Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 219 J'aime
  • 3 Commentaires

Vacances avec ma sœur

Chapitre 6

Fin de la première semaine

Inceste
Ce matin de notre quatrième jour de relation marquait aussi la fin de notre première semaine de vacances ensemble. Ma sœur et moi nous réveillons pratiquement en même temps. Notre premier geste fut de nous embrasser, chacun avec sa langue dans la bouche de l’autre.
Alors que je caressais le corps de ma sœur, elle descendit rapidement sa main pour saisir ma barre qui commençait à durcir. Elle commença à me masturber tout en continuant d’offrir sa bouche à la mienne. Je fis alors de même, glissant un doigt dans sa fente légèrement humide et faisant quelques va-et-vient avec mon majeur. Assez rapidement, je sentis son intimité devenir de plus en plus humide. Et après quelques minutes, ma sœur passa une jambe par-dessus ma taille, puis vint s’empaler sur mon membre cette fois-ci bien tendu. C’est la première fois que nous faisions l’amour au réveil, et c’était vraiment très agréable. Bien sûr, cela m’était déjà arrivé de le faire au lever du lit avec mes ex, donc ce n’était pas une première pour moi, mais c’est toujours une façon agréable de se réveiller.
Je la laissais me chevaucher à son rythme, posant mes mains sur ses seins ou sur ses fesses pour avoir un peu plus de contact avec son corps. Ma sœur basculait sur ma bite tout en gémissant de plaisir. Je la ramenais vers moi de temps en temps pour l’embrasser ou pour embrasser ses seins qui, lorsqu’ils n’étaient pas dans mes mains, gesticulaient devant mes yeux, m’offrant un spectacle des plus excitants. De temps à autre, j’imposais mon propre rythme, et ma sœur s’abandonnait totalement à moi. Cette divine chevauchée dura jusqu’à son terme, lorsqu’une fois de plus, je me déversais en elle.
Après ce réveil agréable, ma sœur s’allongea sur moi, mon sexe se ramollissant en elle petit à petit. Nous nous embrassons encore longuement avant de nous lever. Il était cette fois-ci plus tôt que la veille. Nous sommes partis nettoyer nos intimités couvertes des traces de notre activité matinale, puis je m’habillai rapidement, l’embrassai et quittai le mobile-home. Je partis acheter les croissants pour notre petit-déjeuner, puis en revenant, j’ouvris naturellement la porte. Ma sœur, surprise, eut le réflexe de mettre ses bras pour couvrir sa nudité.
— Ouf, c’est toi, dit-elle, rassurée, relâchant l’intimité qu’elle avait recouvert quelques secondes plus tôt.— Tu pensais que c’était qui ?— Quelqu’un qui se serait trompé de mobile-home.
Nous passons ensuite à table à l’extérieur, après que ma sœur se soit habillée. Entre café et croissants, nos bouches aimaient se rejoindre régulièrement. Le petit-déjeuner terminé, je fis la vaisselle puis nous sortons nous promener. Aujourd’hui, pas de balade en voiture, nous décidons de marcher dans les rues du village qui nous accueillait. Il est vrai que nous avions exploré les communes voisines, mais nous n’avions pas encore pris le temps de visiter notre ville hôte. Les premiers jours furent principalement touristiques, celui-ci serait plus basé sur la découverte au gré du hasard. Mains autour de la taille, et parfois ma main sur ses fesses, nous prenions donc la direction opposée à l’océan, allant donc un peu à l’intérieur des terres. Petits commerces, restaurants et autres lieux relativement basiques se raréfiaient au fil de notre exploration, laissant place aux résidences principales ou secondaires.
Puis, au hasard d’un détour, nous tombons sur un petit parc, entourant un étang. Un sentier faisait le tour de ce petit coin de tranquillité. Nous nous installons sur l’un des bancs qui se trouvent le long du sentier, puis nous échangeons de nouveaux baisers. Mains enlacées, dans ce lieu avec ma sœur, j’étais bien. Alors que tout était réuni pour m’ouvrir les yeux, je croyais, une fois de plus, que mon état était simplement dû à la paisibilité du lieu. C’est pourquoi, alors que j’aurais pu parler pour lui révéler mes sentiments, j’ai préféré me taire, l’embrassant de nouveau au lieu de lui dire ce que j’éprouvais. Après quelques minutes à nous embrasser, nous reprenions la promenade main dans la main.
