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Vacances en camping-car

Chapitre 13

Inceste
— C’est bon, tu peux venir.
Sans me faire attendre, je retourne aussitôt dans la chambre et, en y faisant mon entrée, je suis surpris d’y retrouver Marion, entièrement vêtue d’une épaisse robe de chambre en polaire.
— C’est quoi cette tenue ? Je lui demande aussitôt en la regardant de haut en bas.— Je te plais pas, comme ça ?— Pas vraiment, non, je croyais que tu voulais pimenter nos ébats ? — C’est toujours prévu, t’en fais pas, on en a pas fini, toi et moi...— Bah c’est pas avec une robe de chambre que tu vas me donner la gaule, je te le dis !— Quentin...— À moins que tu sois nue en dessous, et que...— Quentin !— Quoi ?— On est pas seuls...— Hein ?
Je regarde aussitôt autour de nous, paniqué et, lorsque je vois de quoi elle parle, je cache aussitôt mon entrejambe avec mes mains, comme si je venais d’être pris sur le fait.
Sur son bureau, son ordinateur portable est ouvert et allumé et, sur l’écran, je reconnais aussitôt le visage de Priscilla, la jolie métisse avec laquelle nous avions batifolé cet été, et qui nous regarde en souriant.
— Salut, le frangin !— Priscilla ? Qu’est-ce que...— Pas la peine de cacher ta bite, dit-elle, je l’ai déjà vue, je te rappelle !
Incapable de répondre quoi que ce soit, je me tourne vers Marion et, en voyant un sourire espiègle illuminer son joli minois, je me sens encore plus gêné.

— Tu m’expliques ? — Priscilla et moi, on est restées en contact, et on se parle de temps en temps sur Skype...— On fait pas que parler, rajoute Priscilla avant de rigoler.
Je m’imagine aussitôt tout un tas d’images mettant en scène ces deux splendides créatures, et je me reprends rapidement en m’adressant à Marion.
— Pourquoi tu me l’as jamais dit ? — Parce que j’aime bien avoir mon jardin secret, peut-être...— Ben voyons. Et qu’est-ce qu’elle fait là ?— À ton avis ? — Ta sœur m’a dit qu’elle avait envie de baiser avec toi devant moi, déclara Priscilla de but en blanc.— C’est vrai ? Je demande à Marion.— Oui, ça m’exciterait pas mal...— Et moi tout seul, ça t’excite pas ?— Si, évidemment, mais...— Elle a envie de s’amuser un peu, c’est tout, tu sais comment elle est ! Rajoute Priscilla.
J’avais deux solutions : ou refuser et aller me finir tout seul dans ma chambre, ou bien accepter cette proposition saugrenue et originale, et m’envoyer en l’air avec ma sœur dans les règles de l’art. Conscient que cela pourrait effectivement être amusant de faire ça devant Priscilla, surtout connaissant un peu le personnage, il ne me fallut que quelques secondes avant de donner ma réponse.
— OK, finis-je par dire.— OK ? Répéta Marion, étonnée.— Oui, ça te surprend ?— Non, je pensais juste que tu serais plus difficile à convaincre...— Il a juste très envie de niquer ! Lança Priscilla, amusée.— C’est vrai aussi, dis-je.— Super, alors ! S’exclama Marion.— Bon, je vais m’installer confortablement, du coup, déclara Priscilla.
Je la regarde aussitôt se lever puis elle disparaît de l’écran pendant quelques secondes avant de réapparaître pour aller s’allonger dans un lit qui se trouve juste devant. Je constate aussitôt qu’elle est vêtue d’un long tee-shirt qui lui arrivait jusqu’aux genoux et, en voyant ses tétons pointer en dessous, il est clair qu’elle ne porte pas de soutien-gorge. En tout cas, elle était très jolie, aussi simplement vêtue !
— Tu vas arrêter de me bouffer des yeux et t’occuper de ta sœur ? Me lance-t-elle.
Je me reprends aussitôt et me retourne vers Marion qui me regarde en rigolant.
— Elle a raison, dit-elle, j’ai failli être jalouse !— Je n’aurais d’yeux que pour toi dès que tu enlèveras ta robe de chambre...— Super idée ! Renchéris Priscilla.— C’est demandé si gentiment...
