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Vacances avec ma sœur

Chapitre 11

Un Noël très agréable

Inceste
Cela faisait maintenant un peu plus d’un mois que ma sœur et moi ne nous quittions plus et que nous faisions lit commun chaque soir. Et si nous comptions depuis les vacances passées ensemble, notre relation avait donc débuté depuis environ quatre mois et demi.
Ce samedi 24 décembre 2011, au matin, nous nous réveillâmes dans son lit. Après avoir tout fait ensemble (petit-déjeuner, douche, s’habiller...), nous prîmes les cadeaux que ma sœur avait achetés pour la famille et les descendîmes à sa voiture.— Ne t’habille pas trop sexy ce soir, lui conseillai-je. On sera chez les parents et je risque d’avoir beaucoup de mal à te résister.— Fais-en autant de ton côté, me dit-elle. Évite de te faire beau. Tu l’es naturellement alors ne me rajoute pas de tentation.Après avoir pris le risque de s’embrasser brièvement sur le parking de son appartement (risque puisque certains voisins connaissent notre lien de parenté), je pris ma voiture et fis un tour chez moi. Je m’habillai un peu mieux pour les circonstances. Puis, moi aussi je pris les cadeaux et les mis dans ma voiture.Maintenant, direction chez les parents pour passer Noël en famille. À mon arrivée, je fus un peu surpris de ne pas voir la voiture de ma sœur. En effet, à l’époque, elle habitait un peu plus près de chez eux que moi (il lui fallait environ trente minutes de route alors qu’il m’en fallait environ quarante). Et pire encore, j’ai dû faire un détour pour rentrer chez moi pour me changer et prendre les cadeaux. Elle avait donc théoriquement largement le temps d’arriver avant moi.
J’entrai donc chez les parents tentant de dissimuler au mieux mon inquiétude. Je n’étais pas sensé savoir qu’elle avait fini de se préparer avant moi. Ce n’était pas le petit-frère qui se souciait de sa grande-sœur, mais le compagnon qui craignait qu’il soit arrivé quelque chose le long de la route à la femme qu’il aime. Je fus rassuré quelques minutes plus tard lorsqu’elle arriva. Je compris assez rapidement l’origine de son retard. Elle aussi s’était changée et elle était magnifique. Je lui avais pourtant demandé de ne pas être trop belle, elle n’avait pas suivi mes recommandations, j’allais être tenté. Nous nous fîmes la bise devant nos parents. Mais j’avais clairement envie d’arracher ses vêtements et de lui faire l’amour ici-même.
Je profitai de quelques secondes seul avec elle pendant que notre père était parti ranger les cadeaux et que notre mère était allé voir où en était la cuisson de la dinde.— T’es dure avec moi, lui dis-je à voix basse. Je t’ai demandé de ne pas t’habiller trop sexy, et tu viens habillée comme ça. Tu es magnifique, je vais avoir du mal à te résister.— Tu as fait la même chose, répondit-elle aussi à voix basse. Toi aussi tu es superbement bien habillé. Je risque d’avoir du mal à ne pas t’embrasser.— De quoi parlez-vous tous les deux ? demanda notre père en revenant dans le salon.— Il cherche à savoir ce que je lui ai acheté comme cadeau, répondit ma sœur. Si tu veux savoir, vu que t’es célibataire, c’est le bouquin "La branlette pour les nuls", dit-elle en se retournant vers moi.Mon père rigola de cette blague. Surpris par une telle vivacité d’esprit, je rigolai aussi.
L’heure de passer à table arriva. Ma sœur et moi étions assis l’un à côté de l’autre. Cette proximité me fit sentir son parfum en permanence, rendant la tentation encore plus grande. Pour ne pas définitivement perdre le contrôle, je trouvai un prétexte pour ne pas boire de champagne. Une excuse totalement bidon qui m’est apparue en me souvenant d’un de mes amis.— Non, pas de champagne, dis-je à mon père lorsqu’il pencha la bouteille au-dessus de mon verre.— Qu’est-ce qu’il y a ? Tu en prends toujours normalement pour ces occasions.— Ce soir je suis d’astreinte. Si je dois intervenir, autant faire la route sans avoir bu.— Depuis quand ils t’ont foutu d’astreinte dans ton boulot ? demanda-t-il.— C’est tout récent, ça fait moins d’un mois que j’ai commencé à en faire. La femme de celui qui est habituellement d’astreinte est enceinte de huit mois, donc le patron s’est montré sympa envers lui pour les derniers moments de grossesse de sa femme.Bien qu’un peu sceptiques, nos parents semblèrent se satisfaire de cette excuse un peu bancale. Mais dans la précipitation d’une excuse rapide à mon refus du champagne, je n’ai pas eu le temps de beaucoup réfléchir et j’ai opté pour la première chose qui m’était venue à l’esprit.Comme si la tentation n’était déjà pas assez grande, suite à ce refus pour mieux garder mon contrôle, ma sœur caressa discrètement et brièvement mon sexe par-dessus mon pantalon. Et vu sa façon de faire, il ne pouvait que s’agir d’un geste volontaire. Je fus donc très à l’étroit dans mon pantalon à ce moment-là et pendant de nombreuses minutes après ce petit geste.
