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Vacances avec ma sœur

Chapitre 15

Une journée pleine de surprises

Inceste
En juin 2012, j’étais redevenu célibataire depuis environ deux semaines. Ma partenaire ne me trouvait pas suffisamment investi dans notre relation. Elle préféra donc rompre. Et honnêtement, je n’ai jamais cherché à la retenir. Ce célibat nous permit à moi et à ma soeur de pouvoir passer quelques nuits supplémentaires ensemble, lorsqu’elle n’était pas avec "son mec". Mais pour ma sœur aussi, sa relation allait prendre une tournure inattendue.
À la fin de ce même mois de juin, je me rendis au mariage de mon meilleur ami. Comme je lui avais promis, je n’ai jamais parlé à sa future femme de son infidélité du nouvel an, sinon ce mariage n’aurait jamais eu lieu.Malgré notre forte amitié, je ne fus pas choisi pour être son témoin de mariage, mais je ne lui ai jamais reproché. Après tout, être témoin, c’est juste apposer une signature sur un papier, le reste n’est pas différent de ce que peut apporter un ami au futur marié.Je mis donc un costume acheté quelques jours plus tôt pour cette occasion, puis je me dirigeai dans la commune où se déroulait la cérémonie. Alors que, comme de nombreux autres invités, j’attendais l’arrivée des futurs mariés devant la mairie, je reçu un appel de ma sœur.
— Coucou bébé, tu es où ? Je suis devant chez toi et il n’y a personne.
Bien que nous n’ayions pas prévu de nous voir ce week-end, il arrivait toutefois que ma sœur débarque à l’improviste pour me faire une surprise. Mais malheureusement, lorsque je ne suis pas prévenu, comme ce fut le cas ce jour-là, la surprise risque de tomber à l’eau si je ne suis pas présent chez moi.
— Je suis au mariage de mon meilleur ami, je suis devant la mairie en ce moment.— D’accord. Est-ce que ça te dérange si je viens au mariage ? me demanda ma sœur.— La cérémonie est libre d’accès, tu peux venir. Mais si tu veux rester pour le repas, il faudra voir ça avec eux, parce que je ne sais pas s’il y aura une place disponible. Ça serait bête que tu restes debout toute la soirée.
En réalité, lors de la réception du faire-part de mariage, ma sœur et moi avions déjà commencé notre relation. J’avais donc prévu de venir accompagné au mariage. Puis il y a eu mon ex. À ce moment-là, ma sœur et moi avions convenu que j’aille au mariage accompagné de cette fille. Et lorsqu’elle est partie, j’ai prévenu mon ami que je viendrai probablement seul, car ma sœur était avec "son mec". Mais je ne savais pas s’ils avaient laissé la place libre ou s’ils avaient tout réorganisé pour une personne absente. Mais honnêtement, j’avais grand espoir qu’ils ne s’étaient pas fatigués à tout réorganisé.
Après lui avoir donné le nom de la commune où se déroulait la cérémonie, je raccrochai, espérant la voir arriver rapidement pour pouvoir la serrer dans mes bras à l’abri des regards indiscrets.À la mairie, la cérémonie se déroulera normalement, et je ne vis pas ma sœur. Soit elle avait renoncé à venir, soit elle n’était pas encore arrivée. Je suivis donc ensuite le cortège jusqu’à l’église. Peut-être qu’elle s’était rendue compte que la cérémonie était bientôt terminée et qu’elle avait décidé d’attendre devant l’église. Là encore, aucune présence de ma sœur en arrivant devant le monument religieux. Je pensai qu’elle avait renoncé à venir. Mais quelques minutes plus tard, je vis sa voiture se garer. Lorsqu’elle descendit de sa voiture, je ne pus m’empêcher de la regarder. Elle était habillée d’une robe d’un bleu léger. Personnellement, je la trouvais bien plus belle que la mariée. Mais je n’étais pas très objectif vu mes sentiments pour elle.— Tu es magnifique, lui dis-je en allant à sa rencontre.
