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Vacances 2018

Chapitre 6

2éme semaine

Erotique
Jeudi Il y a un avant et un après le séjour en Tunisie. Certes merveilleuses, ces vacances compliquent cependant terriblement les choses. Christine essaye d’appréhender le retour, l’avenir avec Ophélie, cependant beaucoup d’inconnues l’empêchent de se projeter dans le futur, et ce futur se rapproche à grande vitesse, lundi, elles seront en Bretagne, au travail.
Toutes ces questions et bien d’autres, Christine les tourne dans sa tête depuis une heure. Réveillée très tôt ce matin, elle n’arrive pas à se rendormir malgré la présence de sa chérie à côté d’elle. Et justement, c’est cela qui la chagrine, très forte, ne manifestant jamais ses faiblesses, elle s’est habituée à la présence de sa belle-sœur, et plus que cela, elle a besoin d’elle. Ophélie est pour elle la douceur qui l’apaise, la présence qui la rassure, la motive, l’amour avec l’abandon de soi qui la comble. Jamais elle n’aurait cru possible avoir des sentiments aussi forts pour une compagne. Tout en elle lui plaît, sa prestance, son intelligence, sa légèreté, sa dualité entre conformisme et liberté, son tempérament passionnel, mais aussi sa beauté qui n’est pas des moindres.
Et justement, Ophélie dans son sommeil vient de se rapprocher de son amante, lovée contre Christine, elle a maintenant une jambe incrustée entre celles de sa partenaire, la moitié du corps sur son amante avec la tête blottie sur la poitrine et le bras ceinturant le ventre. Ce besoin inconscient de protection surprend Christine, mais l’enchante aussi.
Ophélie prend une telle place dans son cœur qu’elle n’envisage pas les choses changer. Ne plus être auprès de sa chérie, ne plus partager ses moments d’intimité comme de luxure serait un véritable déchirement. Elle fera tout pour la conserver auprès d’elle, elle en est sûre maintenant.
Pour l’heure, la chaleur de sa chérie dans ses bras provoque une tendresse qu’elle se croyait dépourvue, et qui plus est, le désir toujours latent renaît inexorablement. Depuis ses vacances, elle ne compte pas le nombre de fois où elle a fait l’amour avec sa chérie, le nombre d’orgasmes toujours aussi surprenants, sa libido n’a jamais été aussi forte.
Pour l’instant, Christine est encensée par ce contact charnel, elle écoute sa belle expirer calmement, apprécie le corps qui se soulève au gré de sa respiration, s’enivre des effluves du corps endormi.
Et puis sous le charme, sa main se dérobe, elle se pose sur la hanche de sa belle-sœur et remonte lentement en effleurant les reins, survolant la colonne vertébrale, elle enveloppe ensuite les épaules et finit par réveiller son amante. Ophélie entrouvre alors les paupières, émerge en savourant la caresse, elle sourit, puis inclinant sa tête vers celle de sa chérie, elle quémande un baiser.
Sans parler, elles se comprennent facilement, aussi toutes les interrogations disparaissent comme par magie, Christine concentrée sur le visage qui la regarde, s’accapare de la bouche aux lèvres suave, le baiser est tendre.
— Ma belle, réveillée !... Tu as bien dormi murmure Christine ?— Oh oui... mais la nuit fut courte.— A qui la faute !— Toi réponds Ophélie avec un grand sourire.— Je vois... En tout cas, tu m’empêches de dormir... Tu vois ou tu es là... Il va falloir que je pense à t’attacher la nuit pour que je puisse avoir un peu de place.— Non... tu ne ferais pas ça !!!— Hum... Je vais y réfléchir sérieusement... peut-être que ce n’est pas une si mauvaise idée tout compte fait !— Rrr.
— Avec toi qui me grimpes dessus... je n’arrive plus à dormir... Tu es une affreuse tentatrice.— Comme cela!!!
Ophélie frotte alors sa jambe en remontant sur le corps de sa chérie, les seins écrasés sur ceux de son amante, la tête posée sur l’épaule avec la bouche sur le lobe de l’oreille elle titille Christine.
— Mais tu es vicieuse ma belle, lance Christine... — Vicieuse comment, lui répond Ophélie en accentuant la pression de sa cuisse sur l’entrejambe.— Tu es infernale...