Sans me lâcher du regard, Marion dénoue aussitôt sa robe de chambre, l’ouvre en grand et l’enlève avant de la faire tomber sur le sol. Moi qui m’attendais à en prendre plein la vue, c’était le moins qu’on puisse dire face à ce tel spectacle : Marion portait simplement un soutien-gorge en dentelle rouge qui mettait en valeur sa jolie poitrine, et un tanga dans les mêmes tons qui épousait parfaitement la forme de ses courbes. Bref, elle était belle à tomber !
— Ça te plaît ? Me demande-t-elle avant de faire un tour sur elle-même pour que je puisse la reluquer sous toutes les coutures.— Oh que oui, je... je sais pas quoi dire à part wahou !— J’avais acheté ça pour faire une surprise à Vincent, mais tu en profiteras le premier, finalement...— Il en a de la chance, ce Vincent ! S’exclama Priscilla.
Je me retourne vers cette dernière pour acquiescer d’un signe de tête, et je constate aussitôt qu’elle est désormais seins nus, et simplement vêtue d’une petite culotte, comme si le fait de voir ma sœur se déshabiller lui avait donné des bouffées de chaleur.
— Ça te dérange que je me mette à l’aise ? Me demande-t-elle.— Non, pas du tout...— Alors t’occupe pas de moi !— C’est vrai que moi aussi, j’ai du mal à ne pas te regarder, déclara Marion à l’attention de la jolie métisse.— Arrête, ma chérie, tu vas me faire rougir...
Marion lui répondit par un sourire puis, elle m’attrapa la main et m’emmena vers le lit avant de me pousser dessus. Je tombai aussitôt sur le dos et, avant que je ne fasse quoi que ce soit, Marion se mit à califourchon sur moi et posa ses mains sur mon torse.
— T’es prêt à reprendre là où on s’est arrêtés tout à l’heure ? Me demande-t-elle.— Oui, je ne demande que ça...
Aussitôt, la bouche de Marion se pose à nouveau sur la mienne et, quelques secondes après, nos langues se mélangent à nouveau. Quant à mes mains, je les pose sur ses hanches avant de les faire glisser doucement sur ses fesses, en même temps que ses lèvres descendent sur mon cou qu’elle continue d’embrasser centimètre par centimètre.
Je me laisse faire sans broncher tout en fermant les yeux, et je passe mes mains sous son tanga avant de les poser sur ses petites fesses que je malaxe doucement. Quand elle a terminé de m’embrasser le cou, Marion se redresse pour me regarder, tout en se mordant les lèvres.
— Dis-moi que tu m’aimes, me dit-elle.— Évidemment que je t’aime...— Pour de vrai ?— Pour de vrai, oui...
Comme pour lui prouver ma bonne foi, mes mains s’agrippent à sa poitrine, avant de passer sous la dentelle de son soutien-gorge pour lui caresser ses petits tétons tous durs.
— Et toi, tu aimes quand je fais ça ? Je lui demande.— J’adore, oui...
Je sors aussitôt ses seins de leur prison de dentelle, sans lui ôter son soutien-gorge puis, je redresse ma tête et, pendant les deux minutes qui suivent, je prends un malin plaisir à lui suçoter les tétons, à les lécher, et à les mordiller. Pendant ce temps-là, les mains de Manon s’agrippent à mes épaules, et je la sens se cambrer en arrière au fur et à mesure que je lui bouffe la poitrine.
Au bout d’un moment, Marion me repousse gentiment et, avant que je n’aie le temps de faire quoi que ce soit, elle me tourne le dos et se couche sur moi, avant d’enfourner mon sexe dans sa petite bouche. De mon côté, j’écarte le tissu de son tanga et je passe un doigt sur ses lèvres humides, avant de plonger ma langue à l’intérieur de son antre chaud.
Ainsi, pendant quelques minutes, nous prenons un malin plaisir à nous bouffer mutuellement, Marion s’attardant de temps en temps sur mes testicules qu’elle lèche comme s’il s’agissait de boules de glace et moi, sur son petit bouton de chair qui la fait gémir davantage à chaque fois que ma langue se pose dessus.
