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Vacances avec ma sœur

Chapitre 10

Premier vrai dîner en amoureux

Inceste
Étant maintenant tous les deux fixés sur les sentiments que nous partageons réciproquement, je décidai de passer le reste de la journée avec ma sœur. Malheureusement pour nous, quoi que nous fassions, il sera impossible de rattraper ces trois mois de non-dits qui ont causé cette courte séparation entre nous. Mais nous pouvions malgré tout profiter au maximum de notre nouveau départ.Alors qu’elle préparait à manger, après avoir fini de dresser la table pour nous deux, je la serrai dans mes bras, lui offrit des baisers sur la nuque, dans son cou, et parfois, lorsqu’elle tournait sa tête, je déposai un baiser sur sa bouche, tout en laissant traîner mes mains sur son corps sans aucune gêne. Et ma sœur ne sembla pas dérangée par mon tripotage pendant qu’elle était derrière les fourneaux. Enfin, si elle était dérangée, elle se contrôlait très bien.Le repas prêt, nous nous embrassâmes et passâmes à table. Même sans être une grande cuisinière, son repas était très bon.
Une fois que nous avons fini de manger, pour équilibrer les tâches, je décidai de faire la vaisselle. Et, pour me montrer la difficulté que ma sœur a connue précédemment, pendant que j’avais les mains occupées, elle vint derrière mon dos, déposa des baisers, glissa ses mains sur mon corps, puis les descendit dans mon boxer. Elle ressortit alors mon sexe et commença à me masturber tout en étant derrière moi. Je reconnais que de garder la concentration fut très difficile. En réalité, pour moi, c’était impossible. Je ne pouvais plus rien tenir entre mes mains sans risquer de le faire tomber, pas même une simple éponge. Je me suis laissé emporter par le plaisir. Et en constatant mon état, ma sœur arrêta alors, me laissant la bite à l’air.
— Tu vois ce que ça fait de se faire tripoter pendant qu’on est occupé, me fit-elle remarquer.— Oui, mais tu triches, je ne t’ai pas doigtée tout à l’heure.— Peut-être, mais tu m’as fait de l’effet.— Tu vas voir ce que ça fait de me chauffer comme ça, lui annonçais-je.
Sans avoir fini la vaisselle, je lui courus après, et ma sœur me fuit. Comprenant parfaitement où je voulais en venir, elle "se réfugia" dans la chambre où elle s’arrêta, faisant comme si elle était une proie prise au piège. Je l’embrassai alors. N’ayant rien de plus que son string sur elle, je le fis glisser facilement à ses pieds, et, même si mon sexe était déjà sorti, elle retira aussi mon boxer. Tout en l’embrassant, nous nous allongeâmes sur le lit. Ma bouche descendit ensuite le long de son corps. Je déposai des baisers sur ses seins que je n’hésitais pas à lécher également. Après quelques minutes sur ses collines sensuelles, je continuais ma descente jusqu’à finir entre ses cuisses.
Au premier coup de langue, j’étais déjà emporté. Son goût m’avait manqué, et je m’en rendais encore mieux compte à cet instant. Je me délectais de son jus de plaisir. Cela dut également beaucoup manquer à ma sœur puisqu’elle gémissait plus fort qu’à son habitude. Son corps ondulait sous mes coups de langue, révélant le plaisir qu’elle prenait. Je ne pensais pas qu’une femme puisse un jour me manquer autant, pourtant, ce fut le cas avec ma sœur. Chaque seconde entre ses cuisses fut un bonheur, chaque coup de langue fut une réelle saveur. Je retrouvais enfin ce goût si doux et agréable de ma sœur. Plus je la léchais, plus j’en désirais.
J’ignore encore combien de temps cela dura, et combien d’orgasmes j’ai offerts à ma sœur, mais ce qui est sûr, c’est que cela dura bien plus longtemps que lors de notre réconciliation pendant les vacances. La seule chose qui m’a fait m’arrêter de la lécher fut lorsque mon envie de lui faire l’amour est devenue plus grande que mon envie de continuer de goûter sa saveur.