Pour ce genre d’occasion, le repas s’éternise toujours un peu. Si bien qu’après environ deux heures et demi, nous arrivions seulement au dessert. Sans surprise, il s’agissait d’une bûche. Toutefois, avant de commencer, il était bientôt minuit, et mon père amena les cadeaux dans le salon. Chacun son tour ouvrit ses cadeaux. Une fois que tous les emballages furent ouverts et que nous avions tous pris connaissance du cadeau et remercié la personne qui l’avait offert, nous finîmes le repas.
La fatigue commençant à se faire ressentir, ma sœur annonça son départ.— Je suis fatiguée, je vais vous laisser.— Toi et ton frère pouvez tous les deux dormir ici cette nuit si vous êtes fatigués, proposa notre mère. Ça évitera d’avoir un accident.— Et je dors où ? demanda ma sœur. Je te rappelle que vous avez transformé ma chambre en bureau depuis que nous avons pris chacun notre envol.— Pour ce soir, vous pouvez dormir dans la chambre de ton frère, elle n’a pas été transformée, annonça notre père. Après tout, vous avez bien dormi ensemble durant deux semaines pendant vos vacances dans le sud, donc ça vous rappellera les vacances.Si dormir dans des chambres séparées aurait permis de diminuer la tentation, cette annonce me fit définitivement renoncer. Cette fois c’était sûr, ma sœur et moi allions, à un moment, faire l’amour chez nos parents. Il restait à savoir comment ne pas faire trop de bruit pour ne pas qu’ils se doutent de quoi que ce soit.Ma sœur partit donc se coucher, et moi, je restai avec mes parents malgré cette envie d’aller dans la chambre en même temps qu’elle pour l’honorer de tout mon désir brûlant pour elle.
Environ une heure après que ma sœur soit partie se coucher, ce fut au tour des parents de mettre un terme à la soirée. Tant mieux, j’avais tellement hâte de rejoindre la femme que j’aime dans mon ancien lit. J’embrassai mes parents puis j’allai dans ma chambre. J’ouvris discrètement la porte pour ne pas réveiller ma sœur. Je me déshabillai intégralement et me glissai sous les draps. Depuis le début de notre relation, je dormais toujours nu avec ma sœur, donc même si nous étions chez nos parents, je pris quand même le réflexe de dormir sans rien, sans penser à l’éventualité que nos parents ouvrent la porte le lendemain matin et me voient dans cette "tenue". N’ayant pas allumé la lumière afin de ne pas la réveiller, ce n’est qu’en passant mes mains sur son corps que je réalisai que ma sœur aussi était nue. Vu qu’elle dormait déjà, je déposai un petit baiser sur ses lèvres avant de m’endormir. Mais en l’embrassant, ma sœur se réveilla.— Ça va bébé ? demanda-t-elle en chuchotant.— Oui mon amour. Tu peux te rendormir si tu es fatiguée.— Maintenant que tu es là, ça va mieux, je suis moins fatiguée. Et je me suis un peu reposée.
Elle m’embrassa ensuite en offrant sa langue à la mienne. Pendant le baiser, je sentis sa main qui descendait le long de mon corps. Elle vint assez rapidement s’emparer de ma tige, qui, malgré la fatigue, semblait relativement en forme. Tout en m’embrassant, ma sœur commença à me masturber lentement. Bien que nous étions chez les parents, je la laissai faire. Après quelques instants dans sa main, ma sœur descendit sa tête au niveau de ma barre qui était maintenant bien dure. Elle me prit dans sa bouche et commença à monter et descendre sur mon sexe. Je dûs gémir silencieusement pour ne pas faire trop de bruit, mais c’était tellement bon de sentir ses lèvres entourer mon dard. Finalement, même si je l’ignorais encore à cette époque, devoir gémir discrètement est assez simple au début. Mais plus le plaisir nous envahi, plus il devient difficile de se contrôler. Vers la fin, je mis carrément l’oreiller sur mon visage pour étouffer encore plus mon plaisir. Après avoir joui dans sa bouche, ma sœur avala puis revint à ma hauteur et m’embrassa.— J’en ai eu envie toute la soirée bébé, me dit-elle, toujours en chuchotant.— Moi aussi j’ai eu envie de toi toute la soirée, lui avouais-je. D’ailleurs, tu penses pouvoir être discrète en jouissant ?— On peut essayer, mais si je fais trop de bruit, je préfère que tu arrêtes. Je préfère être frustrée de ne pas avoir joui que de risquer d’être entendue par les parents.
