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Vacances avec ma sœur

Chapitre 7

Inceste
La seconde semaine de vacances commença bien différemment de la première. En effet, si le jour du départ je m’étais réveillé en milieu de nuit avec un sein de ma sœur dans la main, nous étions toutefois habillés, et j’avais pris soin de retirer ma main. Mais ce premier jour de notre seconde semaine, j’étais totalement nu aux côtés de ma sœur, qui elle ne portait qu’une simple culotte. Et j’avais encore son sein dans ma main, comme c’était maintenant le cas depuis plusieurs jours, et, contrairement à ce qui s’était produit une semaine avant, je prenais maintenant soin de le conserver dans ma main.J’embrassais ma sœur à plusieurs endroits pour la réveiller en douceur et avec délicatesse. Je commençais bien sûr par quelques baisers sur la bouche, puis dans son cou, sur ses seins, ses tétons. Je remontais parfois à nouveau vers ses lèvres. En ouvrant les yeux, elle vint offrir sa bouche à la mienne. Nos langues se sont mêlées durant plusieurs minutes. Nous avons longuement échangé baisers et caresses avant de nous lever.
Une fois hors du lit et habillés, nous avons pris notre petit-déjeuner ensemble. Ensuite, le matin, nous sommes allés nous promener sur la plage, mais il était un peu trop tôt pour se baigner. Depuis que nous avons couché ensemble, j’aimais sentir son contact. Donc je n’arrêtais pas de la prendre dans mes bras et de l’embrasser sans autre raison que l’envie de la sentir contre moi. J’ignorais que je l’aimais. L’amour ne pouvait pas être aussi fort que cela. Et je pensais qu’un frère ne pouvait pas tomber amoureux de sa sœur. Pourtant, je refusais de voir cette réalité.Le midi, nous sommes allés manger dans un restaurant au bord de l’océan. En comparant notre comportement avec celui des personnes qui nous entourent, j’ai l’impression que ma sœur et moi formons un couple plus crédible que tous les autres. Il ne manquait que les mots d’amour qui restaient cloisonnés au fond de moi, refusant de voir la vérité en face. L’après-midi, ma sœur et moi avons été nous baigner. Longs échanges de baisers ponctuaient nos retrouvailles lorsque l’un de nous deux était parti profiter de quelques brasses. Et en rentrant au mobil-home, nous sommes allés sous la douche ensemble.Chacun lavait le corps de l’autre, sans avoir de limite à ne pas franchir. Ma sœur prenait donc mon sexe aussi naturellement qu’une femme peut le faire avec l’homme dont elle partage le lit. Et moi, je caressais son corps sans aucune gêne. L’eau tiède glissait sur nous pendant que nos langues dansaient ensemble. Mon érection ne dérangeait pas ma sœur qui continuait de savonner chaque partie de mon corps. Quant à moi, je passais librement mes mains sur ses zones intimes. Mais ayant ses règles, je ne m’attardais pas sur la partie centrale de son anatomie. Tout du moins, je n’y introduisais pas mes doigts.
En sortant de la douche, je restais nu, et ma sœur ne mit qu’une culotte, et nous profitions de cette "tenue" pour rester frais le plus longtemps possible. Si bien que le soir, nous avons préféré rester manger dans le mobil-home afin de ne pas avoir besoin de nous habiller pour sortir manger au restaurant du camping, donc pour environ une heure. Pâtes au thon formerait notre repas du soir.
Après avoir mangé, nous avons rejoint le lit et avons regardé un film. Ma sœur, comme à son habitude, posait sa tête sur mon torse, et y déposait parfois quelques baisers. Et comme s’il s’agissait d’un doudou, elle garda ma bite dans sa main durant toute la durée du film. Et avant de nous endormir, elle m’offrait ses talents dans la pratique de la fellation. Puis, n’étant toujours pas prête, elle alla recracher dans le lavabo de la salle de bain. Toutefois, peut-être pour commencer à s’habituer au goût, je n’entendais pas le robinet s’ouvrir pour indiquer qu’elle se rinçait la bouche. La seule autre fois où elle ne s’était pas rincer la bouche fut lorsqu’elle m’avait sucé dans la voiture, mais là, elle ne disposait de rien, donc c’était assez logique qu’elle ne se rince pas la bouche après avoir recraché. Puis elle revint dans le lit, m’offrit un nouveau baiser et s’allongea à mes côtés. Ne sachant pas si elle avait fait ça volontairement ou non, je ne lui fis pas remarquer qu’elle n’avait pas ouvert le robinet. Nous nous endormons ensemble, corps contre corps.
