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Vacances en camion, foutre dans le fion

Chapitre 2

Trash
Pendant le repas, nous discutons sexe. Robert veut en savoir un peu plus sur moi, ce que j’aime, ce que j’aimerais, et ce que je ne veux pas. Une fois repus, il me fait grimper dans le camion et puisque je lui ai avoué être attiré par la soumission, il veut connaître mes limites. Je n’ai eu que des expériences soft et les rares fois où j’ai pratiqué, ce n’était qu’un jeu. Il me promet d’y aller en douceur et progressivement.  À chaque fois j’aurai la possibilité d’arrêter si cela ne me convient pas.
Il me déshabille et constate que mon corps est totalement glabre. Il semble apprécier. Il me passe des entraves en cuir autour des poignets et des chevilles. Il sort des cordes et me voilà immobilisé, les bras en l’air et les jambes bien écartées.
   ─ Je vais te préparer le cul. Je ne doute pas que tu veuilles te faire prendre mais après ça, tu seras excité comme tu l’as rarement été.
Il est derrière moi et bien qu’essayant de tourner la tête pour apercevoir ce qu’il fait, je ne vois rien. Me voyant remuer, il me rassure. Il pose un couteau et je remue de plus belle.
   ─ Ne crains rien, j’ai fini et je ne te blesserai pas. Le couteau m’a juste servi à racler ce que je vais te glisser dans le cul.    ─ Qu’est ce que tu vas mettre dans mon cul ?   ─ Une racine de gingembre épluchée. Ça va te chauffer le cul.
Il me frotte tout l’anus avec cette racine puis l’introduit petit à petit. Je suis un peu déçu par la taille, pas de quoi s’éclater la rondelle avec ça.
   ─ J’ai déjà pris des diamètres plus gros que ça, lui dis-je en montrant ma déception.    ─ Je n’en doute pas. Mais le but de la manœuvre n’est pas de t’ouvrir le cul… c’est de faire de toi une petite chienne affamée.
Je note l’expression « chienne ». Cela semble confirmer que le chien va faire partie du jeu. Rien qu’à cette idée je sens ma queue qui se déploie. Je me mords la lèvre inférieure.
   ─ Je vais faire la vaisselle et je m’occupe de toi à mon retour.
Robert s’en va, accompagné de Cabot et je suis seul dans le camion à me demander ce qu’il va se passer. Je sens peu à peu mon cul qui chauffe et je commence à me tortiller dans tous les sens, en tout cas autant que les liens me le permettent. Je voudrais me doigter pour apaiser cette sensation. Je contracte mes sphincters. C’est terrible. J’ai envie de me faire baiser, de me faire démonter le cul. J’ai la sensation que mon anus est devenu un volcan. Je n’attends que le retour de Robert pour me faire tringler. Il me faut du foutre pour apaiser cette sensation de chaleur, de brûlure. Le salaud, je suis sûr qu’il a déjà fini la vaisselle et qu’il fait exprès de tarder à revenir. Pourtant en regardant l’heure sur le tableau de bord, il y a seulement quelques minutes qu’il est parti. Cela me semble une éternité. Je ferme les yeux. Je préfère ne pas voir défiler les minutes.
La sensation de brûlure s’arrête, presque d’un coup. Par contre l’envie de n’être qu’un trou à remplir est toujours là. C’est même encore pire. Je me mets à gémir, je m’imagine déjà Robert en train de me culbuter sur sa couche ; je l’imagine le coït violent. Ma queue se dresse et je me surprends à réclamer à haute voix le retour de mon tortionnaire.
La porte s’ouvre. Robert est tout sourire, fier de m’avoir affamé. Je le supplie de venir m’enculer, mais il ressort. Je l’entends parler avec quelqu’un. Prévoit-il de me faire prendre aussi par un autre camionneur ? Oui ce serait une bonne idée, mais pourvu qu’ils se dépêchent.
Enfin, Robert entre dans la cabine. Cabot lui file entre les pattes et vient me tourner autour. Il me donne des grands coups de langue sur la queue. Robert semble se déplacer au ralenti. Je le supplie. Il ferme les rideaux, se déshabille lentement et s’approche de moi. Chaque coup de langue du chien est une torture. Robert met du gel sur ses doigts et me caresse l’anus.
   ─ Je ne veux pas de préliminaires. Démonte-moi le cul !
Il enfile une capote et enduit sa queue de lubrifiant. Une fois derrière moi, il s’enfonce en un coup de reins jusqu’à la garde. Sa queue enfin dans mon cul et le froid du gel apaisent enfin ma faim de bite. J’ai joui aussitôt. Cabot lèche le foutre répandu. C’est la première fois que j’éjacule aussi vite. Mais j’ai toujours aussi faim. Maintenant Robert me ramone le fion. Je suis content de prendre sa grosse verge en entier sans sourciller. Il m’a bien préparé effectivement. Je m’abandonne à ses va et vient. Il me saisit par les hanches. À chaque fois il ressort puis s’enfonce d’un seul coup avec une aisance qui le ravit. La cadence ne faiblit pas. J’espère qu’il va pouvoir tenir encore longtemps parce que j’en raffole.
