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vacances au bord de l'eau

Chapitre 1

Inceste
Je m’appelle Christiane et je vais raconter ici une aventure sexuelle qui m’est arrivée il y a quelques années déjà. Si j’ai décidé d’écrire tout cela, c’est parce que cette expérience est incroyable et inhabituelle. Pour certains, ça pourra même paraître pervers ou répugnant, etc. En effet, cela s’est passé avec mon neveu, Frédéric. Je précise que tout cela s’est passé entre deux adultes consentants : à l’époque j’avais 52 ans et Frédéric en avait 31 ; et aucun de nous deux n’a été obligé de faire quoi que ce soit qu’il n’aurait pas voulu.
Voici tout d’abord quelques précisions sur le contexte. Je suis issue d’une famille nombreuse : j’ai plusieurs frères et sœurs, qui ont chacun plusieurs enfants, et Frédéric est le fils d’une de mes sœurs. Je suis la seule célibataire de la famille et, sans me vanter, je suis restée assez jolie femme. Nous avons une partie de nos origines en Corse, où nous possédons encore une grande maison familiale dans laquelle, tous les étés, je passe mes vacances et où se succèdent également les familles de mes frères et sœurs. Non loin de la maison se trouve une petite crique isolée, uniquement accessible par la mer, et dans laquelle il nous arrive fréquemment d’aller faire du nudisme. Plusieurs membres de la famille n’étant pas intéressés par cette activité, nous y allons par petits groupes de 5 ou 6 (notre Zodiac ne nous permettant pas, de toute façon de transporter plus de 6 personnes). Frédéric, comme moi, fait partie des personnes qui apprécient cela et, plusieurs fois par an, avec d’autres membres de la famille, nous passons l’après-midi dans cette crique tranquille à faire du farniente dans le plus simple appareil. Depuis plusieurs années, j’avais remarqué que Frédéric avait tendance à avoir le regard attiré par moi. Évidemment, il tentait de le cacher, et de mon côté je faisais mine de ne rien remarquer, mais cela me flattait et, surtout, m’excitait. A tel point que je fantasmais sur lui depuis un moment. J’étais presque certaine de ne pas me tromper sur son penchant pour moi. En effet, j’avais remarqué également que les rares fois où je n’allais pas à la crique, il était beaucoup moins motivé et, la plupart du temps, n’y allait pas non plus ; alors que, quand j’y étais présente, il ne ratait pas une occasion de nous accompagner. Mais le problème, évidemment, était qu’il était mon neveu direct. Et dans ces conditions, même si j’avais très envie d’avoir des rapports sexuels avec lui, le passage à l’acte semblait extrêmement difficile, étant donné l’immoralité de la situation. Ça aurait été tellement plus simple si nous n’avions eu aucun lien de parenté!
Toujours est-il que, dans mes fantasmes les plus fous, j’imaginais toujours par quels moyens nous pourrions, un jour, faire l’amour ensemble. Avant le passage à l’acte lui-même, il fallait tout d’abord trouver une situation adéquate : c’est-à-dire nous retrouver tous les deux seuls dans un endroit où nous ne pourrions pas être surpris. C’était déjà difficile!
Cette année là, nous étions donc en vacances dans la maison de Corse et, au milieu du chassé-croisé familial habituel de l’été, entre les départs des uns et les arrivées des autres, j’avais repéré que pendant une journée, parmi les individus qui seraient présents à la maison, personne (à part Frédéric et moi) n’était adepte de ces après-midi nudisme à la crique. L’occasion était trop belle et j’imaginais qu’il ne serait pas trop difficile de convaincre mon neveu d’y passer cet après-midi là avec moi. La veille de ce jour fatidique, alors qu’une partie de la famille s’apprêtait à repartir chez eux, j’ai lancé l’idée de se refaire un après-midi nudisme à la crique. Frédéric a rapidement fait part de sa motivation et, évidemment, nous étions les deux seuls. J’ai donc proposé d’y aller dès le lendemain, en disant l’air de rien : « C’est pas grave si on n’est que deux ? De toute façon, on pourra toujours remettre ça quand les autres arriveront. » Et, comme je l’espérais, Frédéric a répondu favorablement.
