Voyage en Afrique du Sud suite et fin Avec les dialogues en français suite à vos remarques, merci pour vos encouragements.
La soirée et le lendemain se passent sans que je ne rencontre ma petite blondinette, Lucy. Puis le jour suivant, elle nous accompagne lors d’une balade à cheval. Elle me sourit discrètement lorsque personne ne regarde, elle est toujours aussi sexy dans son petit pantalon d’équitation moulant. À la fin de la matinée, alors que nous avons fait plusieurs galops et que mon dos me fait un peu souffrir, elle me glisse à l’oreille en m’aidant à desseller le cheval : Je ne travaille pas cet aprèm, si tu restes au lodge on peut se voir. Avec plaisir, je ne voulais pas monter cet aprèm de toute manière... enfin de cheval je veux dire avec un clin d’il. On se retrouve au bar, j’ai une idée avec un clin d’il en retour. Elle sourit et nous nous séparons. Chacun retourne dans ses appartements, nous déjeunons, et comme prévu, je décide que je reste au lodge l’après-midi. Lorsque tout le monde est parti, je vais au lobby près du bar en libre-service, espérant retrouver ma blondinette. Une famille est dans la piscine, et ça compromet un peu les plans, mais elle doit connaître d’autres solutions. Elle arrive radieuse... un petit short ras les fesses, et une chemise cow-boy nouée sur le ventre. Elle passe derrière le bar, me propose un café. Je la dévore des yeux, et elle le sait, car lorsqu’elle se tourne pour préparer nos tasses elle remue un peu ses petites fesses, puis me regarde par-dessus l’épaule pour confirmer que je regardais bien. Puis elle se penche en avant les jambes presque tendues, ce qui fait remonter le short et un peu entrer dans ses fesses... je laisse échapper un : whaouuuu !
Elle rit, prend une bouteille de whisky, c’est ce qu’elle voulait attraper en plus de mon regard, et jette une grande rasade dans nos cafés. Elle me dit : On va s’amuser ensemble ? Volontiers, mais où ? Ne t’inquiète pas, j’ai mon idée, tu devrais aimer. On boit nos cafés en discutant un peu, car le directeur du lodge est dans le coin et il faut que notre discussion paraisse normale, même s’il n’entend pas. J’en apprends un peu plus sur elle, sa vie d’étudiante, pourquoi elle est venue ici. Elle me dit aussi qu’elle n’a pas baisé depuis qu’elle est ici, si ce n’est avec moi, et que ça lui manque. Là elle lance son plan. Et s’adresse au directeur du lodge : Fred, est-ce que le grand lodge avec la piscine et le jacuzzi est ouvert et non occupé ? Alex voudrait le voir pour une autre fois peut-être. Oui bien sûr, tu peux lui montrer, il est ouvert, et si vous voulez profiter du jacuzzi... Oh ? Ah oui... Il n’y aura personne là-bas... Là, je ne suis pas sûr qu’il soit aussi naïf que ça. Il faut dire que Lucy a plus de chance dans le tourisme que dans la comédie, et ça sonnait plutôt faux. Mais le directeur du lodge au flegme britannique donne le change, et reste stoïque, et nous encourage au final à aller nous ébattre dans le jacuzzi. Nous buvons nos cafés améliorés, bavardons cinq minutes pour donner le change et nous partons vers le fameux lodge. Il est à dix minutes à pied, isolé à souhait. Sur le chemin m’assurant de ne pas être vu, j’en profite pour caresser la chaire douce de ses fesses qui déborde du short XXS. Elle aime ça, mais me demande d’attendre. On arrive dans le lodge, magnifique, et effectivement sur la petite terrasse il y a un jacuzzi caché de tous. Elle ferme la porte de l’intérieur par précaution, et file dans le bar nous servir 2 gin-tonics... c’est magique, il y a des bars partout. Viens, peut-être que Fred a compris, mais on s’en fout ? Oui l’endroit est fabuleux, bel endroit pour te faire l’amour... Elle file sur la terrasse, pose nos verres sur le bord du jacuzzi, puis retire le peu de vêtements qu’elle avait sur elle. C’est assez rapide, son mini-string tombe avec le short, et elle est nue sous sa chemise. Trois boutons, un nud, et ses petits seins pointus apparaissent, prêts à être croqués. Je me déshabille aussi, à peine plus long, elle est amusée par mon début d’érection... Elle se blottit contre moi dans le jacuzzi, caressant ma cuisse et remontant... un peu. Je fais de même et nous continuons de discutons en sirotant le gin tonic. La