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Vacances au camping de Branc-Les-Mois

Chapitre 1

Arrêt sur une aire d'autoroute

Inceste
Ça y est, c’est le jour J, le grand départ pour les vacances estivales annuelles. Quatre semaines dans le sud, sans cours, travail ou quelconque autre problème autre que de devoir racheter de la crème solaire.Je m’appelle Pierre, j’ai eu 18 ans en avril, accompagnés du permis et d’une voiture en cadeau, ce qui fait que cette année, je pars deux semaines en avance de mes parents, accompagné comme toujours de ma sœur, mon frère et ma cousine, que je détaillerai plus tard et qui eux n’ont pas le permis.
Sur le trajet, qui ne dure pas moins de huit heures, les playlists défilent et nous enchaînons entre concerts à tue-tête et périodes plus calmes où mes trois passagers s’endorment tout à tour, la bienséance les forçant naturellement à laisser au moins l’un d’entre eux éveillé pour me parler.
Notre joyeux petit groupe est très soudé, certainement dû au fait que nous sommes trois frères et sœur qui vivons ensemble et avons été éduqués dans le respect ; plus une cousine au même comportement qui habite à dix minutes en voiture, qui a sensiblement notre âge et qui part en vacances avec nous chaque année, la faute à ses parents très pris par leur travail.
Nous ne sommes pas forcément très pudiques, mais avons été élevés afin de conserver un minimum d’intimité, ainsi si j’ai déjà pu apercevoir le corps des deux filles, c’était plus par inadvertance que par volonté (bien que le spectacle de fesses distinguées à la volée dans la salle de bain à cause d’une porte mal fermée ne m’ait jamais déplu).
En revanche, comme nous dormons par binômes de même sexe depuis l’enfance, je connais le corps de mon frère, dont le sexe se rapproche sensiblement du mien, un sexe de plus d’une quinzaine de centimètres en érection environ.
Le trajet se déroule plutôt correctement, les chauffards sont absents, nous faisons partie des premiers départs en vacances alors les routes ne sont pas trop bondées, et je suis satisfait de notre allure de route. Il faut dire que cela m’aurait agacé d’arriver en fin de soirée alors que nous nous sommes levés à l’aube dans le but d’avoir le temps de découvrir le camping de cette année en arrivant (nous en changeons tous les ans afin de ne pas tomber dans la routine).Après environ six heures de trajet, je décide de m’arrêter sur une aire d’autoroute afin d’effectuer une troisième pause.
L’aire est plutôt délabrée, et seule ma cousine (qui se trouvait alors à l’avant pour discuter avec moi) est trop pressée d’aller aux toilettes et descend sur le parking miteux, et se dirige vers l’unique toilette qui trône piteusement sur le bord d’un trottoir au fond de l’aire de repos. Nous laissons les deux autres, somnolant dans la voiture.J’ai moi aussi envie d’uriner, donc je la suis en lui laissant quelques pas d’avance afin qu’elle arrive avant moi et qu’elle puisse prendre la place, en bon gentleman que je suis.Arrivés dans les toilettes, elle y pénètre et se saisit avec dégoût de la poignée qui doit comporter une dizaine de virus ; et tente de fermer la porte. Évidemment, au vu de l’état des lieux, la toilette ne ferme pas, la poignée est tant rouillée qu’elle ne peut même pas s’abaisser, et de toute façon les gonds de la porte le sont tout autant et il est impossible de fermer complètement la porte, il reste un jour d’une trentaine de centimètres quand même.
Ma cousine prend alors la parole:
— Dis donc, c’est pas le grand luxe là où tu t’arrêtes, tu peux me servir de porte s’il te plaît ?— Qu’est-ce que tu entends par là ?— Bah mets-toi dans l’embrasure banane, j’ai pas envie que le seul routier qui passera ici en 10 ans puisse voir mon sexe tu vois.— Ah d’accord bah pas de souci, fallait le dire comme ça.
Je me place alors dans l’embrasure, mais naturellement, afin de faire face à la route, je ne me place pas de dos dans l’écart formé, mais de biais. Ce geste, pourtant dénué de tout aspect pervers à l’origine, me fait entrer dans un état de légère excitation lorsque mon oreille gauche, dirigée vers l’intérieur de la cabine, commence à entendre le débit du liquide s’écoulant de l’intimité de ma cousine additionnée au soupir de bonheur de la principale concernée, dont la vessie peut enfin reprendre la taille normale.
