne, prend la tête de Christine et plaque ses lèvres contre les siennes pour un long baiser. Elle la fait basculer à côté d’elle, se redresse sur les coudes ; puis, ses mains parcourent le cou, et caressent la poitrine ; elle se glisse ensuite sur le corps de sa belle-sœur, se penche sur ses seins pour les sucer, les mordiller, les lécher, pour enfin descendre doucement vers l’intérieur de ses cuisses.
Le visage au-dessus du sexe de sa belle-sœur, Ophélie fait une pause, la fixe avec son air malicieux puis des deux mains, elle écarte les cuisses en grand et souffle sur le coquillage ouvert. Christine frissonne, elle se sent ruisseler, puis soudain, son corps se tend lorsque sa belle-sœur pose sa bouche sur sa vulve, son orgasme monte quand son jus est aspiré, et enfin, sous les lèvres de sa chérie, suçotant son bouton, elle lâche un long cri rauque.
Les deux amantes calmées, elles s’enlacent. Elles ne parlent pas, se cajolent, s’embrassent aussi, elles savourent cet instant de douceur. Puis la faim tiraille leur estomac et d’un commun accord, elles se lèvent.La douche prise, elles déjeunent tranquillement, puis le reste de la matinée est consacré au farniente, au bronzage, à la lecture et la piscine. Elles se restaurent ensuite d’un repas léger, et Christine invite sa belle-sœur à s’habiller pour sortir. Elle veut jouer.
Une fois posé le collier, elle lui présente les vêtements et les bijoux qu’elle lui a préparés sur le lit. Un caraco, un string, une jupette, des ornements pour les seins ainsi qu’un Rosebud. Sa belle-sœur reste interdite, le regard fixé sur le plug.
— Qu’y a-t-il, Ophélie ?— C’est quoi cet objet ?— Ne me dis pas que tu ne connais pas ce jouet, c’est un plug anal.
— Non, je n’en ai jamais vu en vrai.— Il y a un début à tout. Tu verras, celui-là est confortable. Il est très petit, les sensations sont sympas. C’est un bijou pour ton beau petit cul comme les piercings sur ta poitrine.— Ce n’est pas pareil quand même !— Allez, ne discute pas, mets-le. Tu vas aimer, fais-moi confiance. Je te connais... Si tu veux, il y a du gel dans le tiroir.— Ouh !... Il ne rentre pas.
Mets plus de gel, tourne en appuyant et force un peu, il va glisser tout seul.
— Ouh.
Tu vois... Tiens ; ça, c’est un bijou pour ta poitrine. Tu attaches chaque extrémité à tes piercings et le milieu s’accroche à l’anneau de ton collier. Comme cela oui... tu es sublime. Allez, dépêche-toi de finir de t’habiller.
Les deux jeunes femmes se baladent en ville depuis une heure. Le temps est merveilleux, Christine a passé son bras sur les hanches de sa belle-sœur. Ophélie se détend doucement. Elle commence à s’habituer aux regards des passants qui la fixent. Il est vrai que son collier en cuir de sept centimètres de haut avec mousqueton et cadenas attire l’œil. Si en plus on aperçoit deux chaînes qui descendent vers la poitrine, les regards se figent, comme fascinés. Pour les initiés, la soumise est identifiée, magnifique de surcroît, elle est convoitée. Christine le voit dans les regards.
Au détour d’une ruelle, elle aperçoit la boutique qu’elle avait sélectionnée sur internet. Tatouage et piercing. Elles rentrent ensemble et Christine laisse Ophélie dans l’entrée pour discuter avec le responsable. Elle a prévu un tatouage spécial pour Ophélie, ainsi que la pose d’anneaux et piercing. Elle prend rendez-vous et choisit le tatouage ainsi que les bijoux qu’elle veut voir sur sa compagne. En sortant, Christine reste vague en lui annonçant qu’elle a vu de belles choses, mais n’est pas encore décidée du cadeau qu’elle va lui offrir.
Sur le chemin du retour, quand Christine bifurque, Ophélie se rend compte que le sentier pris les mène tout droit à la plage. Elle est anxieuse.
— C’est le chemin qui mène à la plage !— Oui bien sûr. Nous sommes en vacances au bord de la mer ; autant en profiter. J’ai envie de nager ; pas toi ? — Oui, mais... mes bijoux...— Ne t’inquiète pas pour ça, on se mettra un peu à l’écart.
