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Vacances au camping de Branc-Les-Mois

Chapitre 3

Le début d'une grande histoire

Inceste
Je me réveille doucement dans un des deux lits simples que Gauthier et moi avons séparés avant de dormir hier soir.La soirée a été très agréable, et nous devions tous être fatigués et émoustillés, car nous avons discuté pendant au moins deux longues heures de sexe et de nos envies.Mon regard a été très satisfait de pouvoir se plonger dans le décolleté de Jeanne, et de pouvoir mater les tétons de Jenny pointant au fur et à mesure que la perversité de la discussion augmentait ; car cette coquine est sortie de la salle de bain dans un petit débardeur serré rendant sa petite poitrine sans soutien-gorge très attrayante.
Je me lève, enfile un jogging large et léger et essaie de dissimuler tant bien que mal mon érection matinale, je ne voudrais pas perturber Gauthier avec ma queue, maintenant que je sais qu’il est capable de bander en matant des personnes de son sang: j’ai très bien vu sa bosse devant les culs de Jenny et Jeanne. Pour que vous compreniez un peu mieux cette phrase quelque peu intrigante, laissez-moi vous présenter Gauthier:
Un mètre quatre-vingt-quatre, assez fin, car possédant un métabolisme ectomorphe, mon frère est bisexuel, voilà tout. Donc, s’il peut bander pour le gros cul de notre sœur, pourquoi pas pour ma jolie verge, que je trouve raisonnable, mais satisfaisante ?
En dehors de ça, il est brun aux yeux marron, comme notre père n’aime pas vraiment le sport et on le sait tous dans ce mobil-home très adepte de la branlette, le seul sport qu’il maîtrise.Sa bisexualité est assumée, contrairement à notre sœur, il a déjà baisé avec un homme qu’il avait gentiment sodomisé, mais qui lui avait complètement défoncé le cul, le pauvre n’avait pas pu s’asseoir correctement pendant trois bons jours. Depuis, il préfère baiser des filles et préparer lui-même son anus à de plus en plus de violence (nous avons appris cette décision hier soir durant notre conversation très intéressante).
Je sors discrètement de la chambre, vais me préparer un petit quelque chose et sors sur la terrasse, où j’ai le bonheur de retrouver Jenny, ma cousine à la jolie chatte.Je m’assois instinctivement en face d’elle en voyant qu’elle a mis une jupe, en effet, la terrasse ne disposant que de sièges et d’une table basse, si j’ai une occasion de mater sa petite culotte, c’est maintenant.
— Coucou Pierre, ça va, bien dormi ? — Ouais nickel et toi ? Elle ronfle pas trop l’autre relou haha ?— Noooon en vrai c’est trop cool de dormir avec elle, elle tient pas trop chaud, elle ronfle pas, elle sent super bon, elle prend pas toute la couette et elle s’étale même pas ! Par contre hier soir, il s’est passé un truc après nous être couchées... Genre je pense qu’elle pensait que je dormais, mais en tout cas, j’ai senti la couette bouger de plus en plus vite ; et à un moment, elle l’a même balancée au-dessus d’elle et quand j’ai ouvert les yeux doucement pour voir, là je vois quoi: elle avait clairement deux doigts au fond de sa chatte quoi !— T’es en train de dire que Jeanne s’est doigtée à côté de toi ??— Ah bah là oui, il n’y a pas de doute, je l’ai vu de mes propres yeux.— Oui je connais ça, Gauthier est un peu accro, on le sait, et il aime bien sortir sa queue en pleine nuit et gicler dans les draps, qu’il y ait quelqu’un à côté ou pas, il s’en fout, mais je pensais pas que Jeanne était pareille.— Eh bien oui, me répond Jenny, mais bon moi ça me dérange pas tant que ça lui fait du bien, et en vrai, je suis pas lesbienne ou bi, mais c’est toujours excitant de voir quelqu’un qui se fait du bien je trouve.— Wow je pensais pas que t’étais du genre à avouer ça, mais même moi quand je vois Gauthier gicler en vrai, c’est pas mal, systématiquement le lendemain matin, je me branle, mais bon là, t’es là, donc je vais éviter haha.— Pour tout te dire mon Pierrot, moi aussi j’ai envie de me toucher, et si on va le faire tranquille dans notre coin, les deux autres ont pas à le savoir.
Je marque un temps pour accuser le coup, puis je me décide à répondre:

