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Vacances bretonnes 2020

Chapitre 3

Se lancer...

Erotique
Mardi matin
Mardi matin, je me lève tard. Comme d’habitude, vers 10 heures. On est en pleine canicule et c’est l’heure où on commence à fermer la maison pour conserver un peu de fraîcheur. C’est aussi l’heure où on ouvre la piscine, la température de l’eau flirte avec les 30 degrés.
— Ça va ma chérie, t’émerges seulement !? — Mais oui, Claire, t’inquiète, je suis opérationnelle ! Pas trop déçue par ta soirée ici ?
Claire comprend que je fais allusion à ce qui s’est passé hier soir enfin, plutôt, cette nuit !
— Non pas du tout, ça va ! Et puis, je vais me rattraper ce soir. Vous m’en laisserez bien un ! — Mais oui ma chérie, bien sûr.
Elena éclate de rire !
— En tout cas, ils étaient bien tes copains ! Bon, qu’est-ce qu’on fait aujourd’hui ? — Ben, à midi, on n’avait pas dit qu’on allait au restaurant du centre aéré de Bertrand ? Et puis après, on va retrouver nos danois. Cathy doit en essayer un, on va pas lui faire louper ça ! — Vos gueules les mouettes !
Claire et Elena n’arrêtent pas de me charrier avec ça ! Mais c’est la Lamborghini que j’aimerais essayer, pas Sebastian, quoique Sebastian, il n’est pas si moche. J’ai fait l’amour avec des plus moches, mais ils avaient des compensations. Remarque, Sebastian en a peut-être que je ne connais pas... encore !
Donc on part retrouver Bertrand au restaurant. On est déjà en route qu’on reçoit un message. [SMS]< Je vais être en retard, commencez sans moi. Réunion qui n’en finit pas. J’arrive.

On arrive au restaurant, on s’installe, toutes les trois dans un coin. J’ai vite l’impression qu’on nous observe. Il y a plein de garçons et filles, une dizaine peut-être, dans la vingtaine d’années. Sont-ils les amis de Bertrand ? Au moment du fromage, une des filles se lève et vient vers nous.
— Bonjour, je m’appelle Nathalie, je crois que vous êtes les amies de Bertrand. On devait déjeuner ensemble, mais Bertrand a été empêché ! Si vous voulez vous joindre à nous pour le dessert et le café...
Nathalie doit avoir 22 ou 23 ans, elle a l’air d’être la leader de l’équipe en l’absence de Bertrand et très souriante en plus. Dans ces cas-là, on laisse Claire répondre, elle est chez elle en Bretagne...
— Sacré Bertrand. Il fixe des rendez-vous où il ne vient pas ! Mais d’accord pour nous joindre à vous !
C’est de cette manière que nous faisons connaissance avec Olivier, le neveu de Bertrand, qui vient d’avoir son bac, de Jérôme étudiant en histoire-géo à Paris, de Marie, future médecin, de Noémie qui est à Sciences-Pô et donc de Nathalie, prof de Lettres dans un grand lycée parisien. C’est une équipe sympa et Bertrand n’a pas à se plaindre de son staff !
Au bout d’une heure, on a bien sympathisé et ils nous quittent. Claire les a invités à venir passer une soirée chez elle et Nathalie n’a pas dit non, laissant Bertrand décider.
Nous, on est moins pressées, on a rendez-vous à 4 heures à la plage avec les danois. On décide de reprendre un café tout en continuant à papoter. Une fois les cafés servis, c’est Elena qui attaque en baissant la voix et se penchant vers nous :
— Bon, alors, Bertrand ? Il baise laquelle ?
Je manque de m’étouffer de rire, surprise, mais je ne devrais plus, par la question d’Elena et je réponds sans réfléchir :
— Mais les trois ! Bien sûr ! Il adore les prénoms en ’i’, Noémie, Nathalie, Marie...
Et Claire d’ajouter avec un clin d’œil :
— S’ils viennent un soir, on en apprendra peut-être plus !