Arrivée sur la plage, elles marchent quelque temps à la recherche d’un endroit propice. Christine savait très bien qu’à cette heure-ci, il y avait affluence. C’était même le but. Elle trouva donc l’endroit qu’elle recherchait, posa son sac, déplia les deux serviettes et se déshabilla.
— Allez, viens, on se pose là. On ne trouvera pas mieux !— Tu crois.— Oui, allez, déshabille-toi, je vais te passer de la crème. Je ne veux pas que tu brûles.
Ophélie enlève son caraco et au moment de descendre sa jupette, elle se rappelle qu’en dessous, elle porte un string-dentelle. Ce n’est pas un slip de bain, de plus, la ficelle qui sépare ses fesses ne cache pas le plug. Une bouffée de chaleur envahit immédiatement son visage, la honte.
— Dépêche-toi !
Christine a parlé plus fort, sciemment, vicieusement. Elle se doute que les trois couples qui les entourent à deux mètres de distance vont se retourner par curiosité. Et cela marche. Elle a attiré leur attention. Ophélie se résout à quitter sa jupette pour s’asseoir rapidement sur la serviette. Christine jubile. Ophélie est une très belle femme. Une blonde au corps sportif dont les seins en poire défient la pesanteur, doté de surcroît d’un cul de black, ne peut que retenir les regards.
— Décroche ton bijou de ta poitrine, et mets-le dans le sac... Tiens, prends le tube. Tes seins sont encore blancs... Protège-les.
Pendant ce temps, Christine appelle son frère afin de lui donner quelques nouvelles et surtout elle lui dit qu’Ophélie a son téléphone HS. Elle lui passe ensuite sa chérie. Ophélie occupée, Christine peut ainsi dévoiler un peu plus sa belle-sœur aux voyeurs. Elle se penche à son oreille :
— Mets-toi sur le ventre maintenant. Je vais te mettre de la crème dans le dos. Après, tu m’en passeras.
Christine enjambe le corps de sa belle-sœur et se place à cheval les genoux de chaque côté du postérieur, en position semi-assise sur les hanches. Elle se penche, puis étale la protection en commençant par le mollet. Elle remonte vers la cuisse en passant plusieurs fois sur celle-ci, remontant très haut jusqu’à l’entrejambe. Elle répète son manège sur la deuxième jambe en prenant son temps. Les voisins sont captivés par ce massage érotique. Les deux couples installés en prolongement aperçoivent même par intermittence l’abricot ouvert, le string en dentelle ne cachant que peu la vue du sexe. Derrière ses lunettes fumées, Christine constate combien son travail est apprécié par ses voisins. Elle continue sur sa lancée.
Elle dépose une noix de crème sur chaque fesse ; ainsi, avec ses deux mains libres, elle peut masser les globes dans tous les sens, les deux paumes dans l’intérieur des cuisses, remontant sur les fesses, ou encore sur chacune d’elles positionnées sur le haut du postérieur, et descendant simultanément sur les côtés. Appuyées légèrement sur cette chair tendre, les mains dévoilent régulièrement une pierre verte nichée au cœur de la vallée.
Les voisins ont rapidement identifié l’objet, celui-ci révèle sans conteste la présence d’une forme plus importante enfoncée dans le rectum de la blonde. La tension est perceptible. Les femmes, sous leur regard outré, envient la lubricité de cette blonde, quant aux hommes, ils ne pensent qu’à se ruer sur cette femelle pour lui faire subir tous les outrages.
Ophélie n’est pas insensible aux agissements de Christine. Le passage des mains sur l’intérieur des cuisses comme le massage des fesses l’électrisent. Son corps l’abandonne. Occupée par la conversation avec son chéri, humiliée par cette posture forcée, honteuse d’être malgré tout excitée, elle était incapable de réagir.
Durant la balade en ville, elle avait constaté des fourmillements agréables. Etait-ce cet objet envahissant son intimité, les bijoux accrochés à ses tétons ou l’exhibition due à ce collier énorme ? Elle ne savait que répondre.
