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Vacances en camping-car

Chapitre 6

Inceste
Après la partie de jambes en l’air que Marion et moi avions vécue dans la chambre de nos parents, j’eus du mal à me remettre de mes émotions, et surtout, encore plus de mal à faire comme si de rien n’était.Désormais, je ne regardais plus Marion de la même manière : je la bouffais des yeux, même sous le nez de nos parents qui, heureusement, ne semblaient pas avoir remarqué mon changement de comportement envers ma sœur. Par contre, quand Marion remarquait que je la regardais avec appétit, elle paraissait souvent gênée, et des fois, elle aussi me jetait des regards qui en disaient long.
Nous nous étions promis d’attendre la fin des vacances avant de remettre le couvert tous les deux, et je sentais que cela allait être long, très long, même. De temps en temps, nous profitions du fait que nos parents avaient le dos tourné, ou alors qu’ils vaquaient à d’autres occupations pour se tripoter gentiment, moi je caressais les fesses ou la poitrine de Marion, et elle me caressait l’entrejambe. C’était souvent la nuit que cela arrivait, pendant que nos parents dormaient dans leur chambre et que nous, nous étions dans notre capucine, il arrivait de temps en temps qu’une main se faufile sous le duvet de l’autre, mais toujours avec précaution car nous ne voulions surtout pas nous faire griller.
Bref, même si nous passions des vacances très agréables tous les quatre, j’étais tout de même pressé de reprendre la route de la France afin de pouvoir profiter davantage de l’intimité de la capucine avec ma sœur. J’avais conscience que c’était particulier comme sentiment, mais c’était plus fort que moi. En attendant, je devrais prendre mon mal en patience, chose qui était relativement... compliquée !
Un soir, alors que nous revenions d’une longue journée de promenade dans une ville voisine, j’avais très envie d’aller prendre une douche. Après avoir pris ma serviette, ma trousse de toilette et des vêtements, je me dirige donc vers les douches du camping et, en voyant qu’elles étaient vides, une idée me traversa l’esprit. Je savais que Marion aussi voulait en faire de même et que, pour rejoindre les douches des filles, elle devait obligatoirement passer devant celle des hommes.
Je me mis donc à l’entrée des douches, et surveillai l’arrivée de Marion. Deux minutes après, je l’aperçus au loin qui arrivait, simplement vêtue d’une grande serviette qui lui enserrait la taille. Je me cachai donc dans l’entrée des douches et, lorsque je l’entendis arriver et se rapprocher, je sortis de ma cachette, lui attrapa le bras, et je l’emmenai avec moi dans la première douche que je fermai à double tour. Elle ne s’attendait tellement pas à ça qu’elle n’eut pas le temps de protester, si bien que, quand je la plaquai contre le mur de la douche et que mes lèvres se posèrent sur les siennes, elle se laissa faire pendant quelques secondes avant de me repousser gentiment.
— Qu’est-ce qui te prend ? Me demande-t-elle.— C’est pourtant clair, non ? J’ai terriblement envie de toi...
Je commençai alors à l’embrasser dans le cou, puis à descendre plus bas mais, quand mes mains se posent sur ses hanches, elle me repoussa à nouveau.
— On avait pourtant été clairs, non ? On a dit qu’on attendrait la fin des vacances pour se retrouver !— Je sais, mais c’est dur ! Pas pour toi ?— Si, pour moi aussi, mais...
Nous entendons alors quelqu’un arriver dans les douches, et nous taisons aussitôt. Face à ce silence, j’en profite pour reprendre mes bisous dans le cou, m’attardant un peu plus sur le lobe de son oreille que je mordille avec malice et, quand j’essaye de la débarrasser de sa serviette pour pouvoir profiter de sa nudité, elle me repousse à nouveau, en me faisant signe de ne pas faire de bruit. Je lui réponds par une gentille grimace puis, après quelques secondes, nous entendons la personne sortir des douches.
— C’est pas une bonne idée, me dit Marion.— Je sais, mais...— Y a pas de mais, Quentin, il va falloir que tu te retiennes ! Ou au pire, branle-toi sous la douche !
— C’est ce que tu fais ?— Eh ben... ça m’arrive, oui !