— Vas-y puisque tu le proposes, mais je sais pas où aller moi, ça va être trop suspect si les autres se lèvent et que moi je suis dans les toilettes et toi dans la salle de bain.— Bon écoute faut arrêter de mentir là, on pose les cartes sur la table: je t’ai vu en train de mater ma chatte, tu te pensais vraiment discret ? T’as vu ma chatte, ça t’a excité, ça m’a d’abord énervé, c’est pour ça que je t’ai mal parlé quand j’ai vu que t’étais à l’ouest. Ensuite, j’étais mal à l’aise, mais c’est parce qu’au fond, je savais que j’avais apprécié ton regard sur mes lèvres. Alors, quand tu es allé pisser, j’ai voulu voir si tu m’excitais vraiment. Et alors j’ai vu ta queue, tu bandais presque espèce de cochon, mais ça tu le sais puisque tu m’as aussi vue te mater. Maintenant, on est quittes, soit on en reste là, soit on se masturbe vite fait ici et maintenant en se matant l’un l’autre.
Je suis complètement choqué de ce monologue. Ainsi, cette perverse savait que j’avais vu sa petite chatte ? C’est un mal pour un bien, maintenant elle veut que l’on se touche ensemble ? Je n’aurais pas pu rêver mieux ! J’accepte donc sans un mot, en acquiesçant, et elle écarte instantanément les jambes, si rapidement que je me demande si elle ne l’aurait pas fait même si je n’avais pas dit oui, pour me convaincre.J’ai bien choisi ma place, même pas besoin de bouger pour voir son entrejambe recouvert d’un tanga noir avec un peu de dentelle.Elle se caresse au-dessus, puis se lève pour le retirer tandis que, sans scrupule, je sors ma queue déjà bandée au maximum de mon jogging.
Quand elle se rassoit, puis écarte à nouveau les jambes, j’ai l’impression de découvrir une nouvelle chatte. En effet, elle n’a plus rien à voir avec la petite vulve discrète et mignonne d’hier, elle est maintenant gorgée d’excitation, les grosses lèvres gonflées et ouvertes, l’humidité de sa grotte visible par les reflets du soleil sur son sexe qu’elle s’empresse de caresser.
Elle laisse ses doigts s’imprégner de sa cyprine, puis commence à faire des petits ronds au niveau de son clitoris en soupirant.Pendant ce temps, je me masturbe doucement afin de profiter au maximum, mais je sais très bien que je pourrais gicler en quelques secondes si je m’y mettais vraiment. Je ne regarde absolument pas ses yeux, elle ne regarde pas les miens non plus: nous sommes deux pervers en train de mater une main sur un sexe du sexe opposé.Sa petite chatte aux poils ras est tellement gonflée et gorgée de cyprine qu’elle semble vivante et en train de baver. Les doigts qu’elle commence à y entrer en ressortent gluants et cela ne m’aide pas à calmer mon excitation, ce qui de toute façon n’est pas le but.
Je sens clairement que je viens, que je vais lâcher la purée et je me redresse donc, afin de positionner mon sexe au-dessus du sol pour ne pas éjaculer sur mes vêtements.Jenny gémit elle aussi de plus en plus fort, mais je ne connais pas son attitude lors de la masturbation, alors je ne sais pas si ce signe est annonciateur de son orgasme.Au moment où je vais jouir, trop excité par la situation et par les frottements de ma main sur ma queue ; j’entends la porte de la chambre des filles s’ouvrir, couvrant momentanément le gémissement que j’ai poussé en éjaculant sur le sol.
Mon sperme se répand à mes pieds sur la terrasse, tandis que Jenny referme prestement les jambes et, dans un ultime réflexe pour dissimuler au mieux notre forfait incestueux, elle fourre au fond de sa bouche l’index et le majeur qui étaient plantés dans sa chatte.
La voir en train de déguster le jus intime répandu sur ses doigts achève ma jouissance, et je parviens dans un ultime effort à remonter mon jogging et à avancer ma chaise au-dessus du sperme étalé par terre.
Ma sœur sort ensuite, nous avons eu énormément de chance, surtout moi, hébété que j’étais par ma puissante éjaculation.Aucune expression sur son visage ne pourrait indiquer qu’elle nous a surpris, et Jenny et moi nous regardons alors dans les yeux avec un léger sourire, nous rendant compte du plaisir que nous venons de prendre.
Après nous avoir salués, Jeanne retourne à l’intérieur afin de se préparer un petit-déjeuner dans la cuisine.Jenny s’avance alors en se penchant vers moi, me donnant donc l’opportunité que je saisis de mater des petits seins par son col. Elle me chuchote:
— Ce soir, on fait tout pour repousser le moment de la douche à quand on sera chacun dans nos chambres. Je t’envoie un message quand j’y vais, tu me rejoins. Tu viens de gâcher tant de sperme, je n’ai pas joui et je suis affamée et assoiffée à cause de toi. Ce soir, je te suce...
C’est la fin de ce troisième chapitre, j’espère qu’il vous a excités. La suite est sans doute déjà validée tant j’adore enchaîner les chapitres de cette histoire. Dites-moi en commentaire ou en message privé ce que vous souhaitez voir, je réponds à tous types de demandes !
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