Il me fallait résister à la tentation de l’embrasser vu que certaines personnes nous connaissaient. Cet exercice fut relativement difficile.— Merci, tu es très élégant aussi me dit-elle. Je vais avoir du mal à résister toute la soirée si ton ami accepte de m’inviter.— Pour ça, je te laisse aller lui demander. Mais personnellement, ça me plairait beaucoup que tu sois avec moi ce soir.
Elle partit ensuite à la rencontre du marié et entama avec lui une conversation que la distance mêlée au brouhaha de la foule ne me permit pas d’entendre. Après quelques minutes, elle revint vers moi.
— C’est bon, ils sont d’accord tous les deux. En plus, ils ont des invités qui n’ont pas pu venir, donc je ne dérangerai personne.— C’est parfait, lui fis-je savoir.
En dehors des interminables paroles du prêtre, la cérémonie à l’église se déroula tout aussi bien que celle de la mairie. Une fois sortis du lieu de culte, nous prîmes tous la direction de la salle où se tenait la réception. Étant à quelques kilomètres de là, c’est donc en voiture que s’y rendit le cortège. Pour ma part, j’étais monté dans la voiture de ma sœur. Il me semblait un peu inutile d’y aller avec nos deux voitures. Pendant le court trajet, ma sœur me parla de sa nouvelle situation.— Bébé, ça t’ennuie si je passe un peu de temps chez toi ? commença-t-elle.— Tu n’as pas besoin de demander, tu connais déjà la réponse mon amour.— Même si c’est pour quelques mois ?
Je ne m’attendais pas à cette demande. Je pensais qu’elle parlait de seulement quelques jours. Bien sûr que l’idée de passer aussi longtemps avec la femme que j’aime me plaisait, mais je ne comprenais pas pourquoi elle y tenait tant que ça au risque que tout notre entourage s’interroge.— Tu n’as pas peur que les parents se posent des questions si on habitait ensemble aussi longtemps ?— Donc tu ne veux pas ? me demanda-t-elle.— Mon amour, tu sais que plus je passe de temps avec toi, plus je suis heureux. Mais comment on justifierait ça ?— En fait, hier soir, mon patron m’a annoncé que mon contrat ne sera pas renouvelé à la fin du mois prochain. Du coup, je ne pourrai plus payer mon loyer. Donc aujourd’hui, j’ai demandé à l’autre (c’est parfois ainsi que l’on nommait nos partenaires entre nous) de m’héberger chez lui, et il trouvait que c’était trop rapide pour emménager ensemble. Du coup, je l’ai largué.— Dans ce cas-là, il n’y a aucun souci, lui annonçai-je. Mais à une seule condition, c’est que tu dormes avec moi toutes les nuits.— Évidemment bébé. Je n’ai même pas envisagé le contraire. Et j’espère qu’on ne fera pas que dormir, sinon autant aller sur le canapé.
En lui annonçant ma condition, je savais très bien qu’elle serait acceptée. En réalité, c’était surtout une façon de lui faire part une fois de plus de mon amour pour elle.
Bien que je fus un peu déçu pour la perte de son emploi, je ne pus m’empêcher d’être heureux à l’idée de vivre avec elle, et cela m’excita énormément. Je tenais de moins en moins dans mon pantalon. Pourtant, nous ne devions pas nous arrêter pour satisfaire cette envie si forte, car les occupants des voitures derrière nous risquaient de se poser des questions.En arrivant à la salle de réception, ma sœur et moi prîmes directement la direction des toilettes sans même prêter attention à la salle ou au décor. Nous nous enfermâmes ensemble derrière la porte la plus éloignée, puis après de sauvages baisers, ma sœur m’arrêta dans mon élan.— Attends bébé, j’ai une surprise pour toi, mais j’ignore comment tu vas réagir après.