Échauffée par ces petits jeux amoureux, Ophélie insiste encore pour enflammer sa belle-sœur, la provoquer. Se soulevant légèrement, elle imprime un petit mouvement de va-et-vient de sa poitrine sur celle de sa partenaire, les anneaux frôlent et agacent les tétons de sa chérie, les bouts de chacune des filles se dressent inexorablement et l’excitation monte.
— Tu m’aimes, demande Ophélie en suçotant les lobes sensibles de Christine.— Hum...
Et puis, frémissante de désir, Christine retourne sa belle-sœur sur la couche, se coule sur elle, remonte un genou à l’intérieur de ses cuisses, de sa main, elle relève la jambe de son amante, et l’oblige à s’écarter fortement, elle ondule et frotte sa peau contre le mont saillant. Ophélie n’attendait que cela, faire réagir sa chérie et la pousser à la dominer, lui faire l’amour. Dans une attitude provocante et passive, Ophélie fixe sa belle-sœur et inévitablement, Christine répond en l’embrassant avec fougue. De ses deux paumes, elle enserre la tête de sa chérie, la mange, la dévore, puis glissant une main entre leurs corps, elle la dirige vers le centre du plaisir de sa compagne. Elle plonge directement deux doigts entre les lèvres écartées et sous la pénétration et les va-et-vient, sa chérie commence à souffler, elle geint même avec la rapidité du traitement.
— Tu es déjà trempée et bouillante ma belle cochonne, dit Christine.
Guidée par ses sens, Ophélie répond alors au plaisir qu’elle reçoit en incrustant délicatement sa main sous son amante, plonge un doigt dans l’antre tout aussi humide et remonte pour agacer le bonbon qui ne demande que cela. Christine est surprise par le contact, électrisée, elle se décolle en soufflant, puis se redresse, et tout en agrippant le sein de sa chérie qu’elle malaxe, elle relève la jambe droite de celle-ci, insère la sienne en dessous, fait pivoter légèrement Ophélie pour enfin incruster sa chatte sur celle de sa chérie. Ophélie a compris la manœuvre, elle se contorsionne donc pour faciliter au mieux le contact des deux monts. Elle trouve la position excitante avec leur chatte brulante l’une sur l’autre. Cette caresse de leur intimité avec de petits bruits mouillés accentue encore leur libido.
— Tu aimes ma chérie, lui dit Christine entre deux gémissements.— Oh oui...
Les mouvements des bassins viennent à intervalles réguliers solliciter, agacer les clitos. Les ondulations sont lentes, puis plus rapides, les chattes parfois s’effleurent seulement, il semble que seules les chairs humides se rejoignent. Le cœur d’Ophélie s’accélère lorsque Christine donne de petits coups de boutoirs, comme pour la pénétrer, elle écrase sa vulve sur celle de sa chérie.
— Tu aimerais être remplie ma belle salope, lui marmonne Christine entre deux gémissements.— Oh oui... j’aimerai te sentir en moi, répond Ophélie entre deux plaintes.
Ophélie pousse aussi de plus belle vers le sexe de sa chérie. De part et d’autre, la sueur commence à perler sur les corps, les joues sont rouges, et lentement mais sûrement, le plaisir monte et ensemble, elles jouissent, épuisées.Ophélie vient alors se lover contre Christine. Celle-ci sent son cœur contre sa poitrine et ses mains glissent vers le dos, la caresse.
— Ta peau est douce, dit Christine en rêvant.
Ophélie dépose alors plusieurs baisers dans le cou de sa chérie, son besoin de tendresse et d’amour est intarissable, si elle pouvait, elle serait toujours enlacée à sa belle-sœur.
— Je t’aime à la folie Christine.
Celle-ci est comblée par cet amour, cependant soit par timidité ou simplement pour ne pas se dévoiler complètement, éviter d’être déçue, blessée si sa chérie la quittait, elle exprime avec réserve ses sentiments. Christine l’aime comme elle n’a jamais aimé une autre compagne, mais inconsciemment, elle veut se protéger.
Ophélie est par contre animée d’une irrépressible envie d’être à nue face à Christine, se livrer entièrement.Depuis quelque temps, elle ne sait pourquoi son corps réagit de cette façon, cependant elle prend un plaisir extrême à se faire conduire, être dominée et ne se l’expliquant pas, son plaisir est décuplé lorsqu’elle doit obéir, de plus chaque fois que sa chérie l’oblige à sa soumettre et la contraint durement, son corps lui échappe, elle jouit comme une folle. — Allez, il faut qu’on se lève, lui répète Christine.
3 heures plus tard...Les filles viennent de terminer le repas du midi.
