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Vacances avec ma sœur

Chapitre 13

Premiers partenaires

Inceste
Bien que nous ayons tous les deux pris le numéro de nos futurs partenaires respectifs, cette nuit du nouvel an, nous sommes rentrés ensemble et avons continué de dormir l’un contre l’autre durant les jours suivants.
Ma soeur étant très belle, c’est donc elle qui a reçu en premier l’invitation de son partenaire pour un rendez-vous en tête-à-tête.— Qu’est-ce que je dois faire ? me demanda-t-elle.— Tu dois faire le nécessaire pour que nous puissions continuer à cacher notre relation, lui dis-je.— Il voudra sûrement coucher avec moi. Je n’y arriverai jamais.— C’est sûr qu’il aura envie. Mais pour aujourd’hui, dis-lui simplement la vérité. Tu as encore tes règles.— Et s’il veut que je le suce ?— Cacher notre relation ne veut pas dire qu’on prendra du plaisir à le faire. Donc s’il te demande, soit tu acceptes, soit tu trouves une excuse pour refuser. Mais si tu le fais, je sais que ça sera uniquement pour que nous puissions mieux nous cacher.— J’ai peur, m’avoua-t-elle. Peur de ne pas y arriver parce que je n’aime que toi.— Dis-toi simplement que tu fais ça avec moi. Quand nous n’étions plus vraiment ensemble, j’ai réussi à coucher avec l’autre fille uniquement parce que je pensais à toi. J’imaginais que c’était toi.— Je ne sais pas si j’en serai capable.
Après cette conversation, ma soeur déboutonna mon pantalon, sorti mon sexe de mon boxer et me prit dans sa bouche. Ses lèvres allaient et venaient le long de mon pieu, et comme à chaque fois, j’étais emporté au septième ciel. Ma soeur continua jusqu’à ce que sa bouche reçoive mon sperme. Puis elle l’avala.— Par contre, je ne lui ferai jamais ça, dit-elle.— Quoi donc ? lui demandais-je.— Avaler. Je le fais avec toi parce que je t’aime, mais en supposant que j’arrive à sucer un autre gars, je ne pourrais jamais l’avaler.— D’accord mon amour.
Après ce moment d’intimité, ma soeur s’habilla, sans être réellement enthousiaste à l’idée de ce premier rendez-vous.Une fois ma soeur partie, je réalisai que la fille rencontrée au nouvel an attendait peut-être un message de ma part. Je lui envoyai un SMS pour lui proposer un rendez-vous. Quelques minutes plus tard, je reçus une réponse positive. À ce moment, je comprenais mieux ce que ma soeur avait pu ressentir. Moi non plus je n’avais pas très envie d’aller à ce rendez-vous. Mais quel exemple allais-je donné si je devais faire supporter cette relation à ma soeur tout en refusant de m’impliquer dans la mienne ? Je me préparai donc lentement et allai ensuite la retrouver au lieu indiqué.
À mon arrivée, elle était déjà là. N’ayant un intérêt pour elle que pour servir de petite-amie officielle devant les parents, mon premier contact avec elle fut pour lui faire la bise. Ce geste qui me semblait montrer un désintérêt pour elle semblait plutôt la flatter. Elle avait l’impression d’être tombée sur un homme qui ne cherchait pas à brûler les étapes.Le rendez-vous se passa dans un semblant d’intérêt. Je lui posai des questions basiques, elle en faisait de même. Je lui répondais du mieux que je pouvais pour ne pas montrer ma lassitude. Lorsqu’elle me demanda si j’étais célibataire depuis longtemps, j’omis volontairement de lui parler de ma situation actuelle. Ainsi, je ne lui parlais que de la relation précédent celle que j’avais avec ma soeur.À la fin de la soirée, c’est elle qui m’embrassa. Je lui rendis le baiser, faisant semblant d’avoir apprécié. Étais-je un si bon menteur au point de paraître si crédible ou était-elle si naïve qu’elle n’a rien vu de cette comédie ? Je l’ignore totalement, mais elle semblait ravie de la soirée qu’elle venait de passer.
Comme un bon gentleman, je lui proposai de la raccompagner jusqu’à chez elle, lui promettant de ne pas abuser de la situation.Le premier rendez-vous se termina ainsi. Et quelques heures plus tard, je reçus un SMS de sa part pour me remercier de cette formidable soirée qu’elle venait de passer. Je terminai ma soirée seul, sans savoir comment se passait le rendez-vous de ma soeur.
Le lendemain, après le travail, je retrouvai mon amour, et c’est après un tendre moment dans l’intimité de son lit qu’elle me parla de son rendez-vous de la veille. À l’entendre, elle s’y était autant ennuyée que moi. Et comme je le pensais, il a tenté de finir la soirée avec un bonus, qu’il n’a pas obtenu. De mon côté, je lui expliquai que son rendez-vous m’a fait repensé au fait que j’avais le numéro de cette fille et qu’elle attendait peut-être de mes nouvelles. Je lui racontai également le déroulement de la soirée, sans omettre de lui parler du baiser échangé afin de ne rien lui cacher.— Force-toi à être plus convainquant, me dit alors ma soeur. Vu ce que tu me racontes, elle risque de rapidement s’apercevoir que quelque chose ne va pas.— Je sais, mais elle ne m’intéresse pas.— Le mien ne m’intéresse pas non plus, pourtant je me force à lui faire croire qu’il me plaît.