******
En fin d’après-midi, les filles sont rentrées à la villa. Christine est ravie du détour par la plage. Il y avait eu la séance de massage à la crème solaire, bien sûr, puis la sortie de l’eau avec retour sur les serviettes. Christine était déjà assise à sa place quand sa belle-sœur revenait de la baignade. Elle l’avait immortalisée par de nombreuses photos. Ophélie marchant sur le sable, string transparent, vulve plus crûment exposée que si elle était nue, tétons durs, regard bas et visage écrevisse. Celle-ci n’était pas dupe de l’image qu’elle donnait, côté face et pire encore..., côté pile. Honteuse, troublée, mais aussi terriblement excitée quoiqu’elle s’en défende.
******
A la villa, elles prennent une douche ensemble. Celle-ci dure une heure pendant laquelle elles se savonnent mutuellement puis font l’amour tendrement. Toutes les deux préparent ensuite le repas, visionnent un film pour se retrouver vers onze heures dans la chambre d’Ophélie.
— Déshabille-toi s’il te plaît. On va prendre un bain.
Christine remet le collier sur Ophélie et accroche la laisse. Elle prend la cravache dans sa main gauche et de la droite, saisit la laisse pour ensuite entraîner sa belle-sœur vers la piscine. Elle l’invite à plonger, pose sa cravache sur un transat et la rejoint dans l’eau. Elle nage un moment et remonte pour préparer une boisson. Le traditionnel cocktail servi, elles le dégustent allongées sur les transats.
— J’arrive, ma chérie.
Christine s’absente pour aller chercher une barre munie de quatre menottes en cuir. Elle enlève le matelas du transat pour le mettre à terre et poser dessus la barre.
— Installe-toi, ma chérie... C’est ta surprise du soir.
Voilà, tu as compris, aux 2 extrémités, tu places tes chevilles dans les menottes. C’est parfait, maintenant, donne-moi tes mains.Tu vas voir, tu vas aimer ce jeu.Ophélie est perplexe. Assise sur le matelas, jambes écartées par la barre avec les poignets entravés au milieu, elle se demande ce que Christine a encore inventé. Celle-ci lui indique comment se mettre. Face et genoux sur le tapis, la position est inconfortable, mais ô combien excitante pour celui qui regarde une soumise qui s’offre, le cul en buse, sexe ouvert, petit trou visible ! Si Ophélie est excitée par la pose qui lui est imposée, elle mouille déjà de se sentir salope ; Christine est par ailleurs galvanisée, son plaisir n’a plus de limites.
— Que tu es belle comme ça ! J’aime te voir offerte... et toi, je parie que ça t’excite.
A ce propos, tu as aimé notre après-midi ?
—.......— Réponds-moi ! Et surtout, ne me mens pas.
C’était bien la balade
— Oui.— As-tu aimé te promener avec le plug dans les fesses ?— C’était inconfortable.— Ce n’est pas ce que je te demande, mais passons.
Tu as aimé le regard des hommes sur la plage ?
— J’étais honteuse.— Etais-tu excitée ?— Non, je me sentais humiliée.— Tu es sure.— Oui.— OK....... Attends, je reviens.
Christine revient avec le string d’Ophélie dans la main
— Tu le reconnais.— Oui, c’est mon string.— Il est tout mouillé, tu peux m’expliquer ?— C’est normal, on est allé se baigner.— Là, tu me prends pour une conne.......
Cette odeur... Tu la reconnais ?
— Euh... Oui.— Donc tu étais excitée.— Ce n’est pas ça.— Tu me mens et je te l’ai déjà dit, je ne le supporte pas. On voit même encore les marques tellement tu devais être trempée.
Pour moi, tu es une salope qui ne s’assume pas. Je vais t’apprendre à ne plus me mentir. Je veux que tu t’acceptes.
— Non, pas ça... s’il te plaît.
Ophélie a vu un bâillon-boule approcher de sa tête. Elle se doute de ce qui l’attend. La panique s’empare d’elle et les larmes coulent. Christine n’en a cure. Cette situation, elle l’a provoquée, espérant en venir à cette issue. Elle aime voir le cul de son amante striée, elle aime la contraindre. Elle lève la cravache au-dessus du derrière d’Ophélie et c’est vingt coups de puissance moyenne qui s’abattent sur ces fesses et le haut des cuisses. Les coups sont maîtrisés, et bien orientés pour donner un marquage net. Son intention n’est pas de la faire saigner, mais pouvoir l’emmener à la plage demain, trace visible, pour l’exhiber. Durant la correction, Ophélie s’époumone dans son bâillon, les larmes coulent à flots. Enfin, Christine enlève le bâillon, lui caresse le visage, défait ses liens, l’enlace tendrement en lui passant délicatement de la pommade.