— Tu as envie de faire quoi cette après-midi, demande Ophélie !— Et si on allait se préparer pour profiter de la plage, lui répond Christine, qu’en penses-tu ?— Très bonne idée, on pourrait faire en plus un peu de pédalo.— Ce serait une bonne idée, mais avec ton piercing récemment installé, il est préférable que l’on évite la mer.— Oui, c’est vrai.— On peut toujours aller se bronzer à la plage et ce soir, on se baignera à la piscine.— OK ma chérie.
Arrivées dans la chambre, les filles se déshabillent pour mettre une tenue de plage.
— Laisse-moi te regarder... que tu es belle avec ce petit bijou, tu es sublime avec! Et toi tu l’aimes ?— Il faut que je m’habitue, mais oui, je le trouve beau, et puis si tu me dis que je suis belle avec, je suis encore plus heureuse...... par contre, j’ai eu très mal quand vous l’avez placé.— Oui je me doute, mais ton plaisir sera plus grand. Et puis il y aura des situations... Tiens par exemple... tu te doutes que je ne te ferais jamais cela, dit Christine en souriant... imagine que nous allions dans un magasin de vêtements et je demande à la vendeuse de te passer les sous-vêtements alors que tu es nue dans la cabine d’essayage. Mieux encore, je lui demande de vérifier par elle-même la bonne tenue du soutien-gorge, qu’elle vérifie ensuite quelles seraient les culottes les mieux adaptées à ton piercing, je crois que ta honte serait indescriptible, mais inévitablement, ta chatte deviendrait poisseuse. Tu t’apercevrais du regard de la vendeuse émue de voir le plaisir t’envahir, tu deviendrais écrevisse, l’excitation serait au paroxysme. D’ailleurs, cela me donne une idée.— Après on dira que c’est moi qui ai des idées perverses !!! Dis moi c’est quoi cette idée ?— Oh je ne te le dis pas, cela gâcherait la surprise.— Tu es une diablesse !— Oui, mais tu aimes, et moi j’adore révéler la belle salope perverse qui est en toi. — Hum... Par contre, mes piercings de seins sont un peu gros.— Mais c’est fait exprès ma chérie. Tu les remplaceras par les plus discrets après les vacances, ne t’inquiète pas. Par contre quand on s’amuse, je les veux sur toi. Ils te rappellent combien tu peux être une adorable soumise. Tu le sais que tu m’excites terriblement quand des personnes te découvrent soumise et plus encore, lorsque tu m’obéis sans restriction...— Tu es diabolique.— Dis-moi que ce n’est pas vrai.— Heu...— Dis-moi que cela ne te fait rien, que tu n’aimes pas les regards envieux sur ton corps entièrement rasé.— J’ai honte quand tu m’exhibes.— Oui... mais justement, c’est cela qui t’excite... Une BCBG qui montre son vrai visage de dépravée. En plus, tu me rends folle et cela accentue ton plaisir... Je devrais d’ailleurs te punir plus souvent pour me torturer de la sorte.—...— Tiens justement, tu m’as donné envie de jouer... Mets ton collier. Apres tu enfiles le string que je viens de t’acheter et tu te couvres avec le paréo. N’oublie pas les serviettes de plages pendant que je passe par ma chambre.
Pendant que Christine s’éloigne, Ophélie fixe le collier puis sort du sac l’achat de sa chérie. Toutes sortes de pensées l’envahissent. Elle est cependant interloquée lorsqu’elle ouvre le paquet. Elle regarde le morceau de tissus et ses joues s’enflamment lorsqu’elle aperçoit la taille du textile censé cacher son minou. Avec une certaine appréhension, elle enfile tout de même ce maillot qui ressemble à un mini-cache-sexe. D’ailleurs, elle doit bien positionner le tissu, car sa forme en goutte d’eau ne protège que l’essentiel, et encore, elle s’aperçoit que positionné, il épouse totalement son mont, le renflement est accentué, devant la glace, elle voit ce string extrême dessiner complètement ses lèvres ainsi que sa fente soulignant le relief, sa vulve est comme offerte, l’image est excitante à la limite de l’obscénité. Elle est médusée par son reflet.