Le lendemain ainsi que les jours suivants se ressemblèrent. Plus de promenades que de plage, restaurants à deux midi et soir, petit film et plaisir buccal avant de nous endormir. Et là encore, ma sœur ne semblait plus ouvrir le robinet après avoir recraché. Je décidais de lui poser la question.— Ça fait plusieurs fois que je ne t’entends plus te rincer la bouche. Il y a une raison à ça ?— C’est simplement un oubli de ma part, me répondit-elle. Pourquoi ? Ça te dégoûte de m’embrasser si je ne me suis pas rincé la bouche ?— Pas du tout, je me demandais simplement si tu faisais ça pour t’habituer au goût comme tu m’as dit l’autre jour avoir envie d’essayer d’avaler.— Il y a un peu de ça aussi, mais après avoir recraché, il ne reste quasiment plus rien, donc je t’avoue qu’en terme de goût, je ne sens rien.— Et pour t’habituer, tu n’as jamais pensé à recracher un peu moins pour avoir un petit quelque chose à goûter ?— Non, je n’y ai jamais pensé.
Au soir du cinquième jour de menstruations, ma sœur m’offrit sa bouche une fois de plus avant de nous endormir ensemble. Elle alla ensuite à la salle de bain pour recracher comme elle l’avait toujours fait. En revenant dans le lit, elle me fit part de ce qu’elle venait de faire.— J’ai essayé comme tu m’as dit.— Rassure-moi, tu ne l’as pas fait juste parce que je t’ai proposé d’essayer de faire comme ça. Je ne veux pas que tu te sois sentie forcée de le faire.— Non, je t’ai dit que j’avais envie d’essayer d’avaler. Donc je l’ai fait principalement pour ça. Après, j’ai utilisé la façon que tu m’as proposée, rien de plus.— Et alors ?— J’en ai gardé un peu dans ma bouche. Peut-être environ la moitié. Et finalement, j’ai un peu senti le goût, même si ça n’en avait quasiment aucun, j’ai quand même senti un truc légèrement amer.
— Donc tu n’as pas aimé ? lui demandais-je.— Ce n’est pas ça. Du peu que j’ai pu goûter, ça allait. Mais je ne sais pas si en avalant tout, ça sera pareil.— D’accord. Dans ce cas, fais selon tes envies. Ne te force pas et ça viendra tout seul.
Mais au cours de la nuit, je fus réveillé d’une agréable façon. En effet, alors que je dormais, je sentis de doux baisers sur ma bouche, et de douces caresses sur mon corps. Puis, je sentis une main s’emparer de mon membre qui semblait être mieux réveillé que moi. En ouvrant les yeux, j’eus à peine le temps de comprendre ce qui m’arrivait que je vis ma sœur se tenir sur ma barre.— Je n’ai plus mes règles, dit-elle en me chevauchant. Et ta bite m’a trop manquée.Je ne sus quoi répondre, par conséquent, je profitais de la situation. Assez rapidement, j’étais maintenant pleinement réveillé, et je pus alors imposer mon rythme à ma sœur. Je la plaquais contre moi puis, tout en restant à l’intérieur d’elle, je nous retournais pour inverser les positions. Elle était maintenant allongée sur le lit, et je me retrouvais sur elle. Son vagin aussi m’avait manqué, et je lui fis sentir en la culbutant avec force. Ma sœur gémissait fort, tout en me suppliant de continuer. Je continuais donc vivement mes va-et-vient dans sa chatte, puis ma sœur fut prise d’un orgasme. Sa jouissance me fit exploser plus tôt que je ne l’aurais voulu, et je rempli donc son vagin de mon offrande. Épuisés, nous nous embrassons avant de continuer notre nuit. Nos corps sont encore souillés de nos sécrétions, mais nous n’avons pas la force d’aller nous nettoyer. Cela attendra bien quelques heures, le temps que nous dormions encore un peu.
