Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 210 J'aime
  • 8 Commentaires

Vacances avec ma sœur

Chapitre 9

La suédoise de nos retrouvailles

Inceste
Après que ma sœur soit partie de chez moi dans une colère que je ne comprenais pas encore, j’étais au plus mal. Pour la première fois de ma vie, je connus la tristesse d’une rupture. Je me rendis compte alors que je n’avais jamais aimé mes ex auparavant, et que je n’avais jamais aimé tout court. En effet, même lorsque j’ai surpris ma dernière ex avec l’autre homme, je ne ressentais pas la même douleur que celle de cette séparation avec ma grande-sœur.
Quelques jours plus tard, je retournai voir mes parents pour leur parler de nos vacances. Bien sûr, je mis de côté la partie sentimentale pour ne parler que des moments passés entre frère et sœur. Pendant notre conversation, ma sœur fit également son apparition. Partir maintenant aurait risqué de les rendre douteux. Par conséquent, je restai chez les parents malgré la présence douloureuse de ma sœur. Je continuais de raconter nos vacances, et ma sœur, malgré cette séparation, ne dit que du bien de nos vacances. Elle n’hésita pas non plus à dire que je m’y étais pris de la meilleure façon pour lui faire totalement oublier son ex. Cette phrase me mit un peu mal à l’aise, sachant ce qui s’était passé entre nous. Je savais très bien qu’elle parlait du côté sexuel de nos vacances, mais nos parents n’ont jamais soupçonné la vraie raison de cette page tournée.
Au contraire, ils étaient contents que ma sœur ait pu profiter pleinement des vacances et qu’elle ait pu oublier son ex-compagnon qui l’avait rendue si triste. Mais pour moi, sa présence était une vraie torture. L’envie de la serrer dans mes bras et de l’embrasser me rongeait.
Les jours suivants, j’étais au plus bas. Je repensais constamment à ma sœur, à mes sentiments pour elle, et à cette rupture. La possibilité de la revoir si souvent chez les parents serait une épreuve très difficile. Comment passer à autre chose quand l’objet de notre désir est si présent dans notre vie ?
Heureusement pour moi, la semaine suivante, je reprenais le travail, ce qui permit de moins penser à ma sœur. Le premier jour de travail, en rentrant dans cet appartement bien vide, je ne pus m’empêcher de repenser à elle. Par conséquent, les jours suivants, afin d’y penser moins souvent et d’être un peu moins triste, je faisais des heures supplémentaires. Quatre heures, cinq heures de plus par jour, je ne comptais pas le temps passé au travail, mais cela marchait assez bien durant cette période. Mais à chaque fois que je rentrais chez moi, l’envie de la retrouver me reprenait, ce qui m’attristait à nouveau. En quelques semaines, je sombrais de plus en plus vers des abysses dont j’ignorais la profondeur. Fort heureusement pour moi, peut-être la pensée d’être à nouveau réunis un jour, je ne pensais pas à m’autodétruire. J’étais simplement de plus en plus triste.
Un premier mois était passé, et j’ai tenté tant bien que mal de l’oublier dans les bras d’une autre. Finalement, j’y parvins très mal puisque lorsque la fille avec qui j’étais fut prête pour passer à l’étape suivante, je connus la panne sexuelle pour la première fois de ma vie, à seulement 24 ans (et c’est toujours la seule panne à ce jour). J’ai prétexté que j’étais troublé par sa beauté, mais en réalité, je n’avais simplement pas envie d’elle. La seule dont j’avais réellement envie faisait partie de ma famille. Cette excuse ayant probablement séduit davantage cette fille, elle m’offrit une nouvelle chance quelques jours plus tard. Cette fois-ci, j’ai trouvé le sexe banal et sans plaisir. Ma sœur surpassait largement cette pauvre fille qui, je pense, a fait de son mieux pour me donner du plaisir, mais cela n’a malheureusement (pour elle) pas suffi.
Après cette fille, j’avais décidé de mettre un terme aux relations sans lendemain. Si un jour je parvenais à trouver une fille qui me fasse oublier totalement ma sœur, alors je pourrais envisager de coucher avec elle. En attendant, je restais seul.