Revenue de sa chambre, Christine observe sa chérie statufiée devant la glace. Nue, sa belle-sœur est d’une beauté sans pareille, mais là, il y a l’érotisme, une sensualité fascinante, une impudeur immorale, une lubricité qui inspirent la débauche. Elle est sous le charme de cette vision. De belles fesses rebondies avec une chaînette disparaissant au milieu des deux globes et le reflet du Psyché lui renvoyant des seins décorés par de magnifiques anneaux avec en bas, une vulve mise en valeur par un bout de tissus dessinant l’ensemble de ce fruit mûr. La vendeuse lui avait fait remarquer que la protection est en tulle, aussi elle devait se méfier, car s’il est partiellement couvrant en temps normal, une fois mouillé, le string se révélait totalement transparent. Ce détail en plus de sa petitesse l’avait décidé à le prendre immédiatement.
— Tu es adorablement impudique ma chérie... que tu es belle ! Allez viens vers moi, j’ai encore un petit objet à mettre au chaud.
Christine demande à sa chérie de baisser son string et d’écarter légèrement les jambes. Elle s’accroupit en face d’elle tout en lui demandant de rester droite. Elle passe le cordon de l’œuf dans l’anneau du piercing, repasse celui-ci à travers la ficelle et pousse le jouet dans le vagin de sa compagne. Ophélie est surprise lors de l’insertion, d’autant plus qu’il exerce une légère tension sur son capuchon. Par contre, Christine est satisfaite, car le cordon passe d’un côté et de l’autre de la bille de l’anneau et donc lorsque le bouton sortira de sa cachette, il sera entouré de part et d’autre par le lien avec en plus la pression de la petite boule sur lui. Elle s’attend à l’effet Kiss-cool lors de la mise en marche de l’œuf.
Tout en regardant sa chérie, elle approche sa bouche de la source du plaisir, pose ses lèvres sur le mont charnu, l’embrasse puis avec un grand sourire, se relève en remontant le string, positionne parfaitement la languette de tissus sur le sexe frémissant et ajuste le plus haut possible sur les hanches le cordon élastique du string. Elle se recule ensuite d’un pas pour admirer sa chérie et satisfaite, elle lui annonce qu’il est temps de partir.
Aujourd’hui, la plage est bondée de monde et les filles marchant entre les groupes de familles doivent faire plus de 1 kilomètre pour trouver un emplacement qui satisfasse Christine. Elle déniche enfin un endroit où les serviettes ne sont occupées que par des couples ou des adultes seuls. Elle n’a pas envie d’avoir de problèmes avec des parents soucieux de moralité qui ferait un esclandre pour protéger leur progéniture. Son choix se porte au milieu d’un groupe qui sera assez rapproché d’eux, de plus installé ici il n’y a aucun côté qui ne soit à l’abri des regards. Pour ce que veut faire Christine, l’emplacement est idéal.
Une fois les deux draps de plage installés, il ne reste que deux mètres de sable visible tout autour d’eux avant de rencontrer une serviette. L’intimité n’est pas de mise.Débarrassée de son paréo, Ophélie s’assoit sur la serviette. Elle n’est pas sereine avec l’image qu’elle renvoie, aussi, elle essaye de contrôler sa respiration face à l’émoi qui monte, occulte les regards posés sur elle, enlève son collier avec l’autorisation de sa chérie et s’allonge à plat ventre. À genoux à côté d’elle, Christine commence par lui enduire d’huile bronzante le dos puis les jambes et enfin les fesses.
— J’ai fini le dos, allez, retourne-toi, lui dit Christine penchée à son oreille, avec cette lotion, ta peau sera dorée à souhait à la fin des vacances.
Ophélie se positionne sur le dos. Elle garde ses lunettes pour ne pas laisser paraître ses émotions, car elle se doute que sa belle-sœur lui a réservé encore une fois une surprise. Son rythme cardiaque s’accentue d’ailleurs dans cette expectative. Elle attend comme elle redoute ce que lui a préparé son amante et justement, lorsque Christine commence à lui masser les seins pour bien les enduire, elle sursaute légèrement en accueillant les vibrations de l’œuf. Malicieusement, sa chérie l’a certes mis en route au niveau le plus bas, cependant son effet est pernicieux et Christine lui explique en détail ce qui va se passer. Elle adore voir l’affolement de son amante, sachant que les paroles vont transmettre immédiatement des stimulus à son cerveau, elle sera conditionnée et les effets du jouet n’en seront que plus intenses.
Arrivée sur le bas du corps, elle passe et repasse sur l’intégralité des jambes et lorsque sa main arrive sur l’entrecuisse, elle force sur les jambes bien serrées pour que celles-ci s’ouvrent.