Le fait d’imaginer ma sœur en train de se caresser sous la douche eut pour seul effet de m’exciter encore plus que je ne l’étais déjà. Je tentai donc à nouveau de l’embrasser mais, cette fois-ci, elle ne se laissa pas faire et me repoussa.
— J’ai dit non, Quentin !— Pourquoi ? C’était pas bien l’autre jour, tous les deux ?— Oh que si, c’était même au-dessus de mes espérances, mais on peut pas recommencer, pas maintenant !— T’es chiante...— Je sais...
Marion se dirige aussitôt vers la porte pour quitter cette cabine de douche, mais je la retiens par le bras.
— Attends...— Quoi encore ?— Je peux au moins voir ce qu’il y a sous ta serviette ? Je demande avec un air coquin.— Tu connais déjà, et tu le reverras bientôt, promis !
Elle vient ensuite me déposer un rapide baiser sur la joue puis, sans plus tarder, elle quitte la cabine de douche pour aller rejoindre la sienne du côté des femmes.
Je ne peux m’empêcher d’être déçu par son refus mais, quelque part, je la comprends. Nous avions fait la promesse d’attendre, et une promesse était une promesse. Tant pis, j’allais donc devoir prendre mon mal en patience, comme prévu.
¤¤¤
Les jours qui suivirent, Marion et moi ne reparlons pas de cet incident et, chaque fois qu’elle nous annonçait qu’elle allait prendre une douche, je ne pouvais m’empêcher de rêver d’être une petite souris, afin de pouvoir l’espionner comme bon me semblait.
Il ne restait plus que cinq jours de vacances en Espagne, et ceux-ci passèrent relativement vite, malgré l’attente interminable qu’était en train de vivre mon entrejambe.
À quelques jours de notre départ, le camping organisa une grande fête à base de musique, karaoké, danse, et sketchs présentés par toute l’équipe d’animation. Bref, c’était le rendez-vous incontournable que personne dans le camping ne voulait louper, même nous.
Nous avions donc décidé de manger dans le camping-car, et ensuite d’aller à la fête. Après avoir mangé de la charcuterie et du fromage, à la surprise générale, Marion demanda aux parents si elle pouvait se passer de dessert, et aller tout de suite à la soirée.
— On avait dit qu’on irait ensemble, rappela notre mère.— Je sais, m’man, mais j’ai plus faim, donc ou je vous regarde finir de manger, ou je vais faire un tour à la fête et on se rejoint là-bas après...— T’en penses quoi ? Demanda notre mère à notre père.— Elle est majeure et vaccinée, non ?— Merci, p’pa !
Sur ce, Marion se lève, embrasse les parents puis, après s’être lavé les mains dans le camion, elle s’en va.Je dois dire que je ne comprends pas trop pourquoi elle fait ça mais, après tout, elle fait bien ce qu’elle veut.Nous finissons donc notre repas puis, après avoir fait la vaisselle, à notre tour d’aller à la fête du camping.
Un groupe de salsa a déjà commencé de jouer quelques rythmes latinos très connus, et beaucoup de personnes les écoutent en se trémoussant, tandis que d’autres le font en profitant du restaurant et du bar du camping. Toutes les tables sont occupées, il y a peut-être 200 personnes, à tout casser, voire peut-être même un peu plus.Les parents et moi commandons à boire puis, voyant une table se libérer, nous allons nous y installer au pas de course. Pendant qu’eux écoutent la musique, moi, je scrute la foule à la recherche de Marion. Je ne la vois nulle part.
J’essaye de faire abstraction de cette absence inexpliquée, mais en vain. Je n’arrive pas à profiter de la musique, sachant que j’ignore où est ma sœur, si bien qu’au bout d’une quinzaine de minutes, j’en ai marre.
— Je vais chercher Marion, dis-je à mes parents en haussant la voix à cause de la musique.— D’accord...
Je les quitte aussitôt et fais un tour au milieu des tables à la recherche de ma sœur. Je ne la trouve toujours pas. Où est-elle, bon sang ?
Je décide d’élargir mon périmètre de recherche, et je quitte donc la fête pour aller la chercher alentour. Avec un peu de chance, peut-être tomberais-je sur elle.
Je me promène donc un peu dans tout le camping, scrutant à droite à gauche, à la recherche du joli minois de ma sœur, mais en vain. Je retourne faire un tour à la fête, aperçois au loin mes parents qui sont toujours en train de boire un verre, mais Marion n’est toujours pas avec eux. Merde alors !