— Pourquoi tu m’obliges à te punir ? J’ai horreur de ça. Je t’aime tellement.
Tout en lui parlant, Christine la détache puis la bécote partout sur son visage. Elle la câline et parvient à l’embrasser doucement au bout d’un quart d’heure. Comme Ophélie s’est calmée, Christine revient sur la journée tout en la caressant.
— Tu vois à quoi ça nous mène tout ça ?
Raconte-moi, je veux mieux te connaître. Qu’est-ce qui t’a fait réagir malgré toi ?
— Je ne sais pas. J’étais honteuse sur la plage. Mon Dieu, j’étais tellement honteuse... Et puis... Mon corps réagissait.— Il ne faut pas t’inquiéter, ma chérie, c’est ton subconscient qui parle. Tu refoules tes émotions, tu as peur de toi... Ne faut pas.
Christine continue pendant une heure à discuter, argumenter, rassurer, convaincre. Avec la douceur, la tendresse, les caresses, elle obtient enfin ce qu’elle veut. Son amante reconnaît à demi-mot avoir apprécié la balade en ville avec les regards sur elle et son collier, être honteuse de l’exhibition sur la plage et avoir ressenti des picotements dans son ventre. Quant au plug, elle ne trouvait pas désagréable d’avoir son derrière occupé toute l’après-midi, elle avait même été surprise par quelques sensations lors du massage de ses fesses.
Christine se réjouit des conséquences qu’engendrent ces révélations. Elle reformulera en temps voulu les envies refoulées. La formation de sa belle-sœur telle qu’elle l’a rêvée et espérée prenait forme. Par contre, elle n’a aucune sensibilité pour l’humiliation gratuite, la dégradation de l’être humain. Sur certains sites, elle a vu avec horreur des abjections concernant les femmes, il n’était aucunement question qu’elle entraîne sa chérie sur le chemin de l’esclavage, cela la répugne au plus haut point.
Samedi 10 Christine regarde sa compagne alanguie sur le lit, sa main caresse sa chérie.
— Tu es magnifique, ma chérie, lui dit-elle. Tu vas me rendre dingue, j’ai tout le temps envie de toi !
Ophélie rougit.Christine ne peut s’empêcher de fondre sur sa belle-sœur, lui embrasse les seins et les triture pour faire dresser les bourgeons. Elle oriente sa bouche vers la source du plaisir, puis passe une jambe par-dessus le corps, admire le fruit encore fermé, glisse les bras sous les cuisses, saisit les fesses de sa chérie, pour enfin, plonger sur le sexe qui l’appelle. La langue bien baveuse réveille rapidement les instincts d’Ophélie.
De petits soupirs remplacés assez vite par des spasmes, elle se déchaîne alors pour attraper les fesses de sa compagne, appuyer sur celles-ci et à son tour, coller sa bouche sur la vulve de Christine. Comme une affamée, elle rentre sa langue dans l’univers déjà poisseux, tournicote et aspire goulûment le jus qui s’écoule.
Toutes les deux étant agrippées l’une à l’autre, se mangeant voracement frissonnent, tressaillent et finissent par jouir violemment.Une heure plus tard...Les filles déjeunent tardivement, faire l’amour au réveil creuse. En finissant leur tasse de thé, elles discutent du programme de la journée puis se retrouvent dans la chambre d’Ophélie où Christine a disposé sur le lit un slip de bain brésilien, une jupe, un chemisier clair très échancré, le collier, la laisse et le plug. Son but aujourd’hui n’est pas que l’on voit le Rosebud, mais qu’il lui fasse de l’effet ; un beach-volley sera excellent. De surcroît, elle veut qu’Ophélie soit identifiée rapidement comme soumise dans la rue, les boutiques, comme au restaurant ; la laisse partant du collier vers le creux des seins sera bien visible à la plage, le collier plus les marques de fouet le seront tout autant.
Ophélie est dubitative devant la laisse, aussi, sa belle-sœur s’empresse de la rassurer, elle ne la portera pas sur la plage. Christine lui met le collier auquel elle ajoute la laisse. Contrairement à hier, elle lui pose elle-même le plug. Auparavant, elle lui assouplit l’œillet afin que le jouet s’insère plus facilement.