Au réveil, nous filons prendre encore la douche ensemble après nous être embrassés durant plusieurs minutes. Sous la douche, après avoir rincé l’intimité de ma sœur, ma bouche vint lui rendre visite. Elle avait toujours un goût exquis, et encore une fois, je me régalais de la lécher, et elle semblait toujours aimer cette douceur intime que je lui offrais. Je jouais avec ma langue sur son clitoris, je léchais ses parois intimes sur toute leur longueur. Elle jouit sur ma langue, et je tentais de récupérer un maximum de son jus divin en mettant ma langue à l’intérieur de son vagin. Ensuite, je me relevais, sexe tendu, prêt à lui rendre visite une nouvelle fois. Ma sœur écarta davantage les cuisses, et ma tige vint à l’entrée de ce lieu prêt à l’accueillir. Et sans effort, je franchissais le pallier du plaisir. La douche étant très étroite et la cloison paraissant fine, nos mouvements furent rapidement limités, mais l’intimité du rapport sexuel nous permit également plus de proximité. Ainsi, je pris ma sœur par les cuisses et la maintenais presque en position assise dans le vide, mon membre tendu dans son vagin. Ses jambes dépassaient de la douche, mais cela n’avait pas grande importance. Même si ma sœur est légère, la porter ainsi durant plusieurs minutes tout en m’activant entre ses cuisses commençait à se ressentir au niveau de mes bras. J’accélérais donc un peu plus la cadence pour ne pas la laisser tomber avant de m’être déchargé au fond de sa grotte humide. Et après encore une ou deux minutes de rythme plus élevé, je déversais plusieurs giclées de sperme dans son antre intime. Puis je relâchais progressivement ses cuisses pour reposer ses jambes.
Après avoir fait l’amour, nous finissons de nous laver mutuellement de la tête aux pieds. Cette fois, je pouvais m’attarder plus longuement sur la partie centrale de son anatomie. En sortant de la douche, ma sœur prit une serviette avec laquelle nous nous essuyons ensemble.En quittant la salle d’eau et en revenant dans la pièce principale du mobil-home, je tirais légèrement le rideau qui avait été fermé pour la nuit. Afin de ne pas dévoiler notre nudité au voisinage, je passais juste l’équivalent de ma tête. J’avais la confirmation de nos soupçons. Il nous semblait entendre la pluie tomber sur les parois du mobil-home, et c’était effectivement le cas.— Il pleut bien, dis-je à ma sœur en laissant retomber le rideau. Je pense que pour aujourd’hui, tu peux oublier la plage. Tu veux qu’on aille où aujourd’hui ?— Dans la chambre, ça m’ira très bien, répondit-elle.— On va vite s’ennuyer en restant dans la chambre sans rien faire, tentais-je pour ne pas lui faire part des idées que cela me provoquait de nous imaginer toute la journée dans la chambre.— Je n’ai jamais dit qu’on resterait sans rien faire, insista-t-elle.Si je n’avais pas fait l’amour récemment, sa remarque m’aurait fait un effet visible immédiat, car à ce moment, j’étais séduit par sa proposition, mais elle ne pouvait pas le voir aussi facilement qu’avec une bonne érection. Donc pour lui montrer que son idée me plaisait, je lui offris un baiser tout en l’accompagnant jusqu’au lit.Allongés sur le lit dans la nudité totale, ma sœur et moi commençons une longue séance de baisers passionnés. Ses mains s’emparaient de mon sexe, tentant de le motiver pour un tour supplémentaire. Ma main caressa l’intimité de ma sœur, et petit à petit, ma tête s’abaissa et ma langue prit le relais de ma main, et je me retrouvais encore une fois la tête entre ses cuisses, m’appliquant pour tenter de faire toujours mieux que sous la douche. Ma sœur ne retenait pas son plaisir, et je me délectais de sa cyprine qui coulait en abondance sur ma langue et dans ma gorge. Petit à petit, le goût de son délicieux liquide me remit en forme. Et lorsque ma sœur serra ma tête entre ses cuisses en raison de l’orgasme qui la parcourait, je me relevais, lui montrant que j’étais à nouveau prêt pour le tour suivant. Essoufflée, elle hocha toutefois la tête pour me faire part de son consentement à une séance de fatigue agréable supplémentaire. Je glissais donc en elle jusqu’à m’enfoncer entièrement, puis j’entamais mes va-et-vient, d’abord lents, puis en alternant entre rapidité et lenteur. Comme un regain d’énergie, ma sœur ne parut presque plus fatiguée, ondulant son bassin sous mes coups de reins. Nous gémissons ensemble du plaisir que nous prenons mutuellement. Après quelques minutes, l’ondulation de son corps laissa place à une crispation d’orgasme. Ma sœur jouissait une fois de plus en raison du plaisir qu’elle prenait de faire l’amour avec moi. Quelques minutes plus tard, ce fut à mon tour de jouir au fond d’elle. Je restais allongé quelques instants sur son corps avant de me tourner pour me reposer sur le lit.