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Vacances en camping-car

Chapitre 15

Inceste
Lorsque nous retrouvons le camping-car, nous retournons sur le grand parking aux abords de la forêt afin de pouvoir y passer la nuit. Nous nous garons au fond du parking, près d’un sentier forestier et, dès que le moteur est éteint, nous installons les protections pour la nuit sur le pare-brise ainsi que sur les fenêtres à l’avant, puis allons nous installer à l’arrière. Nous passons les cinq minutes suivantes assis côte à côte, et à nous embrasser langoureusement, comme deux amants qui se retrouvaient après des mois de séparation, tout en laissant nos mains baladeuses se promener sur nos corps bouillants. Pour le moment, il n’est question que de tendresse, et je dois dire que ça fait du bien aussi. Nous continuons donc ainsi pendant encore quelques minutes, tout en faisant quelques pauses pour papoter tranquillement puis Marion eut une idée.
— Et si on allait faire un tour dans la forêt ? proposa-t-elle.— Maintenant ?— Oui, à moins que tu préfères y aller de nuit ?— Non, c’est vrai...— Alors, allons-y !
Nous sortons aussitôt du camping-car puis nous nous dirigeons vers le sentier, une nouvelle fois main dans la main et au fur et à mesure que nous nous enfonçons dans cette forêt, nous ne rencontrons absolument personne, comme si nous étions seuls au monde. Nous marchons ainsi pendant une bonne vingtaine de minutes, profitant du calme et de cette jolie végétation puis, au moment où nous décidons de faire demi-tour pour retourner au camion, Marion s’arrêta.
— Tu sais ce que j’ai envie de faire ? me demanda-t-elle.— Non ?— Ça...
Elle se débarrassa aussitôt de la veste noire qu’elle portait, ainsi que de son chemiser et de son soutien-gorge, se retrouvant ainsi la poitrine à l’air en plein milieu de ce chemin forestier.
— Qu’est-ce que tu fais ? demandais-je, en regardant ses beaux seins que j’aimais tant.— Ça me démangeait...— Tu vas vraiment te balader les nichons à l’air ?— Oui, et alors ? On est entre nous, non ? Il n’y a personne à l’horizon...
Même si je sais qu’elle a raison, je ne peux m’empêcher de regarder rapidement autour de nous, et je constatai une fois de plus que nous étions bien seuls.
— C’est vrai, finis-je par répondre.
— Voilà, en plus tu sais quoi ?— Non ?— Ça m’excite !
Elle rigola puis nous reprenons la marche, toujours main dans la main, et je ne peux m’empêcher de regarder ses beaux seins qui ballottent doucement au rythme de nos pas, ce qu’elle me fit remarquer au bout de quelques minutes.
— Pour quelqu’un qui s’apprêtait à me faire la morale, t’as l’air quand même content de les voir, mes nichons !— J’aurais du mal à m’en lasser, tu sais...
Elle me répondit par un petit sourire puis, soudain, un détail me revint en mémoire.
— Au fait, dis-je, comme t’as balancé ton string tout à l’heure, t’as pas remis de culotte quand on est rentrés, je me trompe ?— C’est vrai, oui...— T’as donc la chatte à l’air sous ta jupe ?
En guise de réponse, Marion s’arrêta, puis souleva sa jupe pour me montrer son sexe à l’air libre.
— Effectivement, répondit-elle en souriant.— Ça aussi ça t’excite ?— C’est pas désagréable, ouais...— Petite coquine, va...
Je lui attrapai alors aussitôt la main puis, après avoir enjambé un fossé, je l’entraîne avec moi hors du sentier, et nous courons entre les arbres, évitant au passage de hauts bosquets et les orties. Une fois suffisamment éloignés du sentier, nous nous arrêtons, et Marion n’a pas le temps de dire quoi que ce soit que je la plaque contre l’arbre le plus proche avant de glisser ma main sous sa jupe.
— Ça te dirait que je te branle, ici, en pleine nature ? proposais-je.— Je sais pas te dire non, mon chéri...— Tant mieux...
Je me mets aussitôt à lui caresser doucement le sexe, tout en la regardant droit dans les yeux et, très rapidement, je lui enfourne deux doigts, avant de la doigter à toute vitesse, tout en lui caressant le clitoris avec le pouce. Aussitôt, Marion ferme les yeux, et je la sens très rapidement se cambrer. En baissant la tête, je vis des gouttes de cyprine jaillirent de sous sa jupe, et ce spectacle m’enchanta.