Je continue mes investigations dans le camping puis soudain, au loin, je vois ma sœur. Elle est assise à une table, sur un emplacement qui se trouve à une centaine de mètres du nôtre, et elle discute avec quelqu’un qui me tourne le dos. Je décide d’aller la rejoindre mais, alors que je me reproche d’elle, Marion se lève, glisse quelques mots à l’oreille de la personne qui lui fait face, puis, elles disparaissent toutes les deux à l’intérieur d’une grande tente qui se trouve juste derrière.
Je reste quelques secondes immobile à essayer de comprendre ce que je viens de voir, mais en vain. Qui est cette personne avec laquelle Marion vient de s’entretenir ? Je l’ignore, mais je meurs d’envie de le savoir.
Je me rends aussitôt sur cet emplacement puis, arrivé près de la tente, je tends l’oreille. J’entends aussitôt une discussion un peu étouffée, suivie de quelques rires. Que dois-je faire, la laisser tranquille et m’en aller, ou lui dire que je suis ici ? Habituellement, j’aurais pesé le pour et le contre mais là, j’ai la flemme. Je décide donc de faire acte de présence.
— Marion, t’es là ?
Aussitôt, les rires dans la tente s’arrêtent.
— Marion ? Je sais que t’es là, je t’ai vue...— Quentin ?
Quelques secondes après, j’entends un bruit de fermeture éclair, puis la tête de ma sœur apparaît par l’entrée de la tente.
— Qu’est-ce que tu fais ici ? Me demande-t-elle.— Je te cherchais, et je t’ai vue entrer dans cette tente, donc...— Et alors ? J’ai pas le droit de me faire des copains ?— Si, mais...
Une voix féminine retentit dans la tente.
— Fais-le entrer !
La tête de Marion disparaît aussitôt pour s’adresser à la personne qui vient de lui parler.
— T’es sûre ?— Mais oui, plus on est de fous, plus on rit !— OK, OK...
Marion ouvre la tente en grand, et je m’aperçois aussitôt... qu’elle est en sous-vêtements !
— Pourquoi t’es habillée comme ça ?— Fais pas chier, entre !— Mais je...
Elle m’attrape aussitôt le bras et me fait entrer dans la tente, avant de refermer derrière elle.
— Où sont les parents ?— A la fête du camping, je te rappelle qu’on devait s’y retrouver, et que...
Je m’arrête aussitôt en voyant qu’à quelques mètres de nous, sur un matelas gonflable, une nana est allongée dans un duvet, et nous regarde en souriant. Je la reconnais aussitôt : il s’agit de la sublime métisse que j’avais vue dès notre premier soir dans ce camping, et Marion m’avait même engueulé quand elle m’avait vu la reluquer.
— Salut, moi c’est Priscilla, me dit-elle.— Bonjour, moi c’est...— Quentin, je sais, ta sœur m’a parlé de toi, ou plutôt... de vous !— Ah bon ?
Je me tourne aussitôt vers Marion.
— Tu lui as dit quoi ?— Eh ben...— Elle m’a raconté toutes les cochonneries que vous avez faites ensemble, répond aussitôt Priscilla. Pour des jumeaux, vous êtes plutôt bizarres !— C’est vrai, tu lui as tout raconté ? Je demande à Marion.— Oui, et alors ? J’ai le droit de...
Je l’interromps aussitôt en remarquant qu’elle sent l’alcool, et je regarde aussitôt autour de moi. En voyant une bouteille de whisky à moitié vide, j’en ai confirmation.
— T’as bu ?— Un peu, oui...— Pourquoi ?— Pour me donner du courage...— Du courage pour faire quoi...— Eh ben, pour faire ce qu’on s’apprêtait à faire avant ton arrivée...— C’est-à-dire ?— Regarde par là, mon mignon...
Je me tourne aussitôt vers Priscilla et, aussitôt, cette dernière descend une partie de son duvet, dévoilant une magnifique poitrine nue, avec des seins plus gros que ceux de Marion.
— Tu veux que je te fasse un dessin ? Me propose Priscilla.
Face à ce spectacle inattendu, je ne sais pas quoi lui répondre, et je préfère plutôt m’adresser à ma sœur.