Je me relevai, le sexe tendu par le désir de la pénétrer. Je vis que le corps de ma sœur luisait déjà de transpiration, mais malgré cela, elle m’invita à explorer son anatomie. Ma tige glissa en elle naturellement et sans effort. Ma sœur semblait si excitée que je sentis à peine les parois de son vagin tellement ma barre nageait dans le jus de ma tendre dulcinée. Contrairement au matin où je n’avais pas duré longtemps avant d’éjaculer, cette fois-ci, je retrouvais une durée plus longue. Pour la première fois, nous faisions l’amour, pleinement conscients que nos sentiments l’un pour l’autre étaient partagés et que notre relation devenait maintenant officielle entre nous. Il ne s’agissait plus d’une distraction pendant une période de vacances (même si je n’ai jamais considéré notre relation ainsi), mais d’une vraie relation de deux êtres qui s’aiment et qui se font l’amour.
Pour la première fois, pendant que j’étais en elle, nous échangions des mots d’amour, des "je t’aime" que nous ne comptions même plus, tellement ils furent nombreux. Et après plusieurs minutes de relation charnelle, je me déversais une fois de plus dans son vagin.
— Ça ne semble vraiment pas te déranger ce que je t’ai dit tout à l’heure, me dit-elle après quelques instants de récupération.— Sur le fait que tu m’aimes ? Pourquoi ça me dérangerait ?— Non, sur le fait que je sois en période d’ovulation.— Ah, ça ! Donc tu étais sérieuse ? Tu ne disais pas ça pour voir ma réaction et savoir si j’allais partir ?
— Oui, j’étais sérieuse. Du coup, ça ne te dérange pas ?— Si vraiment je n’étais pas sûr de mes sentiments pour toi, j’aurais hésité. Mais là, tu as ma réponse au fond de ta chatte.
Nous restâmes allongés encore un long moment tout en échangeant des baisers et des caresses. Puis nous avons fini par aller sous la douche ensemble. En même temps, ma sœur emmena les draps au lavage. Ils étaient totalement trempés par nos ébats.Sous la douche, en dehors de nos caresses mutuelles et de nos baisers, il ne s’est rien passé de particulier. Toutefois, en ressortant de la douche, je sortis machinalement mon téléphone pour regarder l’heure. Non pas que je m’ennuyais, mais je fis ça par simple habitude. Je constatai que j’avais plusieurs messages et un appel manqué pour lequel la personne avait laissé son message sur le répondeur. Il s’agissait d’un de mes amis.
— Salut, on est passé chez toi pour te proposer de sortir faire un karting avec les autres, mais tu n’es pas là. Rappelle-nous pour nous dire si tu es chaud. Et on ira probablement en boîte pour aller essayer de choper des meufs.
Ayant laissé le haut-parleur pour mieux entendre, ma sœur put elle aussi écouter le message. De toute façon, je n’avais rien à lui cacher. Mais sans le vouloir, mon mensonge initial pour éviter de retomber dans les bras de ma sœur devenait réel.
— Tu peux aller les voir si tu veux, ça ne me dérange pas, dit-elle. Sauf pour la seconde partie, je préfère que tu ne cherches pas de fille.— D’accord, je le rappelle. Et rassure-toi, je t’aime, je n’ai pas l’intention de draguer d’autres filles.
Je laissai sonner le téléphone, mais je tombais sur son répondeur. J’appelai deux autres amis qui faisaient partie de la sortie organisée, même résultat. Je pris une autre voix et laissai alors un message sur le répondeur du dernier.
— Salut, kof kof (j’ai cherché sur Internet et c’est l’onomatopée pour décrire la toux). J’aurais bien voulu venir, kof kof, mais je suis malade. Je viens de sortir de chez le médecin, et là, je pense que, kof kof, je vais aller me coucher. Éclatez-vous bien sans moi, kof kof.
Puis je me tournai vers ma sœur.
— Voilà, j’ai fait mon choix, lui dis-je naturellement.
Elle m’embrassa amoureusement, puis nous nous séchâmes ensemble et retournâmes dans la chambre pour faire le lit avec des draps propres. Trente à quarante minutes plus tard, alors que nous étions allongés sur le canapé du salon en train de nous embrasser, ma sœur reçut aussi un appel de sa meilleure amie pour lui proposer de sortir. Mais ma sœur aussi était trop malade pour sortir. N’ayant maintenant aucune chose de prévue pour la soirée, nous avions repris nos séances de baisers.Nous ne vîmes pas le temps passer, mais nous nous rendîmes compte que la nuit commençait à tomber. Nous décidâmes donc de nous relever pour aller dîner.
— Laisse-moi faire, dis-je à ma sœur lorsqu’elle commença à se lever pour aller préparer le repas.