Au bout d’un moment, je regarde du coin de l’œil l’ordinateur de Marion, et en voyant Priscilla qui continue de nous regarder tout en restant stoïque, je ne sais quoi penser. Je continue donc de m’occuper de l’entrejambe de Marion puis un nouveau coup d’œil vers l’ordinateur me permet de constater que la jolie métisse n’a pas changé d’attitude, ce qui me perturbe au plus haut point.
— Pourquoi tu t’arrêtes ? Me demande Marion.— Parce que ta copine a l’air de se faire chier, je réponds.— C’est le moins qu’on puisse dire, confirme Priscilla. Si j’avais su, j’aurais prévu de la lecture...— C’est que le début, t’en fais pas...— Tu parles ! J’ai pas envie de voir des préliminaires, j’ai envie de vous voir baiser, c’est pourtant clair, non ?— Très clair, oui...— Alors qu’est-ce que vous attendez, que je m’endorme ?
Aussitôt, comme si elle lui obéissait au doigt et à l’œil, Marion se redressa puis, elle se mit à califourchon face à moi et m’attrapa la bite avant de s’empaler dessus d’un coup sec. Après avoir poussé un petit gémissement de surprise, elle entama ensuite une série de va-et-vient, tout en prenant appui sur mon torse pour y mettre plus de cadence.
— C’est bon, putain ! S’exclama Marion, haletante.
Je confirmai d’un hochement de tête puis, mes mains se posèrent sur ses fesses que je me mis à pétrir au fur et à mesure que je la baisais. Après quelques minutes, un rapide coup d’œil vers l’ordinateur de ma sœur me permit de constater que Priscilla venait d’ôter sa culotte et qu’elle avait une main qui s’agitait à toute vitesse entre ses jambes.
— C’est bon, ta copine semble prendre son pied, elle aussi, dis-je à Marion qui tournait le dos à l’écran.— C’est... vrai ? Répondit-elle, le souffle saccadé.— Oui, elle est en train de...— Me dis rien, je veux regarder !
Sans que j’aie le temps de faire quoi que ce soit, Marion se débarrassa de mon sexe, puis elle se mit à quatre pattes face à son ordinateur, me présentant ainsi sa croupe sur laquelle ma main se posa aussitôt.
— Bah alors, ma chérie, tu t’amuses bien ? Demanda-t-elle à Priscilla.— Oui, c’est bien agréable, mais pourquoi vous vous arrêtez ?— Bonne question...
Marion se tourna ensuite vers moi puis elle posa ses deux mains sur ses fesses qu’elle écarta doucement, comme pour me faciliter le passage.
— T’as entendu ? Pourquoi tu t’es arrêté, mon mignon ?
Elle n’a pas besoin de me le dire deux fois, cette petite salope ! Quelques secondes après, je lui enfourne à nouveau le sexe avec le mien avant d’entamer une série de coups de reins.
— Alors, c’est bon ce qu’il te fait ? Demande Priscilla qui continuait de se tripoter la minette de l’autre côté de l’écran.— Oh que oui, c’est... trop bon ! Répondit Marion, haletante.— Au fait, j’ai lu le chapitre de nos aventures que tu as rajouté dans l’histoire de ton frère...— Et... alors ?— Ça m’a grave excitée, petite cochonne, surtout notre tête-à-tête sous la douche !— Oui, c’était... mémo... mémorable !— Tu me ferais quoi là, tout de suite, si j’étais devant toi ?— Je... t’allongerais sur... sur mon lit, et je... et je te boufferais la chatte !— Que la chatte ?— Non... peut-être aussi... ton petit cul !— Tu sais quoi ? J’adorerais ça !
Les entendre se dire des cochonneries de la sorte ne faisait que m’exciter davantage, si bien que je décidai aussitôt d’accélérer la cadence de mes mouvements, ce qui la fit gémir davantage.