— Vous vous apprêtiez à...— À baiser, oui !— Mais je...— Mais quoi ? Comme l’a dit papa tout à l’heure, je suis majeure et vaccinée, non ? Si j’ai envie de me taper une jolie nana, je fais ce que je veux !— T’as déjà fait ça avec...— Non, jamais ! Tu as été mon premier partenaire, Quentin chéri, je te l’ai déjà dit...— Mais tu...— Bon, c’est pas que tu nous emmerdes, mon mignon, mais j’ai très envie de m’amuser avec ta frangine, donc ou tu nous laisses, ou tu nous regardes !
Aussitôt, Priscilla fait signe à Marion d’aller la rejoindre, et cette dernière ne se fait prier. Elle va aussitôt s’allonger à côté d’elle et, sous mes yeux médusés, elles s’embrassent goulûment. Je reste sans voix face à ce spectacle. Si on m’avait dit un jour que je verrais ma sœur embrasser une autre nana de cette façon, jamais je n’y aurais cru, jamais ! Incapable de faire et dire quoi que ce soit, je les regarde faire sans bouger.
Sans rompre ce baiser, les mains de Marion glissent aussitôt sur la poitrine de Priscilla, et je la vois jouer avec ces seins. Elle les tripote, tire sur les tétons, les malaxe, bref, tout ce que j’adore faire quand je joue avec les siens.
Le baiser s’arrête, et la bouche de Marion descend aussitôt sur les seins de Priscilla qu’elle gobe sans la moindre hésitation, comme si elle avait fait ça toute sa vie. Quant à Priscilla, elle se cambre de plaisir, et en profite pour détacher le soutien-gorge de Marion, avant de me le balancer.
— Tiens, frangin, ce serait bête de salir le soutif de ta sœur !
Elle éclate de rire avant de se cambrer en arrière, sous l’effet des coups de langue de Marion. Moi, je ne sais toujours pas quoi faire. Prendre les jambes à mon cou et retourner à la fête serait un choix judicieux mais, en même temps, ce spectacle est tellement beau que je serais con de passer à côté !
Je continue donc de regarder ma sœur bouffer les seins de Priscilla puis, après quelques secondes, cette dernière fait basculer ma sœur sur le côté et, sans sortir de son duvet, elle se met à son tour à lui lécher les tétons. Quelle chanceuse, je rêverais d’en faire autant avec la poitrine de ma sœur !
— T’aimes ça te faire lécher les seins, petite salope ? Demande Priscilla.— Oui, c’est... agréable !— Et la chatte, t’aimes bien te la faire bouffer ?— Oui...— On va voir ça !
Aussitôt, Priscilla glisse une main dans la culotte de Marion et commence à faire des mouvements de plus en plus rapides. Ma sœur tombe alors sur le dos et a du mal à tenir en place, tant cette intrusion dans sa culotte a l’air d’être agréable.
— Mais dis donc, c’est qu’elle mouille beaucoup, la coquine ! Remarque Priscilla.
Face à cette scène, j’ai moi aussi beaucoup de mal à tenir en place. Comme je commence à me sentir à l’étroit dans mon boxer, j’ai très envie d’enlever mon short pour pouvoir me soulager, mais j’ai peur que cela les interrompe dans leurs élans.
Je suis tiré de mes pensées par un bout de tissu que je reçois en pleine figure.
— Après le soutif, la culotte de la frangine ! Lance Priscilla en rigolant.
A présent, Marion se trouve donc complètement nue à côté de Priscilla, et cette dernière a toujours une main qui s’active sur son sexe qui est ruisselant de mouille. Après l’avoir tripoté dans tous les sens, Priscilla lui glisse deux doigts dans la fente, et se met à la doigter à toute vitesse, avant que l’annulaire ne s’invite à la partie.Marion continue de se cambrer et a du mal à se retenir de gémir, surtout que, tout en la branlant énergiquement, Priscilla continue également de jouer avec sa poitrine.
— Tu veux que je te bouffe ? Propose Priscilla.— Oui, vas... vas-y, répond Marion.— OK...
Aussitôt, Priscilla sort ses deux longues jambes de son duvet, laissant en même temps apparaître un shorty noir en dentelles. Sa bouche descend ensuite de la poitrine de Marion à son nombril, puis rapidement à son sexe qu’elle se met aussitôt à lécher goulûment, tout en jouant avec son clito du bout du doigt. Cette fois-ci, c’en est trop pour Marion qui ne peut se retenir de gémir de plaisir, tout en se cambrant. Apparemment, Priscilla semble savoir y faire avec les femmes.
