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Vacances au Cap

Chapitre 3

Sandra découvre la vie nocturne

Hétéro
Vacances au Cap - Chapitre 3.
Après la rencontre sur la plage avec Hervé et Luigi et leurs copines respectives, Anjie et Carmela, nous avons regagné notre appartement. J’avais dit à Sandra que si nous voulions être en forme pour la soirée, nous devions nous reposer et dîner légèrement...
22 heures 30... lorsque nous sommes entrées au Glamour, un des plus célèbres établissements nocturnes de la place, la soirée semblait bien lancée : il y avait foule sur la piste de danse où les couples dansaient ‘’collés-serrés’’ les femmes déjà à moitié nues en se frottant allègrement contre les hommes qui semblaient ne demander que cela !!!
L’ambiance était déjà bien chaude et je sentais que j’allais achever de dévergonder ma copine Sandra : elle ne demandait que cela, l’intermède de la plage où elle s’était partagé le sexe de Luigi avec Carmela en était la preuve ! Qui eut dit que huit jours à peine s’étaient écoulés depuis son dépucelage par mon coquin de frère ???

Pour nous mettre dans l’ambiance, je dis à Sandra :
— Chiche que tu ne danses pas dans une des cages !— Je te vois venir... Je devais me mettre nue pour m’exhiber ?— Tu as tout compris... Tu débutes comme tu es et ensuite tu ôtes tes fringues...— Mais tout le monde va me voir !— C’est le but recherché... Ensuite si tu as envie de baiser, tu l’auras que l’embarras du choix...— C’est le marché aux esclaves à la mode du Cap ?— Tout à fait ! Allez... Go... Montre-toi un peu...— Qu’est-ce que tu me fais faire ! Mais j’y vais ! Voir les mecs et les femmes me mater, je n’aurais jamais imaginé cela... et y prendre du plaisir, c’est encore mieux...
Une des cages étant justement libre, Sandra en prit possession sous les applaudissements d’une demi-douzaine de couples qui se trouvait à proximité... Oh, son déshabillage est allé assez vite, car sous sa robe très courte qui dévoilait parfois ses fesses lorsqu’elle se baissait sans y faire attention, on pouvait voir son string coincé entre ses petits globes... Ce soir, elle ne portait qu’un string et un soutien-gorge très réduits...
Au fur et à mesure qu’elle ôtait ses vêtements, elle se trémoussait en rythme comme si elle entendait une musique venue de loin... De plus en plus de couples se pressaient devant la cage, attirés par le spectacle de cette jeune femme (encore une jeune fille par certains côtés) qui s’exhibait sans vergogne, allant jusqu’à caresser sa fourrure intime pour la plus grande joie des spectateurs qui l‘encourageaient, lui demandant même de mettre deux doigts dans sa chatte... Mais elle n’alla pas jusque-là, car un mec bâti en hercule vint la sortir de la cage et l’emmena dans ses bras puissants : elle semblait toute petite malgré son mètre soixante-cinq...
En moi-même, je pensai immédiatement que si le membre du mec était en proportion de sa taille, Sandra allait le sentir passer. Je les ai perdus de vue dans la foule, mais je savais que je retrouverais Sandra un peu plus tard, car nous avions convenu d’un rendez-vous à une certaine heure si nous étions séparées...

Mais de mon côté, je n’ai pas été seule très longtemps... Deux mecs d’environ quarante ans qui avaient regardé avec beaucoup d’intérêt le spectacle du strip-tease de Sandra se sont tournés vers moi en me demandant si je connaissais la fille qui venait de s’exhiber.
— Oui... Nous sommes ensemble au Cap... et on compte bien en profiter...— OK... On peut passer un moment ensemble si tu veux...— Pourquoi pas... Je n’ai encore trouvé personne qui s’intéresse à moi...— Eh bien... Voilà une situation qui nous convient... N’est-ce pas Ludovic ?
Ce dernier approuva la proposition de son copain Armand... et me prenant chacun par le bras, ils m’entraînèrent vers un des coins à câlins qui étaient disponible...
— Viens... Nous allons nous occuper de toi...— Mais vous êtes deux... Qu’allez-vous me faire ?— Tu verras bien... L’essentiel n’est-il pas de prendre beaucoup de plaisir en venant dans un tel lieu ?— Si... vous avez raison... Je suis entièrement à votre disposition...— Eh bien... nous allons commencer... Je bande déjà et je pense que tu vas mettre Ludovic en forme... Il a très envie de baiser une jolie jeune poulette comme toi...— Qu’il montre ce qu’il cache encore dans son boxer... à voir la bosse, je sens que je vais me régaler...