— Ecarte tes jambes ma chérie, lui susurre Christine. Je veux que l’on puisse bien voir ton mont sous ton string. J’aime quand tu es partagée entre la honte et l’excitation. Tu vas bientôt te sentir couler et les deux filles un peu plus bas vont se régaler. Surtout, tu ne changes pas ta position, à la rigueur, tu peux relever tes jambes, mais tu ne dois pas les coller ou je serai obligée de te punir. Et puis si tu es raisonnable, je pourrai peut-être te soulager...
Ophélie n’est pas dupe. Son string est pour l’instant sec, mais elle a l’impression que cela ne va pas durer, elle se doute que cela sera visible par ses voisins, et d’ailleurs, cette réflexion lui envoie des picotements dans son ventre, ouvrant irrémédiablement les vannes, elle coule. Son visage déjà rouge devient cramoisi à cette pensée, d’autant plus qu’avec l’écartement que lui impose sa belle-sœur, ses lèvres sont ouvertes et l’afflux de cyprine va colorer son string puis le surplus s’épandra entre ses fesses. Elle ne peut endiguer le cercle vicieux qu’induit son imagination. Les vibrations dans son vagin, accentuées par la honte d’être vue, mouillant de plaisir son maillot, humiliée d’exposer ses sécrétions s’échappant sur ses fesses, Ophélie ne peut calmer son pouls.
Allongée sur le ventre, la tête posée sur ses bras croisés, Christine regarde sa chérie. Elle aime la voir se débattre avec son excitation, elle aime observer sa chérie devenir une femme lubrique déchirée par sa psyché. Pendant un quart d’heure, elle reste à côté d’elle à la regarder puis s’endort.
Au réveil, elle voit le visage de sa chérie écrevisse, puis regardant l’heure, elle s’aperçoit qu’elles sont sur la plage depuis une heure et demie. Elle s’assoit alors sur la serviette et prend dans son sac un thermos de boisson fraîche, boit de longues gorgées et le passe à sa belle-sœur qui se redresse. Dans l’intervalle, elle observe les bienfaits de l’œuf. Le string est trempé, elle voit nettement les lèvres tuméfiées ainsi que le piercing à travers le tissu devenu transparent, de même, elle remarque sans aucune contestation possible une humidité dans la raie des fesses avec des filaments tombants sur le drap de bain tout auréolé. Christine se penche alors vers sa belle-sœur et lui glisse à l’oreille :
— Tu as chaud ma chérie... en tout cas, on voit bien ta petite chatte transpirer, ton bourgeon a l’air sorti !!! Il veut s’aérer, dit-elle avec un sourire... Tu désires peut-être rentrer ?— Oh... oui, je veux bien Christine, répond Ophélie d’une voix hachée.— Alors, finis de te désaltérer et rhabille-toi. On y va.
Christine stoppe l’œuf et toutes les deux s’apprêtent à quitter leur emplacement quand une femme derrière leur emplacement se lève et s’adresse à Christine dans un français impeccable.Inès est une très belle brune étonnamment grande pour une Tunisienne. Du haut de ses un mètre soixante dix huit elle impressionne souvent ses élèves à l’université. Elle incarne la classe de la tête aux pieds. Élancée et très fine, ses hanches ne sont que peu marquées avec toutefois en contraste des seins lourds et épais dardant de grosses pointes insolentes. Elle arbore des cheveux courts de jais sur un visage anguleux avec un regard aux yeux de braise. C’est une vraie bombe incendiaire de quarante deux ans, or lorsqu’elle montre son côté sombre, on la devine sulfureuse et manipulatrice, une beauté vénéneuse.
— Accepterez-vous de prendre un rafraîchissement. Mon amie et moi serions très heureuses de faire votre connaissance. Nous sommes en vacances depuis peu et nous aimons les rencontrer.— Je ne sais pas trop.— Allez, dites oui, la seule chose que vous risquez, c’est de vous faire une nouvelle amie.— Pourquoi pas alors ? Enchantée de vous rencontrer, je m’appelle Christine et ma compagne, c’est Ophélie.— Je suis ravie que vous acceptiez, tenez, on va se mettre à une table là-bas, ce sera parfait, je crois. Ah excusez-moi, j’oubliais, moi c’est Inès et mon amie s’appelle Sana.
Se retournant, Inès s’adresse à Sana, allongée sur sa serviette :
— Tu rassembles les affaires, on va boire un verre chez Gino. Tu nous rejoins là-bas avec les sacs.