— Alors, ma chérie, ça te plaît ce que je te fais ? Demande cette dernière entre deux coups de langue.— Oh que oui...— A mon avis, ton frangin aussi apprécie le spectacle, vu la bosse qui déforme son short.
Je suis aussitôt gêné par cette remarque.
— Désolé, dis-je, c’est juste que...— T’excuse pas, me répond Priscilla, tout en continuant à tripoter le clito de Marion, c’est normal !
Elle se tourne ensuite vers cette dernière, puis.
— Peut-être qu’on pourrait le laisser participer, non ?— Non, répond aussitôt Marion. Que toi... et... et moi !— OK, désolé, frangin !
Sur ce, Priscilla se jette à nouveau sur le sexe de Marion qu’elle bouffe en long, en large et en travers, tout en la doigtant de deux doigts. Le drap qui recouvre le matelas gonflable est trempé de mouille, et le visage de ma sœur est ruisselant de sueur. En même temps, vu le spectacle qui s’offre actuellement à mes yeux, j’ai l’impression qu’il fait quarante degrés dans la tente, donc c’est guère étonnant.
— Branle-toi !
Cet ordre vient de Marion, et Priscilla a l’air surprise de l’entendre.
— Comment veux-tu que je me branle alors que je suis déjà en train de te branler, ma chérie ?— Je parle... je parle à... Quentin ! Répond Marion, le souffle saccadé.
Priscilla se tourne aussitôt vers moi.
— T’as entendu ta sœur ? T’as le feu vert pour te palucher, si tu veux !
Une fois de plus, je reste sans voix, et je ne sais comment réagir face à cette injonction. En même temps, je serais gêné de faire ça devant ces deux nanas, mais de l’autre côté, comme j’ai la bite qui doit ressembler à un barreau de chaise, j’avoue que me soulager me ferait le plus grand bien. En plus, étant donné les circonstances, il n’y avait pas grand-chose de normal, ni d’habituel dans tout ça, donc pourquoi devrais-je m’efforcer à l’être ?
Après quelques secondes, ma décision est prise : je défais aussitôt ma ceinture, baisse mon short et mon boxer, puis, je m’assieds dans un coin de la tente et les regarde, tout en me branlant doucement.
— Mais dis donc, t’avais raison ma chérie, il est bien monté ton frangin, remarqua Priscilla en regardant ma bite avec appétit.
Marion se tourna vers moi et me regarda me branler, avec un grand sourire aux lèvres. J’étais sûr que cette situation l’excitait un maximum, quelle petite salope, comme le disait si bien Priscilla.
— Bon, et si tu t’occupais un peu de moi ? Proposa cette dernière à Marion.
Marion accepta aussitôt d’un signe de tête puis, elle renversa Priscilla sur le côté, et se mit à califourchon sur elle, le sexe encore dégoulinant de mouille, et les joues cramoisies. Elle se jeta aussitôt sur la bouche de Priscilla, et leur baiser dura de longues minutes durant lesquelles j’essayais de faire en sorte de ne pas cracher la purée trop vite.Une fois le baiser terminé, Marion s’attaqua aux seins de Priscilla qu’elle recommença à lécher et à tripoter, comme elle l’avait fait quelques minutes plus tôt, sauf que cette fois-ci, elle le faisait tout en me jetant de temps en temps des regards qui en disaient long.Elle descendit ensuite la bouche plus bas, et baissa le shorty de Priscilla, avant de me le jeter à la figure. Décidément, ç’avait l’air de les amuser de faire ça.
Le sexe de Priscilla était très légèrement poilu, et lui aussi suintant de mouille, ce qui ne dérangea pas Marion qui se jeta aussitôt dessus, comme si elle avait fait ça toute sa vie. Elle commença par jouer avec le clitoris qu’elle s’amusa à mordiller et à titiller avec ses doigts puis elle s’attaqua ensuite à la fente de Priscilla qu’elle commença aussitôt à lécher dans tous les sens.