— Ouah.— Oh... Mais tu es serrée, ma chérie... Je vais prendre du temps pour te l’assouplir, ta rosette. Ça va être bon, tu vas voir.— Ah.— Tu vois, ça passe déjà mieux... Encore une minute.— Ouh.
Pour plus de fantaisie, Christine a largement enduit à plusieurs reprises de gel aphrodisiaque son index ainsi que le jouet avant de l’insérer. Enfin habillée et préparée, elle lui dit de l’attendre dans le salon, elle doit prendre l’ordinateur pour lui montrer deux trois choses. Elle commence à mieux connaître la façon dont sa belle-sœur fonctionne. Avec elle, au cœur des ébats amoureux, les mots bien choisis, souvent salaces, les insanités lubriques, ont beaucoup de chance de percer la carapace de l’éducation judéo-chrétienne.
Elle va la bousculer. Elle veut qu’elle puisse toute la journée penser à ce qu’elle va lui dire, qu’elle soit obnubilée par le plug, qu’elle fantasme... Qu’elle la supplie de s’occuper d’elle. Elle doit repousser ses inhibitions, supprimer les barrières et casser les tabous pour le plaisir de sa chérie et le sien évidemment.
Elles sont sur un site d’objet érotique. Elles naviguent un peu, puis Christine affiche la page qui l’intéresse. Elle lui montre un Strapon double. Une belle queue est attachée sur le harnais et une deuxième est présente pour celle qui le porte. Ophélie est médusée.
— Je me suis rendu compte que tu es très sensible de l’anus. Vu comme tu réagis avec un petit plug sur une journée, tu vas aimer la sodomie... Je suis persuadée que tu vas avoir des orgasmes énormes. Tu vas jouir du cul... Tu t’en rends compte !
Ophélie devient écarlate.
— Euh.— J’en suis sûre...... le plug ne te fait pas d’effet ?— Un peu.— Tu vois...
Mais comme je n’ai pas de pénis... Désolée, ma chérie... J’ai pensé à ça... Tu n’avais jamais imaginé faire l’amour avec une femme et maintenant tu adores... sentir ma langue lécher ta vulve baveuse, aspirer ton jus, croquer ton bouton, et bien sûr, agacer ta rosette... dis-moi que tu n’aimes pas quand ma langue te lèche ton petit trou ?
—........... — Tu as peur de la sodomie, mais ton cul la réclame.
Tu n’étais pas prête à offrir ton mignon petit cul à Christian, mais ça va venir tout seul. Et puis... La transgression ultime, se faire prendre par une femme te fera mouiller comme une salope.Plus j’y pense, et plus j’aurais du plaisir à t’enculer......... je vais t’assouplir la rondelle et t’enculer comme tu le mérites... Tu mérites de jouir du cul. Avoir les étoiles qui t’inondent le cerveau. Tu seras tellement belle !
Allez, viens, ma chérie, on doit partir ; on en rediscutera.Ophélie repense à cette discussion sur la sodomie. Elle n’avait jamais proposé à Christian de lui faire l’amour par cette voie et lui ne l’avait pas demandé ni sollicité pendant leurs jeux. Même ses précédents amants ne l’avaient pas prise de ce côté, elle s’y était opposée. Elle avait beaucoup de réserve quant à cette pratique. Or depuis que Christine l’a obligée à mettre ce plug, elle n’est plus très sûre de ces convictions. Dans tous les cas, pendant l’échange avec sa belle-sœur, elle avait constaté son émoi, et plus Christine évoquait le plaisir qu’elle prendrait à l’enculer, au plaisir qu’elle aurait aussi pour sa part en étant sodomisée plus elle coulait. De plus, les mots vulgaires qu’elle employait annihilaient toute protestation, comme si se faire traiter de salope, de garce ou de chienne par une femme boostait sa libido. Elle avait l’impression, à son corps défendant, que Christine la connaissait mieux qu’elle... En tout cas, elle n’arrivait pas à lui résister.
Les deux femmes se baladent depuis une demi-heure quand elles arrivent près des devantures de fringues. Christine a reconnu la boutique qu’elle avait repérée sur internet. La vitrine est sobre, compte tenu des articles qui y sont proposés, aussi c’est avec une pointe d’excitation qu’elle incite sa belle-sœur à franchir la porte. Une dame dans les cinquante ans, tout habillée de cuir, les accueille. Encouragée par son sourire charmant, Christine lui expose sa recherche.