— Et... et toi, tu... tu me ferais... quoi ? Continua Marion qui avait de plus en plus de mal à parler.— Je m’occuperais de ta jolie petite chatte que je défoncerais, comme ton frère est en train de le faire. — Avec... un de tes... jouets ?— Non, avec mes doigts, voire peut-être même avec ma main entière !— Putain... j’ado... j’adorerais ! Et ensuite ?— Je te doigterais le cul...— Et... et mes... seins ?— Je te mordrais les tétons et après, je te doigterais à nouveau le cul !— Tu... veux que je... me doigte toute... seule ?— Si ton frangin veut bien, pourquoi pas !
Marion se tourna ensuite vers moi, puis, elle m’adressa son regard implorant.
— Ça te dérange si je...— Non, vas-y, répondis-je.
Je me retirai aussitôt de son sexe puis, tout en restant à quatre pattes, Marion se mit dos à l’ordinateur, s’humecta l’index de sa main droite puis, elle l’inséra doucement dans son petit trou, avant d’entamer un doux va-et-vient.
— Alors, c’est comment ? Demanda Priscilla.— C’est... agréable !— T’as pas un jouet avec lequel tu pourrais t’amuser ?— Non, faudrait... que j’en achète... un...— Bonne idée, oui...
Voyant que Priscilla n’en loupait pas une miette et qu’elle continuait de se caresser, je décidai d’en faire de même en me mettant à genoux devant Marion, tout en me tripotant la bite. Prenant cela pour une invitation, Marion se rapprocha de moi puis elle ouvrit en grand sa bouche dans laquelle je ne tardai pas à glisser mon sexe.
— Alors, le frangin, elle suce toujours aussi bien, la petite salope ?— Oh que oui...— Ça m’étonne pas ! Si elle suce aussi bien une bite qu’elle bouffe une chatte, ça doit être quelque chose !— Sans doute, oui...— Bon, ma chérie, tu t’es suffisamment tripoté la rondelle comme ça, non ?
Marion voulut répondre quelque chose, mais je l’en empêchai en passant mes mains derrière sa tête et en appuyant dessus pour qu’elle ne puisse se débarrasser de ma bite. Elle me lança alors un regard amusé puis, après quelques secondes de caresses buccales supplémentaires, je lui libérai le gosier.
— Coquin, me lança-t-elle.— T’aimes pas ça, peut-être ?— Que tu me forces à te sucer ? Ça me déplaît pas, c’est vrai !
Elle se tourna ensuite vers Priscilla qui avait toujours la main qui s’agitait entre ses jambes.
— Ça t’a plu ? Demanda-t-elle.— Oui, c’était mignon ! — Mignon, c’est tout ?— Oui, ça me plairait beaucoup plus si c’était ton frangin qui s’occupait de ton petit cul !
Marion me regarda à nouveau, un grand sourire illuminant son beau visage légèrement cramoisi par nos ébats.
— T’as entendu ? Faut que tu me la mettes !— Pas de problème...
Le fait que Priscilla soit spectatrice et également chef d’orchestre de cette belle partie de jambes en l’air avait tendance à beaucoup m’amuser, et surtout à beaucoup m’exciter. Moi qui ne me serais jamais imaginé une telle situation quelques heures plutôt, maintenant... je prenais mon pied !
— Comment tu veux qu’on se mette ? Demanda Marion à Priscilla.— Mets-toi face à moi, j’ai envie de voir ton joli visage pendant que ton frangin sera en train de te défoncer le cul...— J’aime bien quand t’es vulgaire, ma chérie...
Aussitôt, Marion se remit à quatre pattes, face à l’écran, et moi, je me positionnai derrière elle. Avant de m’attaquer à son petit trou, je préférai d’abord l’humidifier avec un peu de salive et quelques coups de langue bien placés qui firent aussitôt tressauter ma sœur.
— Bon, c’est quand tu veux ! S’exclama Priscilla, visiblement impatiente de voir sa « chérie » passer à nouveau à la casserole.
Sans plus tarder, je dirigeai mon sexe vers son petit trou puis, je l’y enfonçai tout doucement, ce qui fit gémir Marion et, une fois qu’il fut à moitié rentré, je commençai une série de va-et-vient.
— Alors, tu la sens bien ? Demanda Priscilla à ma sœur.— Oui...— Et ?— Et... c’est... agréable !— C’est vrai ? T’aimes bien quand ton frère t’encule ?— Oui... j’adore !