— Alors, ça te plaît de me bouffer ? Demanda Priscilla, le souffle haletant.— Ouais, et toi, ça te plaît quand je te bouffe ?— Oui, mais tu peux faire mieux que ça...— Oh que oui !
Marion recommença à lécher le sexe de Priscilla puis, elle inséra trois doigts à l’intérieur, avant de les bouger dans tous les sens, tout en lui caressant les seins de son autre main. Aussitôt, ce fut au tour de la belle métisse de se cambrer en arrière.Bientôt, Priscilla se mit à gémir de plaisir et, plus Marion accélérait ses mouvements, plus la jolie métisse faisait du bruit.Le fait de voir ma sœur à quatre pattes, la tête entre les jambes de Priscilla et avec une main qui s’agitait dans son sexe ne faisait qu’accroître l’érection qui habitait mon entrejambe. J’avais moi-même très envie de participer à cette partie de jambes en l’air en prenant ma sœur par-derrière mais, comme je savais qu’elle ne se laisserait pas faire, je préférais m’abstenir, de peur que cela mette fin à leurs ébats.
Du coup, je me contentai de continuer à regarder ce spectacle, et je dois dire qu’il s’agissait également d’une position très agréable, puisque j’étais le seul spectateur.
— Putain !
Ma sœur venait de reculer d’un coup et de sortir ses doigts du sexe de Priscilla, alors que cette dernière la regardait, amusée.
— J’en ai partout ! S’exclama Marion.— Désolé, j’ai tendance à mouiller beaucoup, surtout en si charmante compagnie, répondit Priscilla.— T’appelles ça mouiller beaucoup ? T’as encore rien vu...
Aussitôt, ma sœur enfonça à nouveau ses doigts dans le sexe de Priscilla, et démarra un va-et-vient à une cadence très rapide. Une fois de plus, Priscilla se laissa tomber en arrière sur le matelas pendant que Marion lui martelait l’intérieur, et elle allait tellement vite que je voyais des gouttes de mouilles voler autour de son sexe grand ouvert.
Heureusement qu’une grande partie du voisinage se trouvait à la fête du camping, sinon, c’était sûr qu’ils seraient alertés par les gémissements que poussaient ces deux jeunes femmes depuis quelques minutes.En fait, je pensais que Priscilla était la plus salope des deux vu comment elle parlait à ma sœur, mais je venais d’avoir la confirmation que c’était l’inverse.
D’ailleurs, moi qui continuais de me branler, je n’en pouvais plus, et je sentais que j’allais bientôt venir. J’essayais pourtant de retarder l’inévitable, mais face à un tel spectacle, c’était difficile de faire autrement.
— Alors, frangin, tu craches bientôt la purée ? Demanda Priscilla.— Bientôt, oui...— Dans ce cas-là, j’ai une idée...
Priscilla se débarrassa aussitôt de l’étreinte de Marion puis elle s’allongea sur elle en position tête-bêche afin de pouvoir entamer un soixante-neuf, auquel Marion répondit avec plaisir. Quelques secondes après, elles se retrouvèrent donc toutes les deux en train de se lécher mutuellement la minette, et moi, je les regardais faire, sans rien dire, tout en continuant à me branler.
Elles se bouffèrent le sexe pendant une dizaine de minutes supplémentaires, jouant avec leurs lèvres charnues, titillant leur petit bouton de chair, et se laissant même aller à quelques nouvelles séances de doigtage auxquelles j’assistais avec plaisir. Elles s’amusaient comme des folles toutes les deux et, bien que déçu de ne pas avoir pu m’amuser davantage avec elles, j’étais tout de même très content d’y avoir assisté. Et dire qu’à l’heure qu’il est, nos parents devaient se demander où nous étions. Tant pis, ce n’était pas le moment de penser à ça.
Je continue donc de regarder ma sœur fouiller le sexe de Priscilla avec sa langue, l’écartant de ses deux mains pour pouvoir mieux y plonger à l’intérieur puis, tout d’un coup, je sentais que j’allais venir dans moins de dix secondes.
— Je vais cracher, dis-je en me levant...— Viens par ici, répondit Priscilla.