— J’aimerais trouver de la lingerie coquine.— Vous êtes au bon endroit Madame.— Par contre... je voudrais des articles... un peu spéciaux.— D’accord...... C’est pour la dame qui vous accompagne, je présume ? — Exact.— Si vous voulez bien me suivre, nous avons un salon plus discret par là...
Mon prénom est Dayana, ce sera plus convivial. Voilà, maintenant, dites-moi ce que vous cherchez.
— Enchantée ; moi, c’est Christine... Dayana, je voudrais voir des guêpières, des sous-vêtements... Et puis peut-être... des accessoires.— Très bien, je suis sûre que vous trouverez votre bonheur. Attendez-moi quelques instants... tenez, voilà déjà ces tenues.— Déshabille-toi Ophélie, tu vas essayer... Tu m’entends, allez, à poil maintenant !
Le ton est sans équivoque, Ophélie sursaute, mais s’exécute.Pendant l’essayage, Martine éloigne sa cliente pour lui soumettre quelques conseils.
— Christine, si vous me le permettez, j’aimerais vous donner quelques idées pour votre protégée. Je les connais bien ce genre de filles.— Je suis toujours à l’écoute de bons conseils Dayana.— Les choix de tenue que vous avez faits sont excellents, le Strapon bien sûr ; par contre, je ne saurais vous recommander quelques accessoires pour son port et aussi pour parfaire sa soumission.— Je vous écoute Dayana.— Il lui faudrait pour son maintien des chaussures à talon haut. Pour ce qui est de l’obéissance, mettez-lui de temps en temps une cagoule de soumission, vous verrez, c’est magique.— Je vais suivre vos conseils Dayana. Présentez-moi les chaussures, par contre, la cagoule, je ne veux pas qu’elle la voie. Ce sera une surprise.— Encore une petite chose Christine, avez-vous pensé à la percer ?— Oui.— Je vous dis cela parce que si vous l’envisagez, je vous conseillerai d’anneler le bout du clitoris si bien sûr c’est possible. Vous verrez, elle va adorer, et puis il y a tellement de jeux avec un anneau. — Merci, Dayana, pour tous ces conseils.
Après deux heures passées dans la boutique, les sacs sous le bras, les deux femmes se dirigent vers un restaurant, elles se mettent en terrasse. Assises l’une à côté de l’autre, face aux passants, elles commandent leur repas. Pendant qu’elle sirote une menthe à l’eau, Christine pose sa main sur la cuisse d’Ophélie et doucement remonte sous la jupe.
— Alors ma chérie, elles te plaisent les tenues ?— Elles sont très osées.— Tu veux dire, très salope ? Allez, dis-le.
— Oui... tu vas me les faire porter où ?— C’est une surprise, ça va te plaire... Mais dis-moi, tu es toute mouillée !
Christine a sa main près de l’entrejambe, un doigt perdu sur la vulve.
— Ça t’a plu de te montrer nue face à Dayana... Ne dis pas le contraire... — Euh.— Desserre les cuisses... Je m’en doutais... Tu coules encore... Tu es une vicieuse...
******
En début d’après-midi, elles retrouvent la plage ; allongées sur les serviettes, elles bronzent, se reposent. Christine profite d’ailleurs de ce moment de proximité pour câliner sa chérie, laquelle devient de plus en plus réceptrice à ces attentions, puis décide de faire un Beach-Volley pour se remuer. Elle n’a pas à chercher longtemps des partenaires de jeux. Très vite, une dizaine de personnes se portent volontaires ; tous des jeunes entre vingt et vingt-cinq ans environ, avec une grande majorité de garçons. Ils forment trois équipes de quatre pour s’affronter à tour de rôle.Au bout d’une heure, voyant sa chérie au plus mal, Christine trouve une excuse pour s’arrêter et repartir à la villa, Ophélie est toute rouge.Sur le trajet du retour, bras dessus, bras dessous, les filles discutent.
— C’était sympa ce volley, ma chérie ?— Euh, oui.— J’ai l’impression que tu es sous tension ! Ton petit jouet te fait de l’effet... Tu n’as pas besoin de répondre, je le vois bien.
