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Vacances en chambre d'hôte.

Chapitre 32

Erotique
Deux jours, cela faisait déjà deux jours que Jessica était arrivée, ils avaient passé la majeure partie de leur temps au lit, ou à faire l’amour dans les différentes pièces de la maison. Jessica se livrait à Marc sans aucune retenue, elle se faisait aussi salope qu’il le souhaitait et s’offrait sans aucune retenue.Elle lui était entièrement soumise.L’après-midi de ce deuxième jour, Marc voulut agrandir sa collection de photo, et ils allèrent dans le studio. L’appareil photo était en mode « automatique ». Il était placé sur un rail et tournait autour de l’objectif pour changer à chaque fois l’angle de prise de vue. Marc et Jessica étaient sur un lit rond et se donnaient en moult positions avec une réelle passion, tout cela sous l’œil du caillou.La séance terminée; repus, ils s’attardèrent, blottis l’un contre l’autre sur le lit.
— Tu ne m’as toujours pas montrée ? dit timidement Jessica. Marc la regarda, un peu étonné.
— Quoi ?— Ce qu’il y a derrière la porte.
Il éclata de rire.
— Ne t’inquiète pas, tu vas bientôt le découvrir; mais avant cela, il nous faut aller faire quelques emplettes.
Jessica n’insista pas, mais elle fut un peu déçue de la légèreté de sa réponse.Le lendemain matin, quand Jessica se réveilla, elle était seule dans le lit. Un sourire habilla son visage quand elle se rendit compte qu’elle avait dormi avec ses bas blancs.Non, elle n’était pas frileuse, elle avait simplement oublié de les enlever dans la nuit...Ou plutôt, Marc l’avait effeuillée progressivement lors de leurs ébats, mais il lui avait laissé les bas et elle s’était donc endormie ainsi.Elle se souvenait de la veille. La séance de photo avait été torride...Ils étaient restés avachis dans le grand lit rond un long moment, puis quand Marc décida qu’il était temps de remonter, il lui donna un sac et lui demanda de s’habiller avec les vêtements qu’il contenait et de venir ensuite le rejoindre.Une petite jupe écossaise tartan rouge, un chemisier blanc et de bas blancs...bas blancs ou plutôt longues chaussettes blanches qui arrivaient à peine au-dessus du genou.
Le sac ne contenait aucun soutien-gorge, mais une petite culotte en coton blanc style petit bateau.Pour compléter la tenue d’écolière, deux petits élastiques à cheveux pour faire des couettes et des chaussures vernies noires avec un large petit talon.Tout était parfaitement à sa taille, elle se regarda dans le miroir, posa son doigt sur ses lèvres et prit une posture coquine.
— Voilà une bien belle écolière qui va certainement se faire dévorer par son instituteur !