Quelques minutes plus tard, nous quittons le restaurant et nous dirigeons tranquillement vers le lieu du rendez-vous avec nos danois... Il était 4heures de l’après-midi quand on s’est installées sur la plage. Mes copines, que je commence à bien connaître, se débrouillaient pour discuter avec Oscar et Matthias, Sebastian n’ayant plus que moi avec qui cultiver son français. On essayait, en passant par l’anglais, de comprendre quelques mots de danois et eux essayaient de faire pareil pour le français. On a joué un petit moment à ça et puis on s’est allongés au soleil.
Le hasard organisé par mes deux copines a fait que Sebastian s’est cru obligé de venir s’allonger juste à côté de moi. On était tous les deux allongés côte à côte... Quand j’ouvrais un œil, je pouvais voir qu’il était en train de m’observer et puis je ne pouvais l’observer longtemps sans qu’il ouvre un œil, se sentant probablement observé lui aussi, jusqu’à ce que j’arrête, somnolant à demi à côté de lui.
— On va se baigner ?
C’est la question que me posait Sebastian et, me redressant sur les coudes, j’ai pu constater que les quatre autres étaient déjà dans l’eau. Alors, Sebastian, se redressant de toute sa hauteur me dit :
— Vous venez, Cathy ?
Et il me tendit la main pour m’aider à me lever. Je lui ai laissé prendre la mienne.
Prendre la main d’une femme, ou d’un homme, n’est pas anodin. Il peut ne rien se passer ou il peut passer un courant qui peut en dire long sur ce qui pourrait ultérieurement se passer entre deux êtres. Sebastian tardait à me rendre ma main et je ne trouvais pas le contact désagréable. Mais il a fini par me la rendre.
Dans l’eau, les quatre autres avaient l’air de s’amuser comme des petits fous et on a fait comme eux. Ces jeux dans l’eau finissaient par ne plus être anodins. Quand les mains se promènent sous l’eau et que personne depuis la plage ne peut voir ce qui se passe, certaines personnes se libèrent (et je ne citerai ni Claire ni Elena, bien sûr ! ) entraînant les autres. Moi qui ne suis pas toujours une fille sage, je n’étais pas pressée de me laisser draguer par Sebastian, mais je trouvais agréable qu’il me cherchât ! (Attention à l’imparfait du subjonctif ! ) Mais je ne voulais pas qu’il aille trop loin, enfin pas tout de suite, alors j’ai annoncé mon retour à ma serviette. Sebastian m’a aussitôt suivie... On a commencé à se sécher côte à côte et puis les copines n’ont pas tardé à arriver elles aussi.
C’est là que Cathy s’est mise à genoux à côté de moi. C’est vrai qu’il faisait très chaud. A tous points de vue.
— Tu sais, Cathy, avec ta peau claire, tu devrais mettre de la crème. Je vais te faire ça !
En fait, elle était venue avec sa crème solaire et s’était mis en tête de me l’étaler sur le dos. J’ai tout de suite senti qu’elle dégrafait mon maillot de bain et qu’elle vidait la moitié de son tube ! Et puis elle a commencé à l’étaler... J’avais la tête tournée vers Sebastian qui semblait trouver le spectacle... intéressant. Et quand ma copine lui a dit :« Sebastian, aide-moi, j’en ai mis beaucoup, il ne s’est pas fait prier pour aider Claire qui lui expliquait qu’il fallait en mettre partout. Ca n’avait rien de désagréable, je pensais seulement que c’était prémédité de la part de Claire. Elle s’était dit que si elle trouvait le moyen de faire en sorte que Sebastian me caresse le dos... En plus, elle lui donnait des conseils...
