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Vacances en chambre d'hôte.

Chapitre 33

Erotique
En cherchant ses habits, elle ne trouva qu’une feuille au format A4 plié en deux. Elle déplia la feuille, et y lit le message de Marc :
— Prends ta douche et descends nue...Tu iras dans le salon et tu m’attendras allongée sur le tapis juste à côté du fauteuil où j’ai l’habitude de m’asseoir !
Un petit sourire se dessina sur le visage de Jessica. Elle commençait à avoir l’habitude des « élucubrations » de son mentor et ne s’en étonnait plus.Elle prit sa douche et se dirigea vers l’escalier pour rejoindre le salon.La pièce était vide, elle s’allongea sur le tapis comme Marc lui avait demandé.Des flammes dansaient dans la cheminée, Marc avait pris la précaution de l’allumer pour qu’elle n’ait pas froid.Le temps passait et Marc n’arrivait pas, elle laissa vagabonder son esprit et repensa à tout ce qui s’était passé depuis sa première visite...Les souvenirs étaient agréables et son visage s’illuminait d’un petit sourire ; elle était heureuse de l’avoir rencontré.
Finalement, elle s’endormit...Enfin, elle ne dormait pas vraiment, mais elle somnolait, bercée entre le rêve et la réalité; elle ne voyait pas le temps passer.Elle avait été amoureuse de Vincent, mais aujourd’hui, elle n’avait qu’une envie : rester avec Marc. Elle ne voulait plus le quitter. Ce qu’elle ressentait pour lui était différent de ce qu’elle ressentait pour Vincent, ou plutôt ce qu’elle avait ressenti, car aujourd’hui, c’était plus de la « compassion », la passion pour celui qui a partagé sa vie avait disparu ou plutôt s’était dirigée vers celui avec qui elle voulait maintenant offrir sa vie : Marc.
La différence d’âge n’avait aucun effet négatif chez Jessica, au contraire, l’expérience du coquin l’avait conquise et elle était étonnée qu’à son âge, il soit toujours aussi vaillant. Quelques pilules y sont peut-être pour quelque chose, mais finalement, pour elle, seul le résultat comptait, il savait comment s’y prendre et le faisait admirablement. De plus, elle s’amusait vraiment avec lui et ses « jeux coquins »...
Elle aimait tout chez lui, son humour, sa galanterie quand il voulait se faire homme du monde, mais aussi son autorité, sa manière d’imposer les choses sans faire preuve d’un autoritarisme paroxysmique...sauf si le jeu l’y obligeait.
Il savait marivauder et câliner, ou se faire rude et agressif; les fesses de Jessica ont souvent gardé quelques marques de l’enthousiasme de Marc, mais elle savait qu’il n’y avait aucune méchanceté dans ces gestes et qu’il connaissait ses limites à lui et celles de sa compagne de jeu...car tout ceci était toujours fait dans le cadre des jeux...Il n’était nullement colérique et violent avec elle...Il savait qu’il ne fallait pas jouer aux jeux SM quand l’humeur était irascible...Savoir maîtriser et se maîtriser était la règle qu’il s’obligeait pour jouer à ce jeu.
Ce qu’elle aimait en lui, c’était aussi qu’il pouvait se montrer extrêmement doux, mais aussi terriblement brutal. Il pouvait faire durer les préliminaires jusqu’à ce qu’elle soit « entièrement » réceptive, notamment pour une sodomie, souvent, il lubrifiait bien plus que nécessaire pour faciliter le passage; mais il aimait aussi, dans un mouvement de passion, la faire basculer sur le ventre pour qu’elle lui offre ses fesses et la prendre sans préparation; et cela, sans aucun ménagement.
Et aussi paradoxale que cela puisse paraître, elle aimait autant la première que la seconde option.Elle attendait toujours Marc dans le salon, elle s’était approchée de la cheminée pour laisser la chaleur venir caresser son corps nu. Soudain, elle entendit un bruit, une porte qui s’ouvrait...
— Le voilà enfin ! pensa-t-elle; elle se retourna en écoutant les pas qui se dirigeaient vers le salon. Ce n’était pas Marc, mais une vieille femme tout en rondeur. Son réflexe fut de cacher son sexe avec ses mains. La bonne femme éclata de rire.

— T’inquiète pas, tu n’es pas la première fille que je vois nue.
Jessica se trouva ridicule et ne trouva rien à répondre.La vieille dame posa son sac à côté du canapé et appela Jessica.
— Viens ici que je puisse prendre tes mesures.— Mes mesures ?
Jessica avança timidement vers la vieille femme.
— Bin oui; ton maître ne t’a rien dit ?— Ton maître?
Jessica présumait que celui qu’elle appelait « ton maître » était Marc, mais pourquoi l’appelait-elle ainsi ? Et que voulait Marc ?
Les questions défilaient dans son esprit, mais elle n’osa en poser aucune.
— Pas très potelée, la demoiselle; mais bien proportionnée quand même, commenta pour elle-même la vieille dame en prenant les mesures de Jessica. Elle les notait toutes dans un petit carnet à spirale.Quand ce fut terminé, elle pinça le téton droit de Jessica en ricanant.
— Voilà une tétine bien appétissante, ton maître est resté un grand enfant et je dois dire qu’il a toujours eu bon goût.
Elle fit ensuite allonger Jessica sur un drap qu’elle avait posé à même le sol. Elle se mit à genoux à côté d’elle, non sans difficulté, et sortit du miel liquide de son sac.Elle examina le corps de Jessica, puis se releva, non sans mal, prit un pot dans son sac, et demanda à Jessica de l’attendre.
— Je reviens dans cinq minutes, ne bouge pas.
Jessica obéit sans vraiment chercher à comprendre de ce qu’il se passait réellement.Quand la grosse dame revint avec son pot, Jessica comprit qu’il contenait de la cire chaude.La vieille femme commença à épiler tout le corps de Jessica. Quand elle eut fini son ouvrage, elle le contempla d’un air satisfait.
— Voilà qui sera bien agréable.
Sa main vérifia la douceur de la peau.
— Voilà un autre « espace jeu » bien préparé que vont ravir ton maître et ses convives, dit-elle ensuite en jouant un peu avec les lèvres intimes de Jessica.Jessica sursauta, ce n’est pas le geste de son « esthéticienne couturière » qui la fit réagir, mais ses propos.
— Ses convives ? demanda-t-elle d’une voix étonnée, voire inquiète.
— C’est ton grand jour ma puce ! répondit la vieille dame en lui souriant.Jessica la regarda encore plus intriguée qu’auparavant, mais comprit en voyant l’expression de la grosse dame qu’elle n’aurait pas plus d’explication.
— Vous savez où est Marc ? demanda-t-elle alors, en espérant qu’il viendrait bientôt pour lui donner toutes les explications.
— Ton maître sera là quand tu seras prête.
Elle prit ensuite un pot de miel liquide et un pinceau alimentaire. Elle peigna tout le corps de Jessica d’une très fine couche de cette substance onctueuse. Elle la fit ensuite se lever et remit le drap dans son grand sac.
— Ne t’approche pas trop de la cheminée...
Elle sortit du salon en disant qu’elle reviendrait dans une heure ou deux.Jessica était debout dans le salon et n’osait pas s’asseoir. En effet, elle ne voulait pas tacher le divan. Elle ne savait pas quoi faire, mais elle ne se voyait pas rester là, immobile à attendre le retour de la femme ou celui de Marc.
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