Tu veux que je te fasse jouir !... Je me doute après cette journée éprouvante... Sois patiente... Je vais bien m’occuper de toi, ma chérie.Arrivées à la villa, les deux filles prennent une douche ensemble. C’est un long ballet d’attouchements et de caresses pour se débarrasser de la sueur et du sel. De jour en jour, l’intimité de ces deux jeunes femmes est de plus en plus proche, cependant, c’est avec émotion et ravissement que Christine voit disparaître son mamelon dans la bouche d’Ophélie en même temps que celle-ci la doigte. Sa belle-sœur prend l’initiative de lui faire l’amour. Christine jouit sous les attentions de sa chérie ; or, elle n’accorde pas à celle-ci le retour qu’elle espère. Elle explique à Ophélie qu’elle lui a prévu une surprise, mais pour cela, même si elle est frustrée maintenant, elle doit patienter jusqu’au soir.
******
Elles viennent de prendre leur repas et se dirigent vers le salon quand Christine demande à sa belle-sœur de s’asseoir dans le canapé, de ne pas bouger. Immédiatement, l’adrénaline envahit le corps d’Ophélie, une douce chaleur irradie toute sa personne, son imagination galope, aussi, lorsque sa belle-fille revient et se place derrière le canapé, elle frissonne.
— Enlève ton chemisier.
Christine lui demande ensuite de mettre ses mains derrière son cou, lui attache les poignets avec des menottes qu’elle accroche à l’anneau au dos du collier, lui enfile la cagoule de soumise, et attache la laisse. Enfin, elle passe devant le canapé, fait lever Ophélie pour lui ôter le reste de ses vêtements et l’amener au centre de la pièce.
— Tu es très belle, ma chérie ; patiente quelques instants, je reviens !
Christine se dirige vers la porte d’entrée, patiente dix minutes, ouvre celle-ci, appuie sur la sonnette et referme la porte. Elle attend encore cinq minutes, chausse de hauts talons, prend un foulard qu’elle vaporise d’un parfum capiteux, et revient vers Ophélie. A deux mètres de celle-ci, elle enlève délicatement les escarpins, agite l’étoffe devant la tête de sa chérie, le pose à terre et se déplace pieds nus derrière celle-ci. Avant de lui placer le casque Bluetooth sur les oreilles, elle se penche pour lui dire :
— Fais-nous plaisir ; écarte un peu les jambes, ma chérie... Un peu plus... Oui, c’est parfait.
Debout au centre du salon, Ophélie est fébrile, l’attente est insupportable. Aussi, quand elle entend des chaussures de femme venir vers elle un frisson la parcourt. Elle a peur, ses jambes flageolent. Quelle est la personne dans la pièce ? Avec les écouteurs sur les oreilles, plus aucun bruit ne lui parvient à part la musique, aussi, elle cherche jusqu’au moment où son odorat décèle un parfum. Cet effluve, elle l’associe immédiatement à la boutique de ce matin, cette dame en cuir, ces yeux qui pétillent, ce regard carnassier. Que va-t-elle lui faire ? Quand soudain un objet titille sa vulve, appuie sur l’entrée de sa grotte, la quitte, puis se retrouve sur sa bouche et force l’ouverture. Ophélie l’ouvre doucement, mais ce qui se présente à elle est gros. Elle doit écarter les mâchoires aux trois quarts de ces possibilités pour y laisser pénétrer ce phallus artificiel. Une main, ou plus exactement une main gantée lui resserre les lèvres, elle doit le sucer.
Le va-et-vient ne dure que peu de temps, tout juste pour prendre connaissance avec ce jouet ; car à peine remise de cette intrusion, elle sursaute et laisse échapper un cri. Une main claque son derrière. Elle se remet à peine de cette surprise que Christine est devant elle, mains sur sa poitrine. Elle la caresse, la maltraite, la claque, puis aspire un téton, l’autre, Ophélie souffle, geint, pour enfin crier. Une pince à linge vient de se fixer sur son mamelon. Le souffle court, elle récupère lentement lorsque son deuxième sein subit le même sort, elle hurle de nouveau.
A ce stade, Ophélie ne sait pas qui lui fait quoi et surtout la cagoule l’empêche d’appréhender ce que cette femme ou Christine vont lui faire. Christine prend alors la laisse pour la conduire vers le canapé où elle la dispose, genoux sur l’assise, écartée outrageusement, tête sur le dossier. Quelques poils cachent encore le clitoris, et c’est sur lui qu’elle décide de porter son attention. Elle lubrifie son majeur avec la cyprine qui s’écoule, débusque le berlingot, le flatte puis tourne autour lentement. Rapidement, Ophélie soupire, gémit puis geint et lorsqu’elle s’apprête à jouir, Christine l’abandonne.
