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Vacances avec ma sœur

Chapitre 12

Début d'année et bonnes résolutions

Inceste
Samedi 31 décembre 2011. Je me réveillai dans le même lit que ma sœur, mon lit, même si maintenant, il semblait plus adapté de considérer que le lit se trouvant chez moi ou chez elle étaient nos lits puisque nous y passions toutes nos nuits ensemble. Mon amour dormait toujours. Je restai donc encore quelques instants sous les draps, la prenant dans mes bras. Après une quinzaine de minutes, la belle sortit de son sommeil. Nous nous embrassâmes de nombreuses minutes en guise de salutations matinales. Une fois réveillés, nous sortîmes du lit pour nous vêtir. Le spectacle du corps nu de ma sœur est toujours un régal pour mes yeux. Aussi, j’admirai la vue qui s’offrait à moi, n’en ratant aucune miette, avant de m’habiller à mon tour. Puis nous allâmes à la cuisine pour prendre notre petit-déjeuner ensemble. L’après-midi, nous sommes restés tranquillement chez moi, regardant la télé, allongés l’un contre l’autre, ou nous embrassant.   Arrivé le soir, je m’habillai de façon chic. Ce soir, nous allions fêter le réveillon avec un groupe d’amis. Il allait y avoir certains de mes amis, certains des siens, et quelques-uns que nous avions déjà en commun. Pour la première fois, ce ne fut pas moi qui choisis mes vêtements, mais ma sœur. Elle me conseilla sur ma tenue à porter. En réalité, elle voulait que je sois le plus beau de la soirée, même si elle me confia qu’à ses yeux, je l’étais déjà. Elle me fit essayer plusieurs vêtements différents. Cela aurait été moi, j’aurais simplement choisi parmi un ou deux trucs que je trouvais classe, et j’aurais été prêt, mais là, j’étais en couple, et c’est ma compagne qui choisissait à ma place. Une fois suffisamment à son goût, j’étais prêt. Je l’embrassai pour la remercier d’avoir choisi une tenue qui conviendrait pour cette soirée. En passant mes mains sur son corps, et sous ses vêtements, je constatai que ma sœur était bien humide. Donc pour elle, que je sois bien habillé signifiait que je sois si élégant qu’elle en soit excitée. Bonne leçon à retenir. Après avoir glissé mes doigts pendant quelques minutes, je les portai à ma bouche. C’était si succulent que mon pantalon devint plus étroit.   Nous partîmes ensuite chez elle dans sa voiture. Elle alla dans la chambre pour s’habiller aussi sur son trente-et-un. Vu notre relation, je pus être présent pendant qu’elle essayait ses nombreuses tenues. — Tu me trouves comment ? me demanda-t-elle après une première tentative. — Tu es magnifique dans cette tenue, lui répondis-je sincèrement. — Tu trouves ? Bof, moi ça ne me convient pas. Elle en essaya une seconde puis me posa la même question. Ma réponse fut toujours la même, car, étant amoureux, je trouve que ma sœur est la plus belle femme du monde, donc quelle que soit sa tenue, elle était toujours magnifique. Après sa troisième tenue, obtenant toujours la même réponse de ma part, elle cessa de me poser la question, trouvant que je n’étais pas assez objectif. Puis, après de nombreuses autres tenues testées vint LA tenue, celle dont j’ignorais qu’elle était capable d’embellir davantage ma sœur. Elle mit une robe intégralement noire, magnifiquement taillée, qui épousait parfaitement les courbes de son corps. — Tu es sublime dans cette robe, dis-je en me relevant et en la prenant dans mes bras, par l’arrière. Cette fois, je ne pus m’empêcher de l’embrasser dans le cou, de passer mes mains sur son corps, de glisser sous son bustier pour aller caresser ses seins. Ma sœur se laissa aller sous mes baisers et mes caresses. Je glissai ensuite mes mains sur ses jambes, passant sous le tissu que je faisais remonter en même temps. — Je crois que je vais prendre celle-là, dit ma sœur, se laissant emporter par le plaisir que je lui procurais.   Pour l’essai de cette tenue, sa robe ne fut posée sur elle que durant quelques minutes. Bien vite, je lui retirai pour emmener ma sœur sur le lit. Elle retira aussi mes vêtements, et je mis ensuite ma tête entre ses cuisses. Son string empêchant ma progression, je le retirai lui aussi. — Arrête, on va être en retard, tenta ma sœur pour me dissuader, bien qu’elle ne tenta jamais de me repousser. Si vraiment elle n’avait pas envie de continuer, elle n’aurait pas retiré mes vêtements. Une preuve de plus qu’elle n’était pas vraiment dérangée par l’heure qui tournait. Nous retrouvant maintenant nus, nous fîmes naturellement l’amour, et j’éjaculai au plus profond de son anatomie.   Après cet instant de plaisir mutuel, nous nous rhabillâmes, mais ma sœur semblait avoir perdu quelque chose. — Tu n’as pas vu ma culotte et mon soutien-gorge ? m’interrogea-t-elle. — Non, lui mentis-je ouvertement. En réalité, je les avais cachés dans ma poche arrière de pantalon, préférant la savoir nue sous sa robe. — Aide-moi à chercher, me dit-elle en me relevant de son lit. Menteur, c’est quoi cette bosse dans ta poche arrière ?
