Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 153 J'aime
  • 9 Commentaires
  • Corrigée par l'équipe

Vacances en camping-car

Chapitre 17

Inceste
— Tu veux faire quoi ? — Aucune idée, et toi ?— Je sais pas...
Nous restons silencieux pendant quelques secondes puis, après un nouvel échange de regard qui en dit long, je me jette sur elle pour l’embrasser à nouveau, tout en laissant mes mains se balader sur son corps. Elle en fait d’ailleurs de même en m’enserrant le visage avant de laisser glisser ses mains sur ma poitrine, puis sous mon tee-shirt pour me caresser le torse.
— Attends, dis-je au bout de quelques secondes.
Je me lève aussitôt pour aller fermer tous les stores afin de gagner en intimité puis, une fois que nous sommes éclairés par la seule lumière qui émane des deux lanterneaux, je me débarrasse de tous mes vêtements en deux temps trois mouvements avant de les balancer en pagaille dans la capucine.
— Désormais, ce camping-car est classé zone naturiste ! — Pas de problème, me répond Marion, amusée.
Elle se lève à son tour et se débarrasse de ses vêtements aussi rapidement que moi. Nous nous dévisageons ensuite de haut en bas pendant quelques secondes, chacun bouffant l’autre des yeux puis d’un coup, Marion se jette dans mes bras pour m’embrasser à nouveau. Sentant son corps nu contre le mien, des milliers de frissons parcourent mon échine et, sans la lâcher, je l’entraîne vers la chambre avant de la poser sur le lit. Je me couche ensuite à côté d’elle, m’empare à nouveau de sa bouche, et je glisse mes mains le long de ses jambes nues avant de les remonter pour lui peloter ses belles petites fesses. Nous restons ainsi pendant quelques secondes puis, tout d’un coup, je suis pris d’une pulsion, et j’ai envie de la dévorer.
Je m’assois aussitôt à califourchon sur elle puis, après lui avoir mordillé le lobe de l’oreille, ma langue redescend le long de son cou, appréciant au passage le goût de sa peau salée par notre baignade de ce matin puis arrivé à sa poitrine, je lui gobe le téton gauche, puis le droit, et ainsi de suite. Je joue avec ses seins pendant les cinq minutes qui suivent puis ma bouche reprend son chemin vers son entrejambe que je frôle du bout de la langue, avant de passer mes mains sous son fessier pour lui soulever légèrement. Quand c’est fait, j’observe ses deux orifices avec un appétit débordant pendant quelques secondes, puis je m’attaque à son petit trou que j’écarte doucement, avant de le lécher dans tous les sens. Je sens aussitôt ma sœur se cambrer sous l’effet de cette caresse buccale, me confirmant ainsi que cette zone devient de plus en plus érogène pour elle, ce qui me donne envie de lui bouffer avec encore plus d’entrain.
Tout d’un coup, alors que les gémissements de ma sœur commencent à résonner dans l’exiguïté de la chambre et que ma langue continue de tournoyer entre ses fesses, je m’arrête d’un coup.
— Je vais pas y aller par quatre chemins, dis-je en me redressant.— Comment ça ?
Sans lui répondre, j’attrape du bout du bras une capote qui se trouve dans une étagère derrière moi, déchire l’emballage et, après l’avoir enfilée sur mon sexe déjà raide comme un bâton, j’attrape les jambes de ma sœur et la tire vers le bord du lit.
— Tu sais de quoi j’ai envie là, tout de suite maintenant ?
— Non, me répond-elle, haletante.
En guise de réponse, je lui fais signe de lever les jambes puis je présente mon sexe à l’entrée de son petit trou. Sans la ménager, je m’y insère sans grande difficulté avant de commencer des coups de reins qui font rapidement bouger le camping-car.
— Je vais te déglinguer le cul, finis-je par dire.— Oh oui...
Je lui pilonne donc le cul avec acharnement, la faisant ainsi hurler de plaisir dès les premiers va-et-vient, et quand je vois ses beaux yeux marron me fixer pendant l’acte, cela n’a que pour effet de m’exciter davantage. Je continue donc de l’enculer sans aucun ménagement, ce qui n’a que pour seul effet d’augmenter l’intensité de ses gémissements. En voyant ses petits seins balloter, je les empoigne afin de les malaxer, sans pour autant stopper la cadence, et je prends un malin plaisir à rouler ses petits tétons entre mes doigts avant de tirer dessus.