En descendant le boxer de Ludovic, je découvris un sexe long et assez mince qui bandait à moitié... pour être à mon aise et m’offrir en même temps à Armand, je me suis allongée en travers du lit podium... La tête dans le vide, j’étais à la bonne hauteur pour sucer le sexe de Ludovic et masser ses bourses de bonne taille et rasées... Pendant ce temps là, Armand s’intéressait à ma chatte, ouvrant mes nymphes de ses doigts, il ne tarda pas à trouver mon bourgeon sensible qu’il goba pendant qu’il pénétrait mon sexe de deux doigts... Humm... ça commençait fort...
— Viens Ludovic... Elle est prête !
S’étant rapidement couvert, Ludovic est venu entre mes cuisses et m’a embrochée lentement comme s’il avait peur de me faire mal alors que j’étais pressée de sentir sa bite longue au fond de moi... Pendant ce temps, Armand caressait mes seins et suçait avidement mes tétons qui n’avaient jamais été aussi sensibles...Mais je n’imaginais pas la suite des événements... quand un troisième larron est venu solliciter une fellation, s’introduisant presque en force entre mes lèvres... puis un quatrième m’a demandé de le masturber en disant que mon petit cul lui faisait envie. De deux mecs, je venais de passer à quatre, et bientôt, je dus en satisfaire quatre autres... et plus encore...
Ludovic a été assez long à jouir et il ne s’est lâché qu’au moment où je me suis lâchée également en jouissant comme une furie... Son sexe long et fin m’avait comblée...
A moitié dans les limbes, je voyais Armand, qui, négligemment appuyé contre le mur entretenait sa bandaison et soudain, le mec que je suçais s’est retiré de ma bouche pour se répandre généreusement sur le haut de mon buste alors qu’une nana surgie de nulle part est venue lécher le foutre répandu et la pointe des mes seins... En se retirant, elle m’a dit :
— Quand tu veux... je suis à toi... Je t’ai vue sur la plage et j’ai eu envie de toi !!!
Je ne me souvenais pas du tout de cette femme, mais lorsque je la vis, j’ai eu envie d’elle : petite brune aux cheveux longs avec plein de tatouages, des seins généreux haut perchés...Mais cette séance tourna vite en une série de baises plus ou moins rapides...
Le mec que j’avais masturbé est venu entre mes cuisses qu’il a relevées pour le mettre sur ses épaules...
Il venait d’injecter du gel dans mon sphincter et j’étais prête à l’accueillir dans mon boyau étroit...
Il n’était pas très volumineux et cela me convenait tout à fait...
Ma tête était toujours dans le vide, ma bouche ouverte à qui voudrait bien en profiter...
Certains ont éjaculé dans ma bouche ou sur ma poitrine, d’autres se contentaient de se faire sucer pour être en forme pour venir me baiser ensuite... jusqu’à ce qu’Amand me prenne par la main en disant que j’avais assuré, mais que c’était assez... que j’avais satisfait quinze mecs et une nana, dont j’avais goûté le nectar de sa chatte pendant qu’un mec me bourrait allégrement...
C’est vrai que dès que j’avais été sodomisée, je n’avais plus compté !
— Viens... Nous allons tous les deux au jacuzzi... On va te rendre plus présentable... Tu es couverte de coulures de sperme...— Oui... je veux bien... mais tu es resté sur ta faim...— La nuit n’est pas finie... J’ai effectivement envie de toi, mais en tête à tête... sans voyeurs...
Une immense serviette nouée autour de nos hanches, nous avons gagné une des pièces humides où Armand m’a douchée après avoir enduit tout mon corps de mousse odorante puis nous nous sommes installés dans le bassin du jacuzzi où les bulles montaient le long de mes jambes et du bas de mon corps... J’étais bien, je récupérais un peu, appuyant mon buste contre celui d’Armand qui avait passé son bras droit derrière mon cou pour venir emprisonner un de mes seins dans sa large main...
— Prends-moi... Je suis à toi !!!— Oui... mais ce sera en douceur !!!
Nous sommes remontés sur la margelle et c’est ainsi que j’ai enjambé les cuisses d’Armand pour enfoncer son sexe dans ma chatte. J’ai noué mes mains derrière sa nuque pour monter et descendre sur sa bite...
Ce coquin savait d’instinct ce qui me faisait plaisir : il caressait les pointes de mes seins en faisant rouler les tétons entre ses doigts, les pinçant parfois... et j’oubliais que je baisais avec un homme qui avait à quelques années près, l’âge de mon père...