 — Tu m’as démasqué. C’est juste que tu m’excites tellement dans cette robe que j’aimerais simplement que tu ne portes rien en-dessous. — Tu sais que je n’aime pas ça. En plus, si tu sais que je ne porte rien, tu risques d’être excité toute la soirée. — Oui, mais je pourrais explorer ton corps plus facilement comme ça.   Elle réfléchit quelques secondes, semblant hésiter. Pour la première fois, elle semblait envisager d’être totalement nue sous ses vêtements au cours d’une sortie publique. Après quelques secondes, elle me donna sa réponse. — Je le fais si tu le fais aussi. Si je ne porte rien sous ma robe, toi non plus tu ne dois rien porter sous ton pantalon ni sous ta chemise. — C’est vrai ? Tu ferais ça ? — Oui, mais si on le fait tous les deux. Alors, tu en dis quoi ?   Sans hésiter, je me dévêtis pour retirer mon boxer et mon t-shirt, puis je remis simplement le reste de mes habits de soirée. Après un petit instant, ma sœur enfila juste sa robe, sans rien d’autre en dessous. Mais elle semblait soucieuse. — On ne voit rien au travers ? me demanda-t-elle. Je m’éloignai d’elle puis me rapprochai, puis m’éloignai à nouveau, tournai autour pour l’observer sous tous les angles. — Il faut vraiment être à quelques centimètres et bien regarder tes seins pour s’en rendre compte. Donc rassure-toi, personne ne s’en doutera. Il n’y a que moi qui suis au courant. Pour ce qui est de moi, il n’y avait qu’une érection qui aurait pu montrer aux autres que je ne portais rien sous mon pantalon. Nous partîmes ensuite rejoindre nos amis à quelques kilomètres de là, dans une salle commune. À notre arrivée, tout le monde nous fit des compliments sur nos tenues. Bien sûr, moi je n’eus les compliments que durant quelques secondes, ma sœur, elle, en reçu davantage, surtout de la part de la gente masculine. Ce groupe d’amis était composé d’une petite dizaine personnes (nous y compris) : "les inséparables", on les surnomme ainsi puisque depuis qu’ils se sont rencontrés au collège, ils ne se sont jamais séparés. Rencontrés à douze ans, mariés à dix-huit, premier enfant à dix-neuf, le second dans un état déjà bien avancé au moment de cette soirée. Ils ont toujours représenté le couple idéal pour tous ceux qui les connaissent. Aujourd’hui, ils sont toujours ensemble et ont quatre enfants. On peut donc dire qu’ils ont déjà passé plus des deux tiers de leur vie ensemble. Il y avait ensuite une collègue de travail de ma sœur. À l’époque, elles étaient déjà amies depuis deux ans, et elles le sont toujours aujourd’hui. Elle aurait dû venir avec son copain de l’époque, mais il avait eu un empêchement, si bien qu’il n’a donc pas pu venir. Une seconde amie de ma sœur qu’elle connaissait depuis plus longtemps encore, et pour finir, il y avait aussi sa meilleure amie et son chéri. Les inséparables étant des amis que ma sœur et moi avions en commun, j’avais aussi demandé à certains de mes amis de venir à la soirée. De mon côté, j’avais invité une vieille connaissance, dragueur invétéré qui a tenté sa chance à plusieurs reprises avec ma sœur sans jamais réussir. Et lorsqu’il est en couple, il ne peut pas s’empêcher de draguer d’autres femmes, si bien que ses relations ne durent jamais longtemps. Il y avait aussi l’un de mes plus anciens amis que je connais depuis l’âge de mes cinq ans, sans jamais être réellement devenu mon meilleur pote. Il y avait mon meilleur ami, qui à l’époque était en couple depuis trois ans et allait bientôt se marier. Mais l’oncle de sa compagne ayant des graves problèmes de santé, celle-ci était retournée vivre chez ses parents le temps d’aider sa mère à surmonter cette épreuve. Dans le lot, il y avait donc quelques amis qui ne se connaissaient donc pas encore, mais qui allaient apprendre à se connaître un peu plus durant cette soirée.   