Ravi d’entendre ça, j’accélère aussitôt la vitesse de mes coups de reins, ce qui fait grincer le sommier du lit, tout en m’agrippant aux épaules de Marion. Bientôt, c’est ma bite en entier qui rentre et qui ressort du petit trou de ma sœur, ce qui la fait gémir de plus belle. Pendant quelques secondes, j’imagine une fois de plus mes parents revenir de leur soirée et entendre leur fille hurler de plaisir à l’étage du dessus. Non seulement cela leur ferait forcément bizarre mais, en plus, s’ils voyaient que c’était moi qui étais en train de donner autant de plaisir à leur fille, cela serait encore pire. Heureusement que nous habitons dans une impasse et que nous les entendrions forcément arriver, sinon, ça compliquerait les choses.
— Mets-lui des fessées...
La voix de Priscilla me tira de mes pensées.
— Qu’est-ce que tu dis ? Lui demandais-je.— Mets-lui des fessées, elle adore ça, cette salope !
Une fois de plus, j’obéis comme un bon petit soldat en claquant les fesses de Marion pendant que je continuais de les lui labourer.
— Plus fort que ça, je veux entendre claquer jusqu’ici !
Je réitérai le même geste, cette fois-ci plus fort et, aussitôt, Marion poussa un petit cri de douleur, avant de se retourner pour me regarder.
— Ça fait... mal ! S’exclama-t-elle.— Excuse-moi...— Non je... déconne, tu peux... y aller, je... j’adore ça !
Tout en continuant de lui pilonner la rondelle, je lui claquai les fesses à plusieurs reprises, ce qui la fit, à chaque fois, pousser un petit cri.
— Ça va, ma chérie ? Demanda Priscilla.— Oui, ça... ça va...— Il te défonce bien, ton frère ?— Oh... que... oui !
Marion marqua quelques secondes d’arrêt puis elle reprit.
— Je veux... voir... ton... cul !— À tes ordres, ma chérie...
Priscilla se coucha sur le dos puis elle leva ses jambes le plus haut possible, jusqu’à ce qu’on puisse voir son petit trou plissé qu’elle ouvrit en plus en grand en s’écartant les fesses à l’aide de ses deux mains.
— Il est... beau ! S’exclama Marion.— Tu veux que je joue avec ?— J’ado... re... rais !
Aussitôt, Priscilla s’humecta l’index et le majeur de sa main droite, puis, tout en continuant de regarder Marion qui était toujours en train de se prendre des coups de reins dans la rondelle, elle glissa ses deux doigts dans son petit trou.Moi, je la regardais faire avec envie. Même si ma sœur m’excitait beaucoup, force était de constater que Priscilla ne me laissait pas indifférent non plus, et j’aurais adoré avoir une partie de jambes en l’air avec elle plutôt que d’être un simple spectateur, comme la fois où je l’avais regardé batifoler avec ma sœur dans la tente.Ainsi, pendant que la jolie métisse se doigtait le cul, moi, je continuais de m’occuper de celui de Marion qui, visiblement, semblait aimer ça puisqu’elle ne me demandait pas de me retirer, ni même de changer de position.
— Mets... un... troisième... doigt !— Ce serait de la gourmandise, non ? Répondit Priscilla avec un sourire espiègle.— Fais-le ! Ordonna Marion.
Priscilla obéit aussitôt puis son annulaire se mêla à la fête et, après quelques rictus douloureux, elle réussit à le rentrer, lui aussi, dans son joli petit cul.
— J’aimerais bien... que... que ça soit... mes doigts, déclara Marion en regardant la métisse se doigter le cul.— J’en doute pas...
Elle continua donc de se fouiller le cul pendant quelques minutes pendant que moi, je continuais de baiser celui de Marion. Finalement, contre toute attente, ma sœur m’attrape la bite d’une main, et la retira de son petit trou, avant de le glisser dans son sexe béant.
— Défonce-moi la chatte, me demanda-t-elle.— À tes ordres, ma chérie...
Cette fois-ci, j’y allai à fond dès le début et, une fois de plus, alors que je crus que le sommier du lit allait craquer tant il grinçait au fur et à mesure de mes coups de reins, Marion, elle, hurlait de plaisir sans aucune retenue.