Cela faisait environ trois mois que ma sœur et moi étions rentrés de nos vacances, et, pour ne plus souffrir, je ne suis jamais retourné chez les parents, ni même chez elle, trouvant toujours l’excuse de la surcharge de travail ou d’une sortie prévue entre amis, préférant ainsi rester dans ma tristesse plutôt que de risquer de revoir ma sœur et d’être encore plus triste qu’avant.Un jour, ma sœur m’appela au téléphone. La conversation fut assez banale, comme si elle était passée à autre chose et que ce qui s’était passé entre nous n’était qu’une sorte de supplément durant les vacances.
— Salut petit frère, commença-t-elle. J’ai mon armoire qui fatigue de plus en plus, elle n’est pas loin de me lâcher. Ça te dirait de venir avec moi pour que j’en achète une autre ce week-end ?— Ce week-end, j’ai une sortie prévue avec des potes, tentais-je d’esquiver.— Et tu dois les voir à quelle heure ?— Samedi, dans l’après-midi, je ne sais pas encore quand.— Dans ce cas, on pourra aller au magasin le matin.
J’étais maintenant pris au piège. Comment m’échapper de cet étau qui se resserrait sur moi ? À un moment, j’allais forcément être seul avec elle, et il faudrait que je lutte fortement pour ne pas être tenté de la serrer dans mes bras et de l’embrasser.
Le samedi arriva, et bien malgré moi, je pris la direction de la tentation. Je fis mon apparition chez ma sœur quelques minutes plus tard. En ouvrant sa porte, elle hésita quelques secondes, puis me tendit sa joue. L’espoir de la "reconquérir" s’amenuisait de plus en plus par ce simple geste. Nous prîmes sa voiture et allâmes au magasin. Là encore, aucun geste qui sorte de l’ordinaire. Pas de déambulation dans les allées du magasin en se tenant par la main, rien de plus que deux personnes qui marchaient l’une à côté de l’autre.
Ma sœur finit par trouver l’armoire qui lui plaisait le plus, puis passa en caisse. Une fois achetées, nous mîmes les cartons qui la composaient dans la voiture puis reprîmes la direction de son appartement. Étant assez lourds, nous montions les cartons ensemble dans les escaliers. Puis, ma sœur me proposa de l’assembler tous les deux. Elle n’avait pas l’air très difficile à monter, seulement elle comportait de nombreux éléments qui rendaient l’assemblage un peu long, donc j’aurais pu y arriver seul, mais ensemble, le temps serait plus court.
Il nous fallut toutefois environ deux bonnes heures à nous deux pour l’assembler et ensuite nous l’avons mise là où ma sœur souhaitait. Puis, une fois terminée, ma sœur passa ses bras autour de mon cou.
— Merci, petit frère, c’était vraiment sympa de ta part.
Ce geste, cette proximité, j’étais trop faible et la tentation était trop forte. Je posai d’abord mes mains sur ses hanches, puis je me rapprochai d’elle petit à petit. Je déposai d’abord un premier baiser furtif sur ses lèvres, puis, moins d’une seconde plus tard, un second baiser plus passionné. Ma sœur ouvrit ses lèvres pour laisser nos langues se retrouver. Pendant que l’on s’embrassait, je la poussais en direction du lit. Elle ne semblait pas m’opposer de résistance. Le long de ces quelques mètres, nos bouches se séparèrent quelques fractions de seconde, le temps que je retire le pull de ma sœur. Là encore, je ne fus pas stoppé. Elle retira alors le mien également en même temps que mon t-shirt. Le pied du lit atteint, nous n’avions plus de vêtements sur la partie haute de nos corps. Je déboutonnais son pantalon, puis je fis glisser ma main sous son string et vins chercher l’entrée de sa grotte avec mes doigts.