Il est temps de vous présenter ma cousine: Jenny a 18 ans, comme moi, mais est de quelques mois mon aînée et ne s’est jamais gardée de s’en vanter, sans doute pour compenser sa petite taille d’un mètre soixante à peine. Elle aime faire du sport, courir et faire du fitness par exemple, ce qui lui a octroyé une paire de fesses bien rebondies et fermes au fil des années ; mais aucun sport sur Terre ne peut lui donner une plus grosse poitrine que celle qu’elle possède et qu’elle se plaît à fustiger, une paire de seins qui ne doit pas dépasser le 85b. Elle a en outre de jolis yeux bleus, et surtout de sublimes cheveux ondulés châtains et un teint légèrement hâlé lui provenant de sa mère d’origine malgache. Elle n’a jamais été coincée, mais nous ne lui connaissons pas de grand amour, uniquement un ou deux petits copains uniquement destinés à lui faire quelques bisous, avec la langue pour le plus chanceux.
Revenons à ce moment de plaisir qui m’est octroyé par l’univers.Je devine à peine du coin de l’œil que ma cousine, qui d’ailleurs met très longtemps à uriner, car j’entends couler son jet tout doucement, peut-être est elle coincée par moi, par le lieu insalubre, ou par les deux. Je sens que malgré la faiblesse du flot, cela lui fait du bien et elle ne veut sans doute pas me voir quand elle fait pipi, car je comprends que sa tête est basculée vers l’arrière et qu’elle ferme les yeux en gémissant doucement son bonheur.
Pris d’un élan de courage pervers, je risque un coup d’œil très discret sur ma gauche, directement localisé en bas, entre ses jambes. Alors, j’ai le bonheur d’apercevoir entre ses jambes qu’elle ne s’applique pas vraiment à fermer, son petit sexe fermé surmonté d’un pubis où seuls des petits poils en repousse d’un millimètre sont visible, offrant une vue dégagée sur sa vulve.
Je me risque à deux autres coups d’œil aussi rapides avant qu’elle ne termine, et à chaque fois la vision de son sexe débitant son urine m’excite un petit peu plus, commençant à former une érection assez prononcée au fur et à mesure que je m’imagine toucher cette vulve.
Mais qu’est-ce que je raconte ? Toucher la chatte de ma cousine ? Et puis quoi encore, la mater sous la douche, la prendre en levrette ? J’ai beau vouloir me raisonner, les quelques instants restant que je passe à servir de porte renforcent en moi l’idée qu’effectivement, la toucher me plairait énormément.
La voix de Jenny me tire de ma torpeur remplie d’images perverses:
— Eh oh tu bouges ?? Je croyais que tu voulais pisser aussi ?
La rudesse de sa voix, contrastant avec sa douceur habituelle, me confirme que je dois avoir un air bête et béat sur le visage.
— Ouais ouais j’ai envie, mais bon vu l’état du truc, je vais plutôt aller derrière un arbre.— OK bah fallait le dire, reste pas planté là, je t’accompagne pour te prévenir si quelqu’un arrive.
On se dirige alors plus loin, je vais derrière un arbre, et sa position tandis que je sors l’artillerie de mon pantalon me fait alors esquisser un sourire, car elle se trouve comme moi auparavant, ne s’est pas tournée à l’opposé de moi, mais vers la route, et elle est donc à demi tournée vers moi.
Je décide alors, si cela peut nous mener à des jeux plus osés, de relâcher comme elle l’a fait auparavant la pression, de basculer la tête en arrière et de soupirer.Sauf que, quand je sens le jet s’écoulant de mon pénis faiblir, je décide de rapidement ouvrir les yeux et directement chercher le visage de Jenny.J’ai le plaisir de constater que mon stratagème a fonctionné, je vois une demi-seconde avant qu’elle ne tourne la tête son regard posé sur mon sexe à demi bandé à cause d’elle.Je sais qu’elle fera semblant de n’avoir rien vu, et elle sait que j’en ferai tout autant concernant son comportement, mais nous saurons tous les deux qu’aujourd’hui, en ce jour de départ de vacances, Jenny a maté ma queue.
Nous nous dirigeons alors vers la voiture sans un mot, sans doute est-elle gênée, car elle n’est pas sûre à 100% que je sais qu’elle me regardait le pénis, mais en tout cas, elle part la première et je lui laisse une nouvelle fois quelques pas d’avance, en en profitant cette fois-ci pour mater ses jolies grosses fesses, qui se dandinent dans son legging.Une fois dans la voiture, elle a laissé mon frère passer à l’avant pour les deux heures de trajet restantes, je démarre et nous repartons direction le soleil, la plage et le plaisir.

C’est la fin de ce premier chapitre, il y en aura (beaucoup) d’autres, je l’espère, si les retours sont bons, n’hésitez pas à me dire en commentaire (ou en privé pour les plus timides) s’il vous a plu, et excité bien sûr.
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