Aux environs de midi et demi, nous avions désormais fini le tour de l’étang. Nous avons décidé de revenir sur nos pas pour aller manger dans l’un des restaurants aperçus quelques heures plus tôt.Le restaurant était agréable, et sans être tamisée, l’ambiance était également très calme. Il était rempli de ses habitués, comme si les touristes préféraient délaisser ce lieu pour se rendre dans des restaurants plus peuplés et bruyants. Au cours du repas, ma sœur s’absenta quelques minutes pour aller aux toilettes. En revenant, nous finissions nos assiettes naturellement, puis, après le dessert, ma sœur alla payer l’addition.
— Ce soir, c’est ma bouche qui s’occupera de toi, me dit-elle, une fois sortis du restaurant.— Pas de souci, mais pourquoi tu me dis ça ? lui demandais-je.— J’ai mes règles, donc on ne pourra pas faire l’amour.
J’avais totalement oublié de prendre en considération cette donnée lorsque j’avais choisi la date des vacances. Donc même si j’avais encore été avec mon ex, je n’avais pas pensé à calculer la date de ses règles pour que l’on puisse partir sans qu’elle soit dérangée par ce désagrément mensuel.
— Du coup, tu préfères qu’on se contente de faire des visites au lieu d’aller à la plage durant les prochains jours ? lui demandais-je.— Non, ça va aller, j’ai des tampons. Et au pire, ça ne coule pas comme une fontaine, donc même si ça saigne un peu, il n’y aura pas de marée rouge. Tu crois vraiment que parmi toutes les filles qui sont sur la plage, il n’y en a aucune qui a ses règles ?
Je ne savais pas quoi répondre. Dans ce domaine, je reconnais que j’avais de nombreuses lacunes. Je préférais laisser ma sœur décider de ce qu’elle préférait faire. Donc si elle voulait aller à la plage, nous irions à la plage.
La visite du village nous suffisant pour aujourd’hui, nous sommes donc retournés à la voiture et, au gré de la route et des panneaux publicitaires, nous avons pris la direction d’un autre lieu à visiter. Même si, d’après ce qu’elle avait dit, aller se baigner ne semblait pas la déranger, elle avait toutefois choisi de continuer les visites. Peut-être n’était-elle pas si à l’aise que cela en fin de compte.
La première visite s’avérant plutôt courte, nous décidions donc d’aller ailleurs pour découvrir de nouveaux endroits et en apprendre davantage sur la région. Finalement, le second lieu visité était ennuyeux. Ma sœur décida de finir la journée à la plage. Grâce au GPS, nous prenons donc la direction de la plage la plus proche. Ayant, comme les autres jours, mis nos vêtements de plage sous nos vêtements de ville, une fois arrivés, nous installons nos serviettes, retirons nos vêtements et allons dans l’eau. Finalement, ma sœur ne semblait pas dérangée par cette arrivée menstruelle. Nous échangeons de nombreux baisers et caresses. Et cette fois, nous restons toujours l’un à côté de l’autre. Aucun d’entre nous n’alla profiter de quelques brasses en solitaire. En réalité, la baignade n’en était pas vraiment une puisque nous passions notre temps à nous embrasser et à nous caresser. Ma sœur n’hésitait pas à baisser mon short de bain pour mieux caresser mon engin ou mes fesses.
Quant à moi, je plongeais mes mains sous son maillot de bain pour aller au contact de ses ravissantes fesses.Après un temps dans l’eau, nous sortons, toujours mains enlacées, puis allons sur nos serviettes. Ma sœur posa sa tête sur moi, puis nous restions ainsi pendant un long moment. Ma sœur ne relevant sa tête que pour déposer des baisers sur mon torse ou sur ma bouche.
Le temps passant, il était maintenant l’heure de rentrer. Nous retournions à la voiture, ma sœur prit le volant, et direction le camping. Dans le mobile-home, nous nous habillons de façon un peu moins "touristes", et nous allons au restaurant du camping.
Même si ce fut la même femme que la dernière fois qui s’est occupée de nous, ma sœur ne fit aucune remarque sur le fait qu’elle ait éventuellement pu être coiffée ou maquillée différemment (en réalité, je n’avais pas fait attention à sa coupe de cheveux ni à son maquillage la fois précédente puisque cette fille m’intéressait nettement moins que ma sœur). Nous mangeons un plat assez léger, puis nous regagnons notre toit. En arrivant, ma sœur m’offrit sa bouche tout en me dirigeant vers la chambre, puis elle me fit tomber en arrière sur le lit.