Au cours de la soirée, j’ai également constaté la présence de mon patron de l’époque. Je ne m’attendais pas à sa présence, et, à ma grande surprise, il n’était pas seul, mais en compagnie de son petit-ami dont il ne parlait jamais au travail (probablement par peur de la réaction de ses employés s’ils apprenaient son homosexualité).   Par chance pour nous, nous ne fûmes pas les derniers arrivés, donc notre retard pris en raison de notre rapprochement corporel n’avait pas de grande importance. Après nous arrivèrent mon ami d’enfance et, quelques instants plus tard, les inséparables. — Si tu n’étais pas déjà enceinte, on aurait pu penser que vous étiez en retard parce que vous mettiez le prochain en route, dit l’une des amies de ma sœur. — Qui sait, on s’entraînait peut-être pour ne pas perdre la main, répondit-il sans aucune gêne dans sa voix. C’est elle qui fut honteuse et ne sut plus où se mettre suite à cette répartie.   La soirée se déroula plutôt bien. À un moment, ma sœur vint s’asseoir sur mes genoux, ce qui ne choqua personne, puisqu’une sœur peut avoir simplement envie de se rapprocher de son frère sans arrière-pensée. Sauf que ma sœur avait pris une veste qu’elle posa sur ses genoux. Comprenant ce qu’elle attendait, je passai ma main sous la veste et la glissai jusqu’au milieu de ses cuisses que ma sœur ouvrit pour me laisser explorer son intimité. Elle et moi continuâmes de discuter avec les autres en prenant un air normal alors que mes doigts se trouvaient là où personne ne se doutait. Durant plusieurs minutes, mes doigts baladeurs s’humidifiaient au contact du vagin excité de ma sœur. Et lorsque le plaisir prit trop de difficultés à être contenu, ma sœur retourna s’asseoir sur sa chaise.   Il était environ vingt-trois heures lorsque, sortant quelques minutes pour aller prendre l’air, je fus témoin d’une scène à laquelle je ne m’attendais pas. Mon meilleur ami, qui semblait si fidèle et si droit, était en train d’embrasser une autre fille. Lorsque leurs bouches se détachèrent, je reconnu la collègue de ma sœur. La connaissant mal, je ne pouvais pas savoir si c’était le genre de fille à s’amuser avec les hommes ou si elle était sérieuse. En revanche, je n’imaginais jamais voir mon meilleur ami défaillir si proche du mariage. Mais bon, il ne s’agissait que d’un baiser, peut-être qu’il s’était laissé emporter par l’alcool et qu’il allait se ressaisir. Je retournai m’asseoir sans parler de cette scène, ni à ma sœur, car je ne voulais causer de tort à personne si le dérapage s’arrêtait là.   Minuit approchant, toute la salle fit le décompte. Et lorsque le zéro arriva, tout le groupe s’embrassa. Un petit smack sur la bouche entre personnes de sexe opposé. Tous sauf moi et ma sœur car si le smack se faisait, notre envie aurait rapidement fait se mêler nos langues. Mais dans les exceptions, il y avait aussi les inséparables qui ne voulurent poser leurs lèvres sur personne d’autre. Ils se contentèrent de faire la bise à tout le monde. Par conséquent, j’ai embrassé rapidement la femme de mon patron, et les amies de ma sœur, et ma sœur embrassa furtivement mon patron et mes amis. Et, comme si cela n’avait pas suffi, mon meilleur ami mis sa langue dans la bouche de la collègue de ma sœur. Personne n’en fut surpris, et peut-être que je ne l’aurais pas été plus que les autres non plus si je n’avais pas vu la même scène avec les mêmes protagonistes quelques minutes plus tôt. C’était le second dérapage de mon meilleur ami auquel j’assistais.   