Le lendemain donc, dès le matin, Frédéric préparait le Zodiac pour l’après-midi. Je sentais son impatience, même s’il essayait de ne rien montrer. Bien sûr, j’étais aussi impatiente que lui et, après le déjeuner, nous n’avons pas traîné et nous sommes partis rapidement. Arrivés à la crique, nous nous sommes déshabillés complètement et nous avons commencé par une baignade très agréable, avant d’aller nous allonger sur les rochers pour nous faire bronzer. L’occasion était propice à ce que j’attendais, mais il fallait encore trouver le moyen de passer à l’acte. Alors que j’étais allongée, Frédéric a manqué de tomber à côté de moi en marchant sur les rochers. J’ai dit : « Alors tu ne sais plus marcher ? » Ce à quoi il a répondu, en plaisantant : « Non. Je suis troublé ; c’est la première fois que je vois une femme toute nue, alors… » Nous avons rigolé, et j’en ai profité pour rentrer dans son jeu. Je lui ai d’abord dit : « Ben il va falloir t’habituer parce qu’on est encore là pour 2 ou 3 heures ! » Et j’ai enchaîné, en désignant les différentes parties de mon corps : « Alors regarde : ici c’est les seins, puis le ventre, et là c’est le pubis. » Conformément à mes espérances, Frédéric suivait mes indications en me reluquant alors sans aucune honte. Et il a même poursuivi la plaisanterie en demandant : « Ah ? Et ça sert à quoi ? » J’ai répondu, en restant dans le même esprit : « Eh bien, les seins, ça sert à nourrir les bébés, et le sexe, ça sert à faire les bébés. » Il a continué : « Ah ? Et comment on fait ? » Sur le coup, j’avais envie de lui dire "Viens sur moi, je vais te montrer", mais je n’ai pas osé et j’ai persisté sur le même ton : « Alors, l’homme met son sexe dans celui de la femme, il dépose sa "petite graine", et un bébé grandit dans le ventre de la femme. » Nous nous prenions tous les deux au jeu et Frédéric a persévéré dans son rôle de questionneur : « Ah bon ? Mais on le met où le sexe de l’homme, je ne vois pas de trou ? » Effectivement, j’avais les jambes très peu écartées ; mon neveu était debout devant moi. La situation commençait à m’exciter et je voyais bien que Frédéric avait également envie d’aller plus loin. J’ai donc répondu à ses attentes en écartant les jambes pour lui exhiber toute mon anatomie et, en désignant mon vagin, j’ai expliqué : « Eh bien, le sexe de l’homme rentre ici. » Et j’ai gardé les jambes écartées tandis qu’il arborait un grand sourire. Puis nous nous sommes regardés dans les yeux quelques instants et Fred a dit : « Qu’est-ce que j’apprends comme trucs avec toi, Christiane ! » Comme je sentais qu’il hésitait à aller s’asseoir sur le rocher qui se trouvait derrière lui, j’ai vite insisté : « Mais approche-toi, si tu veux : tu ne dois rien voir, d’où tu es ! » Il ne s’est pas fait prier et s’est penché en posant les coudes devant mes pieds et sa tête sur ses mains. Puis comme il devait se rendre compte que j’étais prête à aller encore plus loin, il a dit : « Je ne vois pas bien le trou ; il est où, tu dis ? » J’ai alors écarté les jambes au maximum, et avec mes doigts, j’ai écarté mes grandes lèvres pour qu’il puisse admirer l’entrée de mon vagin, en disant : « Tu le vois, là ? » Il a répondu : « Ah oui, je le vois bien, là ! » Je le sentais particulièrement excité et, ne voulant pas en rester là, j’ai demandé : « Si tu as d’autres questions, n’hésite pas : j’y répondrai volontiers. » J’ai retiré les doigts de mon sexe, mais j’ai gardé les jambes bien écartées face à mon neveu qui devait être à 50 centimètres de ma chatte. Nous sommes restés un petit moment comme ça, avant qu’il ne dise, en feignant l’hésitation : « Ben, j’aurais bien une question, mais je ne pense pas que tu puisses