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Vacances avec ma sœur

Chapitre 16

Une joie grandissante

Inceste
Aujourd’hui, j’ai décidé d’écrire un chapitre sans parler de nos ébats amoureux. Rassurez-vous, notre vie sexuelle n’était pas à l’arrêt pour la période concernée par ce chapitre. Mais pour moi, en parler ici n’aurait aucun intérêt. Si ce n’est pas ce à quoi vous vous attendiez, inutile de continuer davantage la lecture de ce chapitre. Sinon, pour tous les autres, merci du temps que vous allez consacrer à la lecture de ce nouveau moment de notre vie sentimentale concernant ma sœur et moi.

Quelques jours après l’annonce de la grossesse de ma bien-aimée, elle annonça également la bonne nouvelle à nos parents. L’ayant connu avec un homme, ils ont tout de suite pensé que c’était lui le futur père de son enfant. Le but recherché était donc atteint. Après la bonne nouvelle, elle avoua également son licenciement et son souhait de venir habiter chez moi afin d’avoir un toit où dormir le temps de retrouver un emploi. Ils tentèrent de lui proposer de reprendre contact avec son ex pour lui faire part de sa future paternité dans le but éventuel de le faire revenir et de faire en sorte qu’elle puisse avoir un autre endroit où dormir. Un lieu où elle serait avec un homme qu’elle aime et qui l’aime, mais ma chérie n’en démordit pas. Elle ne voulait plus avoir affaire à lui et le bébé ne portera pas son nom. Elle inventa même une raison pour expliquer son choix. Par ailleurs, et ça les parents ne le savaient pas, mais en venant chez moi, elle avait déjà un homme qui l’aime et qu’elle aime.Les parents aidèrent durant son déménagement de son ancien appartement jusqu’au mien. Et dans la journée, une fois celui-ci terminé, elle avait maintenant déposé ses valises chez moi. Toutefois, pour continuer de cacher notre relation à nos parents, nous avions mis le lit qui était chez elle dans une autre pièce que nous avions aménagée comme une chambre. Mais ce lit, elle n’y dormit plus durant toute sa grossesse. Nous avions maintenant le nôtre (et il faut dire aussi que c’est dans celui que nous partagions que nous avions fait l’amour le plus souvent, c’est peut-être aussi pour cette raison que nous préférions y passer nos nuits).
Tout ce qui était en trop pour une chambre, ou que je possédais déjà dans mon appartement (table à manger, vaisselle, machine à laver, ou autre) fut revendu sur Internet. Officiellement, cet argent allait servir à ma sœur dans le but de préparer l’arrivée du bébé. Sur ce point, elle avait dit la vérité. Et il faut avouer que préparer l’arrivée d’un bébé est plus coûteux qu’il n’y paraît. Donc finalement, la totalité de cet argent fut utilisé. Et, étant un futur père responsable, je compensai les frais supplémentaires avec mon argent. Une chose que les parents ignoraient.