discussion est un peu plus indiscrète, sur ces copains en Angleterre, ses aventures avec des hommes plus mûrs, papa des enfants qu’elle baby sit. Elle le confie plein de trucs, très facilement, en confiance ou désinhibée par l’alcool. Ses histoires, ses caresses, et la douceur de sa peau sous ma main me font bander et je commence à aventurer de plus en plus ma main droite pour mesurer son excitation. Elle répond m’encourage un peu en écartant les jambes puis les referme sur ma main, joueuse et taquine. Le gin tonic fait effet chez elle, en plus du whisky amélioré, et elle rigole de plus en plus, se frotte de plus en plus contre moi. Le jacuzzi s’arrête et elle se lève pour le relancer, ses petites fesses sont sous mes yeux, j’en profite pour les caresser, elle se trémousse sous mes mains. Je la guide pour qu’elle s’assoie sur moi. Elle sent mon sexe dur sous ses petites fesses, et bouge pour qu’il vienne se loger à la verticale entre ses deux petites noisettes fermes. Une de mes cuisses est entre les siennes, et elle les écarte pour frotter son sexe contre l’intérieur de ma cuisse. Ma main remonte sur ses petits seins en pomme, je fais rouler ses petites pointes dures sous mes doigts. Elle me tend ses lèvres pour m’embrasser goulûment. Mon autre main glisse le long de son corps, remonte sur sa cuisse, et revient par l’intérieur, en évitant soigneusement son sexe, pour la faire languir un peu. Nous échangeons longuement des caresses, elle fait bouger ses petites fesses sur mon sexe, très raide, bien logé entre ses deux petites noisettes. Ma main s’égare un peu plus vers l’intérieur et effleure son sexe, il est trempé de cyprine, elle est déjà prête à me recevoir. Je continue mes caresses avec la main, allant de son sexe à son petit trou qui semble aussi assez ouvert. M’accueillera-t-elle aussi par ici ? Elle prend les devants, se lève légèrement et vient s’empaler sur mon sexe d’un seul mouvement, dos vers moi. Effectivement, elle était très prête. Elle monte et descend sur ma tige avec beaucoup d’ardeur, je l’aide en la tenant par ses petites hanches. Elle part, très rapidement, dans un premier orgasme, peut-être pas très profond, mais violent. Waahhha, j’avais trop envie depuis tout à l’heure, et depuis ce matin, où je ne pense qu’à notre après-midi... Assieds-toi sur le bord. Je ne savais pas que tu allais partir si vite, j’espère que tu peux avoir plusieurs orgasmes à la suite. Ouiiiii. Je m’assieds sur le bord et appuyée sur mes cuisses elle me fait une merveilleuse fellation sans utiliser les mains. Faisant beaucoup d’efforts pour essayer de me prendre totalement. Tu es trop gros je n’arrive pas en entier, mais j’espère que tu aimes quand même. Oh oui, continue, j’adore... Elle continue un moment, je retiens mon plaisir, car j’ai envie de durer, et je ne suis pas sûr de rebander de suite, même si son petit cul m’inspire au plus haut point. Je la fais se relever et l’installe à ma place, penchée en arrière les fesses à moitié au-dessus de l’eau, je plonge entre ses jambes pour lécher son sexe, elle dégouline toujours de cyprine. Je vais de son petit bouton à ses petites lèvres, glissant ma langue au plus profond de son sexe. Puis je descends vers sa petite rosette pour voir sa réaction. Elle a l’air d’adorer et gémit. Je remonte vers son petit bouton, et le pouce d’une des mains qui soutient ses fesses teste l’élasticité de son petit trou. Elle a l’air d’aimer et je glisse le bout de mon pouce, lubrifié par ma salive et ses sécrétions. Elle part, alors, dans un deuxième orgasme, plus long, qui fait vibrer tout son corps. Sitôt récupéré, elle me dit : Hmmm merci, j’adore, viens. Et elle me tire par la main pour me faire sortir du jacuzzi. Elle se positionne à genoux sur une chaise longue pour m’emboucher à nouveau, j’avais légèrement perdu de ma vigueur, mais pas tant que cela. Ce qui est sûr c’est que ça revient très vite entre ses lèvres, et sa main qui caresse mes testicules. Une fois mon sexe bien raide, je la fais se tourner. Elle est toujours à genoux sur la chaise longue et je me place derrière elle debout. Je présente mon sexe à l’entrée de son sexe et celle qui d’un coup de fesses, se l’enfonce entièrement... quelle gourmande. Je la prends