« Oui, le dos... Tout le dos... Oui, le cou, les épaules, bien sûr... Là aussi... Là ? Oui bien sûr partout... Sur les côtés ? Oui, faut descendre sous les bras, comme ça. Elle attrape facilement des coups de soleil ! La pauvre, oui, là aussi, oui ! »
— Là aussi, c’était à la limite de mon maillot, le départ de ma raie des fesses et elle savait très bien que j’étais très sensible de là et c’est le chemin qu’elle montrait à Sebastian. Je me disais que vraiment Claire est une salope, mais elle sait très bien ce que je pense d’elle. Mais je me suis aperçue bientôt qu’il n’y avait plus que Sebastian qui finissait d’étaler la crème. Il était à genoux à côté de moi et quand j’ouvrais les yeux, la première chose que je voyais, c’était son maillot de bain.
Dans un mauvais roman érotique, l’héroïne se demanderait :
— Est-ce qu’il bande déjà pour moi ?
Mais on n’était pas dans un mauvais roman érotique. On était en plein après-midi d’un quatorze juillet, sur une plage sympa de Bretagne, avec des garçons sympas, avec comme disait Elena :
— Ils ont du potentiel !... à tout point de vue ! Ils ont du fric, mais ils en ont aussi dans le pantalon !
Quand elle avait dit ça, on n’avait plus qu’à se taire ou éclater de rire ! J’ai éclaté de rire mentalement et :
— Tu viens Sebastian, on va se baigner ? Tu me rattaches mon maillot ?
Il a mis exprès du temps pour le rattacher, a pris ma main pour m’aider à me relever, il a gardé ma main plus longtemps que la première fois et on a couru dans l’eau...
On était suivi par les autres, mais avant qu’ils nous rejoignent, j’avais de l’eau jusqu’aux épaules et Sebastian avait eu le temps de passer ses bras autour de ma taille et de me glisser à l’oreille :
— Du er en meget smuk pige ! Jeg kan rigtig godt lide dig !
Sur le coup, je n’ai rien compris à ce qu’il me disait. Heureusement, qu’il me l’a répété et que c’est comme ça que je peux l’écrire aujourd’hui. Oui, sur le moment, je n’ai rien compris, mais quand il a vu mon étonnement et que je l’ai vu sourire, j’ai compris que c’était un compliment et je l’ai remercié en espérant que je ne me trompais pas ! Mais apparemment, pour lui, j’étais une jolie fille qui lui plaisait beaucoup.
Bien sûr, tout flatteur... etc., mais, ça fait toujours plaisir surtout quand ça vient d’un garçon qui est loin d’être repoussant ! Je crois que j’ai rougi enfin, un peu !
Je ne pouvais pas lui dire qu’il ne me déplaisait pas du tout et que s’il insistait un peu... Non, parce que je n’en étais pas encore là... mais je sentais que la situation pouvait évoluer...
Dans l’eau, on a joué comme tout le monde, à des jeux d’approche qui pouvaient être à double sens : Oh, excuse-moi, je ne t’avais pas vue ou bien, si, je t’avais bien vue, mais j’avais envie du contact de ta peau... et moi, de ne rien dire en pensant : ça tombe bien, j’aime bien le contact de ta peau dans l’eau et même peut-être en dehors.
— Bon, alors, tu me la fais essayer cette voiture ? — Tu veux la conduire ? — Oh non ! Juste comme passagère ! — Oui, c’est plus prudent, c’est très spécial ! On peut aller se faire une petite balade et rentrer dîner avec les autres vers 8h ? Ça te va comme programme ?
Je ne pouvais qu’être d’accord, c’était exactement ce dont j’avais envie !
— Oui, cool, bien sûr ! On va le dire aux autres, hein ?
On a été le dire aux autres et j’ai noté le clin d’œil appuyé d’Elena. J’en souris intérieurement, mais j’avais l’esprit ailleurs. Je savais qu’il allait se passer quelque chose, mais je ne savais ni où ni quand ni comment, mais ça, je m’en foutais royalement ! Je dis ça, mais, en fait, je n’en savais rien du tout ! Je m’occupais de gérer l’instant présent et ça me suffisait. L’instant présent, c’était de me retrouver seule avec un garçon intéressant, peut-être pas super beau, mais un garçon agréable, bien foutu, détendu, à l’aise, respectueux, riche et avec une belle bagnole et j’étais seule avec lui !