Malgré tout ce que j’avais ressenti auparavant, je sentais le plaisir monter une fois encore dans mes reins et je chevauchais mon partenaire de plus en plus rapidement jusqu’au moment où, sentant les jets de son foutre s’écraser au fond de la capote, j’ai joui à mon tour, me tétanisant sur le buste d’Armand...
J’étais bien, mais il était temps d’aller voir ce que devenait mon amie Sandra...
Nous avons quitté la margelle du bassin et nous sommes retournés au bar où Sandra m’attendait en compagnie de la fille qui avait léché les coulures de foutre sur mon buste...
— Je te présente Amélie... Elle m’a raconté une partie de ton gang-bang... Tu as été servie !— Oui... je ne m’attendais pas à une telle orgie de sexe... mais c’était bon... Dès notre première sortie... je vais avoir une belle réputation de salope bonne à baiser...
Amélie prit la parole :
— Ne t’inquiète pas... Beaucoup ont vécu la même aventure... Armand et Ludovic sont de bons complices et quand ils sentent qu’une nana est ouverte... Ils en profitent, la livrant à ceux qui veulent bien se faire sucer ou plus si affinités...— Tu nous en diras tant ! Tu les connais ?— Oh... j’y suis passée il y a quelques semaines... mais ce qui faisait fantasmer la majorité des mecs, ce sont mes seins généreux... Ils ne se sont pas privés de les caresser, de sucer mes tétons, j’ai même pu faire une cravate de notaire pour finir la séance...— C’est vrai qu’ils sont beaux... Naturels ?— Oh oui... parfois ils me gênent, mais j’en prends grand soin... Ils sont la fierté de mon mari !— Tu es mariée ?— Oui... j’ai d’ailleurs une fille qui vient d’être majeure... mais heureusement, je crois qu’elle n’est pas aussi coquine que moi... Mon homme doit être quelque part... ça vous dit une partie à trois filles ?— Oui, mais pas ici si tu veux bien... On va à l’appart ?— OK... ça marche pour moi... Je vais passer le mot à la barmaid et je vous suis.

Moins d’un quart d’heure plus tard, nous entrions dans l’appartement où en moins d’une minute, nous étions nues toutes les trois... Chemin faisant, nous avions fait connaissance de cette nouvelle amie qui avait le double de notre âge... En moi-même, je pensai qu’une libertine de quarante ans pourrait nous apprendre des choses... mais Sandra se montra impatiente de raconter ce qui lui était arrivé après que le mec qui l’avait sortie de la cage :
— Le mec qui m’a enlevée m’a conduite dans une petite pièce où il y n’y avait qu’un lit et une sellette avec une coupelle contenant de capotes et un flacon que j’imaginai être du gel adoucissant... Comme j’étais déjà nue, le mec en a fait autant et j’ai découvert une bite comme je n’en avais jamais vu... Même ton frère Jérémy était battu !— Si je comprends bien... tu baises avec le frère de ta copine ?— Oui... C’est lui qui m’a dépucelée il y a un peu plus d’une semaine et il m’a appris beaucoup de choses sur le sexe au cours de ce week-end...— Et depuis, tu as mis tout cela en pratique... Raconte ce que tu as vécu, après on passera à des choses sérieuses... Vous êtes bi ? Ça ne vous gêne pas de baiser avec un quadra ?— Oh non, je pense que tu as des choses à nous apprendre... Tu as bien plus de vécu que nous... et on ne demande qu’à apprendre !
Sandra nous a raconté ce qu’elle avait vécu avec le mec... Il l’avait fait jouir deux fois avant de se lâcher à son tour... Elle avait été baissée en levrette puis à la paresseuse. Pendant cette dernière étreinte, le mec lui caressait alternativement les seins et sa fourrure intime... Lorsqu’il s’était retiré et avait ôté le préservatif, Sandra nous a raconté en rigolant comment elle s’était souvenue des conseils de Jérémy et elle n’avait pas tardé à avoir dans la bouche un sexe mâle qu’elle avait du mal à absorber tant il était généreux... mais elle se régalait du foutre qui le nappait... Et il y eut un troisième round au cours duquel c’est Sandra qui avait fait l’essentiel du travail : elle avait chevauché le mec comme elle l’avait fait une semaine plus tôt avec Jérémy... jusqu’à ce qu’ils jouissent tous les deux presque en même temps.
Nous étions allongées sur mon lit, je jouais avec les beaux seins d’Amélie pendant que Sandra caressait ma chatte d’une main, introduisant parfois deux doigts dans ma fente qui suintait... et en faisait autant avec son autre main qu’elle entrait presque entièrement dans sa fente...