Elle ajusta au mieux sa tenue et se dirigea vers l’escalier qui la ramenait au rez-de-chaussée.Marc n’était pas dans le salon, elle se dirigea vers la cuisine ; personne !Elle fit toutes les pièces du rez-de-chaussée, mais à chaque fois, le même résultat : Marc n’était pas là.Elle regarda vers la fenêtre, mais n’osa pas entamer une exploration extérieure avec cette tenue. Elle monta à l’étage, il n’était pas non plus dans sa chambre.
— Mais où peut-il être ?
Elle commençait un peu à s’inquiéter...s’il devait partir, pourquoi lui a-t-il fait mettre cette tenue ?
— Jessica !
En l’entendant crier son nom, elle dévala l’escalier pour aller à sa rencontre.
— Tu es prête ? dit-il en l’apercevant.
— Tu es magnifique, allez, viens !
Il tendit sa main pour qu’elle lui donne la sienne et il l’emmena dans le parc.Ils arrivèrent devant une petite cabane en pierre. Celle-ci, accessible par un petit chemin, est cachée par de nombreux buissons et elle ne l’avait encore jamais remarqué avant.La porte se verrouillait à l’aide d’une chaîne et d’un cadenas, mais elle était déjà ouverte quand ils sont arrivés. Jessica comprit que Marc était venu l’ouvrir pendant qu’elle s’habillait.Sur le mur du fond de la pièce, il y avait un grand tableau noir, devant le tableau, un bureau comme ceux qu’avaient les maîtres d’école au début du vingtième siècle. Au milieu de la pièce, il y avait un bureau d’écolier, de ceux qu’on trouvait dans les salles de classe en cette même époque.Sur le bureau de l’élève, il y avait un encrier, un porte-plume, un cahier et un bavoir.
— Le coquin est vraiment bien équipé ! pensa-t-elle en découvrant la pièce.
— Prenez place, Mademoiselle, nous allons commencer par une dictée.
Elle se dirigea vers le banc du bureau et prit donc place.Elle ouvrit le cahier, de grands interlignes étaient dessinés sur chaque page.
— Tu n’aurais pas un stylo ? demanda-t-elle timidement. Il montra le porte-plume et l’encrier...
— Voilà votre outil de travail...
Il ne lui fit aucune remarque, mais elle comprit que par la suite elle ne devait plus le tutoyer.
— Pardonnez-moi, Monsieur, mais je n’ai jamais écrit avec une plume...— Eh bien, il faut un début à tout...Et vous avez de la chance, la plume est déjà sur le porte-plume.
Après avoir ouvert l’encrier, elle y plongea délicatement sa plume et attendit sagement que Marc commence sa dictée.Marc, sans même prendre comme support le livre qui était sur le bureau du maître d’école commença sa dictée :
— Livrez-vous.
Il ânonnait sa dictée comme le faisait le Topaze de Pagnol...Jessica écrivait lentement en essayant de maîtriser sa plume et éviter de trop baver.
— Livrez-vous, Eugénie ;
La pauvre ne s’attendait pas à devoir faire une vraie dictée.
— ... Abandonnez tous vos sens au plaisir ;
Il ne s’appuyait toujours sur aucun support et récitait chaque mot en accentuant les terminaisons, sans hésiter à abandonner la bonne prononciation pour que l’on entende bien la bonne conjugaison.
— Abandonnezzzz...Toussss vossss senssss au plaisirrrr.
Répétant avec exagération
— Qu’il soit le seul dieu de votre existence ;
Il jetait un œil sur chaque mot écrit, espérant pouvoir la gronder pour un mot mal orthographié...
— C’est à lui seul qu’une jeune fille doit tout sacrifier.
Mais si la calligraphie se dessinait lentement sur l’interligne du cahier, il n’y avait aucune erreur ni aucun pâté.
— et rien à ses yeux ne doit être aussi sacré que le plaisir.
Il se dirigea vers le bureau...
— ...plaiiiisirr.
En accentuant chaque syllabe sur un ton précieux qui rendait la situation encore plus ridicule.Assis à son bureau, il continua la dictée.Jessica, en voyant que "son maître d’école" avait un regard lubrique qui pointant sous le bureau d’écolier, écarta les jambes.Marc savait qu’elle devinerait, il la connaissait bien et il savait qu’elle le connaissait encore mieux...il apprécia et continua à décliner les autres syllabes du texte en alternant l’intonation d’un vieux satyre excité avec celle d’un vieillard défaillant devant un spectacle aussi prometteur...Finalement, il déplaça sa chaise pour qu’elle puisse le voir assis sur sa chaise. Il dégrafa son pantalon et commença à se masturber tout en continuant sa dictée. La voix était saccadée et le rythme de sa lecture suivait celui de sa main.
Alors que la dictée arrivait à la fin, il se leva, s’approcha de Jessica, et sans la prévenir, libéra toute la tension que sa main avait déchaînée. Le cahier, le chemisier, mais aussi son visage et ses cheveux...il y en avait partout.
— Point final !dit-il en prenant un ton très professoral...
— Vous avez cinq minutes pour vous relire et vous corriger.
Il suça son doigt en la regardant avant d’ajouter.
— Et je ne veux ni pâté ni autre salissure.
Il n’eut rien d’autre à dire, elle avait compris. Elle ôta, avec ses doigts, le sperme, partout où il se trouvait, et nettoyant, à chaque fois, la phalange, maculée du sperme récolté.Ensuite, pour la remercier du spectacle, il se glissa sous la table, écarta avec ses doigts les pans de la culotte en coton pour ouvrir le passage de sa langue vers les lèvres de Jessica.Très rapidement, elle s’abandonna...Les gémissements légers et retenus au départ explosèrent ensuite en un vrai râle de plaisir...Ils sont ensuite repartis vers la maison.
— Tu viens avec moi sous la douche ? demanda-t-elle en entrant dans la maison.
— Non, non, pas de douche, et tu ne te changes pas.
Marc posa un baiser sur ses lèvres, prit sa main et guida Jessica vers l’escalier.A peine dans la chambre, il se mit nu. Jessica voulut l’imiter.
— Non, reste ainsi !
Il s’allongea sous les couvertures, lui demanda de venir la rejoindre. Elle enleva ses chaussures, se glissa à son tour sous les couvertures et vint se blottir contre lui.Ils s‘embrassèrent avec passion, les mains de Marc voyageaient sur le corps de Jessica comme si elles le découvraient pour la première fois. Ils se perdaient sous la jupe, puis repartaient sous le chemisier pour caresser ses seins nus sous l’étoffe.
Leurs lèvres s’unissaient, les langues se liaient...Ils s’aimaient sans se pénétrer.Marc avait déjà beaucoup donné, pourtant, il sentait son sexe reprendre de la vigueur. Il déboutonna le chemisier, téta les seins libérés, puis ôta complètement la blouse...L’agrafe de la jupe n’avait maintenant plus aucune raison d’être, Marc fit glisser la jupe le long des jambes de Jessica puis enleva la culotte de coton.
Il taquina le petit abricot de Jessica pour le faire gonfler de plaisir. La respiration de Jessica s’accéléra, les gémissements se multiplièrent...Puis, soudain, elle se cambra et laissa échapper un puissant râle.
Son orgasme n’était pas feint...Elle en pleurait presque.Elle s’est ensuite lovée contre Marc et ils se sont endormis.
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