y répondre, donc ça ne sert à rien ! » Évidemment, il espérait que j’insiste, alors j’ai insisté : « Mais si, pose ta question, on verra bien ! » Il a hésité, puis a demandé, en fixant ma chatte : « En fait, je me demandais… Quel goût ça peut bien avoir ? » Puis il m’a regardée dans les yeux en souriant. Je lui ai rendu un sourire et j’ai répondu : « En effet, je ne crois pas pouvoir répondre. Mais si tu veux vraiment le savoir, je pense qu’il ne doit y avoir qu’un moyen. » Nous nous sommes souris, puis Frédéric a baissé le regard vers mon pubis. Il s’est avancé et a doucement commencé à me lécher le clitoris. J’étais très excitée et l’ai incité à continuer en lui caressant doucement la tête. Il m’a fait un cunnilingus de folie, en sachant parfaitement maîtriser sa langue, ses lèvres et ses doigts. J’ai senti venir l’orgasme et j’ai joui comme cela m’était rarement arrivé. Mon neveu s’est alors naturellement arrêté et, alors qu’il semblait vouloir me monter dessus, le l’ai incité à s’allonger afin de lui rendre la pareille. Il avait déjà une érection phénoménale et je lui ai attrapé la bite que j’ai sucée avec une gourmandise monumentale. Frédéric montrait qu’il appréciait vraiment ma gâterie, et cela m’encourageait à continuer de plus belle, jusqu’à ce qu’il me fasse comprendre qu’il était sur le point d’éjaculer. J’ai continué en le regardant dans les yeux et il a donc éjaculé dans ma bouche. J’ai tout avalé pour lui montrer à quel point cette petite séance était à mon goût, et j’ai continué à lécher tout ce qui coulait sur son sexe afin de ne pas en perdre une goutte. Nous étions tous les deux au nirvana et nous nous sommes allongés l’un à côté de l’autre en restant ainsi pendant un assez long moment sans rien dire.
Comme j’avais un peu peur que la situation devienne gênante, j’ai fini par prendre la parole : « Frédéric, il faut que je t’avoue un truc. » Il a tourné la tête vers moi sans rien dire et j’ai ajouté : « J’avoue qu’en venant ici aujourd’hui, c’est exactement ce que j’espérais ! » Nous nous sommes souris un instant d’un air coquin, et il a répondu : « Je dois avouer que, moi aussi j’avais cette idée en tête. » Et il a ajouté : « Et, pour être tout à fait honnête, ça fait même un petit moment que j’en avais envie. » Évidemment, je m’en doutais et j’ai dit : « Moi aussi ! » Puis j’ai ajouté : « Et, en ce qui me concerne, je ne suis pas déçue du tout. Et je suis prête à recommencer quand tu veux. » Il a encore souri et a juste ajouté : « Pareil ! » Je n’ai alors pas traîné et lui ai à nouveau saisi la bite, qui avait évidemment ramolli, et je l’ai doucement branlé jusqu’à ce qu’il bande suffisamment pour que je vienne m’empaler dessus. Nous avons baisé ainsi pendant de longues minutes ; mon neveu me caressait les fesses, les seins et venait me sucer les tétons. J’étais aux anges : depuis le temps que je désirais ça ! Puis il m’a doucement poussée sur le côté, m’incitant à m’allonger sur le dos, il est venu sur moi et m’a attrapé les jambes qu’il a remontées le long de mon corps, puis il m’a prise dans cette position jusqu’à ce qu’il jouisse une seconde fois en moi.
Durant la fin des vacances, nous avons eu très peu d’occasions de nous retrouver seuls tous les deux, même si nous essayions, discrètement pour ne pas éveiller les soupçons. Nous avons tout de même pu, par deux fois, refaire des parties de jambes-en-l’air avec toutefois une petite appréhension : que quelqu’un dans la famille découvre la situation ; mais ceci n’est heureusement pas arrivé.
Depuis, la plupart des fois où nous nous sommes vus, nous avons recommencé, avec toujours le même plaisir.
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