Mes seuls souvenirs de la virée en voiture, c’est que j’ai passé plus de temps à regarder l’intérieur de sa voiture que le paysage, plus l’intérieur de sa voiture que lui-même ! J’étais subjuguée par le luxe de l’intérieur de ce cabriolet, les cuirs, les bois...
— Oui, c’est une voiture écologique ! Il n’y a pas de plastique, que des matériaux nobles ! me disait Sebastian avec un accent délicieux.

On a pris la 4*voies direction de Lorient, je n’ose pas dire à quelle vitesse, mais il faisait exprès pour que je lui demande de ralentir et puis on a fait des détours pour aller en bord de mer, revenir à la voiture, repartir sur la 4*voies, s’arrêter en rase campagne, visiter une église, repartir.
Je ne me rappelle plus quand il a pris ma main pour la première fois, quand il a passé les siennes autour de ma taille, quand il m’a serrée dans ses bras, quand il m’a embrassée en s’excusant... avant de retirer ses excuses, ce qui m’a rassurée !
Mais quand on est rentrés à l’hôtel vers 19h30, c’était fait. Et à ma grande surprise, Elena n’a pas fait de réflexion pénible du style ’Alors les amoureux ? Ça roule ?’, non, elle s’est retenue, ce qui a dû lui coûter un bras ! :) :)
Les trois garçons nous ont invitées à dîner et fait visiter l’hôtel et les chambres. Elena n’a pas dit :
— Merci pour la visite, on a repéré comment revenir !
Mais on s’est contenté de le penser ! Et puis on est allé dîner. Vraiment bien, nappes, argenterie, verres en cristal, homards et fruits de mer, les vins qui allaient bien avec... Tout ça sans abuser. On est sortis de table à la nuit tombée et quelqu’un a proposé d’aller se promener en ville. Claire aurait pu dire :
— Non, il faudrait peut-être qu’on rentre ? Vous en pensez quoi, les filles ?
Ca signifiait que Claire n’avait pas envie de rentrer et donc qu’elle avait des projets, au moins un projet qui devait ressembler au mien, mais son projet ce n’était pas avec Sebastian, Sebastian c’était mon projet et je savais que j’étais le projet de Sebastian !
Ensuite, tout s’est passé assez vite et naturellement. Sebastian et moi, on s’est vite retrouvés à traîner derrière les quatre autres, ils ont fini par être assez loin devant quand Sebastian a pris ma main et m’a entraînée dans une ruelle à droite, petite, mais qui était un raccourci pour rentrer l’hôtel. Mais avant d’arriver à l’hôtel, il m’a prise dans ses bras pour m’embrasser sauvagement. On a couru, on est passé par les garages pour éviter le desk de l’hôtel et quand j’ai entendu la porte de la chambre se fermer derrière moi et senti Sebastian m’embrasser dans le cou et passer ses bras autour de ma taille... Hummm ! Je me suis dit :
— Tout va bien !
Et puis ses mains sont montées doucement vers mes seins, j’ai levé un bras pour le passer derrière sa tête et ses caresses m’ont rendue folle, je me suis retournée vers lui et l’ai embrassé comme si c’était la dernière fois que j’embrassais un garçon, une vraie folle :
— J’ai envie de toi, Cathy ! — Moi aussi, j’ai envie de te sentir au fond de moi !
Alors, c’est peut-être lui, c’est peut-être moi, qui avons fait glisser ma robe et son pantalon à nos pieds, mais je me suis, en quelques secondes, retrouvée nue. Ses mains étaient déjà sur moi à me caresser les seins et la chatte, je lui rendais ses caresses en plongeant ma main sur sa queue, j’étais en extase devant les belles proportions de celle-ci qui est d’une taille plus longue que la moyenne, mais surtout très large, et ça, j’adore !