S’agissant de mon premier repas du soir avec la fille qui partage les mêmes sentiments, cela signifiait que nous allions prendre notre premier dîner en amoureux. Je voulais faire les choses bien.
— Installe-toi simplement dans le canapé et laisse-moi tout gérer.
J’allumai la télé pour que ma sœur puisse avoir de quoi s’occuper, et je pris la direction de sa cuisine. Je fermai la porte derrière moi pour ne pas qu’elle voie ce que je préparais. Même si avec ma façon d’agir, elle sut en quelques secondes ce que je comptais faire, mais, séduite par mon intention, elle ne m’interrompit pas.
Je cherchai dans ses placards et dans le frigo ce que je saurais préparer sans trop de difficulté. Les pâtes, trop basique et loin d’être le meilleur choix pour un premier dîner en amoureux. Mais ma sœur était comme moi, elle n’aimait pas trop faire des repas compliqués. Je ne trouvais donc pas grand-chose qui sorte de l’ordinaire. Je découpai donc quelques tranches de pâté en croûte et de saucisson sec pour l’entrée. Puis, pour le plat de résistance, mon choix se porta sur une poêlée de légumes surgelés que j’accompagnais d’une cuisse de poulet pour chacun de nous. Et en dessert, je vis que ma sœur avait une Tropézienne entamée dans son frigo. Dommage qu’elle ait été entamée. Je la laisserai donc choisir entre des yaourts et le gâteau entamé. Même si pour l’occasion, j’aurais préféré lui proposer un autre choix.
Le repas étant prêt, j’allumai des bougies que je mis sur un candélabre, et je déposai celui-ci au centre de la table. Et n’ayant pas de vêtements dignes de cette première soirée en amoureux, j’optai finalement pour la nudité, espérant que ma sœur apprécierait. J’ouvris ensuite la porte pour l’inviter à entrer.
— Tu peux venir, lui dis-je.— J’arrive tout de suite.
Étant resté dans la cuisine pour l’accueillir, je n’avais pas vu la surprise qu’elle m’avait faite de son côté. Lorsqu’elle franchit la porte, je la vis vêtue d’une guêpière rouge et noire et d’un string noir. En rentrant dans la pièce, elle put constater l’effet immédiat que sa tenue me procurait.
— Ça fait plaisir de voir que ça te fait cet effet, me dit-elle avec un grand sourire.
En passant à table, je tirai sa chaise pour ensuite la ramener vers elle au moment où elle s’asseyait. Puis je la repoussai légèrement vers la table, et, après un baiser, j’allais éteindre la lumière de la cuisine. Finalement, les bougies n’éclairant pas si bien, nous décidions assez rapidement de rallumer le plafonnier. Baisers et partage de nos assiettes (qui pourtant contenaient la même chose) ponctuèrent notre dîner.Pour le dessert, ma sœur opta toutefois pour le meilleur goût, et prit donc une part de la Tropézienne entamée.Une fois le repas terminé, je commençai à mettre les assiettes et les couverts dans l’évier.
— Laisse la vaisselle dans l’évier pour ce soir, on la fera demain, me dit ma sœur. J’ai très envie de passer à la suite.
Sans me faire prier, je la suivis dans la chambre. D’un geste sûr, elle me fit m’allonger sur le lit. Après un rapide baiser, elle descendit sa tête jusqu’à mon membre qui se tendit encore plus dans sa bouche. Sa langue jouant avec mon dard me donnait vraiment envie de goûter ma sœur une fois de plus. Sans la ménager, je la pris dans mes bras et mis ses jambes de chaque côté de ma tête. Je retirai simplement son string et vins mettre ma langue sur son fruit savoureux. Chacun de nous avions la bouche occupée. Je gémissais de son savoir-faire avec ma barre, et ma sœur ne résista pas longtemps à mon traitement avant que son corps n’exprime sa satisfaction par des cambrures de plus en plus prononcées, qui rapprochaient toujours plus son vagin de ma bouche. Ma sœur relâcha ma tige au moment où son orgasme arriva. Elle cria de plaisir, puis elle vint s’asseoir sur ma barre encore bien dressée. Elle ondulait son corps à son propre rythme.