— J’ai promis de m’occuper de toi ce soir, dit-elle en retirant mon pantalon et mon boxer en même temps.
Une fois le sexe à l’air, ma sœur retira sa tunique et dégrafa son soutien-gorge, ne gardant que sa culotte sur elle. Pendant ce temps, je retirais mon t-shirt. J’étais maintenant nu, et ma sœur n’avait rien de plus sur elle que son sous-vêtement.
Elle prit mon sexe en début d’excitation dans sa bouche, ce qui le fit grandir plus rapidement. Sa langue sur mon membre me procurait un plaisir immense. Je l’encourageais par mes mots, mes gémissements, et en caressant sa tête. Ma sœur allait et venait le long de ma bite. Elle n’allait pas vite, elle prenait bien le temps de faire augmenter mon plaisir. Et elle savait très bien s’y prendre pour que je sois totalement à sa merci. Elle me contrôlait totalement, j’étais incapable de résister à sa façon de me donner du plaisir. Nul besoin de la guider sur la façon dont je préférais qu’une fille me suce, elle me faisait découvrir une nouvelle façon d’apprécier la fellation. Avant ma sœur, je croyais avoir connu les meilleures fellations par le biais d’une de mes ex, mais là, pour mon plus grand plaisir, je découvrais que je m’étais trompé.
— C’est trop bon, je ne vais plus tenir, lui dis-je.
Elle ralentit légèrement son rythme pendant quelques minutes, puis accéléra à nouveau. Emporté par le plaisir, sans la prévenir, je jouis dans sa bouche plusieurs giclées de sperme. Elle serra les lèvres, attendant que je débande dans sa bouche, puis, en se retirant de mon instrument, elle referma sa bouche, alla à la salle de bain, et je l’entendis recracher mon jus dans le lavabo. J’entendis ensuite le robinet s’ouvrir et ma sœur se rinça la bouche.En revenant sur le lit, je lui offris un tendre baiser.
— C’était... wow, ne sus-je que dire.— C’est vrai ? Tu as aimé ?— Bien sûr. C’était vraiment extra. Bien meilleur que quand tu l’as fait dans la voiture, mais ça peut se comprendre, le lieu n’était pas très confortable. Et je suis désolé de ne pas t’avoir prévenu cette fois-ci.— Merci, c’est gentil. Je ne pensais pas être aussi douée. Et c’était un peu de ma faute aussi, j’ai oublié de te demander de me prévenir.— Tes ex n’ont jamais apprécié cette façon ?— Tu sais, mon dernier ex, en dehors de la pénétration, il ne faisait pas grand-chose. Quand j’avais envie de le sucer, il me laissait une ou deux minutes, et après il voulait me pénétrer. Et quand j’avais mes règles, il trouvait toujours un truc pour ne pas que je le suce.— Je n’en reviens pas qu’il ait pu se passer de ta façon de faire. Mais si tu dis qu’en dehors de la pénétration il ne faisait pas grand-chose, ça veut aussi dire qu’il ne te léchait pas souvent.
Elle fit ce que je croyais être le signe de la victoire. Une victoire sur le plaisir qu’il lui donnait par rapport à ce dont il pouvait se passer.
— Deux fois en trois ans.— Sérieux ? Mais qu’est-ce qui a fait que tu es restée si longtemps avec lui ? Et pire encore, qu’est-ce qui a fait que tu es restée si longtemps sans parvenir à l’oublier ?— L’amour, ça ne s’explique pas. Il me comblait autrement.— D’accord. Et tes ex, ils étaient pareils ?— Disons que pour la plupart, ils pensaient plus à leur plaisir qu’au mien. Donc ils préféraient être sucés que de me lécher.
Pour la première fois, nous nous confiions sur nos expériences sexuelles passées. Et cela, sans aucune gêne.