— On fait ça toute la journée ? demandais-je en tentant de reprendre mon souffle et en disant cela sur le ton de la plaisanterie.— C’était un peu ce que j’avais à l’esprit, confirma-t-elle en tentant elle aussi de reprendre son souffle, mais en le disant de façon plus sérieuse.Je n’imaginais pas ma sœur aussi coquine, et plus je découvrais de choses sur elle, plus je l’aimais sans m’en rendre compte. Ce jour-là, la pluie s’est arrêtée en début d’après-midi, mais une promesse devant être respectée, nous ne sommes pas sortis de la journée, restant tout le temps nus et faisant l’amour à sept reprises. Et nos seules sorties du lit furent pour les besoins naturels et pour manger ou boire un rafraîchissement. Toutefois, lors de cette journée, nous avons eu un huitième rapport sexuel. Cette fois-ci, ma sœur me suça. Sans avoir besoin de la prévenir, je déchargeais mon plaisir dans sa bouche. Pour la première fois, ma sœur ne prit pas la direction de la salle de bain, mais resta sur le lit. Elle s’allongea sur le dos en gardant la bouche fermée, me regarda pendant quelques secondes. Elle semblait hésiter entre rester sur le lit ou aller à la salle de bain. Je ne cherchais pas à l’inciter à faire quoi que ce soit. C’est pourquoi je la caressais en lui disant qu’elle pouvait se relever à tout moment. Finalement, elle avala ce que sa bouche contenait. Pour la féliciter de cette première fois, je lui offris un baiser en glissant ma langue dans sa bouche. Ne voulant pas paraître trop curieux, je ne lui posais pas de question.— Finalement, ça va, dit-elle après un court silence.— Je suis content que cela te convienne. Mais tu sais, tu n’as pas besoin de me dire ça si tu ne le penses pas. Je préfère que tu recraches si tu dois te forcer à avaler.— Non, je t’assure, je ne me suis pas forcée. J’ai juste un peu hésité parce que j’avais l’impression que ça faisait beaucoup, mais sinon j’avais vraiment envie de le faire.Nous nous sommes ensuite reposés avant le tour suivant.
Le lendemain, après une courte nuit, nous avons, une fois de plus, fait l’amour au réveil. Mais contrairement à la veille, ce fut notre seule fois avant de le refaire dans la soirée au moment de se coucher. Le reste de la journée, nous faisions ce que nous avions l’habitude de faire au quotidien, promenade, plage et restaurant. Lorsque je ne la prenais pas dans mes bras, c’est ma sœur qui cherchait à venir contre moi. Malgré tous les signes, je ne remarquais pas non plus ses sentiments réciproques à mon égard. Le temps était plus agréable que la veille, mais la plage, bien que très fréquentée, semblait moins remplie que les autres jours. Ce n’est pas vraiment ce qui comptait le plus en réalité. En effet, qu’il y ait du monde ou pas, je n’avais besoin que d’une seule personne pour profiter pleinement de ce moment.
En revenant au camping, nous nous sommes habillés pour aller au restaurant. Après cela, il ne restait plus qu’une seule journée à profiter avant de rentrer et de retourner chacun chez soi. De ce fait, sans vraiment savoir ce qui nous attendait le lendemain, nous prenions notre dernier repas au restaurant du camping. Ignorant encore que nous n’y retournerions pas le lendemain, nous n’avions pas fait d’effort sur nos tenues vestimentaires, même si je le reconnais, nous n’avions pas pris de "tenues de soirée" pour partir en vacances puisqu’il n’était pas prévu que je passe des tête-à-tête romantiques avec ma grande sœur.De retour au mobil-home, je n’ai pas sorti l’ordinateur. J’ai simplement eu envie de faire l’amour à ma sœur. Et c’est ce que nous avons fait avant de nous endormir l’un contre l’autre.
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