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Vacances avec ma sœur

Chapitre 14

Une nouvelle expérience

Inceste
Cela faisait environ un mois que ma soeur et moi avions débuté nos histoires parallèles. Cet après-midi là, c’est elle qui vint me rendre visite à mon appartement. Contrairement à avant, lorsque nous n’avions personne d’autre, nous pouvions profiter plus longtemps de nos moments ensemble, mais maintenant, bien malgré nous, nous ne devions pas nous éterniser. C’est pourquoi, après de longs échanges de baisers, nous étions maintenant nus. J’allais entamé la suite des festivités lorsque ma soeur m’interrompit.— Attends deux minutes, me dit-elle en me repoussant légèrement.
Mince, allait-elle vouloir arrêter ? Puis en constatant notre nudité commune, et ses caresses sur mon intimité pendant qu’elle me parlait, je compris rapidement que ce n’était pas cela.— Qu’est-ce qu’il y a mon amour ? lui demandai-je alors.— C’est mon "mec" dit-elle en mimant bien les guillemets sur le mot lorsqu’elle parlait de lui. Vu que j’avais mes règles quand on s’est "rencontrés", et que je les ai eu encore la semaine dernière, il a proposé de m’enculer.
Je n’étais pas encore sûr de ce que je devais penser à cet instant.— Et alors ? Tu l’as fait ?— Non, cet endroit est toujours vierge. Mais comme je t’aime plus que tout et que je veux m’offrir entièrement à toi, je veux que tu sois le premier à me pénétrer par là.— D’accord, mais je te préviens tout de suite, je n’ai jamais pris une femme par cet endroit, donc je risque de mal m’y prendre et de te faire mal.— Je te préviendrai si j’ai trop mal.
N’ayant que l’exemple des films pour adultes pour m’aider dans cette nouvelle pratique imminente, je repensai aux versions les plus douces (qui se trouvent être souvent celles des films amateurs). Si dans certains films, ils utilisaient de la vaseline, je n’en possédais pas sous la main, et n’ayant pas envie de perdre un temps précieux en compagnie de ma soeur, je préférai ne pas aller en acheter. Je fis donc comme dans d’autres versions, et je mis ma langue.— Arrête, commença à me dire ma soeur. Pas avec ta langue, c’est quand même mon cul que tu lèches.— Je t’aime mon amour, et je sais que tu as une bonne hygiène, donc ça ne me dérange pas.
En réalité, je n’avais aucune idée de ce qui m’attendait. Allais-je apprécier de la lécher à cet endroit ? Malgré son hygiène, était-ce vraiment sans risque pour moi d’y mettre ma langue ? Toutefois, après quelques coups de langue supplémentaires, je sentis les muscles de ma belle se relâcher. Elle semblait moins stressée par le fait que ma langue se trouve à cet endroit. Et après quelques minutes, ma soeur commença à gémir. De mon côté, j’avais raison d’avoir confiance en elle, car je ne sentis rien qui puisse me repousser, ma soeur avait donc vraiment une hygiène irréprochable à chaque partie de son corps.N’ayant pas vraiment d’idée sur le temps nécessaire à la lécher pour bien la dilater, je pense être resté environ dix minutes avec ma langue sur son orifice. Pendant tout ce temps, ma soeur poussa des gémissements prouvant son plaisir de sentir ma langue sur cette zone de son anatomie. Sans avoir de réelle notion du temps depuis lequel je lui faisais connaître ces nouvelles sensations, je me suis relevé, et ma soeur se retourna pour me sucer quelques instants afin que je sois bien raide, ou tout simplement par plaisir de me sentir dans sa bouche. Elle se retourna une nouvelle fois pour se remettre en position pour m’acceuillir dans ce lieu inexploré jusqu’à présent. Je mis une main sur sa hanche puis, je me servais de la seconde pour bien viser ce trou encore vierge, m’approchant en douceur. Mon gland arrivant à l’entrée de son orifice, je m’arrêtai un instant pour ne pas la surprendre et lui faire mal. Puis, je donnais un petit coup de rein pour pénétrer cette partie de son anatomie. Mon gland était maintenant entièrement rentré.— Ça va ? demandais-je à ma chérie.— Oui, me répondit-elle dans un léger gémissement.