— Tu prends cher ma chérie, je me trompe ? Demanda Priscilla, sans retirer ses doigts de son petit trou.— Oui, c’est... vrai, répondit Marion d’une voix saccadée.— Et t’aimes ça ?— Oui...— Redis-le...— Oui...— Encore une fois...— J’aime ça... me faire défoncer comme... comme une petite salope !— Une grosse salope, tu veux dire.— Une grosse... salope, oui ! Je suis... je suis une... une grosse salope !
J’avais du mal à croire ce que j’étais en train d’entendre, même si cela m’excitait également. Et dire qu’il y a quelques moins à peine, nous avions découvert ensemble le sexe dans la capucine de notre camping-car et qu’aujourd’hui, ma sœur se qualifiait elle-même de grosse salope. C’était... étonnant !
— J’adore voir tes seins ballotter pendant que ton frère te baise, déclara Priscilla.— Tu... tu les... aimes, mes... seins ? Répondit Marion.— Oh que oui, ils sont sublimes !— Les tiens... aussi... sont beaux, j’ai envie... de les... manger...— Comme ça ?
Priscilla s’attrapa aussitôt un sein de sa main libre puis, elle le prit par en dessous et le releva jusqu’à sa bouche, afin de se lécher le téton.
— Oh putain... oui... comme ça ! Tu... m’excites !
Soudain, je sens que je suis à deux doigts de cracher la purée, et je ralentis aussitôt le rythme de mes coups de reins, ce que Priscilla ne tarde pas à remarquer.
— Tu vas bientôt avoir terminé, frangin ? Me demanda-t-elle.— En effet...— OK, alors rapprochez-vous de l’ordinateur, tous les deux, je veux te voir juter sur le beau visage de ta sœur.— Bonne... idée ! Répondit Marion.
Je retire aussitôt mon sexe du sien, puis nous nous rapprochons de l’ordinateur, devant lequel Marion se met à genoux, avant de m’attraper la bite pour la branler à quelques centimètres de son visage.
— Tu sens que ça vient ? Demanda Priscilla.— Oui, ça va pas tarder...
Marion accéléra aussitôt la vitesse de sa branlette puis, quelques secondes après, dans un râle de plaisir, plusieurs jets de semence visqueuse s’écrasèrent sur sa joue, sa bouche, et son œil droit.
— Oups, je suis désolé, dis-je en la voyant faire une drôle de tête.— Pas grave, j’adore en avoir plein le visage, répondit-elle avant de passer sa langue tout autour de sa bouche pour récolter de la semence.— C’est ce qui s’appelle une faciale réussie ! Rajouta Priscilla, amusée.— C’est vrai. En tout cas, c’était... wahou ! M’exclamai-je, ravi.— C’est pas terminé, je te signale, fit Marion.— Ma chérie a raison, il me semble pas l’avoir entendu jouir, donc t’as pas terminé ton boulot, frangin ! — Ah bon ? Mais je...— Pas grave, je m’occupe de tout, mets-toi à genoux, m’ordonna Marion.— Pourquoi ?— Obéis, s’il te plaît...
Ne sachant pas trop à quoi m’attendre, je m’agenouille aussitôt à la même place où se trouvait Marion quelques secondes plus tôt, et cette dernière s’approcha de moi, avant de se mettre de profil face à l’ordinateur, et son sexe au niveau de mon visage.
— Tu veux que je...— Non, je veux pas que tu me bouffes. Bouge pas, s’il te plaît.
Une fois de plus, je lui obéis gentiment et, en voyant que Marion glisse une main dans son entrejambe avant de la bouger dans tous les sens, je vois aussitôt où elle veut en venir. Quant à Priscilla, elle regarde la scène d’un air amusé, tout en continuant à se caresser.
— Elle va te rendre la monnaie de ta pièce, frangin, dit-elle.— J’avais bien compris...
Quelques secondes après, c’est donc au tour de Marion de pousser un râle de plaisir et, aussitôt, des grosses gouttes de cyprine s’échappent de son sexe avant d’atterrir un peu partout sur mon visage. C’était la première fois qu’une fille me giclait dessus et, ma foi, même si c’était surprenant, c’était pas si désagréable que ça !