N’ayant pas de sac à main avec elle, elle écarta légèrement le décolleté de sa robe puis en sorti un objet qu’elle gardait apparemment entre les seins depuis son arrivée. Elle me tendit l’objet que je reconnu immédiatement. Il s’agissait d’un test de grossesse. Sans regarder le résultat, je serrai ma chérie dans mes bras, puis je la couvris de baisers. En passant ensuite mes mains sous sa robe, je constatai que j’avais droit à une autre surprise puisqu’il n’y avait aucun autre tissu sous sa robe. Je ne pus donc m’empêcher de m’agenouiller et de passer ma tête entre ses cuisses dans une position assez acrobatique.— J’espérais vraiment que tu réagisses comme ça, murmura ma sœur entre deux gémissements étouffés.
Après quelques minutes, je déboutonnai mon pantalon, m’assis sur la cuvette des toilettes et je fis asseoir mon amour sur ma tige bien raide. Tout en s’embrassant, autant par amour que pour étouffer les bruits de notre étreinte, nous fîmes l’amour. Et après plusieurs minutes, je remplis le vagin de mon amante de tout l’amour que je lui porte.— Pourquoi tu n’as pas regardé le test ? me demanda-t-elle finalement.— C’est le genre de cadeau que les femmes font seulement s’il est positif. Donc je n’avais pas besoin de regarder, je me suis douté du résultat indiqué. Tu l’as fait quand le test ?— Celui-là, ce matin. Mais j’en ai fait deux autres hier. Ils donnent tous le même résultat.— Du coup, je peux le garder ?— Bien sûr chéri.
Après cette étreinte charnelle, nous nous rhabillâmes puis sortîmes des toilettes le plus discrètement possible, sans oublier également de conserver son cadeau au fond de ma poche. Personne n’était présent dans les parages au moment de notre sortie. Un dernier baiser furtif fut échangé avant de rejoindre la salle principale. C’est uniquement à ce moment-là que je pus prêter attention à la décoration. La salle était dans un ton blanc et rouge. Un bouquet de fleurs artificielles était posé sur chaque table. Dans le fond, la table des mariés avait été rehaussée par le biais d’une petite estrade. Il fallait qu’ils soient mis en avant par rapport aux invités. Sur la droite de la table des mariés se trouvait l’animateur de soirée. Et à l’opposé de la salle principale se trouvaient les serveurs qui allaient distribuer les plats tout au long de la soirée.
Par chance, ma sœur et moi pûmes nous asseoir l’un à côté de l’autre. Honnêtement, vu ce que je venais d’apprendre, le mariage de mon ami n’avait plus tant d’importance à mes yeux. Ce qui comptait maintenant, c’était la mère de mon futur enfant. Je pris vraiment conscience de nos sentiments réciproques, si forts que nous étions prêts à fonder une famille ensemble. Je savais déjà que je l’aimais suffisamment fort pour avoir des enfants avec elle. Et ce test, confirmé par les deux précédents, m’indiquait sans aucun doute possible qu’elle aussi avait cette même envie.
Entre les plats, les mariés avaient traditionnellement ouvert le bal, puis les convives se mirent à danser. Tout en regardant les gens profiter de la piste de danse, je caressai le ventre de ma sœur qui maintenant abritait une vie. Elle me regarda amoureusement, et je fis de même. Elle vint ensuite poser sa tête sur mon épaule. Personne dans la salle ne fut choqué par ce geste anodin. Puis, je la sentis commencer à ouvrir ma braguette et glisser sa main dans mon pantalon pour saisir ma tige. Fort heureusement pour nous, la nappe descendait suffisamment pour cacher les gestes de ma tendre. Pendant de longues minutes nous restâmes ainsi, moi, caressant son ventre, et elle, sa main entourant ma tige.
À un moment, l’un de nos voisins de table s’adressa à ma sœur. Je croyais que cela mettrait un terme à ses petites caresses qu’elle m’offrait, mais au lieu de ça, elle se redressa et discuta avec lui comme si de rien n’était, alors qu’elle avait pourtant sa main dans mon pantalon et s’était emparée de ma barre. La conversation dura quelques minutes pendant lesquelles ma sœur fit comme si tout était normal. Nos mains ne quittèrent leur position qu’à l’arrivée d’un nouveau plat.