Leurs draps de plage sous le bras, main dans la main, Ophélie et Christine se dirigent vers la paillote. Inès à côté de Christine déambule tranquillement tout en babillant avec sa nouvelle rencontre, la discussion est légère, elles rient ensemble, à les voir, ce sont deux vieilles copines qui ne se sont pas vues depuis longtemps.
Arrivées au bar, elles s’assoient autour d’une petite table, l’une en face de l’autre avec Ophélie entre elles deux. D’un commun accord, elles se tutoient, commandent les boissons quand Sana les rejoint.
Cette jeune femme de vingt six ans est aussi tunisienne, mais la comparaison s’arrête là. Elle est plus petite avec ses un métré soixante et de poids inférieur à quarante cinq kilos, une ossature très fine avec néanmoins une poitrine raisonnable, des hanches fortement dessinées et des fesses pleines. Sa taille très étroite relève d’autant plus ses courbes aussi, elle apparaît comme une jeune femme aux formes voluptueuses. Encore aux études, Sana au teint très mat a les cheveux auburn qui lui tombent sur les fesses, les beaux yeux effrontés contrastent délicieusement avec la douceur innocente du visage, un air angélique et sage que dément la silhouette pulpeuse aux formes affriolantes. Ses longs cheveux qui cascadent en boucles rebelles sur les épaules ajoutent un aspect sauvage et farouche, ses tatouages de dragon dans le dos, de serpent sur l’épaule, les inscriptions diverses sur son corps assurent le coté rebelle. Et que dire de sa démarche ondulante limite provocante lorsqu’elle se déplace...
L’arrivée de Sana n’a aucunement stoppé le babillage des deux filles, elles continuent à discuter de toutes sortes de sujets. Sans évoquer ce qui les réunit, elles devinent toutes les deux leur penchant pour la domination, Inès avait bien sûr remarqué le collier que portait Ophélie à son arrivée sur la plage, Christine s’était aperçue des marques sur le postérieur de Sana ressemblant sans discussion possible à une flagellation intense des fesses.
En parlant de boutiques, elles se rendent compte avec un rire commun avoir fait la connaissance de Dayana la gérante du magasin de sous-vêtements dans la vieille ville. Inès dit à Christine combien elle apprécie la responsable et bien sûr tous les articles coquins présents en rayon ainsi que ceux moins visibles, elles échangent même des réflexions sur les produits qu’elles se sont procurés et puis machinalement, Christine sourit à l’idée qui lui vient. Elle se tourne vers sa belle-sœur et lui dit.
— A propos Ophélie, comme on est plus sur la plage, je crois que le collier ne devrait pas être dans le sac, mais sur ton cou.— Oui c’est vrai Christine. Je le remets.— C’est une médaille sur son collier, demande Inès en s’adressant à Christine.— Oui.— Je peux regarder ce qui est inscrit dessus, demande Inès à Christine.— Bien sûr Inès.— Soumise... que c’est adorable... et derrière... À Christine. Elle est très belle avec ce collier ta chérie, en plus, elle a la peau douce, lui dit-elle en caressant la joue d’Ophélie.
Surprise par la main d’Inès, Ophélie a un geste d’évitement
— Qu’est-ce qui t’arrive ma chérie... Et baisse les yeux quand je te parle... Tu n’aimes pas les attentions de notre nouvelle amie. Ouvre ton paréo pour qu’Inès voit le string que j’ai découvert chez Dayana. Ophélie... Je ne te le redirai pas deux fois dépêche-toi... Ne fais pas la prude, ça ne te va pas... recule ta chaise et assis-toi au bord les cuisses écartées. Vite.
Réticente à ouvrir son paréo dans un sursaut de fierté, Ophélie se résout toutefois à obéir. Elle est effarée par les demandes, mais le ton employé par son amante ne souffre d’aucune réplique, comme une automate, elle s’exécute. Un fard lui monte alors aux joues et son cœur s’emballe lorsque Inès et Christine discutent d’elle, de ses charmes, de ses prédispositions. Un frisson parcourt ensuite son corps à la pensée d’être corrigée ce soir. Christine n’est pas une jeune femme à oublier de tels écarts de conduite et comme ce n’est pas la première fois, Ophélie risque de s’en souvenir, sa belle-sœur lui avait précisé qu’elle avait était clémente jusqu’à maintenant, mais elle ne le serait plus à l’avenir, elle serait intraitable, même si elle n’aimait pas châtier sa chérie, elle serait obligée de le faire et Ophélie avait acquiescé.