— Oh... putain... c’est bon ! gémit Marion.
En l’entendant dire ça, je ne peux m’empêcher d’afficher un grand sourire, ravi de ma performance et de mon endurance. Je ralentis alors petit à petit mon ardeur, puis retire mon sexe de son cul avant de regarder celui-ci qui est béant et suintant. Je prends quelques secondes pour reprendre mon souffle puis, avant que Marion n’ait le temps de faire quoi que ce soit, je passe à la suite.
— Mets-toi à quatre pattes, ordonnais-je.
Sans rechigner, Marion se redresse aussitôt, me dépose un rapide baiser sur les lèvres puis, elle se retourne et se met dans la position demandée, avant de secouer ses petites fesses en rigolant, comme pour me provoquer. Je regarde donc ses deux orifices pendant quelques secondes puis, après avoir donné à nouveau quelques coups de langue dans son petit trou, j’y renfonce mon sexe sans difficulté.Comme si je ne m’étais jamais arrêté, je recommence donc à lui défoncer le cul, tout en m’agrippant à ses hanches et, cette fois-ci, j’ai l’impression que les amortisseurs du camping-car ne vont pas tenir le coup tant je le sens tanguer au rythme de ma cadence.
— T’aimes ça te faire défoncer le cul, ma petite sœur chérie ?— Oh... que... oui !— Dis le plus fort.— Oui, j’aime ça quand... quand tu m’encules !
Ne doutant pas du bien que je lui procurais, mais ravi quand même de l’entendre dire ça, je continue de lui pilonner la raie, tout en lui tirant les cheveux, et en lui mettant de temps en temps des fessées qu’elle accueille par des petits cris jouissifs. Putain, je suis tellement excité que je pourrais faire ça pendant des heures, et j’ai bien l’impression que Marion également. Je continue donc de lui maltraiter le petit trou à grands coups de chibre puis, je m’arrête à nouveau et vais m’allonger sur le dos à côté de ma sœur, le sexe toujours dressé comme un mât.
— Viens t’asseoir dessus, dis-je.
Une fois de plus, Marion m’adresse un sourire puis, elle se redresse, vient se positionner au-dessus de moi puis, tout en fléchissant doucement les jambes, elle empale mon sexe dans son petit trou, et commence des mouvements de haut en bas, tout en prenant appui sur le matelas avec ses bras.
Moi, je la laisse faire, tout en accompagnant de temps en temps ses mouvements par quelques coups de bassin, mais c’est surtout Marion qui donne la cadence. La voir ainsi de face prendre autant de plaisir est, une fois de plus, extrêmement agréable, surtout quand elle m’adresse de temps en temps des regards brûlants d’excitation. Pendant ce temps-là, j’en profite pour lui malaxer à nouveau les seins, m’attardant sur ses tétons que je maltraite doucement puis, je pose ensuite mes mains sur ses hanches afin de l’accompagner et d’accentuer ses mouvements.
Une fois de plus, ce ne sont plus des gémissements que pousse Marion, mais bel et bien des hurlements de plaisir et, en repensant à l’homme qui nous avait regardés batifoler le matin même dans l’eau, je suis sûr que, s’il passait à côté du camping-car, il se régalerait à entendre Marion rugir ainsi. Quant aux autres camping-cars qui sont garés autour de nous, eux aussi doivent sûrement nous entendre, mais tant pis.
Je continue de la regarder monter et descendre sur mon sexe enrobé de latex puis, de ma main droite, je me mets en même temps à lui caresser l’entrejambe, m’attardant davantage sur son petit bouton de chair gonflé d’excitation. Je me mets donc à le trifouiller doucement, puis de plus en plus vite et, en sentant mes doigts jouer avec son clito, Marion me regarde le visage crispé de plaisir. Apparemment, elle a l’air d’apprécier énormément le fait de se faire sodomiser et caresser, en même temps, et j’en ai la confirmation quand, après quelques secondes, un jet de cyprine s’échappe de son sexe et m’éclabousse le corps.
— Bah alors, petite salope, on mouille déjà ?