La suite du repas fut relativement banal. Et comme précédemment, nos gestes sous la table reprient entre chaque plat. Après le dessert, aux environs de deux heures du matin, je sortis pour prendre l’air. Ma sœur m’imita quelques minutes plus tard. Discrètement, nous partîmes dans un coin plus calme où nous pûmes échanger de nombreux baisers, à l’abri des regards.
Cela faisait quelques minutes que nous étions dans notre petit coin isolé, lorsque ma sœur vit arriver le marié qui avançait dans notre direction. Nous avait-il vu ? Il passa à quelques mètres de nous comme s’il ne nous avait pas vu, puis continua son chemin. Je le suivi du regard jusqu’à ce que je le vois monter dans une voiture qui semblait être là depuis peu. Dans la lumière du plafonnier du véhicule, je le vis embrasser une femme. Même si je ne l’avais pas vu très souvent, je la reconnu facilement. Il s’agissait de la même fille que celle avec qui il avait eu une relation la nuit du nouvel an. Tout portait à croire qu’à peine marié, il allait déjà retrouver sa maîtresse. Finalement, il continuait de la voir. Et pire encore, il avait oser faire ça le jour de son mariage.
Ma sœur ne semblait pas s’en soucier et continua de m’embrasser. Ce qui détourna rapidement mon attention vers une activité plus agréable. À force de nous embrasser, la suite logique arriva, et je retirai son unique vêtement, puis je mis ma chemise et mon t-shirt par terre, puis je l’allongeai au sol pour lui faire l’amour. Nous nous embrassâmes tout au long de notre étreinte afin de mieux dissimuler nos bruits, puis naturellement, je libérai mon fluide du plaisir au fond de sa grotte accueillante.
En nous relevant, nous nous aidions mutuellement à retirer la moindre brindille qui aurait pu trahir notre activité. Juste avant de partir, je vis la voiture de tout à l’heure revenir se garer au même endroit, et après un dernier baiser, mon meilleur ami descendit de la voiture et prit le chemin pour retourner à la salle de réception. N’ayant toujours pas été repérés, nous attendîmes qu’il soit rentrer pour retourner nous aussi à la salle et finir la soirée. Ma sœur en profita pour faire un petit tour aux toilettes afin de vérifier une dernière fois qu’aucun indice ne risquerait de trahir son activité récente.
Vers quatre heures du matin, la salle s’étant considérablement vidée, le nettoyage commença, ce qui accéléra la fuite des derniers convives. Vers cinq heures du matin, ma sœur et moi quittâmes la salle puis rentrâmes chez moi. Nous fîmes l’amour une dernière fois puis nous endormîmes nus l’un contre l’autre.
Le lendemain au réveil, je fus pris d’un doute que j’exposai à ma sœur.— Mon cœur, je suis désolé de te demander ça. Crois-moi, je t’aime et je ne veux pas t’offenser. Mais vu que tu avais l’autre, comment tu peux être sûre que le bébé est de moi ?J’ai bien senti un malaise suite à cette question. Elle ne comprenait pas pourquoi je remettais ma paternité en doute.— Je n’ai couché avec lui que deux fois le mois dernier. Et c’était très éloigné de ma période d’ovulation. Avec toi par contre, j’ai fait l’amour beaucoup plus souvent, et en plus de ça je t’ai toujours réservé ma période d’ovulation.  L’autre avait beau être excité, il n’y a jamais eu d’autre que toi pendant ces périodes. Je ne voulais pas risquer de tomber enceinte d’un autre que toi. Crois-moi, il ou elle est bien de toi.
Rassuré par cette affirmation, le doute s’estompait. Même si j’étais relativement confiant sur ma paternité, je n’ai jamais été entièrement sûr de moi à cent pour cent, car même si l’ovulation est la période la plus propice à la procréation, les femmes peuvent toujours tomber enceinte hors de cette période (d’après mes vieux cours de SVT). Si bien que tout au long de la grossesse, il y avait toujours cet infime doute. Mais aujourd’hui, je peux l’affirmer sans aucun doute possible, ma sœur avait raison depuis le premier jour.
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