— Regarde Ines comme ses lèvres pulpeuses sont bien dessinées avec ce maillot, on remarque aussi sa fente légèrement ouverte, j’adore... Tu ne trouves pas qu’elle fait encore plus salope qu’intégralement nue. Ouvre plus tes cuisses Ophélie afin qu’Inès puisse se rendre compte et bien voir ta jolie vulve.— Tu as raison Christine, en plus, ta soumise a l’air d’être fortement excitée... Elle mouille beaucoup...
Excitée elle aussi par le jeu qui s’est instauré avec Christine, Inès aimerait s’amuser plus intimement avec cette belle soumise, elle lui fait envie, tout son corps frissonne à l’idée de l’avoir pour une soirée tout à elle. Elle pense que sa nouvelle rencontre ne serait pas opposée à cette idée et voudrait bien la partager avec elle. Cette beauté commence à la rendre folle, elle rêve déjà de chauffer ses fesses, lui faire demander grâce en lui prodiguant tous les outrages. La tension interne est au summum alors qu’elle pense à tous les supplices qu’elle pourrait lui faire subir, néanmoins, elle doit se maîtriser pour ne pas faire transparaître ses désirs, aussi elle exprime son idée tout en douceur.
— Cela te dirait de venir manger ce soir à la maison. On pourrait passer une bonne soirée tous les quatre.— C’est très sympa Inès, mais ce soir, on ne peut pas, mais demain pas de problème.— OK ça me va. 18 heures à la maison cela te parait correct.— Oui c’est bon, envoie-moi ton adresse par texto, voilà mon n° de tel.
Christine entrevoit toutes les possibilités de jeux lors de cette soirée et elle s’en réjouit d’avance. Elle a bien remarqué le désir d’Inès pour sa chérie, même si celle-ci essaye de se contenir, elle n’est pas dupe. Ceci dit, elle compte bien par cette soirée déstabiliser sa chérie et comme elle entrevoit une personnalité très forte en la personne d’Inès, Christine présage une soirée éprouvante pour sa chérie. La Tunisienne risque de la pousser encore plus loin dans ses retranchements, et elle se demande si ce ne serait pas une bonne chose. Ines pourrait se permettre des privautés qu’elle-même ne s’autorise pas encore, ce serait un moyen de tester les limites de sa belle-sœur et mieux appréhender leur relation en fonction des réactions de son amante. Soudain, Christine réalise combien cette idée lui est venue sans réfléchir, elle se surprend, mais elle doit admettre y trouver beaucoup d’excitation.
Est-elle une dominatrice qui s’ignore, a-t-elle des désirs inavoués plus extrêmes qu’un jeu pendant les vacances. Elle a senti un bouillonnement envahir son ventre à l’unique pensée de savoir Ophélie contrainte plus durement, devoir être très obéissante, devenir docile.
— OK j’ai reçu l’adresse. Tu verras demain comme Ophélie aime lorsqu’on s’occupe bien d’elle. Par contre, c’est une braillarde dit-elle en riant aussi j’espère que tes voisins ne seront pas choqués.
Lors qu’Inès entend cette dernière phrase, elle exulte intérieurement. Elle doit faire un gros effort pour ne pas montrer à Ophélie quels démons l’habitent. Si elles connaissait ses véritables intentions, la belle soumise aurait des réticences à venir. Elle sent de nouveau les démangeaisons au bout des doigts, une onde de chaleur la submerger. Une prédatrice ayant repéré sa proie.Par contre, il est nécessaire que demain, elle puisse commencer doucement pour rassurer Christine et ensuite trouver un subterfuge pour l’éloigner avec Sana pendant deux heures environ afin qu’elle ait le temps de jouer avec Ophélie. Dans ses yeux, elle a vu la bcbg qui veut s’encanailler, une jeune femme qui a certainement vu cinquante nuances de gris et voudrait jouer à la soumise pendant les vacances. Elle va lui faire découvrir ce que c’est que l’obéissance et peut être même avec le consentement de Christine. Elle s’en réjouit déjà.