doucement, faisant durer le plaisir, sortant presque pour recentrer au plus profond, elle semble aimer ce traitement. Oui c’est trop bon, j’adore ta queue, oui comme ça bien au fond. Je tiens ses petites fesses, et m’aventure vers ses petits seins pour les caresser, ils sont si pointus et si durs, j’adore. Ils me rappellent les seins de mes premières aventures adolescentes. Je me retire, elle me regarde étonnée, je la fais se retourner et je la soulève, pour venir la poser sur mon sexe, debout. Bien ancrée en elle, je l’entraîne sur la table du patio. Je la pose, son petit cul au bord de la table, et la pilonne plus ardemment, ses jambes écartées entourant ma taille. Elle gémit de plus en plus. Je ne veux pas jouir de suite et je ressors pour frotter mon gland entre ses petites lèvres. Elle gémit. Hmmm j’adore, mais reviens, s’il te plaît. On a le temps. Je teste à nouveau sa petite rosette, frottant mon gland, elle glisse ses mains sous ses fesses pour les écarter en guise de feu vert. Vas-y doucement, je n’ai fait qu’une fois et tu es large. Je lubrifie bien mon gland avec ses sécrétions, puis glisse un doigt bien lubrifié, elle semble s’ouvrir très facilement. Je présente mon sexe et pousse doucement. Elle s’ouvre et mon gland franchit la porte. Elle gémit. Ça va ? Je continue. Oui vas-y j’adore, tu es doux. Je continue doucement, et entre à moitié. Je fais des petits aller et retour soulevant ses jambes et caressant son petit bouton avec mon pouce. Elle gémit, à nouveau. Continue comme ça, je vais partir à nouveau. Elle est alors secouée par un nouvel orgasme qui déclenche aussi mon plaisir et je jouis entre ses fesses. Hummmm j’ai adoré, ne rentre pas à Paris. Tu es superbe... et dis donc 3 à 1 pour toi... quel tempérament. Et encore je me suis caressée sous la douche ce matin... Je retire mon sexe, un peu souillé, mais à peine. On prend une douche à l’extérieur, dans un échange de nouvelles caresses au savon. Elle prend grand soin de nettoyer mon sexe. On retourne dans le jacuzzi, armé d’un autre Gin Tonic et on discute de choses et d’autres, elle me parle un peu de ce qu’elle veut faire en rentrant. On sort alors pour se mettre un peu au soleil sur la chaise longue. On rentre à deux lovés l’un contre l’autre. Après avoir lézardé au sommeil et m’être un peu endormi, je sens des lèvres englober mon sexe, elle s’active pour me faire retrouver de la vigueur. Je la fais basculer pour qu’elle m’enjambe et nous partons dans un 69 très tendre. Elle coule sur mon visage... décidément elle repart au quart de tour. Mon sexe est à nouveau bien raide et elle joue avec en l’embouchant puis en le léchant tout du long. Elle change de sens pour se placer au-dessus de moi et vient s’empaler. Elle se couche sur moi et bouge doucement, collée à moi, ses petits seins frottant ma poitrine. Mes mains sont sur les fesses, que je couvre entièrement, participant à son rythme. On s’embrasse, elle glisse sur moi pour s’enfoncer entièrement. Puis elle se dresse, pour que je la prenne plus profondément. Je la prends sous les fesses pour la faire monter et descendre... je vois que son orgasme est proche et le mien aussi. Encore quelques mouvements et mon éjaculation déclenche son orgasme. C’est très fort chez moi et chez elle aussi, car elle tombe sur moi et reste secouée par des vagues de plaisir. Je lui dis : Waahou... j’ai adoré, très fort. Oui moi aussi j’ai bien aimé que tu me sodomises, car je n’ai pas fait souvent et tu as été très doux pour mon apprentissage, mais là j’ai vraiment eu beaucoup de plaisir dans mon sexe. On s’embrasse et nous restons enlacés quelques longues minutes. Je crois qu’il faut que l’on retourne au lodge. Oui viens une dernière douche tous les deux. Elle m’entraîne et nous reprenons une douche-caresse... chaque centimètre de notre peau est savonné. Puis on s’essuie et on se rhabille, pour retourner au lodge. Un dernier baiser caché par la nature complice. Puis on prend un café au bar avant de se séparer. On échange nos coordonnées, au cas où un voyage à Londres pour moi ou Paris pour elle permette de nous revoir. Le lendemain je repars, et c’est la fin de ce merveilleux voyage.
L'auteur a signalé qu'il n'y aura pas d'autre chapitre pour cette histoire.