— Ça va ? Me demanda Marion en s’asseyant sur le bord du lit.— Oh que oui, et toi ?— Je suis... épuisée ! Me répondit-elle, avec un sourire au coin des lèvres.— Oui, moi aussi...— Faut dire aussi que vous avez donné de votre personne, tous les deux ! Renchérit Priscilla.— C’est vrai ! Ça t’a plu ?— Oui, c’était très sympa !— Tant mieux...
Marion et moi, nous nous regardons pendant quelques secondes, tous les deux avec le visage recouvert de la semence de l’autre, ce qui rendait la scène encore plus irréaliste puis, je me levai.
— Je vais prendre une douche avant que les parents reviennent...— OK, j’irais après, alors, répondit Marion.— D’accord...
Je me tournai ensuite vers l’écran et adressai un signe de la main à Priscilla.
— A une prochaine, Priscilla !— Quand tu veux, mon mignon ! Si tu veux me faire partager une nouvelle partie de jambes en l’air avec ta frangine, ce sera avec plaisir !— Je tâcherais de m’en rappeler...
Dix minutes après, je sortis de la douche, savonné et nettoyé des pieds à la tête et, une fois sorti de la salle de bains, je prévins Marion que la douche était libre. Quand je la vis arrivée dans le couloir, entièrement nue, le visage débarrassé à la va-vite de ma semence, et les joues encore légèrement cramoisies par nos ébats, je la trouvai sublime, et elle le remarqua aussitôt.
— Arrête de me reluquer...— Comment je pourrais faire autrement ? Quand je te vois comme ça, j’ai envie de te remettre une cartouche...— T’as pas eu ton compte tout à l’heure ?— Avec toi, j’en ai jamais assez, répondis-je, avant de lui caresser un sein.— Bas les pattes, dit-elle en me repoussant gentiment la main.
Je la regardai s’éloigner dans le couloir, m’attardant davantage sur ses petites fesses elles aussi toujours rougies par les fessées que je lui avais mises puis, quand elle disparut dans la salle de bains, je regagnai ma chambre pour aller m’habiller.
Quelques minutes plus tard, j’étais de retour en bas, affalé dans le canapé, en train de zapper sur la télé pour trouver un programme potable, quand Marion arriva à son tour de l’étage, les cheveux encore humides, et simplement vêtue d’un minishort qui lui moulait parfaitement son beau fessier, ainsi que d’un débardeur blanc sous lequel se devinait la pointe de ses seins. Une fois de plus, elle était magnifique.
— Ça va ? Me demanda-t-elle en s’asseyant à côté de moi.— Oui, et toi ?— Fatiguée, mais ça va. Et j’ai un peu mal au cul aussi, accessoirement...— Faut dire aussi que je t’ai pas ménagé, donc...— Pas grave, t’en fais pas, je m’en remettrais !
Elle marqua un silence de quelques secondes puis elle reprit.
— C’était bien...— Non, c’était carrément bien, tu veux dire, et on remet ça quand tu veux ! Répondis-je en lui posant une main sur la cuisse.— On verra, mon mignon, on verra. Je te rappelle que j’ai un copain, donc...
Elle fut interrompue par un bruit de voiture qui s’approchait de la maison. Quelques secondes après, ils entendirent tous les deux la porte du garage s’ouvrir, et la voiture des parents se garer à l’intérieur.
— On l’a échappé belle, dis-je à Marion en souriant.— C’est le moins qu’on puisse dire...
Elle marqua un nouveau silence puis elle me déposa très rapidement un baiser sur les lèvres.
— Tu sais que je t’aime ? — Moi aussi, sœurette, moi aussi, répondis-je avant de lui pincer gentiment un téton.
Quelques secondes après, les parents firent irruption dans le salon et, en nous voyant, ils se dirigèrent aussitôt vers nous.
— Bah alors, les jeunes, pas encore couchés ? Fit notre père.— Non, mais on va bientôt y aller, répondit ma sœur.— Vous avez passé une bonne soirée ? Demandais-je.— Très sympa, oui, et vous ?— Nous ?
Marion et moi, nous nous regardons en souriant avant de répondre d’une seule et même voix.
— Oh que oui !
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