Vous raconter en détail ce qui s’est passé serait fastidieux (et il faut bien faire travailler votre imagination), mais toutes les trois nous avons joui plusieurs fois sous la langue et les doigts de l‘une ou l’autre... Il faisait déjà jour quand Amélie nous a quittées. En riant, je lui ai dit :
— Si tu veux dévergonder ta fille, je pense qu’à nous deux, on y arrivera !!!— Qui vivra... verra ! Mais je vous la présenterai un jour... Entre jeunes filles, ça devrait le faire si elle est OK !
Je ne sais pas dans quel état pouvait être Amélie, mais nous deux, nous étions complètement hors service et après une douche rapide, nous nous sommes couchées dans le même lit et amoureusement blotties dans les bras l’une de l’autre... Cela devenait une douce habitude dont je voulais ne pas me lasser...
Au réveil (le soleil était déjà bien haut) Sandra et moi, nous avions les jambes emmêlées et les pubis tendrement unis... Jamais je n’aurais imaginé que me réveiller en tenant mon amie tendrement enlacée ce serait aussi bon... Je n’osais bouger quand Sandra m’a soufflé :
— Aime-moi... J’ai envie que tu me donnes autant de plaisir que cette nuit !!!— Oh oui... moi aussi j’ai envie de toi dans l’intimité de notre lit... en tête à tête !!!
J’ai embrassé Sandra puis je suis descendue pour sucer ses tétons qui se sont érigés aussitôt... Humm... que c’était bon... mais rapidement, nous nous sommes mises tête-bêche pour débuter un 69 lesbien que je faisais découvrir à mon amie que je dominais... La tête entre ses cuisses, je léchais son sexe, fouillant de ma langue sa fourrure et la fente de ses lèvres intimes qui commençaient à suinter d’une cyprine parfumée... et Sandra me rendait mes caresses...
Décidément, en quelques jours, elle avait fait beaucoup de progrès... Mon frère Jérémy l’avait bien préparée, la soirée chez notre amie Farida et tout ce qu’elle venait de vivre au Cap me montrait que Sandra était loin d’avoir tout exploré.
Cette étreinte douce et tendre nous a emmenées sur le chemin d’une jouissance partagée que nous avons savourée en nous disant des mots tendres... et c’est la faim qui nous a poussées hors du lit...

Le soir, nous sommes retournées sur la plage naturiste où il y avait encore un peu de monde... Nous voulions en profiter pour voir le reflet de la pleine lune sur la mer, et éventuellement faire une rencontre coquine... La Tramontane soufflait fort et chassait de gros nuages sur la mer... si bien que nous nous étions réfugiées à mi-hauteur de la dune dans un creux de sable qui ne nous gênait pas pour voir le reflet sur la mer... Nous étions bien et nous n’avons pas tardé à être rejointes par deux garçons blonds comme les blés, mais intégralement halés... C’étaient des étrangers... des Allemands qui étaient venus goûter le charme des plages naturistes de France !
Après quelques mots échangés difficilement en français, je leur dis :
— You can speak english ??? It will be easier for you !!! (vous pouvez parler anglais, ce sera plus facile pour vous).— Oh fine... my friend and me will speak with two nices girls... (oh c’est bien... mon copain et moi on veut parler avec deux jolies filles)— Only speak with us ??? (Seulement parler avec nous ?)— Oh, we can fuck but it is very windy ! (oh on veut baiser, mais il y a trop de vent).
Puisque les intentions de Jerry et David étaient clairement exprimées, nous les avons invités à nous suivre dans notre appartement où nous serions bien mieux que sur cette plage décidément trop ventée... Le choix s’est fait naturellement, Jerry a passé son bras autour de mon cou pendant que David prenait Sandra par la taille.
Dès notre arrivée à l’appartement (qui a fait l’admiration de ces deux coquins), nous avons ôté nos derniers vêtements et nous avons pu regarder et apprécier la plastique irréprochable de ces deux Allemands : blonds comme des blés bien murs, intégralement bronzés, avec une musculature finement dessinée... Deux jolis garçons un peu plus grands que nous et à peine plus âgés... et ce qui ne gâchait rien pour nos ébats futurs, un sexe et une paire de couilles généreux et totalement imberbes...
Tous les quatre, nous savions pourquoi nous étions là... David et Sandra sont passés dans la chambre de cette dernière pendant que je m’enfermais dans la mienne avec Jerry...