Je m’approchai donc d’elle, la bite à la main puis, voyant qu’elle repoussait gentiment la tête de Marion et qu’elle m’indiquait du doigt son bas-ventre, je posai mon sexe dessus et continuai de l’agiter dans tous les sens.Quelques secondes plus tard, de longs jets blancs allèrent s’écraser sur le ventre de Priscilla, tandis que quelques gouttes éclaboussèrent le visage de Marion qui n’eut aucun mouvement de recul ou de dégoût. Voyant qu’il restait quelques gouttes de semence au bout de mon sexe, elle le happa rapidement du bout de la langue, ce qui eut pour effet immédiat de m’électriser tout le corps. Une fois que ce fut terminé, je me laissai tomber par terre, épuisé par toutes ces émotions, tandis que Marion se relevait également.
— Hop hop hop, tu vas où, ma jolie ? Demande Priscilla.— On a fini, non ?— Ton frère a fini, mais pas toi, regarde !
Elle montra à Marion le sperme qui lui maculait le bas-ventre.
— Tu peux me nettoyer tout ça, s’il te plaît ? Demanda Priscilla.
Aussitôt dit, aussitôt fait, Marion se rua à nouveau sur Priscilla puis, elle l’embrassa langoureusement sur la bouche, comme pour la remercier, avant de lui nettoyer le ventre et toute la semence à grands coups de langue. Elle n’en laissa pas une miette et, une fois qu’elle eut terminé, elle embrassa à nouveau Priscilla, comme si elle voulait partager le butin avec elle, chose qui n’eut pas l’air de la dégoûter.
— Merci, ma chérie...— Non, merci à toi, pour tout ! C’était... wahou !— Oh tu sais, si je peux rendre service...
Marion et moi, nous nous rhabillons, silencieusement puis, une fois terminé, nous constatons que Priscilla, elle, est toujours nue sur son duvet, comme si elle était prête à remettre le couvercle dans les minutes à venir.
— Et toi, le frangin, pas trop frustré de ne pas avoir pu participer davantage ? Demande Priscilla.— Si, un peu, mais... c’était mieux que rien !— En tout cas, dommage que vous partiez bientôt, sinon, je suis sûre qu’on aurait encore pu s’amuser, tous les trois, dit-elle, d’un air déçu.— Il y a des chances, oui, répondit Marion.
Un nouveau silence s’installa puis Marion reprit la parole.
— Bon, on y va ?
¤¤¤
Après avoir salué Priscilla, Marion et moi, nous quittons la tente. Dehors, la température est fraîche, et cela nous fait du bien, surtout après ce que nous venons de vivre. Sur le chemin du retour, Marion ne dit rien, comme si elle était gênée par tout ça et, plutôt que de laisser ce malaise s’installer, je me décide à prendre la parole.
— Tu m’expliques ?— Je t’explique quoi ?— Pourquoi t’as fait ça ?— C’est pourtant clair, non ? J’avais juste envie de baiser !— Pourquoi ne pas avoir essayé de faire ça avec un gars, dans ce cas ?— Parce que c’est toi que je veux, et pas un autre ! Du coup tout à l’heure, quand je suis sortie de table, j’avais un but précis : trouver quelqu’un avec qui baiser et, en voyant Priscilla à la fête du camping, ça a fait « tilt ! » dans ma tête...— Tu lui as dit quoi ? Salut, je m’appelle Priscilla, et j’ai très envie de baiser avec toi ?— Mais non, crétin ! J’ai d’abord fait connaissance avec elle pendant quelques minutes, ensuite je suis allée acheter une bouteille à la supérette du village, on a bu deux ou trois verres devant sa tente, ça nous a décoincées, on s’est mis à parler de cul et, la suite, tu la connais...— Je vois...
Nous continuons de marcher à petits pas, comme si nous n’avions pas envie de retrouver tout de suite les parents.
— Pourquoi tu n’as pas voulu que je participe ? Je demande.— Parce qu’on s’était promis de pas rebaiser ensemble avant le retour en France, tout simplement.— On aurait pu faire une petite entorse à cette promesse, tu sais...— Non, justement, une promesse est une promesse ! En plus, je dois dire qu’elle m’excitait pas mal, cette petite salope, donc je la voulais que pour moi !— J’avais cru remarquer...
Nous continuons notre chemin puis, après quelques secondes, Marion reprend la parole.
— On va dire quoi aux parents ?— Qu’on s’est fait des copains et qu’on était avec eux...— Et s’ils remarquent que je suis bourrée ?— Eh ben...