Ma sœur mit donc le coussin sur sa tête en prévision du bruit qu’elle serait susceptible de faire. Je descendis alors ma tête entre ses cuisses. En la léchant, j’entendis légèrement ses premiers gémissements. Nul doute qu’elle les retenait puisqu’elle n’avait encore jamais été aussi silencieuse auparavant. Plus je continuais de lui faire du bien, plus j’entendais ses gémissements augmenter de volume, tout en restant nettement moins bruyants que lorsque nous faisions ça chez elle ou chez moi. Son corps était de plus en plus incontrôlable. Malgré l’exquise saveur de sa cyprine et l’envie de l’amener au septième ciel, je décidai de m’arrêter là avant que ma sœur ne soit trop bruyante.— Continue ! me supplia-t-elle. Fais-moi jouir, j’en ai trop envie !— Tu es sûre que tu ne feras pas trop de bruit ?— Oui, je vais me contenir.Ses propos tenus quelques minutes auparavant semblèrent avoir disparus. Je repris donc là où je m’étais arrêté. Peut-être parce que nous étions dans la même pièce, mais même si elle se contenait, j’avais l’impression que ma sœur gémissait un peu trop fort pour être discrète. Mais à sa demande, je continuais malgré mes doutes. Quelques minutes plus tard, son corps se crispa sur moi, et j’entendis ma sœur jouir en mordant le coussin. Certes son orgasme était bien moins bruyant qu’à son habitude, mais je craignais néanmoins que nos parents nous aient entendus. Je me relevai puis vins m’allonger à ses côtés. Nous nous embrassâmes longuement, puis nous nous sommes endormis nus l’un contre l’autre. Nous n’irions pas plus loin cette nuit-là sous le toit des parents.
Le lendemain matin, ma sœur se réveilla en premier et m’embrassa. Je me réveillai ainsi tout en douceur. Après quelques caresses et d’autres baisers, elle se leva et s’habilla. Je profitai du spectacle qu’elle m’offrait volontairement en s’habillant sous mes yeux. Par chance, les parents ne sont pas venus nous réveiller. Restait à savoir s’ils avaient entendu nos ébats nocturnes.— Dis-leur que je dors encore, dis-je discrètement à ma sœur avant qu’elle franchisse la porte.— D’accord bébé. Tu as raison, faisons comme si nous ne nous étions pas réveillés ensemble.
Ma sœur rejoignit les parents qui étaient déjà levés. De ce que j’entendais de la conversation, rien ne laissait transparaître de quelconques soupçons de leur part. Ma sœur et moi avions donc probablement été plus discrets que je le croyais. Je me levai environ quinze minutes plus tard et fis comme si de rien n’était, faisant la bise à mes parents et à ma sœur pour les saluer.
L’après-midi, je partis en premier de chez nos parents, et je rentrai chez moi. Environ une heure plus tard, ma sœur me rejoignit chez moi. Dans l’appartement, à l’abri de tous, nous pouvions être nous-mêmes. Nous nous embrassâmes sans limite et sans crainte. De désir, je déshabillai ma sœur et nous fîmes l’amour sur mon canapé, sans nous soucier du bruit que nous faisions. Après avoir fait l’amour, ma sœur me fit une annonce surprenante.— Bébé, si à partir de la semaine prochaine j’ai mes règles, je prendrai la pilule. Normalement je devrais avoir mes règles dimanche prochain ou lundi au plus tard.— Tu ne la prenais pas déjà ce mois-ci en raison des risques qu’on a pris le mois dernier ?— Non. Et nous faisons bien trop souvent l’amour pour que ça soit toujours sans conséquence. On a eu de la chance le mois dernier, on en aura peut-être encore ce mois-ci, mais ça ne sera pas toujours comme ça.
Après cette étreinte, nous sommes restés ensemble à mon appartement durant tout le reste de la journée. Et le soir, c’est encore tous les deux que nous dormions dans mon lit dans la nudité intégrale.
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