De ma main libre, je lui soulève une jambe que je maintiens en l’air, tout en continuant de lui pilonner la chatte avec mes doigts et cette fois-ci, j’ai l’impression que ses gémissements résonnent dans toute la forêt. Pour la faire taire, et surtout, pour ne pas qu’on se fasse griller, ma bouche se pose sur la sienne, et je l’embrasse goulûment, tout en insérant un troisième doigt dans son intérieur que je continue de remuer. Qu’est-ce que c’est bon, putain !
Au bout de quelques minutes, je sentis Marion gigoter un peu plus sous l’assaut de mes doigts, puis elle repoussa ma bouche et lâcha un long râle de plaisir. Je compris aussitôt le message, relâchai sa jambe, et sortis ma main désormais trempée de sous sa jupe.
— Ça va ?— Oh que oui, je m’attendais pas à ça, répondit-elle en souriant.— T’as mouillé comme une petite salope...— Désolée, attends...
Elle m’attrapa aussitôt les doigts que je venais de sortir de son sexe et me les lécha, sans me lâcher des yeux puis elle s’essuya la chatte du revers de la main, avant de la lécher également.
— T’en perds pas une goutte, lui dis-je.— Ouais, car je sais que t’adores quand je fais ça, mon mignon.— Je peux rien te cacher...
Elle me répond par un sourire puis je la plaque à nouveau contre l’arbre pour lui lécher les seins, avant de remonter tranquillement jusqu’à sa bouche pour y déposer un baiser langoureux.
— Tu sais que je t’aime ?— Moi aussi, frangin...
Je l’embrasse une nouvelle fois puis je lui prends la main, et nous regagnons le chemin forestier pour retourner au camping-car, alors que la nuit était en train de tomber.
Dès que nous rentrons à l’intérieur, nous fermons tous les volets pour être tranquilles et, après avoir remis seulement son chemisier, mais pas son soutien-gorge, Marion sortit de son sac la bouteille de whisky qu’elle avait achetée quelques heures plus tôt.
— Apéro ? proposa-t-elle.— Volontiers...
Elle prit ensuite deux verres dans un placard, et y versa dans chacun une généreuse rasade de whisky qu’elle mélangea ensuite à du Coca.
— A la tienne frangin, dit-elle une fois que nous sommes installés.
Nous trinquons tous les deux puis, tout en grignotant quelques gâteaux apéritifs, nous parlons de tout et de rien, jusqu’à ce que je sorte d’un placard un jeu de Uno.
— Une petite partie, ça te tente ?— Bonne idée, mais à une condition !— Laquelle ?— Dès que l’un de nous perd, il a un gage !— Ça me va !
Je sais très bien qu’en proposant ça, Marion a une idée derrière la tête, ce qui n’est pas pour me déplaire, loin de là, car je sais que cela promet encore de bons moments.
Ainsi, tout en continuant de siroter notre apéritif, nous commençons une partie de Uno et après quelques minutes d’un duel acharné, je suis le premier perdant de la soirée.
— Et merde ! — Intéressant, répondit Marion.
Elle me regarda pendant quelques secondes sans rien dire, avant de donner le premier gage.
— On va commencer simplement : finis ton verre cul sec.— Tu veux me rendre soûl ?— Non, c’est juste pour commencer en douceur, c’est tout...
Je réponds en finissant mon whisky-coca d’un trait et, n’ayant pas l’habitude de boire ce genre d’alcool, j’ai du mal à ne pas grimacer quand je repose mon verre que Marion me remplit aussitôt.
— Ça va, frangin ?— Oui oui, t’en fais pas pour moi...
Nous entamons aussitôt la deuxième partie de Uno et malgré mon haut niveau de concentration et mes envies de vengeance, je perds une deuxième fois, et merde !
— Bah alors, frangin, tu fais exprès de perdre ou quoi ?— Non, c’est ça le pire !— OK, donc ton gage sera... d’enlever ton tee-shirt !
J’obéis aussitôt et dès que Marion me voit torse nu, elle affiche un grand sourire.
— J’ai un coup de chaud, tout d’un coup, dit-elle en faisant semblant de s’aérer le visage avec la main.
Nous commençons ensuite la troisième partie et comme dirait le proverbe, jamais deux sans trois, donc je perds à nouveau. Cette fois-ci, j’ai du mal à cacher mon énervement, ce qui fait rigoler Marion.