Ma tête est descendue alors vers cette belle bite comme attirée par un aimant, mes lèvres déjà largement ouvertes, pour mieux recevoir ce membre au fond de ma gorge, je l’ai léché amoureusement, j’étais déjà folle de cette queue, je passais langoureusement ma langue autour de son gros gland gonflé, puis m’enfonçais celui-ci et le suçais goulûment, lentement puis de plus en plus vite, je mouillais comme une petite pute tellement cette queue m’excitait, je me surprenais à imaginer que j’aimerais la sucer sans arrêt, mon Sébastian avait l’air d’apprécier et me complimentait sur ma façon de le pomper, ainsi que sur la « qualité » de ma bouche « elle est trop bonne ». J’étais complètement excitée...
— Cathy, j’ai eu envie de te baiser dès que je t’ai vue, le premier soir ! — Moi, je ne sais plus, mais maintenant, je ne laisserai ma place à personne !! Viens, baise-moi ! Viens, Sebastian !
Et il est venu, comme une bête, il m’est tombé dessus, il m’est tombé dedans, devrais-je dire, j’ai poussé un cri à la fois de surprise et de plaisir. ! »
— Putain, la capote, t’en as, Seb ?
Oui, il en avait et on a fait le nécessaire ! Il m’a si bien baisée, si bien que je n’ai pas tardé à jouir en continuant de prendre ses coups de bite. Il s’est rendu compte de mon orgasme, a stoppé ses va-et-vient et m’a dit de me mettre à quatre pattes, il m’a remis sa queue bien au fond et m’a baisée en levrette, position que j’adore pour l’aspect soumission. Sa bite m’a complètement défoncé la chatte pendant des minutes que je voulais interminables, et puis, il m’a annoncé qu’il allait tout me lâcher, qu’il allait jouir, cela m’a excitée de plus belle et j’ai encore pris une autre fois mon pied, l’accompagnant dans l’orgasme, avant qu’il ne jouisse dans ma bouche !
Je me suis allongée contre lui, complètement étonnée, épuisée, ravie et j’imaginais que Sebastian était aussi dans cet état d’esprit. On parlait doucement, on plaisantait, on se demandait où étaient passées mes copines ou plutôt avec qui chacune d’elles était partie. On faisait des hypothèses coquines, c’était bien, c’était cool. Je tenais son sexe dans ma main, je le sentais se dégonfler doucement et je le caressais amoureusement... Je me disais que pour un 14 juillet, tous les feux d’artifice avaient été annulés, mais j’avais trouvé avec Sebastian le meilleur moyen de les remplacer tous et puis j’ai senti tout à coup que son sexe arrêtait de se dégonfler, je continuais mes douces caresses et je l’ai senti se durcir à nouveau, grossir à nouveau, je ne m’y attendais pas aussi vite.....
— Oh la la, mon Sebastian, tu veux remettre le couvert ? — C’est de ta faute !
Alors, je l’ai sucé un peu et me suis mise à cheval sur lui, empalée sur lui... Tout doucement, il est redevenu aussi raide que lors de la première chevauchée. J’étais bien, il m’a laissée conduire l’attelage et j’ai pris mon plaisir avec lui...
Je me suis ensuite allongée encore contre lui :
— Tu es la meilleure chose qui me soit arrivée depuis longtemps, Cathy. — Je suis la meilleure cavalière qui t’a chevauché depuis longtemps, c’est ça ?
Il a ri et tout à coup, j’ai pensé à mon retour à la maison. Où en étaient les filles ? Mais Sebastian était en train de me dire que je devais finir la nuit avec lui et qu’il me ramènerait le lendemain matin de bonne heure... J’ai quand même regardé mon portable, il était plus de deux heures du matin. J’avais un message de Claire :[SMS]< On t’attend jusqu’à une heure du mat ! Qu’est-ce que tu fous ? Donne de tes nouvelles, on rentre !Je l’aurais bien confirmé à Sebastian, mais il dormait déjà. Je l’ai regardé dormir pendant quelques minutes... Il était devenu pour moi le plus beau des amants... je me suis endormie contre lui, espérant que des 14 juillet comme ça, j’aurais l’occasion d’en revivre souvent !