Je regarde autour de moi et, avisant un emplacement de mobile home devant lequel du linge était en train de sécher sur un fil, j’ai une idée.
— Attends...
Je me dirige aussitôt vers cet emplacement, regarde à gauche à droite pour voir si quelqu’un ne serait pas en train de nous regarder, puis, sans réfléchir, j’arrache une serviette de bain qui était en train de sécher, avant de revenir vers Marion.
— Qu’est-ce qui te prend de faire ça ?— Viens avec moi...
Je la prends aussitôt par la main puis, nous nous dirigeons vers les sanitaires en courant. Remarquant qu’il y avait du monde dans celles des hommes, j’en fais de même avec celles des femmes qui ont l’air vides. J’y rentre aussitôt avec Marion, et nous nous enfermons dans une cabine où se trouvait un lavabo.
— Tu fais quoi, tu vas encore essayer de me baiser ?— Non, promis...
Je passe aussitôt la serviette que je viens de voler sous l’eau fraîche puis je la passe ensuite sur le visage de Marion qui se laisse faire en fermant les yeux.
— L’eau froide, quand on est bourré, ça fait du bien, dis-je en connaissance de cause.— Et pour la transpiration, t’as aussi un remède miracle, grand-mère ? J’ai l’impression de sentir le cul à des kilomètres à la ronde !— Oui, j’ai une idée, enlève ton haut...— Mais tu m’as promis de...— Oui, je te ferai rien, mais enlève ton haut, et le bas aussi, pendant que t’y es !
Après quelques secondes d’hésitation, Marion se débarrasse de ses vêtements qu’elle pose sur un crochet de la porte. Pendant ce temps-là, j’en profite pour mouiller à nouveau la serviette, avant de mettre dessus du savon pour les mains qui se trouvait dans la cabine. Une fois que c’est fait et que Marion se trouve face à moi, simplement vêtue de ses sous-vêtements, je suis d’abord évidemment subjugué par cette beauté, mais je me reprends aussitôt.
— Tourne-toi, lui dis-je.— Pourquoi ?— T’es chiante !
Je la tourne aussitôt et, après avoir regardé ses jolies fesses cachées par sa culotte, je lui nettoie le dos et les jambes avec ma serviette fraîche et savonnée.
— Merci de faire ça, me dit-elle.— Tu me remercieras plus tard, l’ivrogne. Allez, tourne-toi encore...
Marion obéit aussitôt et, avant que je n’aie le temps de continuer à la nettoyer, elle plaque ses lèvres sur les miennes et m’embrasse langoureusement.
— Tu sais que je t’aime, frangin ? Me dit-elle, une fois le baiser terminé.— Moi aussi, et tu devrais être bourrée plus souvent pour me dire ce genre de chose.
Elle me répond aussitôt par une grimace. Je me mets alors à lui frotter les bras, la poitrine et les jambes avec ma serviette savonnée et, quand mon visage est à quelques centimètres de ses seins et de sa culotte, la tentation est grande, mais je me retiens, comme promis.Une fois que j’ai nettoyé tout son corps, j’essore la serviette dans le lavabo, et je recommence la même opération sans savon. Une fois de plus, Marion se laisse faire et ne me quitte pas des yeux.
— Tu fais ça tellement bien, frangin...— Profites-en car je ferais pas ça tous les jours, ma belle !— Dommage...
Une fois terminé, Marion se rhabille pendant que j’essore à nouveau la serviette avant de la suspendre au crochet de la porte.
— C’est bon, on y va ? Je demande.— OK...
Marion sort la première, vérifie que la voie est libre, puis, nous quittons les sanitaires des filles main dans la main, en rigolant. Dehors, la fête du camping bat encore son plein, et nous retrouvons nos parents au même endroit où je les avais laissés : à la terrasse du bar, en train de boire un verre.
— Vous étiez où ? On commençait à se demander ! Demande aussitôt notre mère.— Je me suis fait une copine, et Quentin nous a rejoints. On a tellement discuté qu’on a pas vu le temps passer, répond aussitôt Marion.— Vous auriez pu nous prévenir, fit notre père.— Désolé, p’pa, je pensais pas être parti si longtemps, donc...— C’est pas grave. Après tout, comme j’ai dit à ta sœur tout à l’heure, vous êtes majeurs et vaccinés, non ?
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