Elle me répond par un hochement de tête et, après avoir essuyé sa semence du plat de la main, je lui enfonce trois doigts dans la bouche afin qu’elle se repaisse de son propre breuvage. Une fois de plus, elle se laisse faire sans rechigner, absorbée par les coups de boutoirs qui continuent de lui tambouriner le sphincter, et quand j’enfonce ensuite ses mêmes doigts dans son sexe bouillant pour le fouiller, le volume de ses gémissements augmente encore de dix décibels.
— T’aimes ça te faire enculer et doigter en même temps, on dirait ? — Oh... que... oui !— Tant mieux.
Je continue donc de lui doigter l’entrejambe avec frénésie puis, après avoir entendu Marion gémir une nouvelle fois, je sens la cadence de ses allers-retours sur mon sexe faiblir. Je ralentis donc à mon tour puis, après avoir retiré mon sexe de son conduit, Marion s’allonge à côté de moi, essoufflée. Je lui laisse donc quelques secondes de répit pour qu’elle se remette de ses émotions, puis je me rapproche légèrement d’elle.
— Ca va, je n’y suis pas allé trop fort ? — Non, t’en fais pas, c’était... wahou !— T’en veux encore ?— T’es jamais fatigué toi, je me trompe ? me répond-elle en me montrant d’un signe de tête mon sexe encore gonflé.— Non, tu m’excites trop pour ça.— Tu sais quoi ?— Non...— Heureusement !
Sans que je n’aie le temps de répondre quoi que ce soit, Marion se redressa légèrement afin de se coller dos à moi puis, elle attrapa mon sexe et le glissa doucement entre ses jolies fesses. Comprenant le message et content qu’elle en redemande, je m’enfonce à nouveau dans son conduit et, après avoir passé mes bras autour de sa taille, je reprends les coups de boutoir.Une fois de plus, Marion se met rapidement à manifester son plaisir par de longs râles et moi, j’en profite pour replonger ma main entre ses cuisses pour lui fouiller la chatte, tout en l’embrassant dans le cou.
— T’es ma petite salope à moi, tu le sais ça ? lui dis-je à l’oreille, avant de lui mordiller le lobe.— Oui, je... sais...
Je continue donc de la besogner sauvagement, tout en lui pelotant de temps les seins sans ménagement puis, au bout de quelques minutes, je sens que je suis sur le point de juter. Je me retire aussitôt de son conduit et, comme si elle comprenait le message, Marion se coucha sur le dos et ouvrit la bouche en grand.
— T’es prête, ma chérie ?
Elle me répond aussitôt par un hochement de tête tout en tirant la langue et, après avoir débarrassé mon sexe de sa prison de latex, je le secoue de haut en bas à quelques centimètres de son visage. Quelques secondes après, d’épais jets blancs retombent sur sa langue, tandis que d’autres maculent son petit menton, ce qui n’a pas l’air de lui déplaire puisqu’elle avale rapidement la semence avec un grand sourire de satisfaction.
Nous restons ensuite allongés sur le dos pendant quelques minutes, essoufflés et transpirants, laissant nos mains se balader sur nos corps bouillants.
— Ça va ? Finis-je par demander ?— Éreintée, mais ça va, et toi ?— Pareil...
Elle me répond par un petit rire puis nous passons les deux minutes suivantes à nous rouler des galoches. Une fois terminé, nous allons nous nettoyer dans la salle de bains puis nous allons ensuite nous installer autour de la table à manger. Après s’être échangé à nouveau quelques baisers, je ne peux m’empêcher de grogner en voyant l’heure.
— Voilà ce que je te propose, finis-je par dire. On prend le chemin du retour, mais en prenant notre temps, OK ?— OK, il faut qu’on soit rentré à quelle heure ?— Avant la nuit, car j’ai promis aux parents de nettoyer le camion en arrivant. Du coup, ça nous laisse encore quelques heures...— Parfait. On aura qu’à s’arrêter quelque part pour manger, non ?— Bonne idée.
Nous nous embrassons à nouveau puis, après avoir enfilé des vêtements, nous rangeons l’intérieur du camion -ou plutôt nous entassons les affaires à la va-vite dans les placards environnants-, puis nous reprenons la route.
Diffuse en direct !
Regarder son live