Une fois son emménagement avec moi terminé, il me sembla important de mettre une chose au clair avec ma chérie. Pendant qu’elle était dans notre lit, je fouillai dans son sac à main et sortis sa carte bancaire. Puis je revins la voir.— Mon amour, commençai-je. Vu que nous vivons maintenant ensemble et que tu es au chômage, je ne veux plus que tu utilises ça, lui dis-je en lui montrant sa carte.— Et je fais comment pour acheter ce qu’il faut pour le bébé ou si je veux simplement m’acheter des trucs ?— J’aimerais qu’entre nous, ça soit plus officiel même si on ne dit rien aux parents. Donc j’aimerais que maintenant tu utilises ma carte. Et pour le bébé, je veux assumer tous les frais. Tu pourras tout payer avec mes sous. Si tu veux, tu ne seras même pas obligée d’utiliser l’argent de ce qu’on a revendu de ton ancien appartement.Puis je lui donnai le code sans risque.— Tu sais, aucun de mes ex n’a fait ça pour moi, me dit-elle.— C’est peut-être parce qu’ils ne t’ont jamais aimé comme je t’aime.Contrairement à la plupart des hommes, j’étais content qu’elle utilise ma carte pour le moindre de ses achats. Je me sentais vraiment en couple avec elle. Toutefois, elle conservait sa carte pour les moments exceptionnels où elle devait faire des achats en présence d’amies ou de nos parents. Au cours des neufs mois, cela ne s’est produit qu’à quelques reprises.
Jour après jour, lorsqu’elle se trouvait nue dans le lit ou sous la douche, ou simplement lorsque parfois elle se promenait nue dans l’appartement, je ne pus m’empêcher de regarder ou de caresser son ventre. Et lorsqu’elle s’approchait de moi, en plus d’un baiser sensuel, j’embrassai également cette partie de son corps. Et chaque nuit avant de nous coucher, je ne manquai jamais une occasion de souhaiter une bonne nuit à mon futur enfant, même si les premiers temps, je ne décelai aucun signe d’une vie qui se développait à l’intérieur. Mais mon amour pour elle ainsi que le résultat du test et les signes extérieurs comme les nausées matinales ou les changements du goût des aliments, confirmaient son état et ne me firent pas douter un seul instant de son honnêteté. Puis, après plusieurs semaines, en passant ma main sur son corps nu, une petite bosse se fit sentir. Invisible encore pour toute personne qui ne focalisait pas son attention sur son ventre. Et encore moins visible lorsque ma chérie était habillée. La présence du fruit de notre amour commençait petit à petit à se développer et à montrer ses premiers signes physiques. Je savais qu’elle m’avait dit la vérité depuis le début, maintenant j’en avais la confirmation sous la paume de ma main.
Je me souviens encore de la première fois où ma chérie me réveilla au beau milieu de la nuit pour une envie de fraises. Il était 2h30 du matin, mais malgré la fatigue, j’étais content de me lever et de faire ça pour la femme que j’aime. Après de nombreuses galères, j’ai fini par trouver un commerçant qui commençait à remplir les rayons de son épicerie. Il a bien sûr tenté de me montrer que le magasin était fermé, mais face à ma détermination (ou peut-être était-ce la détresse d’un futur père qui répond aux exigences de la femme qu’il aime) il a fini par venir m’ouvrir.— Le magasin est fermé. Revenez plus tard.— Je suis désolé, mais ma femme est enceinte et elle a envie de fraises.— Ah. Désolé pour vous mon gars. Je suis passé par là moi aussi. Mais ce n’est plus la saison.— Je sais, mais elle en a envie. Vous n’avez pas une solution à me proposer ?— Je dois avoir des conserves de fraises au sirop en rayon. Je pense que ça devrait faire l’affaire.
— Merci beaucoup monsieur !— Allez, venez, je vous ouvre.Pour son geste, il a pu conserver les deux euros qu’il m’aurait dû s’il m’avait rendu la monnaie.
À mon retour plus d’une heure après sa demande, ma chérie se jeta sur les fraises avant de se jeter dans mes bras. Mais je ne lui en teint pas rigueur, elle avait dû attendre un moment avant d’avoir ce qu’elle m’avait demandé. Pour ne plus être pris de cours, dès que j’ai pu, j’ai fait les provisions de plusieurs fruits que je prenais en conserve afin de les garder plus longtemps, juste au cas où. Malheureusement, je ne fus pas toujours aussi héroïque à chacune de ses demandes nocturnes lorsqu’elle demandait une chose pour laquelle je n’avais pas pensé à faire les provisions. Mais pour cette première fois, je tenais vraiment à faire de mon mieux pour honorer sa demande.

