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Vacances avec ma cousine

Chapitre 2

Inceste
Tout à coup, j’entendis un bruit de moteur venant de la cour. Mélanie ayant également remarqué, retire ses lèvres des miennes et me lance un regard de panique.
— Les grands-parents sont revenus plus tôt que prévu !! s’écria-t-elle.— Merde, rhabillons-nous, vite ! m’exclamais-je.
En deux temps trois mouvements, nous étions de nouveau habillés, et je courais vers ma chambre. Quelques minutes plus tard, ma grand-mère frappa à ma porte :
— Je peux rentrer Thomas ? demanda-t-elle.
Prenant mon baladeur au passage, et sautant sur mon lit, je lui réponds :
— Oui, oui tu peux !
Elle rentra alors dans ma chambre, complètement trempée.
— Quel temps de chien ! Il pleuvait tellement que la randonnée a été annulée… Nous allons devoir rester enfermés toute la journée. Tu aurais au moins pu penser à ramasser le linge en voyant le temps qu’il faisait ! reprocha-t-elle.
Étant « occupé » avec ma cousine, je n’avais pas du tout remarqué qu’il y avait une pluie torrentielle dehors.
— Oh, désolé grand-mère, mais j’étais en train de somnoler avec les écouteurs dans les oreilles, du coup je n’ai pas entendu la pluie tomber…— Ah, ces baladeurs… Je les jetterais tous à la poubelle ! Va ramasser le linge avec Mélanie.
Je m’exécutais de ce pas, et me dirigea alors vers la chambre de Mélanie. J’allais toquer à sa porte lorsqu’elle l’ouvra en même temps, ce qui nous fit retrouver nez à nez. Nous nous regardions droit dans les yeux, sans bouger. Mon grand-père arriva dans le couloir :
— Vous allez continuer à vous contempler comme ça longtemps ? Grand-mère vous a demandé quelque chose non ? demanda-t-il.