— Ne t’inquiète pas Christine, on trouvera des solutions. Je me ferai un plaisir de bien m’occuper de ta soumise. Par contre, je suis curieuse... quelle est sa couleur de cheveux et est-ce de sa propre volonté qu’elle est a le crâne rasé.— C’est une vraie blonde, mais j’adore son crâne nu. J’ai voulu qu’elle soit complètement débarrassée de toute pilosité afin qu’elle soit nue comme un bébé, qu’elle vive une nouvelle naissance en quelque sorte et en plus j’étais persuadée qu’elle serait merveilleuse, divinement féminine, profondément sensuelle et je dois te dire que le résultat dépasse de loin mes espérances, elle m’enchante de jour en jour, c’est ma déesse. — C’est vrai qu’elle est magnifique. Par contre, as-tu songé à la tatouer, lui incruster dans sa peau ton appartenance, la marquer dans sa chair. Tu as vu ma Sana a des dessins tatoués sur son corps, mais elle a aussi des écritures plus intimes. Si tu le désires, je demanderai à Sana de te montrer la marque que je lui ai fait tatouer et le message que j’ai voulu sur son corps. Cela pourrait te donner des idées.— Ce sera avec plaisir Inès.
Tout en buvant sa boisson, Ophélie ne manque rien de la discussion entre Christine et Inès. Elle est surprise de la déclaration d’amour de sa chérie, émue à en avoir les larmes aux yeux, heureuse de prendre autant de place dans son cœur, et en même temps elle est humiliée par les propos d’Inès tout en étant intriguée et attentive à l’issue de la discussion.
— Tu pourrais obliger ta chérie à porter ta signature, mais ce ne serait pas la meilleure chose. Regarde comme elle te dévore des yeux. Tu sais Christine, si elle t’aime comme je le vois, elle te proposera elle-même de se faire marquer. Elle voudra te montrer qu’elle fait partie de toi, que sa soumission est totale envers toi, et elle désirera que tu sois toujours avec elle, que tu la protèges, que tu prennes soin d’elle, un signe, une inscription gravée à tout jamais sur elle lui rappelant à vie sa dépendance à toi, son appartenance... le don de soi, l’amour suprême.
Entendant ces dernières paroles, Ophélie ne peut s’empêcher de déglutir difficilement alors que des images de symboles ou d’écriture SM viennent la hanter. Elle est horrifiée, mais son esprit est complètement anesthésié, elle ressasse les mots ; « se faire marquer, soumission totale, signes gravés par amour ». Incruster dans sa chair des écritures aussi lourdes de sens lui paraissait tellement inconcevable il y a encore deux semaines, mais aujourd’hui, tout est tellement diffèrent, elle ne sait plus où elle en est.
— Regarde, ta chérie frissonne, elle tremble.— Ça ne va pas mon amour, tu veux que l’on rentre.— Tout va bien Christine, répond Ophélie d’une voix atone. — A mon avis, relance Inès, ta chérie ne mesure pas encore la joie que serait la tienne de porter sur son corps ton tatouage. Je pense Christine que tu as une chance extraordinaire d’avoir rencontré Ophélie, d’avoir trouvé la perle rare. Je suis persuadée que lorsque tu seras seule avec elle, ta chérie te demandera dans très peu de temps ce que tu veux, ce que tu aimerais voir sur son corps et à quel endroit tu souhaiterais qu’il soit gravé, elle te suppliera de la marquer. Crois-moi Christine, je ne connais pas le passé d’Ophélie, mais ce dont je suis sûre, c’est que sa vie passe par toi... Depuis qu’elle est avec toi, son changement se manifeste de jour en jour, n’est-ce pas ?— Oui, je l’ai remarqué.— Elle ne se connaît pas encore complètement, relance Inès, elle découvre des facettes enfouies au plus profond d’elle-même. Son parcours dans la soumission n’est qu’à son début, elle a certainement peur de l’inconnu, mais son corps espère que tu lui en demanderas plus. Evidemment, il y aura quelques révoltes, c’est normal. Tu devras être forte pour ne pas céder, peut-être même la punir sévèrement pour son bien, car en définitif, elle te testera. Pour l’instant, elle refoule sa nature profonde. Je suis persuadée qu’elle fait depuis peu des rêves transgressifs qu’elle n’assume pas, elle les trouve dérangeants, elle nie certainement cette perversion qui l’habite et la hante, mais si tu l’aides sur ce chemin, elle s’épanouira, elle adorera vivre cette soumission totale et inconditionnelle à toi. Tu as commencé à la révéler, tu te dois de poursuivre pour votre bonheur à vous deux... Bon, sur ces belles paroles, il faut que l’on rentre. Je te dis donc à demain Christine.— Oui Inès. J’ai hâte de nous retrouver. Bonne fin d’après-midi.— A toi aussi.
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