La tenant maintenant avec mes deux mains sur ses hanches, je m’enfonçai encore un peu plus en elle, progressant lentement. Tout en m’enfonçant, je m’informais sur les éventuelles douleurs de mon amante, mais elle semblait supporter. Même si je n’étais pas encore au fond, nous pouvions déjà dire que j’étais le premier à explorer tous les orifices de ma soeur. Encore quelques centimètres et me voilà en butée au fond de son petit trou. Après une avancée lente et toute en douceur, mon sexe était entièrement rentré et sans douleur.Je reculai maintenant, là aussi en allant lentement, puis je revins à nouveau un peu plus rapidement. Ça y est, c’était officiel, ma soeur était maintenant sodomisée pour la première fois, et c’était également la première fois que je pratiquais cela aussi.Son orifice était étroit, et j’en sentais bien les contours. Cette sensation était nouvelle pour moi aussi, et je dois avouer que c’était agréable. Je la chevauchais de plus en plus vite, mais toujours avec un maximum de douceur, et ma sœur continuait de gémir. Puis sentant ma jouissance venir, je continuai encore et me déchargeai librement au fond de son petit trou. C’était maintenant fait, la sodomie était vraiment totale et intégrale.Je me retirai puis je m’allongeai sur le lit et ma soeur vint poser sa tête sur moi.— Tu as trouvé ça comment ? lui demandais-je après quelques minutes et quelques baisers échangés.— Je peux te répondre honnêtement ?— Bien sûr mon amour, tu sais que tu peux tout me dire.— Tu promets de ne pas me juger ?— Oui. Si tu n’as pas aimé, je te promets de ne pas te demander de le refaire.— J’ai beaucoup aimé, au contraire. Je ne pensais jamais que ça pouvait être aussi agréable. Avant ça, j’en avais une mauvaise image, mais maintenant, je vois ça différemment.
J’étais agréablement surpris d’avoir fait plaisir à ma chérie dès la première fois. N’ayant que l’expérience des films vus pendant mes périodes de célibat, je pensais avoir été un peu trop brouillon pour lui donner un quelconque plaisir. Moi qui pensais que cette pratique représentait davantage une forme de domination de l’homme par rapport à la femme (et c’est pourquoi je ne l’avais proposé à aucune femme auparavant), j’avais tort. Ce moment fut un partage de plaisir, aucun de nous n’a dominé l’autre. C’était simplement une autre forme de don de soi envers l’autre, une autre façon de se prouver notre amour. En réalité, si elle m’a demandé de ne pas la juger, c’était par crainte que je la vois autrement. Mais la voir autrement est impossible pour moi, je l’aime et je ne pourrai jamais la voir de façon dégradante.
Après ce premier essai réussi, nous prîmes la douche ensemble. Comme si nous n’étions jamais rassasiés de sentir le corps de l’autre, lavage mutuel, caresses et baisers vinrent agrémenter ce nouveau moment de partage.— Ton gars t’attends ce soir ? demandais-je à ma soeur.— Oui, pourquoi ?— J’avais envie de dormir avec toi.— Vu qu’il m’attend ce soir, je ne peux pas annuler sans une bonne excuse. Mais je te promets de me libérer pour demain. On passera la nuit ensemble sans problème.
Après avoir quitté la douche et s’être rhabillée, ma soeur m’offrit une dernière séance de baisers puis quitta mon appartement. Quant à moi, n’ayant pas de compagnie pour la soirée, je pris contact avec l’autre fille qui accepta de venir dormir chez moi, ignorant tout de la scène qui s’était produite quelques heures plus tôt sous ces mêmes draps. Pourtant, je ne les avais pas changés, il devaient probablement être encore imprégnés de notre transpiration, mais il semblerait qu’elle n’a rien senti. À elle aussi je lui ai fait l’amour, mais cela n’avait aucune comparaison avec ma soeur. J’aurais dû avoir honte de me servir ainsi de cette fille qui avait probablement un début de sentiments pour moi, mais cela ne me fit rien. Je savais depuis le début que cette relation ne durerait pas. J’étais incapable d’aimer une autre personne que ma soeur.
Le lendemain, ma soeur tint sa promesse, et nous pûmes partager une nuit ensemble, aussi magique que les précédentes. Toutefois, cette nuit-là, nous fîmes l’amour de façon plus classique. Ce n’est pas parce que nous avions tous les deux apprécié la sodomie que nous allions maintenant en faire notre façon principale de nous unir.Quelques jours après cette expérience, ma sœur me fit un aveu. Si, par besoin de cacher notre relation, elle acceptait de coucher avec d’autres hommes, elle me promit que malgré la demande de son partenaire, personne d’autre que moi n’explorera l’autre partie de son intimité.
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