Elle était déjà bien trempée, et je n’eus aucun mal à glisser deux doigts en elle. Pendant ce temps, ma sœur avait également déboutonné mon pantalon et avait empoigné ma barre qui était déjà bien dure. À ce moment, nos derniers vêtements tombèrent. Allongée sur le dos, ma sœur semblait de nouveau offerte à moi. Sexe tendu à l’entrée de son vagin, je donnais le coup de reins qui me fit pénétrer son anatomie pour la toute première fois depuis trois mois. J’étais maintenant en elle, et il semblait clair que ni l’un ni l’autre ne voulions arrêter. Dès les premières secondes, je retrouvais le plaisir de faire l’amour. Je prenais vraiment plus de plaisir avec elle qu’avec n’importe quelle autre femme. Et après moins de cinq secondes, ma comparaison avec ma dernière partenaire s’arrêtait. J’avais déjà pris nettement plus de plaisir. Je profitais maintenant de chaque instant, cherchant toujours à aller au plus profond de ma sœur à chaque coup de reins.
J’étais dans un autre univers à cet instant, transporté par le plaisir intense que représente le sexe avec la personne qu’on aime. Rien d’autre ne comptait. Ma sœur gémissait aussi de me sentir en elle, comme si pour elle aussi, cet instant était comme une libération après les trois derniers mois. Tout en lui faisant l’amour, je l’embrassais, et nos langues se mêlèrent à chaque baiser que nous échangions.
Presque comme s’il s’agissait de ma première fois, je ne mis pas longtemps à me répandre en elle. En deux ou trois minutes intenses, j’avais joui. Comparé aux fois précédentes, j’avais mis nettement moins longtemps à atteindre l’orgasme, et ma sœur n’a pas pu atteindre le sien. Toutefois, comme un retour à la réalité, après avoir éjaculé au fond de son vagin, je me suis mis à me dégoûter. J’avais honte de ma faiblesse, car j’imaginais que ma sœur s’était offerte à moi pour simplement me remercier de l’avoir aidée. C’est pourquoi, lorsqu’elle chercha à m’embrasser après avoir fait l’amour, je tournai la tête.
— Je suis désolé, lui dis-je. Nous n’aurions jamais dû faire ça.— T’es sérieux ? me demanda-t-elle. Tu me dis ça alors que tu viens de te vider en moi et que ta bite est encore dans ma chatte ?
Je m’allongeai alors sur le lit, et ma sœur commença à prendre des vêtements. Je croyais dans un premier temps qu’il s’agissait des siens, mais en réalité, elle prenait les miens.
— J’ai peur que pour toi, ça ne représente pas la même chose que pour moi, lui avouais-je finalement. Tu dois sûrement considérer ça comme un remerciement, et moi, ça va me faire souffrir parce que je suis tombé amoureux de toi.
Elle laissa retomber les habits, et c’est à cet instant que je reconnus mon pantalon.
— T’es sérieux là ? me demanda-t-elle en revenant dans le lit.— Oui, je t’aime. Et je suis super mal depuis que tu es parti après les vacances.
Elle se rapprocha de moi en souriant, puis m’embrassa.
— J’attendais que tu me dises ça depuis trois mois, m’avoua-t-elle.— Qu’est-ce que tu veux dire par là ?— Tu crois vraiment que je couche avec le premier venu sans aucune protection la première fois ? Pas de capote ni de pilule. Tu crois que je me laisse remplir s’il n’y a pas de sentiments ? Et tu crois vraiment que je fais l’amour aussi souvent juste par distraction ?— Toi aussi t’es ?... dis-je sans finir ma phrase de peur de me tromper.— Oui, et je te l’ai quasiment dit dès le lendemain si tu te souviens bien. Je t’ai dit que je t’avais fait l’amour et que je ne voulais aucun autre homme que toi à ce moment-là.
Je n’avais donc pas compris ses propos lorsqu’elle s’était ouverte à moi. Je la pris dans mes bras et l’embrassai. Nos baisers semblèrent ne pas s’arrêter après cette révélation de nos sentiments réciproques. Lorsque nos baisers s’arrêtèrent, nous continuions de discuter des signes que nous nous étions envoyés sans les voir, ou peut-être que nous n’osions tout simplement pas le voir.
Après plusieurs minutes de conversation, un détail de sa vie me parut étrange.