— T’as la poisse, frangin, c’est tout ! dit-elle avant de boire une gorgée de son whisky-coca.— Non, je dirais plutôt que c’est toi qui as beaucoup de chance !— Si tu veux. Bon, qu’est-ce que je vais bien pouvoir faire de toi...
Elle réfléchit tout en me regardant droit dans les yeux, puis :
— Il faut passer à la vitesse supérieure, non ? Peut-être que ça te motivera pour bien jouer, ensuite !— Comme tu veux, ma chérie...— OK, alors fous-toi à poil, et va faire le tour du camping-car !— T’es sérieuse ?— Oh que oui...
Après une demi-seconde de réflexion, je me débarrasse de mon pantalon, puis de mon boxer et me lève, nu des pieds à la tête. Aussitôt, le regard de Marion dévie vers ma bite et quand je passe près d’elle pour sortir du camping-car, elle l’effleure du bout des doigts.
— Bon courage, me dit-elle en souriant.
Je lui réponds par une grimace puis j’ouvre la porte du camion et après avoir vérifié que personne ne se trouvait aux alentours, je sors et fais le tour du camion en courant tout en mettant des coups contre les parois pour prouver à Marion que je fais bien ce qu’elle me dit. Je suis même tellement motivé que j’en fais ensuite un deuxième, puis un troisième, malgré la fraîcheur de la nuit puis je rentre dans le camion, essoufflé, et Marion m’applaudit.
— Bien joué, champion, viens là que je te réchauffe...
Je m’approche aussitôt d’elle, et elle coinça ma bite entre ses deux mains avant de la frictionner à toute vitesse.
— Ça va mieux ? me demanda-t-elle ensuite.— Oh que oui...
Je me penche pour essayer de l’embrasser, mais elle s’écarte aussitôt de mon visage en souriant.
— Si tu veux que je t’embrasse, fais-moi perdre, mon mignon...— Salope, répondis-je en m’asseyant.
Nous entamons une nouvelle partie e, une fois de plus, Marion est la dernière à poser sa carte devant moi, ce qui lui fait une quatrième victoire consécutive. Comme pour me narguer, elle lève aussitôt les bras en l’air avant d’entamer un semblant de danse, sans me lâcher des yeux, et tout en souriant.
— Et ça continue, dis-je en grognant.— Désolée, frangin.
Elle réfléchit ensuite pendant quelques secondes avant de me donner son quatrième gage.
— Tu mérites d’être puni pour toutes ces défaites, décida-t-elle.— Ce qui veut dire ?— Couche-toi sur le ventre et sur la table, histoire que je te mette une grosse fessée !— C’est humiliant !— Mais non, on est entre nous...
Je réponds par un nouveau grognement puis j’obéis et me couche à plat ventre contre la table, écrasant ainsi mon sexe contre celle-ci. Aussitôt, Marion se lève puis après s’être frotté les mains, elle me caresse doucement les fesses de haut en bas avant de les claquer d’un coup sec à deux reprises.
— Pas trop mal ? me demande-t-elle ensuite en se rasseyant.— Non, ça va, mais tu paies rien pour attendre...
Elle finit ensuite son premier verre d’une traite avant de s’en resservir un, et nous entamons une nouvelle partie. Cette fois-ci, j’ai un bon pressentiment dès le début, et cela se confirme jusqu’à la fin, puisque c’est dans un geste victorieux que je balance ma dernière carte sur la table, me permettant ainsi de gagner enfin une partie.
— Ah, c’est pas trop tôt frangin !— Toi, fous-toi à poil et embrasse-moi, répondis-je d’un ton impatient.— C’est un gage à la fois, normalement...— Je sais, mais t’as quatre tours d’avance donc je mérite bien ça, non ?— Bon, si t’insistes...
Elle se débarrassa aussitôt de son chemisier et de sa robe puis, une fois complètement nue, elle se leva et se pencha vers moi par-dessus la table. Je l’imitai et quand nos lèvres se touchèrent et que nos langues se mêlèrent, des décharges électriques envahirent tout mon corps, jusqu’à ce que notre baiser se rompe.
— Je pourrais faire ça pendant des heures, dis-je en me rasseyant.— Moi aussi...
Une fois de plus, le mauvais sort continue de s’abattre sur moi, puisque je perds à nouveau la partie qui suit et voyant ça, Marion ne peut s’empêcher de rigoler.
— Ça n’a rien de drôle !— Désolée, c’est plus fort que moi, répond-elle. Tu veux un lot de consolation plutôt qu’un gage, pour une fois ?— Avec plaisir...