Minuit était maintenant passé de quelques minutes et l’ambiance du passage à la nouvelle année commençant à retomber, ma sœur me lança un regard que je compris immédiatement. Je pris la direction des toilettes et refermai la porte derrière moi. Quelques secondes plus tard, ma sœur toqua, je lui ouvris et refermai aussitôt après l’avoir faite entrer. Nos bouches se retrouvèrent. Nos langues dansèrent ensemble. Nos mains explorèrent librement le corps de l’autre. L’étreinte était aussi intense que l’envie que nous refoulions devant nos amis. Ma sœur déboutonna mon pantalon et prit mon sexe dans sa main, puis elle commença à me masturber. Ma main était passée sous sa robe et explorait son intimité détrempée. Puis, ma sœur s’assit sur la cuvette des toilettes et me prit dans sa bouche. — J’en ai tellement envie depuis tout à l’heure, m’a-t-elle annoncé avant de passer ses lèvres autour de ma verge tendue. — Moi aussi mon amour, lui ai-je répondu. Cette succulente fellation offerte m’emporta rapidement dans un plaisir sans arrêt possible. Quoi qu’il se passe, il était impossible pour moi d’arrêter avant d’avoir éjaculé. La limite du raisonnable avait été franchie. Honnêtement, je ne m’attendais pas à mieux que ce plaisir buccal offert par la femme que j’aime. Mais après quelques minutes dans sa bouche, ma sœur se releva et nous fit échanger nos places. Elle se trouvait debout, et moi j’étais assis sur la cuvette des toilettes. J’en profitai pour passer mes doigts une fois de plus dans son antre toujours plus trempé. Puis ma sœur releva sa robe et vint s’empaler sur ma barre bien dure. Elle ondula son bassin sur mon pieu qui se trouvait au chaud entre ses parois vaginales, et, pour couvrir ses gémissements, elle mit sa langue dans ma bouche. L’excitation et le plaisir furent immenses, et même avec nos bouches l’une contre l’autre, nos gémissements ne purent totalement être masqués. Si bien que tous ceux qui venaient faire un tour aux toilettes n’eurent aucun doute sur les activités qui avaient lieu derrière la porte fermée. Après quelques minutes, je déposai tout mon plaisir et tout mon amour au fond de son vagin. Ma sœur resta encore un bon moment sur moi, récupérant de ses émotions en échangeant plusieurs baisers. En se relevant, ma tige ramollie quitta son doux cocon duquel mon sperme s’écoulait. Ma sœur prit alors quelques bouts de papier toilette pour s’essuyer et effacer toute trace de notre activité. Puis elle m’essuya aussi le bas du ventre sur lequel mon jus était retombé lorsqu’elle s’était relevée. — Attends, lui dis-je avant qu’elle ouvre la porte. — Qu’est-ce qu’il y a ? me demanda-t-elle. — Tu as ton rouge à lèvres sur toi ? Il est parti à cause de notre activité. — Oui, il est là, me le montra-t-elle. — Je vais t’en remettre avant que tu sortes, sinon si tu te remaquilles aux toilettes des femmes et qu’une de tes amies arrive, elle risque de se poser des questions. J’appliquai du rouge à lèvres à une fille pour la première fois, et ma sœur prit soin de nettoyer ma bouche où avait fini le rouge à lèvres qui était parti durant nos ébats. Après s’être assurés qu’il n’y avait aucun bruit dans les toilettes, ma sœur sortit rapidement et discrètement. Moi, je refermai la porte et la rouvris quelques minutes plus tard pour sortir à mon tour. Un rapide coup d’œil dans le miroir me rassura sur l’absence visible de trace de mon activité pratiquée quelques instants plus tôt. Je rejoignis alors le groupe, ne me rendant pas compte qu’il était incomplet. Ma sœur, qui avait donc rejoint le groupe avant moi, sembla chercher quelqu’un. — Tu n’as pas vu ma collègue ? finit-elle par me demandé. Comme elle a bu, je n’aimerais pas trop la savoir sur la route. Immédiatement, mon regard se porta sur la place occupée par mon meilleur ami, vide également. Je tentai de me rassurer en le cherchant sur la piste de danse, mais il n’était pas là non plus. — Je ne voulais pas t’en parler parce que je ne voulais pas faire de conclusion trop hâtive, mais j’ai vu ta collègue et mon meilleur ami s’embrasser tout à l’heure. — On l’a tous fait à minuit, me répondit-elle. — Je te parle d’avant minuit. Je les ai surpris dehors quand je suis sorti prendre l’air. — Donc tu penses qu’elle est encore avec lui ? Ça m’étonnerait beaucoup vu comme elle est attachée à son gars.   