Après la conversation, nous nous enlacâmes tendrement. S’agissant de la femme que j’aime, je savourai chaque baiser sans simuler mon plaisir.
Deux jours plus tard, ma soeur eut son second rendez-vous. N’ayant plus ses règles, elle préféra me faire l’amour avant d’aller revoir son prétendant. Et c’est sans se laver qu’elle s’y rendit. Elle voulait conserver la trace de ma présence au fond d’elle, ainsi que mon odeur sur elle, peut-être pour se donner du courage pour une éventuelle suite à sa soirée.Me câlant sur le même rythme que ma soeur, je proposai moi aussi un second rendez-vous à ma partenaire. Elle accepta avec plaisir.
Le second tête-à-tête se déroula presque comme le premier. Toutefois, je me montrai plus enthousiaste afin de ne pas la faire fuir si elle s’apercevait de mon manque d’intérêt pour elle. Je faisais même l’effort d’aller vers elle pour l’embrasser. Je n’attendais pas toujours que ce soit elle qui fasse le pas vers moi.Si au premier rendez-vous nous n’avions échangé qu’un seul baiser, au second, ils furent plus nombreux, peut-être cinq ou six, ou un peu plus. Mais encore une fois, en la raccompagnant chez elle, je ne cherchais pas à aller plus loin.Ce n’est qu’au quatrième rendez-vous, voyant que je "la respectais" parce que je ne cherchais pas à lui sauter dessus qu’elle me proposa de finir la soirée chez elle. Les choses allaient maintenant prendre une tournure différente. Je m’étais préparé à l’idée de devoir coucher avec elle (c’est aussi pour ça que j’avais racheté des préservatifs alors que je n’en mettais jamais avec ma soeur), mais allais-je réussir à la pénétrer ou allais-je encore une fois connaître la panne ?
Tout en me déshabillant, elle prit mon sexe dans sa main pour me masturber. De mon côté, je déposai des baisers dans son cou. Une fois mon pantalon et mon boxer enlevés, elle m’allongea sur le lit et prit ma barre encore un peu molle dans sa bouche. Si je devais faire abstraction de ce que je ressens lorsque c’est ma soeur qui m’offre ce plaisir, je reconnais que cette fille avait un certain savoir-faire. Même si je ne prenais pas autant de plaisir qu’avec ma soeur, j’en prenais toutefois plus qu’avec ma dernière ex. Simuler le plaisir ne semblait donc pas si difficile avec elle.
Après quelques instants à s’occuper de moi, je mis ensuite ma tête entre ses cuisses. Là encore, en faisant abstraction de l’excellent goût de ma soeur, je reconnais que le goût de cette fille était très agréable. Elle semblait apprécier ma façon de faire puisque je suis parvenu à l’amener jusqu’à l’orgasme. En me relevant, elle vint me mettre la protection de latex, puis elle s’offrit totalement à moi. Je la pénétrai alors pour la première fois.Dès les premiers vas-et-viens, je sentis que je n’étais pas loin de la panne. Cette faiblesse ne provenait pas du manque de plaisir, mais je réalisai que j’étais en train de tromper la femme que j’aime.Si faire l’amour à ma soeur se fait naturellement, ma première fois avec cette fille me demanda beaucoup de concentration et d’auto-persuation. En effet, je devais me convaincre moi-même que je couchais avec cette fille pour protéger le secret de l’amour que nous partagions ma soeur et moi. Ce n’est qu’après avoir repris de la vigueur que j’ai pu profiter de ce moment avec elle.Après avoir rempli le préservatif, je l’embrassai et je dormi dans son lit. J’avais maintenant une petite-amie officielle, une que je pouvais présenter à mes parents sans qu’ils soient choqués.
Les jours suivants, je continuais de faire l’amour avec ma soeur, et avec elle, pas besoin de me protéger, elle savait que je mettais toujours un préservatif quand j’étais avec l’autre fille. Je pensais éprouver du remord à tromper si facilement ma "petite-amie officielle", pourtant, il n’en fut rien. C’était plutôt l’inverse. Je regrettais de prendre du plaisir avec une autre femme que ma soeur.Nous calions nos rendez-vous sur le même rythme autant que possible. Parfois, il arrivait que l’un de nos partenaires ne soit pas disponible lorsque l’autre avait un rendez-vous. En dehors de ces moments, ma soeur et moi passions le plus de temps possible ensemble à nous retrouver et à laisser nos corps s’exprimer. Malheureusement pour nous, nos rendez-vous avec nos partenaires respectifs se rapprochèrent de plus en plus, rendant nos moments de retrouvailles plus rares. Le seul avantage de cette rareté était que nos moments furent plus précieux, et nous en appréciions davantage chaque minute.
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