Elle poursuit néanmoins le programme qu’elle s’est fixé : lui faire monter le désir à la limite du supportable et la délivrer par un ou plusieurs orgasmes quand elle le décidera. Pour cela, elle passe du chaud au froid, d’empressement à lenteur, de violence à tendresse.
Les claques reprennent sur les fesses d’Ophélie. Les premières sont légères ; mais rapidement, elles deviennent sèches, les cris fusent, les larmes coulent, Ophélie supplie. Christine s’arrête enfin. Après une absence de quatre cinq minutes, les gants enduits d’huile essentielle, elle revient, caresse les fesses longuement, masse, malaxe. Elle joue ensuite avec le plug, puis, changeant de rythme, elle lui enlève pour le remplacer immédiatement par un doigt. Sans fioritures, elle l’enfonce à fond, Ophélie se cambre. Christine reste dans cette position quelques instants, entame ensuite un limage en règle, ajoute un deuxième doigt, assouplit l’œillet et recommence à la doigter lentement, puis de plus en plus vite. Encore une fois, elle cesse ces tracasseries lorsque le plaisir monte et sa belle-sœur, croupe offerte telle une femelle en chaleur, crie sa frustration.
Christine n’oublie pas pour autant sa « victime ». Elle est à point, la sarabande de jouissances peut commencer. En premier, elle lui enfonce deux doigts dans la fente humide, les agite frénétiquement ; et au moment où elle sent Ophélie partir, elle se déchaîne sur le clitoris. La jouissance éclate dans un cri, son corps se détend. Ophélie voudrait savourer cet orgasme, cependant, Christine continue à titiller son bouton en feu. L’excitation ne baisse pas. Elle coule abondamment ; aussi, sa belle-fille en profite pour saisir le phallus artificiel qu’elle enfourne d’une seule traite dans les profondeurs du vagin. Ophélie en a le souffle coupé. Elle sent maintenant l’énorme godemiché qui bouge en elle, sa vulve l’aspire, elle est remplie. Et puis, d’un seul coup, tout éclate. Elle crie sa jouissance, inonde de jute le canapé et hurle lorsque Christine lui libère les tétons des pinces à linge. Des étoiles l’envahissent.
Etendue sur le canapé, amorphe, Ophélie ne réagit même pas quand Christine lui enlève les menottes et la cagoule, c’est une poupée amorphe. Cette séance est tellement puissante qu’elle ne tient plus sur ses jambes. Sa belle-sœur est obligée de la soutenir pour l’emmener dans la chambre, l’allonger sur le lit.
Soudain, Ophélie éclate en larme, elle n’arrive pas à retenir ses émotions, se calmer. Qu’avait-elle fait ? D’un seul coup, elle trouvait avoir dépassé les limites ; elle n’assumait pas du tout son comportement, son ventre lui faisait mal, elle pleurait maintenant sans retenue.
Enfermée dans cette cagoule, elle a ressenti de la peur, de l’humiliation, mais aussi tellement d’excitation. Alors quand Christine l’a fait jouir après de longs agacements, tout son être s’est vidé. C’était tellement fort qu’elle ne se reconnaît plus, ne sait plus qui elle est, elle a peur de ses fantasmes, peur de ce qu’elle peut faire, peur de ce qu’elle peut accepter, peur de se perdre.
Les larmes ne s’arrêtent pas de couler. Elle a besoin de support, et Ophélie se tourne vers sa belle-sœur qui la prend aussitôt dans ses bras. Elle se blottit, sa tête au creux de son épaule, et pleure sans discontinuer.
Christine, assise sur le lit, se sent dépassée par les larmes d’Ophélie. Elle se penche sur sa chérie, l’embrasse, la câline puis lui enlève le collier.
— Bon, écoute Ophélie, on va arrêter le jeu.
On est en vacances pour s’amuser, je ne veux pas te faire de mal. Allez, repose-toi...Si tu veux, on pourrait faire une escapade en mer pour changer. J’ai vu hier des annonces.Je te laisse dormir, on en reparle demain matin.
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