— Désolé de te poser cette question, mais ton dernier ex, pourquoi avoir été avec ? Il est vraiment à l’opposé de moi.— Depuis que je m’intéresse aux garçons, j’ai toujours eu un petit faible pour toi. Tu représentais un peu mon idéal masculin. Et j’ai réalisé que l’attirance que j’avais envers toi était en réalité bien plus forte que ça il y a environ quatre ans de cela, un jour que je t’ai vu nu en sortant de la douche. Du coup, au lieu de chercher à sortir avec un gars comme toi qui me rappellerait tous les jours que je cherchais en réalité à sortir avec ton double parce que je ne voulais pas t’avouer mes sentiments, j’ai préféré chercher quelqu’un qui soit ton opposé total pour essayer de mieux t’oublier. Mais ça n’a jamais fonctionné.— Et pourquoi avoir mis tout ce temps à l’oublier si tu continuais de penser à moi quand tu étais avec lui ?— Je me forçais à ne pas passer à autre chose parce que j’avais déjà eu beaucoup de mal à trouver un homme aussi différent de toi. J’espérais toujours qu’il revienne et me fasse t’oublier un jour. Mais la plage a vraiment tout changé.— C’est sûr, dis-je en l’embrassant pour terminer ce sujet de conversation.
Après le baiser, ma sœur parla de toute autre chose.
— Il faut que je t’avoue un truc, et j’ai peur que tu ne m’aimes plus après ça.— Je doute fort que ce soit possible, mais dis-moi de quoi il s’agit.— Si je compte bien, en ce moment, je suis en pleine ovulation. Et vu qu’on a pas mis de capote et que je n’ai jamais pris la pilule avec toi, je te laisse deviner ce qu’il peut se passer.
À cet instant, j’ignorais encore si elle était sérieuse ou si elle me disait ça pour savoir si j’allais m’enfuir ou non.
— Ben écoute, si tu tombes enceinte, soit on avoue tout aux parents, soit tu fais croire que t’as rencontré un gars dans une boîte et que ça a dérapé à cause de l’alcool.— Ça fait un peu salope la seconde version. Mais ça ferait probablement moins de dégâts parce que je ne pense pas que les parents approuveraient la relation qu’on a. Mais si je suis enceinte, on aura le temps de réfléchir à une autre version qui puisse convenir.— Par contre, c’est toi qui risques de ne plus m’aimer après ce que j’ai à t’avouer, lui révélais-je.— C’est impossible, me dit-elle.— Il y a environ deux mois, dans l’espoir de t’oublier, j’ai couché avec une autre fille.— Ça me fait un peu mal de le savoir, mais au moins tu as été honnête. Et tu n’as rien à te reprocher, nous n’étions plus vraiment ensemble, même si moi j’aurais été incapable d’être avec un autre homme après toi.— Je n’ai pris aucun plaisir avec elle. Et pour être honnête avec toi, la première fois qu’on a été au lit ensemble, j’ai eu une panne parce que je pensais trop à toi et que j’avais l’impression de te tromper. Mais je lui ai sorti un bobard pour expliquer ma panne.— Donc tu n’as pas vraiment couché avec elle.— Si, parce qu’elle m’a redonné une chance. Et la seconde fois, j’ai pensé à toi pour réussir à bander. Mais son corps, sa façon d’onduler son bassin, tout était différent avec elle, et j’ai été déçu. Mais cette fille m’a quand même servi de leçon. Grâce à elle, je ne voulais plus coucher pour t’oublier, j’avais décidé d’essayer de t’oublier avant de coucher. Parce que si une femme était capable de me permettre de t’oublier, alors je pourrais l’aimer.
Après cette conversation qui mit fin à nos derniers non-dits, nous restâmes ainsi, nus dans le lit durant un long moment, échangeant très souvent des baisers. Puis, nous finîmes par nous lever pour aller manger. En effet, midi approchait à grands pas. Ma sœur prépara le repas, et moi je mis la table.
— C’est à quelle heure que tu dois voir tes potes aujourd’hui ? me demanda-t-elle.— Il n’y a pas de sortie prévue. J’avais inventé ça pour éviter de me retrouver seul avec toi parce que je savais que j’aurais du mal à te résister.— Ben c’est raté pour la résistance. Du coup, tu veux rester avec moi cet après-midi ? me proposa-t-elle.— Bien sûr, acceptais-je sans hésitation.
Il faut dire que maintenant que j’en savais plus sur ses sentiments envers moi, je n’avais plus de raison d’inventer des excuses pour m’éloigner d’elle.
Diffuse en direct !
Regarder son live