En peu de mots, Jerry me fit comprendre qu’il me trouvait très à son goût et qu’il avait envie de me faire bien jouir... J’étais entièrement d’accord avec lui et pour commencer, je pris sa bite entre mes lèvres et je m’appliquai dans une fellation goulue et des léchouilles sur le gland qui était ultra-sensible. Mais ce que je voulais avant tout, c’était sentir cette bite assez longue et normalement grosse au fond de ma chatte... Je m’offrais sans vergogne, allongée sur le dos, les cuisses légèrement ouvertes et je posai la question cruciale tant j’avais envie d’être ramonée par ce Priape :
— Are you clean ??? (Tu es sain ?)— Of course !!! (Bien sûr !)— You can fuck me without a condom !!! (Tu peux me baiser sans capote)— Fine !!! (Génial)
J’avais bien préparé Jerry... Il bandait très raide et moi, j’avais la chatte en folie, rien que de voir sa bite prête à l’estocade... qui ne tarda pas... Après avoir joué un peu avec son gland entre mes lèvres intimes, Jerry a introduit son membre dans mon sexe imbibé de cyprine...
— Fuck me... Fuck me hard !
Il n’était point besoin de l’encourager... Après quelques secondes au fond de mon vagin, Jerry commença à aller et venir, d’abord lentement puis de plus en plus vite... et j’appréciais... Cependant, il prenait son temps en interrompant son coït pour laisser retomber notre excitation puis il reprenait sur le même rythme jusqu’à ce que je sente son vit prendre du volume dans ma chatte : il allait m’inonder (et j’imaginais qu’un jeune homme comme lui devait avoir des réserves...) et les premiers jets de foutre ont déclenché ma jouissance...
Toujours étroitement enlacés, j’ai fait basculer Jerry sur le dos et je l’ai chevauché en me redressant... Il avait compris mon invitation, car il a porté ses mains sur mes petits seins et a fait rouler le téton dans le creux de sa paume... Même s’il m’avait déjà copieusement inondée, je sentais sa bite à moitié bandée dans mon fourreau humide... et je me sentais bien, le corps parcouru des frissons bien agréables...
Mais bientôt, nous fûmes tirés de notre béatitude par l’intrusion de Sandra qui était nue également... Suivie de David, elle nous dit :
— Ce coquin vient de me baiser comme une reine, mais il n’en a pas assez... Il veut me ‘’ faire le cul ‘’ !— Et alors... Il fallait bien que tu y passes un jour...— Oui... mais peux-tu venir près de nous... je me sentirais plus en confiance si tu étais avec moi...— Qu’en-dis-tu Jerry ???— Oh ce serait bon de les voir tous les deux (en anglais).
Je passai rapidement dans la salle de bains pour y prendre les flacons de gel gras et adoucissants et une série de préservatifs avant de rejoindre Sandra, David et Jerry qui nous attendaient dans la chambre de Sandra. Elle était déjà à quatre pattes, le cul levé bien haut et la raie largement ouverte et la tête posée sur le traversin... Pour une première fois, elle avait trouvé d’emblée une des meilleures positions pour se faire ouvrir le sphincter... Heureusement que durant la semaine précédant notre départ, je lui avais prodigué des conseils et prêté quelques jouets coquins !!!
Après avoir copieusement graissé le boyau étroit de ma copine, j’ai couvert le sceptre de David d’un préservatif et achevé de le faire bander...
— Tu es prête ???— Oui... ça manquait à mon inventaire...— David, c’est à toi, mais c’est une première fois pour Sandra !— Je ferai doucement...
Jerry et moi, nous avons vu comment David s’introduisait ‘’ dans l’antre interdit de ma copine ‘’qui nous a dit qu’il était tout au fond...
— Oui... Je sens son pubis contre mes fesses... Je n’ai pas eu mal, mais je me sens pleine...— Alors, laisse-toi aller... ne te crispe pas et ça va aller...
Mais ce que je n’imaginais pas à ce moment-là, c’est que Jerry avait la même idée en tête... J’étais partante évidemment et quand je lui ai tendu les flacons de gel, il a compris aussitôt... Dès qu’il a été couvert, il s’est assis sur un fauteuil bas et son sexe dressé entre ses jambes était prêt à l’estocade... Il voulait (tout en me sodomisant) voir avec moi comment David se débrouillait avec Sandra... Je lui tournai le dos en ouvrant ma raie et je me laissai couler sur son sexe qui entra en moi avec facilité...
Bientôt, la chambre a été envahie de soupirs et de petits cris et j’étais très excitée par ce qui était en train de se passer... Ah... sentir les va-et-vient de la bite de Jerry mans mon boyau étroit commençait à me faire délirer... Si seulement j’avais eu un gode à introduire dans ma chatte... mais mes doigts pallièrent ce manque si bien qu’au moment où David se tétanisait contre les fesses de ma copine, je me mis à jouir à mon tour pendant que je sentais Jerry se vider dans le préservatif...
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