Recouvrant les esprits, j’invitais Mélanie à me suivre pour m’aider à ramasser le linge qui devait sûrement être plus trempé que lorsqu’il a été étendu. Pendant que nous nous exécutions, nous n’échangeâmes aucun mot, juste quelques regards. Le dîner fut bien silencieux, ce qui étonna mes grands-parents, car d’habitude nous étions toujours en train de discuter et rigoler avec ma cousine.
Rendu dans ma chambre, je repensais à ce qui s’était passé tout à l’heure. J’étais heureux, mais en même temps déçu qu’il ne se soit pas passé plus de choses, et je me demandais si cela allait se renouveler. J’avais peur d’aller la voir pour parler de ce qui c’était passé. Si ça se trouve, elle s’était rendu compte que ce n’était pas une bonne chose, et qu’il ne fallait pas recommencer. C’est vrai que cette expérience incestueuse pourrait nous rapporter un tas d’ennuis si cela venait à se savoir…
Je ne supportais plus toutes ces questions dans ma tête, je pris alors mon courage à deux mains, et je décidai d’aller voir. Les grands-parents étaient dans leur chambre en train de regarder la télé, je me faufilais donc dans le couloir sur la pointe des pieds, et rentra doucement dans la chambre de Mélanie. Son lit étant dans un renfoncement de la pièce, elle ne me vit pas rentrer. Stupéfait, je la découvris en pleine séance de masturbation, les yeux fermés, et un bout de son drap dans la bouche pour étouffer ses gémissements. Mon sexe mis peu de temps à se mettre en érection, et une folle envie de me masturber me monta à la tête.
Tout à coup, je l’entendis murmurer des paroles :
— Mmh… Thomas… Oui vas-y…
Je me rendis compte alors qu’elle s’imaginait avec moi, elle a dû donc apprécier ce que nous avons fait tout à l’heure ! Mes espoirs de renouveler une expérience avec elle refirent surface. Elle accéléra son mouvement, sa respiration s’accentua et ses gémissements également, et elle termina avec un grand soupir. Je me cachais alors, et la lumière s’éteignit, je sorti discrètement de la chambre et rejoignait mon lit. N’en pouvant plus, je me déculottais sous mes draps, et commençais à me masturber frénétiquement. Pleins d’images de moi et ma cousine traversèrent mon esprit, et je finis par prendre un mouchoir et jouir comme jamais. Après avoir repris mes esprits, je me mis à dormir.
Cette nuit fut riche en rêves érotiques, cela parut me durer une éternité !
Le matin, je me réveillais bien évidement avec un drap taché… Je cachais celle-ci tant bien que mal en pliant mes draps, changea de boxer, et me dirigea vers la cuisine, afin de prendre mon petit déjeuner. A peine avais-je commencé, que ma cousine arriva, en nuisette à moitié transparente avec les rayons du soleil, faisant apparaître son soutien-gorge et sa petite culotte. Elle me lança un petit sourire, et je lui fis :
— T’as pas peur que les grands-parents te reprochent ta tenue, t’es pas très couverte !— Ils sont parti tôt ce matin, grand-père a un rendez-vous chez l’ophtalmologiste, et ils comptent manger là-bas ce midi, du coup ils ne risquent pas de me voir comme ça, répliqua-t-elle.— Ah ouai ? Du coup on a la matinée de libre ? lui dis-je avec un petit sourire sur le coin de la bouche.— C’est ça, on peut faire ce qu’on veut jusqu’à ce qu’ils reviennent, me répondit-elle avec un regard coquin. Je vais prendre ma douche, à tout de suite !— A toute.
Je me mis alors à regarder la télé dans le salon, puis Mélanie m’appela. Je vins donc à la porte de la salle de bain, et je lui demandais ce qu’elle voulait. Elle me répondit :
— Tu peux me prendre une serviette qu’il y a dans le placard de ma chambre et venir me la donner s’il te plaît ?— D’accord, j’y vais, lui dis-je.
J’accouru vers sa chambre, ouvrit le placard, et me retrouva devant tout un tas de fringues, maillots de bains et sous-vêtements. A la vue de tout cet attirail, je commençais à être excité ; je pris une serviette et rejoignit la salle de bain.
— C’est bon je l’ai, lui dis-je.— Bah entre, c’est ouvert ! répondit-elle.— T’es sûre ? — Oui, oui !
Je fis irruption dans la pièce, et je la vis nue, sortie de la douche. Gêné, je me retournais et lui balançais la serviette.— Bah, cousin, ne soit pas si gêné, tu m’as déjà vu comme ça, non ? me dit-elle avec un grand sourire.
Je me retournais alors, et je la vis s’essuyer, de façon sensuelle ; j’étais quasiment sûr qu’elle le faisait exprès. Elle commença à se caresser doucement les seins, et voyant que je restais bouche bée, elle me fit :
— Tu veux les caresser toi aussi ? — Euh… Bah… Oui… euh… enfin… Je sais pas… Bafouillais-je.— Allez, ai pas peur, tu devrais en profiter !
Je m’avançais alors vers elle, et commençais à peloter ses seins, doucement, puis je commençais à lécher ses tétons, les sucer… Mélanie commençais à respirer de plus en plus fort, je me redressais et l’embrassais sauvagement. Nos langues s’entremêlaient, je lui caressais les cheveux, je descendais sur ses fesses, et je la pris d’un coup dans mes bras. Elle me regarda avec des yeux pleins d’excitation, et me sorti :
— Dans ta chambre !
Je ne me fis pas prier et couru avec elle dans mes bras vers ma chambre ; je la jetais sur mon lit, et me mis nu en moins de temps qu’il ne faut pour le dire. Je m’allongeais alors doucement sur elle, commençant par des petits bisous sur le ventre, puis sur les seins, dans le cou, et pour finir sur la bouche... Je redescendis vers son entrejambe, délicatement, je déposais un bisou sur son clitoris, et je m’amusai avec, des petits coups de langue, puis je le suçais… Je pénétrais alors un doigt dans son vagin, puis deux. Mes doigts coulissaient facilement, la cyprine coulait de plus en plus. Mélanie gémissait de plus en plus fort, jusqu’à ce qu’elle pousse un cri de jouissance. Je me dirigeais vers sa bouche pour l’embrasser encore.
— J’ai envie de toi, Thomas, me dit-elle entre deux baisers.— Moi aussi, tu ne peux pas savoir à quel point, répondis-je.
Nous nous regardâmes droit dans les yeux, puis elle me dit :
— T’as de quoi te protéger ?— Ouai, normalement j’ai ce qu’il faut dans mon sac.
Je pris alors mon sac, fouillais un peu et fini par trouver un préservatif. Elle me le prit des mains et me dit :
— Je vais te le mettre ! Allonge-toi.
Je me mis en position, et elle fit son affaire. Une fois tout en place, elle m’enjambât, puis elle fit un regard hésitant.
— Qu’est-ce qu’il se passe ? lui demandais-je.— Bah, c’est ma première fois, du coup, j’ai un peu peur… Répondit-elle.— Moi aussi c’est ma première fois, tu le sais, mais ne le fait pas si tu n’en a pas envie.— Si, bien sûr que j’en ai envie, mais j’ai juste un peu peur…— Viens à ma place, je vais y aller en douceur si tu veux, la rassurais-je.— D’accord.
Nous nous retournâmes, je dirigeai mon sexe vers son vagin, et commença à la pénétrer, centimètre par centimètre. Mélanie avait un regard un peu angoissé, je me mis à l’embrasser alors, ce qui la détendit, et je commençai un va-et-vient. Au début, Mélanie grimaçait légèrement, puis petit à petit, elle commença à apprécier. Chaque coup de reins que je donnais la faisait gémir, et elle s’agrippait à mes fesses férocement. Elle me fit tomber vers la droite, et me chevaucha. Elle secoua ses cheveux en arrière, et mena la danse en faisant bouger ses hanches.
Nous échangeâmes baisers, caresses, jusqu’à ce que nous jouissions, en même temps. Elle s’allongea alors à côté de moi, épuisée. Nous nous regardâmes, échangeâmes quelques sourires, et je m’endormi peu de temps après.

A suivre…
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