Elle me montra alors ses seins nus qu’elle soupesa légèrement dans ses mains, puis.
— Vient me les bouffer, mon salaud !
Sans me faire prier, je me lève et vais m’asseoir à ses côtés puis je me penche sur sa poitrine pour lui lécher et mordiller les tétons, l’un après l’autre.
— Ça aussi, je pourrais le faire pendant des heures, dis-je entre deux coups de langue.— Te gêne pas...
Cependant, après quelques secondes, je décide de m’arrêter.
— J’ai une meilleure idée, déclarai-je.— C’est-à-dire ?
Je me lève aussitôt puis je termine mon verre d’une traite avant de le mettre dans l’évier.
— Termine ton verre, ordonnais-je.— Pourquoi ?— Fais-le...
Marion m’adresse un sourire intrigué puis elle termine à son tour son verre que je pose ensuite à côté du mien, avant de ranger la bouteille de whisky dans un placard.
— Lève-toi...— Depuis quand tu donnes des ordres, frangin ?
Sans rien dire, je lui attrape aussitôt la main, puis je la force à se lever. Une fois que c’est fait, je la contemple pendant quelques secondes, entièrement nue des pieds à la tête, et je ne peux m’empêcher d’afficher un sourire.
— Alors, tu m’expliques pourquoi tu...
Elle ne peut terminer sa phrase, car d’un coup, j’attrape ma sœur dans les bras et la soulève, avant de la coucher sur la table, écrasant sous son poids le jeu de Uno. Une fois que c’est fait, je lui écarte les jambes que je caresse de bas en haut, tout en la regardant droit dans les yeux puis, sans plus tarder, je me mets à genoux avant de plonger ma bouche vers son entrejambe.
Aussitôt, les mains de ma sœur se posent sur le sommet de ma tête, et elle appuie dessus, tout en se cambrant en arrière. Quant à moi, je me régale de son sexe que je prends un malin plaisir à lécher dans tous les sens, m’attardant de temps en temps sur ses fines lèvres humides avant d’en faire autant avec son petit bouton de chair que je mordille et titille du bout de la langue. Après quelques secondes, je lui écarte les lèvres avant d’en faire de même avec son intérieur qui est bouillant, et que je dévore intégralement.
Pour faire durer un peu le plaisir, je décide de faire une pause. Je me redresse, me penche sur Marion et lui attrape son beau visage avant de l’embrasser tendrement. Ensuite, je redescends sur sa poitrine, lui lèche ses tétons durcis par l’excitation, redescends encore jusqu’à son nombril que j’embrasse puis, sans plus tarder, je me jette à nouveau sur son sexe que je reprends en bouche, comme s’il m’avait manqué alors que cela ne faisait même pas une minute que je l’avais quitté. Rapidement, je l’enfournai d’un doigt que je fais aller et venir de plus en plus vite, tout en continuant mes caresses buccales. Cette fois-ci, Marion ne peut s’empêcher de laisser échapper quelques gémissements de plaisir, et elle en profite également pour se caresser les seins.
— Je pourrais te bouffer la chatte pendant des heures, lui dis-je.— Te gêne... pas...
Je lui réponds par un sourire et me jette à nouveau sur son gouffre chaud que je continue de tripoter d’un doigt, tout en le fouillant avec ma langue dans les moindres recoins.
Au bout de quelques minutes, je passe mes mains sous ses fesses nues et les soulève doucement, dévoilant ainsi son petit trou plissé. Aussitôt, je le caresse doucement puis, après l’avoir humidifié avec un peu de salive, je le pénètre d’un doigt, tout en continuant de lui manger le sexe.Cette fois-ci, en sentant ses deux orifices pris d’assaut, Marion a du mal à tenir en place et, quand je commence à lui doigter doucement le cul après y avoir inséré un deuxième doigt, elle ne peut s’empêcher de gémir. Je continue donc de m’occuper de ses deux trous puis après quelques minutes, une idée me vient.
— Tu sais de quoi j’ai envie ?— Non, me répond-elle, haletante.— De te prendre le cul, je m’en suis pas encore occupé, aujourd’hui...— Qu’est-ce que t’attends ?
Aussitôt, ma sœur écarte davantage les jambes et les lève avant de les tenir avec les mains. Sans plus tarder, je me sers de sa cyprine pour m’humidifier le sexe puis, en quelques secondes, je lui enfourne doucement la rondelle.