Après environ quatre mois de vie commune, ma chérie se soucia d’un détail.— Bébé, me dit-elle. Les parents risquent de se poser des questions. Ne crois-tu pas que tu devrais te retrouver une fille pour nous couvrir ?— C’est hors de question. Je veux être présent pour toi chaque jour de la grossesse. Je préfère que les parents découvrent la vérité plutôt que de ne pas être avec toi au quotidien.Elle m’offrit un baiser et ne me parla plus jamais de couvrir notre relation durant tout le reste de sa grossesse. Si les parents m’avaient posé des questions durant cette période, je leur aurais simplement dit que je préférais ne ramener personne chez moi tant que ma sœur n’avait pas retrouvé de travail et d’appartement.
Au cours du cinquième mois de grossesse, je pus sentir bouger le fruit de notre amour en passant mes mains sur le ventre de ma bien-aimée. La première fois que cela arriva, ce fut pour moi une joie indescriptible. Et les fois suivantes furent également très agréables. Plus que des battements entendus au cours d’une échographie, je pouvais maintenant le sentir bouger.
Après six mois de grossesse, le ventre de ma chérie pouvait maintenant depuis quelques temps montrer fièrement à tous la preuve de l’amour que nous portions l’un pour l’autre. Un amour qui perdure aujourd’hui encore. Dans les lieux où nous étions inconnus des autres, ma chérie était heureuse de se présenter comme ma femme, et elle aimait beaucoup être félicitée pour sa grossesse. Quant à moi, j’ai toujours été heureux de partager ces moments avec elle. Et passer pour son mari fut très naturel. Et lorsque les gens me demandaient si j’étais heureux d’être bientôt papa, je leur répondis avec un enthousiasme sincère.
La perte des eaux eu lieu au beau milieu de la nuit de mi-février, quelques jours après la Saint-Valentin. Un peu plus tôt dans la soirée, en sortant de la douche que nous venions de prendre ensemble, ma chérie me dit "Je sens que c’est pour bientôt !" Mais nous avions déjà eu trois fausses alertes auparavant. Donc je tentais de ne pas me réjouir trop vite à l’idée de prendre bientôt dans mes bras le fruit de notre amour. Toutefois, alors que nous dormions nus l’un contre l’autre, ma dulcinée me réveilla en sursaut.— CHÉRI, je viens de perdre les eaux.Effectivement, le lit était maintenant trempé. En regardant le réveil, il indiquait 3h36 du matin. J’enfilai d’abord rapidement quelques vêtements sur le corps de mon amour, puis je me vêtis d’un simple pantalon et d’un pull, sans rien en dessous pour gagner du temps.À 3h43, nous étions prêts. Nous montâmes ensuite dans la voiture quelques instants plus tard et je pris la direction de l’hôpital. De nuit, la circulation était quasiment nulle, à peine trois ou quatre voitures croisées. Il ne me fallu donc pas longtemps pour arriver à destination.Une fois à l’hôpital, impossible pour moi de réagir comme un frère. Comme de nombreux pères attendant leur premier enfant, j’étais stressé en arrivant à l’accueil. Le personnel était beaucoup plus détendu que moi. Ils savaient qu’il restait encore plusieurs heures avant que notre progéniture vienne au monde. Si ma chérie n’avait pas eu la sagesse d’esprit de me présenter comme son frère chez qui elle venait passer quelques semaines de vacances, je l’aurais annoncée comme étant ma femme. Notre relation aurait été découverte en même temps que le résultat de notre union.
N’ayant officiellement plus de nouvelles du père de l’enfant depuis plusieurs mois, c’est de moi qu’elle voulu être accompagnée jusqu’à l’accouchement. Le personnel ayant l’habitude de voir des mères célibataires se faire accompagner par un parent, ils ne furent pas surpris. Mais en réalité, ma chérie était bien accompagnée du père de son bébé.Durant plusieurs heures, nous fûmes installés dans une salle, mon amour allongée confortablement sur un lit. Et nous attendions simplement la suite des événements. De temps en temps, une sage-femme venait vérifier si tout se passait bien. Quant à moi, comme au cours de toute la grossesse, je fus aux petits soins pour ma tendre, répondant à chacune de ses exigences.
Au moment de la venue au monde de notre enfant, je dus me forcer à réfléchir à mes mots d’encouragement. Je ne pouvais pas lui dire "Vas-y ma chérie" devant tout le personnel. Je remplaçai donc "ma chérie" par "sœurette", mais en disant cela, j’avais l’impression de m’adresser à une autre personne. C’est pour cette raison que j’employais ce terme le moins possible, préférant des "Tu vas y arriver".À 12h53, notre fils poussa son premier cri. Et j’eus le plaisir de couper le cordon. À part embrasser la mère de mon enfant devant tout le monde, je pus faire tout ce que peuvent faire les maris qui accompagnent leur femme à la maternité. Ce fut une grande joie pour moi et pour ma chérie de pouvoir tout faire comme un couple ordinaire. Mais le plus difficile pour moi fut de masquer ma joie paternelle. Pour être honnête, je ne suis pas sûr d’y être parfaitement parvenu. Et peut-être que quelques membres du personnel se sont doutés que j’étais plus que son frère. Mais personne n’ayant fait de remarque, je ne peux pas savoir si c’est bien le cas.
Après quelques instants à trois, j’embrassai mon amour en prenant garde à ne pas nous faire surprendre par le personnel qui aurait vite fait le lien entre nous (si toutefois ils ne s’en étaient pas encore rendu compte), puis j’embrassai notre fils et je sortis de la chambre, ému par ce moment magique. Je pris un instant pour reprendre mes esprits et appeler les parents.— Allô, c’est le grand jour. Le petit est né aujourd’hui.— C’est une grande nouvelle. Dis à ta sœur que nous viendrons les voir dans l’après-midi.Bien que fatiguée par le travail fourni, ma chérie fut heureuse de présenter leur premier petit-fils à nos parents. Et ils l’aimèrent à la seconde où ils le virent. À regret, pour continuer de préserver notre secret, je pris congé de mes deux amours sans les embrasser une dernière fois et je rentrai à l’appartement. Le soir, après avoir changé les draps, pour la première fois depuis plusieurs mois, je dormis seul dans le lit. Le lendemain, je me mis à la finition de la chambre du bébé. En réalité, je cherchais surtout à vérifier que rien ne manque à son confort et son bonheur puisque nous préparions la chambre depuis le début de son emménagement avec moi. Puis je retournai voir ma chérie et notre fils. Et après deux jours, l’appartement accueilli un nouvel habitant.Pour ne pas éveiller les soupçons en faisant dormir notre fils dans notre chambre (qui officiellement n’était qu’à moi), nous avions décidé de dormir ensemble dans l’autre chambre. Car si les parents pouvaient imaginer que ma chérie dormait dans la même chambre que son bébé, il était impossible pour nous de dormir séparément.
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