Sa respiration se fait de plus en plus saccadée. Pour ne pas venir trop vite, à chaque fois qu’il ressort, il me gratifie d’une bonne fessée. Ça claque tellement fort que je me demande si quiconque passant à côté du camion n’entendrait pas le bruit. Me voilà encore plus excité. Il le remarque  et me demande si je suis prêt à me faire tirer par un de ses collègues. Et comment que je veux !
Il m’abandonne pour ouvrir la porte. Comme je l’avais pensé, il avait prévu le coup, et le collègue attendait juste à côté. Robert revient vite à son poste et recommence son travail de sape. Guy me salue et commence à se mettre à l’aise. Il s’approche, face à moi. Sa main se referme sur ma queue qui commence à reprendre forme après mon éjaculation plus que précoce. Il me roule une pelle. Ça ne me plait pas plus que ça. Je sens à son haleine que c’est un fumeur. Heureusement, il n’insiste pas. Il se contente d’être devant moi, empêchant mon corps d’avancer à chaque coup de boutoir de Robert qui se déchaîne dans mon rectum. Il ne doit pas être loin de la jouissance : Guy glisse un préservatif sur sa bite.
Je sens effectivement mon baiseur se contracter. Il doit décharger et c’est dommage de ne pas pouvoir sentir son foutre s’écouler en moi. Avec la préparation au gingembre de robert, j’aurais aimé être apaisé par ses giclées, mais ce n’est pas le moment de prendre des risques. Il sort de mon cul, m’envoie une autre claque sur la fesse avant de s’écrouler sur la banquette.
Cabot qui est resté couché tout le temps sur le siège s’agite un peu. Visiblement il veut participer à la fête. Mais il va devoir attendre que Guy ait éjaculé. Il se positionne et s’enfonce lui aussi d’un seul coup. Robert a bien préparé le terrain avec son gros manche. Guy est un peu moins bien équipé, mais son engin reste de belle taille et il sait s’en servir, le bougre.
Cabot assiste à la scène avec un regard implorant. Guy s’est calmé et fait durer le plaisir. Quand il est complètement en moi, il me masturbe puis ressort et ainsi de suite. J’ai à nouveau le sexe érigé et Robert appelle le chien pour qu’il me lèche. Il ne se fait pas prier et ses coups de langue me font durcir encore plus. Avant que je ne jouisse, Robert se fait à son tour lécher par Cabot. Il doit certainement se préparer à m’enfiler une nouvelle fois.
Guy est sacrément résistant. Il continue de me ramoner et mon fion doit avoir l’allure d’un gouffre de Padirac à force de se faire gaver.
   ─ Je ferai quelques photos à la fin de la séance, tu pourras vérifier et ça te fera des souvenirs, me propose Robert.
Alors que Guy est sur le point d’éjaculer, Robert commence à me détacher. J’apprécie de pouvoir baisser les bras. Il me saisit la tête qu’il approche de sa queue. Je constate qu’il a enfilé une autre capote et pendant que Guy m’assène ses derniers coups de reins je donne quelques coups de langue sur la queue de Robert. Juste histoire de la lubrifier un peu. Mon cul est tellement ouvert que je pourrais certainement me faire empaler sans lubrifiant, à vrai dire.
Voilà, Guy a éjaculé, il retire sa capote qu’il semble garder pour plus tard, comme la première de Robert. Ils doivent avoir un plan en tête. Robert me fait allonger sur sa couchette. Je suis à plat ventre et il me glisse un oreiller sous le bassin. Il se met en place et s’enfonce sans crier gare dans mon cul. Je sens ses couilles contre mon périnée. À chaque fois qu’il s’enfonce, j’ai l’impression que c’est un drapeau qu’il plante, comme pour marquer un territoire pris à l’ennemi. À moins qu’il ne cherche à me fendre comme une bûche !
Il a les mains appuyées sur mes épaules. J’ai l’impression de m’enfoncer dans le matelas à chaque coup. Il affirme sa domination et j’aime ça. Pourtant, à part m’attacher en début de séance, rien de bien sado-maso dans ses pratiques. Je le sens prêt à éjaculer. Il me pilonne le cul. Je suis sûr que de l’extérieur on doit voir la cabine du camion bouger. Il se retire et jouit sur mes fesses et le bas de mon dos. Il me fait tourner, j’ai les genoux sur le sol et le thorax en travers de la couchette. Je suis ainsi offert à la pénétration de Cabot qui a compris aussitôt que c’est enfin son tour.
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