Vers six heures et demie, j’ai eu l’impression de me réveiller ou bien de faire un rêve érotique- j’avais de bonnes raisons pour ça-, j’avais un peu frais, mais c’était normal, je ne sentais plus de drap sur moi... Je commençais à me dire qu’il fallait que je me lève... Et puis non, j’étais bien comme ça dans mon rêve érotique - Sebastian me caressait, c’était bon- et puis j’ai entendu sa voix me dire doucement, tout doucement dans le creux de l’oreille :
— Surtout, ne bouge pas, ma chérie, ne bouge pas.
J’ai ouvert un œil à moitié et j’ai compris que ce n’était pas un rêve, c’était les lèvres de Seb qui me léchaient le bout de seins... Et je me suis dit que ce n’était pas raisonnable, qu’il fallait que je me lève que... et que... et que... Et finalement, je ne lui ai rien dit, je me trouvais bien, je me reprochais ma faiblesse tout en lui caressant la tête et en lui disant combien c’était bon de sentir sa main glisser entre mes cuisses pendant que ses lèvres me butinaient les tétons...
— Seb, il faut que j’y aille...
Ceci dit, sans aucune conviction, les yeux fermés, attendant la suite sans bouger, puisqu’il me l’avait demandé gentiment... La suite, je l’ai sentie venir quand il s’est mis à mes pieds, a soulevé ma cheville et, tout en me caressant depuis le haut des cuisses jusqu’à la cheville, il a écarté ma jambe si lentement, que je me suis retrouvée les jambes écartées sans avoir rien senti et puis il s’est approché, j’ai senti ses cuisses poilues et dures contre l’intérieur des miennes, et puis ma pompe à cyprine s’est affolée quand il a commencé à parcourir ma fente avec son index...
— Seb, il faut que j’y aille...
J’ai senti son doigt me pénétrer et il m’a répondu :
— Oui, bien sûr, mais pas dans cet état !
J’étais complètement anesthésiée par ses paroles et la lenteur de ses caresses, je ne savais plus où j’habitais et quand il s’est penché sur moi et qu’il m’a embrassée, je lui ai souri, les yeux toujours fermés.Je lui ai souri aussi parce qu’à cet instant, je me suis souvenue avoir écrit un texte, ’La première pénétration’, d’après un bouquin de Philippe Delerm, ’La première gorgée de bière’.Et quand il a commencé à pousser son gland, j’ai rêvé qu’il prenne son temps et me laisse déguster, et c’est ce qu’il a fait et quand il a été au plus profond de moi, que j’ai senti son ventre contre le mien, ses cuisses contre les miennes, son souffle dans mon cou, j’ai eu une réaction violente, une espèce de vague puissante m’a submergée de la tête aux pieds, tout ce que j’avais accumulé d’énergie amoureuse depuis qu’il m’avait imposé de ne pas bouger, toute cette énergie a explosé, j’ai passé mes jambes autour de sa taille...
— Défonce-moi, c’est maintenant ou jamais !
Une heure après, contrat rempli, on prenait notre petit-déjeuner à la terrasse.
— Tu vois, Seb, je ne pensais vraiment pas être là ce matin ! — Et tu regrettes ?
Je n’ai même pas répondu à cet appel aux compliments !
— Tu crois qu’on va se revoir ? — Moi, oui, j’en suis sûr ! Là, pendant deux jours, on part à Brest pour affaires, mais vendredi, on est là et je serai là pour toi, si tu veux ! — On ira faire un tour en voiture ? — Où tu voudras, j’irai ! — Pareil ! Bon, tu me ramènes à la maison ?
A suivre...
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