— Et toi, tu léchais tes ex aussi souvent que tu le fais avec moi ?— Ça dépend. Ma première, je la léchais assez régulièrement, mais je ne savais pas qu’elle ne s’essuyait pas après avoir pissé. Vu que je n’avais pas d’expérience dans ce domaine, je croyais que c’était un goût normal que je finirais par apprécier avec la pratique. Mais quand je l’ai vu un jour aux toilettes sans s’essuyer, j’ai compris d’où provenait le goût bizarre, et je ne l’ai plus jamais léchée. Trois semaines après, on rompait. Ma seconde, j’appréhendais tellement de le refaire avec elle que j’ai été longtemps avant de pouvoir mettre ma tête entre ses cuisses. J’ai mis environ un an et demi, puis j’ai fini par le faire, et c’était bon. Deux semaines plus tard, je la surprenais chez elle avec un autre gars. Au total, en deux semaines, j’ai dû lui faire cinq ou six fois, et à chaque fois c’était bon. Et puis il y a toi maintenant, et vu que je sais que tu as une bonne hygiène corporelle, je n’ai pas hésité, et je ne le regrette pas.— Je suis seulement ta troisième ?— Il y a eu des femmes de passage, mais je t’ai parlé seulement de mes relations sérieuses. Mais vu qu’elles étaient toutes entre ma première et ma seconde relation sérieuse, je ne les ai jamais léchées.— D’accord. Et avec moi, c’est comment ?— Avec toi c’est très bon. D’ailleurs, la première fois, je te l’ai fait uniquement dans le but de te donner du plaisir même si je n’avais pas une grande expérience. Mais maintenant, je dois t’avouer que je le fais un peu par égoïsme. Tu as un si bon goût que j’ai toujours envie de te lécher. Et il m’arrive d’oublier si tu prends du plaisir ou pas.— Tu peux continuer à être égoïste dans ce cas, parce que tu me donnes du plaisir à chaque fois.— J’ai remarqué que tu n’avales pas. C’est parce que tu l’as fait une première fois et que tu n’as pas aimé ? Ou c’est par peur de ne pas aimer ?— C’est plus par peur, je n’ai jamais osé essayer. Si je renvoie sur le gars, il risque de mal le prendre.— Je comprends. Je pense qu’il y a plusieurs femmes qui ont la même peur.— Tes ex te le faisaient ? me demanda-t-elle.— J’ai connu ça avec quelques filles de passage, mais vu qu’elles préféraient que ça soit donnant-donnant, je n’ai pas connu ça très souvent.— Et avec moi, tu veux aussi que ça soit donnant-donnant ? m’interrogea-t-elle.— Si c’était le cas, je te l’aurais dit.
Nous parlions de sexe et du plaisir qu’on prenait l’un avec l’autre aussi facilement que deux personnes en couple, bien loin d’une conversation ordinaire qu’auraient pu avoir un frère et une sœur. Et tout en parlant, on caressait le corps de l’autre, échangeant parfois quelques baisers. Nous venions aussi de découvrir que pour le sexe oral, ni l’un, ni l’autre n’avions une grande expérience dans ce domaine.
La conversation m’excita à nouveau, et ma sœur le remarqua facilement en raison du drap qui se levait progressivement. Elle saisit ma bite avec sa main, puis, tout en me parlant, entama une lente masturbation. J’essayais de répondre dans notre dialogue, mais rapidement, je fus incapable de me concentrer sur autre chose que sur le plaisir qu’elle me donnait.
Après quelques minutes dans sa main, elle me reprit en bouche. Encore une fois, j’adorais ce qu’elle me faisait, et je m’abandonnais totalement à sa volonté de me donner du plaisir. Au moment d’éjaculer, je pris soin de la prévenir. Elle retira alors sa bouche et approcha ses seins de ma barre. Plusieurs traînées blanches vinrent recouvrir sa poitrine. Je n’avais jusqu’à présent jamais éjaculé sur le corps d’une femme. Habituellement, c’était soit dans le préservatif, soit dans le vagin, ou, dans certains cas, dans la bouche de ma partenaire.
— Désolée, me dit-elle.— Désolée pour quoi ?— Je me suis dégonflée au dernier moment. Au début, je voulais essayer d’avaler, mais après, j’ai hésité.— Ce n’est pas grave, lui dis-je en l’embrassant. Il ne faut pas te forcer. Si vraiment tu en as envie, ça viendra naturellement.
Après nous être lavés, nous finissons par nous endormir, moi nu, elle en petite culotte.
Diffuse en direct !
Regarder son live