— Oh putain, dit-elle tout d’un coup.— Quoi ?— C’est bon, putain !
Je lui réponds par un sourire puis une fois ma bite enfoncée presque jusqu’à la garde, je commence les va-et-vient, tout en lui tripotant les seins. Je sens aussitôt le camion tanguer sous l’effet de mes coups de reins, et la table grincer au fur et à mesure que je suis en train d’accélérer la cadence pour défoncer le cul de ma sœur.Quant à cette dernière, elle ne se contente plus de gémir, non, elle hurle désormais de plaisir, et je suis bien content d’avoir choisi un coin tranquille pour forniquer avec elle, car sinon, cela aurait pu nous attirer des ennuis.
— Mets-toi à plat ventre sur la table, ordonnais-je au bout de quelques minutes, après m’être retiré d’elle.
Une fois de plus, Marion obéit et se couche à plat ventre sur la table. Seul le bout de ses pieds touche le sol quand je m’insère à nouveau dans sa rondelle et, quelques secondes après, elle recommence à rugir de plaisir. Je m’accroche d’abord à ses hanches, tout en continuant de lui pilonner le cul puis mes mains remontent jusqu’à ses épaules, et l’une d’elles attrape sa chevelure avant de tirer dessus, afin de donner un côté bestial à nos ébats.
— Alors, t’aimes ça, ma petite salope ?— Oui, je... j’adooooore ! hurle Marion.
Content d’entendre ça, je continue de lui marteler sa petite rondelle, tout en lui assénant de temps en temps une fessée, ce qui n’a que pour effet de la faire brailler davantage.Quant à moi, même si je prends mon pied en m’occupant du cul de ma sœur, moi qui suis ordinairement plus endurant que ça, je sens la sauce monter de plus en plus et, à mon avis, il me reste peu de temps avant d’envoyer la purée. J’essaye tout de même de faire durer l’instant en pensant à autre chose pendant que je défonce ma sœur, mais en vain, aussi, je décide de la prévenir.
— Je vais bientôt venir, annonçais-je entre deux coups de reins.— D’a... ccord...— Tu en veux plein la gueule ou dans la bouche ?— Ni l’un... ni l’autre. Dans... dans mon... cul !
En entendant cette demande une nouvelle fois inédite, je lui réponds par un sourire puis, après quelques secondes, je me retire de son petit trou, et Marion l’ouvre davantage en écartant ses fesses avec ses mains.Aussitôt, je me mets à m’astiquer le manche devant sa rondelle bien élargie par le passage de mon sexe puis, rapidement, dans un râle de plaisir, d’épais jets blancs et visqueux disparaissent à l’intérieur de son antre chaud, tandis que quelques gouttes s’écrasent sur ses fesses.
— Putain, tu m’as bien remplie, fit Marion.— Désolé...— Pas grave, c’est pas désagréable !
Elle se redresse aussitôt et en voyant une goutte blanche pointer au bout de mon gland, elle se met à genoux pour me le nettoyer à grands coups de langue.
— En tout cas, c’était extra, déclare-t-elle avant de se relever.— T’as pas eu trop mal ?— Oh que non, je suis habituée maintenant, ça y est !— Tant mieux...— Bon, je vais aller me nettoyer.
Elle alla s’enfermer dans la salle de bain pendant que moi, après avoir remis mon boxer, je rangeais et nettoyais la table.Quand elle revient quelques minutes après, elle ne porte qu’une serviette nouée autour de sa taille et, lorsqu’elle passe à côté de moi avant d’aller s’asseoir, elle me dépose un baiser sur le coin des lèvres.
— Je t’aime, me susurra-t-elle.— Moi aussi, ma chérie.
Elle me répond par un sourire irrésistible qui, comme d’habitude, fait chavirer mon petit cœur. Nous dînons ensuite d’une grosse salade de pâtes que j’avais préparée le matin, de fromages et de fruits, tout en discutant de tout et de rien autour d’un nouveau verre de whisky, et en me bouffant des yeux, conscients que la soirée était loin d’être terminée. C’est pour ça qu’il était important qu’on mange, pour reprendre des forces afin de pouvoir reprendre ensuite nos galipettes sur des charbons ardents.
De plus, étant assis face à Marion, cette dernière passa une grande partie du repas à me flatter l’entrejambe en me caressant le sexe du bout de son pied nu, ce qui m’excita davantage. La petite coquine, elle ne payait rien pour attendre !
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