Et moi, je la pris par la taille pour tenter de lui imposer le mien, un peu plus rapide. Finalement, nous finîmes par adopter un rythme qui nous convint à tous les deux. Les ondulations de son corps furent un réel plaisir pour mon membre qui n’était plus très loin de tout lâcher. Petit à petit, je retirai le reste de ce qui couvrait ma sœur. En peu de temps, elle aussi se retrouva nue. Ma sœur accéléra encore la cadence, ce qui me donna encore plus de mal pour tenir davantage. Puis, ma sœur eut un nouvel orgasme, ce qui libéra également ma jouissance qui se déversait une fois de plus au fond de son vagin. Étant en pleine ovulation, si avec autant de semences en elle, ma sœur ne tombait pas enceinte, nous aurions eu beaucoup de chance et cela nous laisserait plus de temps pour réfléchir à une solution qui expliquerait une éventuelle future grossesse. Mais si nous n’avions pas de chance, dans quelques semaines, il nous faudrait trouver une explication à la situation.
Après cette agréable suite de notre dîner, nous nous endormîmes ensemble, nus.
Le lendemain matin, je fus réveillé par de doux baisers qui parcouraient mon torse. En ouvrant les yeux, j’étais toujours nu dans le lit de ma sœur, et c’est sa bouche que je sentais sur moi. Après avoir échangé quelques baisers, ma sœur décida de m’offrir une douce caresse buccale. Elle prit mon sexe dans sa bouche et entama de lents va-et-vient. Je caressai sa tête pour l’inciter à continuer ce doux réveil matinal. Et après quelques minutes de ce divin traitement, j’éjaculais au fond de sa gorge. Ma sœur avala mon sperme puis vint m’embrasser. Elle s’allongea ensuite à côté de moi.
— Ça va ? lui demandais-je.— Oui, pourquoi ?— C’est juste que le matin au réveil, avec le ventre vide, tu aurais pu être moins tentée de m’avaler.— Non, ça va. Ce n’était pas mauvais.
Ce fut la toute dernière fois que je m’inquiétais de savoir si elle avait apprécié mon goût ou pas. En général, maintenant, ma sœur me le dit honnêtement si elle trouve que mon jus a un goût moins agréable.Nous finîmes par nous lever, puis nous nous habillâmes et prîmes le petit-déjeuner ensemble. Puis, quelques heures plus tard, nous mangeâmes ensemble pour le midi.Au cours de l’après-midi, j’informai ma sœur.
— Il va falloir que je fasse un saut chez moi si tu veux qu’on dorme encore ensemble cette nuit.— D’une part, bien sûr que je veux qu’on dorme ensemble, commença-t-elle. D’autre part, pourquoi veux-tu repasser chez toi ?— Je n’ai rien à me mettre pour aller au boulot demain.— Attends-moi, répondit-elle en se dirigeant vers la chambre.
Je m’assis donc sur le canapé en attendant. Elle revint quelques minutes plus tard avec un petit sac de vêtements.
— Si c’est moi qui viens chez toi, ça te va ?— Bien sûr, lui dis-je en l’embrassant.
Nous prîmes chacun notre voiture puis nous nous dirigeâmes chez moi. Une fois sur le parking, aucune effusion sentimentale de notre part. Dans mon appartement, ce fut une autre version de nous qui s’exprima. Pas besoin de faire semblant de n’être que frère et sœur. Nos bouches se rejoignirent rapidement et nos langues vinrent danser ensemble.
Après quelques heures, en raison de ce qui s’était passé la veille, nous mettions en place une stratégie pour nous voir discrètement. Plusieurs idées furent partagées. Mais celle qui fut retenue était d’attendre vingt et une heures pour se voir. En effet, avant cette heure, moi ou ma sœur pouvions recevoir une visite inattendue de nos amis. Et passé cette heure, nous pouvions prétexter qu’en raison du travail le lendemain, il était un peu tard pour recevoir de la visite. Néanmoins, si nous étions en présence d’un (e) ami (e), ou en sortie avec un (e) ami (e), nous n’allions pas le (la) chasser pour être tranquilles à vingt et une heures. Non, dans ce cas, nous restions avec, et ma sœur et moi étions donc forcés de nous voir plus tard.
Au tout début, nous avons parlé de ne pas nous voir le week-end, mais ne résistant pas à l’envie d’être avec elle, j’ai craqué dès la première semaine, me présentant chez elle un peu avant minuit. Par conséquent, nous avons aussi établi un horaire plus tardif pour le week-end.
Le soir, ma sœur et moi fîmes l’amour avant de nous endormir nus ensemble. Puis le lendemain matin, chacun alla à son travail. Et à la fin de notre journée de boulot, nous mîmes notre stratégie en application.
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