D’après ce que me dit ma sœur, sa collègue semblait très amoureuse de son compagnon, il était donc inhabituel pour tous les deux de se comporter ainsi. Pour écarter tout doute, ma sœur et moi sortîmes les chercher à l’extérieur. En me rendant vers la voiture de mon ami, elle était vide. J’étais rassuré, il n’avait pas commis le pire. Tout en continuant nos recherches, je fis une demande à laquelle ma sœur ne s’attendait pas. — Dis-moi mon cœur, tu as envie de prendre la pilule demain ? — Pourquoi cette question ? me demanda-t-elle alors. — J’ai remarqué qu’il y a un gars qui t’a maté une bonne partie de la soirée, et je me disais que si tu préfères ne pas prendre la pilule, tu pourrais le fréquenter, il servirait de couverture si tu venais à tomber enceinte. — T’es vraiment sérieux ? — Comme tu me l’as déjà dit, on prend de nombreux risques, avec un copain de ton côté, ça pourrait expliquer plus facilement une grossesse. Elle réfléchit longtemps, semblant hésiter mais je ne savais pas encore sur quoi. — Je serais obligée de te tromper si on faisait ça, me dit-elle. — Je sais, mais ce serait pour la bonne cause. Et je te promets de ne pas te reprocher de coucher avec lui. Et tu n’es pas obligée de prendre du plaisir avec lui, juste te servir de lui. — D’accord, me dit-elle après encore un moment de réflexion. Mais toi aussi tu dois te trouver quelqu’un. Je culpabiliserai moins si je savais que de ton côté, tu fais pareil. J’avoue que je n’avais pas vu les choses sous cet angle. Cette fois, ce fut à mon tour de réfléchir avant de lui répondre. — Si tu y tiens tant que ça, j’accepte, lui dis-je après plusieurs secondes d’hésitation.   Après un baiser scellant cet accord, ma sœur chercha ensuite la voiture de sa collègue. Elle bougeait beaucoup, mes doutes reprirent de plus belle. Ma sœur commença à croire ma version à ce moment-là, surtout qu’en revenant dans la salle, les deux même étaient toujours absents du groupe. Et ils sont réapparus quelques minutes l’un après l’autre. J’apprécie beaucoup sa future femme, mais devrais-je protéger mon ami ou être honnête avec celle qui va s’engager avec lui pour la vie ? Bien que cela me fasse de la peine pour elle, je décidai de protéger mon ami en gardant le secret. Et devrais-je dire à mon ami que je connais son secret ? Moi qui sait ce qu’on ressent en apprenant qu’on a été trompé, j’allais devoir faire un choix difficile : faire souffrir une personne autant que j’ai souffert, ou protéger une personne infidèle. Puis, repensant à la discussion que j’ai eu avec ma sœur, je réalisai que moi aussi j’allais devenir un infidèle, ce qui me permit de faire plus facilement mon choix. Je protègerai mon ami.   Assez rapidement en revenant dans la salle, ma sœur m’indiqua une fille qui semblait être intéressée par moi. Je ne l’avais pas remarqué avant que ma sœur m’en fasse part, mais cette fille ressemblait physiquement à la serveuse du restaurant du camping où nous étions pendant nos vacances. En allant la voir, effectivement, cette fille était intéressée par moi. Me voyant en sa compagnie, ma sœur n’hésita pas longtemps avant d’aller voir l’homme dont je lui avais parlé. Le gars semblait très surpris qu’elle vienne le voir après l’avoir ignoré aussi longtemps. Il fit rapidement le premier pas, tentant d’embrasser ma sœur. Elle se laissa faire, soit par surprise, soit par envie de mieux masquer notre relation. Constatant cette scène, je fis de même de mon côté, et la fille sembla ravie de mon geste.   Vers trois heures du matin, mon patron fut le premier à repartir, sans oublier de me dire qu’il me convoquait à son bureau à la première heure de mon retour au travail. Puis, ne se sentant pas en mesure de conduire, la collègue de ma sœur demanda à mon meilleur ami s’il pouvait la ramener. Voyant ça, ma sœur et moi eûmes de gros soupçons sur la suite de leur nuit. Puis, de façon assez rapprochée, le reste du groupe quitta la soirée. Je pris le numéro de la fille, puis je rejoignis ma sœur pour rentrer et terminer cette soirée. À notre départ, il ne restait que deux personnes dans le groupe.   Ma sœur et moi rentrâmes ensemble chez elle. Nous nous mîmes nus, puis passâmes sous les draps. — Ce n’était pas si désagréable que ça de ne rien porter, me dit ma sœur. — C’est vrai, tu as bien aimé ? lui demandais-je par confirmation. — Oui, et j’ai bien aimé quand tu me tripotais aussi. — Ce n’était plus le sud, on connaissait ceux qui nous entouraient, donc c’était plus risqué. C’est pour ça que je ne t’ai pas amenée jusqu’à l’orgasme. Et sinon, tu as pris le numéro du gars ? — Oui, je pense l’appeler dans la journée. Et toi, avec la fille ? — Pareil, je l’appellerai dans la journée. — D’accord, mais quand tu coucheras avec elle, protège-toi. Je n’aimerais pas que tu la mettes enceinte avant moi. — Pas de souci, mon premier sera avec toi et avec aucune autre.   Après cette conversation clôturée par de longs baisers, nous finîmes par nous endormir l’un contre l’autre.   Le lendemain après-midi, après un court appel à nos futurs partenaires respectifs, mon meilleur ami m’appela pour me proposer de venir chez moi. J’acceptai et je quittai donc ma chérie durant quelques heures. — Je crois que j’ai vraiment merdé cette nuit, me lança-t-il. Préférant le laisser en venir tout seul au sujet, je ne fis que le laisser se confier. — Comment ça tu as merdé ? Tu as fait quoi exactement ? T’as trop picolé et t’as gerbé dans ton lit ? — Pire que ça, j’ai amené une autre fille dans mon lit, et j’ai couché avec plusieurs fois. Voilà, il s’était confié. Il venait également d’avouer avoir eu plusieurs relations avec elle. Mais il n’avait pas parlé de la fois dans la voiture. — C’était qui ? lui demandais-je encore pour simple confirmation de ce que je savais déjà. — C’était la copine de ta sœur, je crois que c’était sa boss ou sa collègue. Ou quelqu’un de son boulot en tout cas. — Tu avais bu, et elle aussi. Vous ne saviez plus vraiment ce que vous faisiez, lui dis-je. — Juste deux verres, et elle aussi. On savait encore assez bien ce que nous faisions. Et même si c’était le cas, ça aurait pu expliquer la première fois, mais pas les trois autres qui ont suivi, ni celle de tout à l’heure.   Je ne pensais pas que ça avait été aussi loin entre eux. J’en fus surpris alors que j’étais en partie au courant.   — Et tu comptes la revoir ou comptes toujours te marier avec ta copine ? — À propos de ma copine, ne lui dis rien s’il te plaît. Je n’ai pas envie de briser mon couple. — D’accord. Mon ami me promit de ne plus revoir cette fille. Par amitié pour lui, je n’en parlais à personne d’autre que ma sœur. D’une part, parce qu’elle était aussi au courant, et d’autre part, parce que je l’aime trop pour lui cacher des secrets. Mais aussi, parce que dans quelques jours, j’allais devenir infidèle moi aussi, je ne pouvais donc pas me permettre de lui reprocher un acte que j’étais prêt à faire de mon côté.
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