Eté 2013, je suis en train de faire quelques petits travaux de réparation sur la pergola , chez ma belle-mère. Divorcée, elle est seule pour entretenir sa maison, alors elle m’a demandé de faire ce travail pour elle. Je nettoie, ponce, mets en peinture, etc… Il fait déjà très chaud sous ce soleil d’Ardèche, j’enlève mon t-shirt. Ma femme qui me regarde d’en bas me crie soudain : « Fais attention, tu viens de faire une tache de peinture sur ton bermuda ! » Je redescends pour essayer de nettoyer. Ma femme me dit alors : « tu ferais mieux de l’enlever sinon il sera foutu, un vêtement tout neuf, ce serait dommage ». N’ayant pas prévu de vêtements de travail, je n’ai pas d’autre choix que de me mettre en caleçon. Me voyant gêné, ma femme me dit : « ce n’est rien, il n’y a que ma mère qui te verra comme ça, les voisins sont absents ». Et me voilà en petite tenue, reprenant mon travail… Dans l’après-midi, j’envoie ma femme faire quelques achats dans un magasin de bricolage. Me voilà seul avec ma belle-mère, moi en haut de l’échelle, elle en maillot de bain sur une chaise longue. Fait exprès ou pas, elle décide de venir m’aider en me montant des outils, des matériaux etc… Moi, au-dessus d’elle, j’imagine la vue qu’elle aurait si son regard tombait sur l’échancrure de mon caleçon… Et c’est exactement ce qui se passe : cette coquine en profite à chacun de mes mouvements pour mater mon entrejambe. Je continue mon travail comme si de rien n’était. Commençant à prendre plaisir à ce petit jeu, je décide de lui en offrir un peu plus. Je me positionne de façon à ce que le tissu baille davantage, je mets un pied sur le barreau supérieur... Discrètement, je m’aperçois qu’elle ne rate rien du spectacle. A un moment, elle monte la première et je me retrouve au-dessous d’elle. Les mouvements qu’elle a faits pour monter à l’échelle ont fait rentrer son petit slip de bain entre ses fesses. En posant le genou sur le rebord de la pergola , elle écarte un peu plus les jambes. Le tissu rouge, très ajusté, dessine parfaitement les contours de sa vulve et laisse dépasser un petit bout de lèvre. Elle ne fait rien pour le replacer correctement. Je sens mon membre s’allonger. Elle reste dans cette position assez longtemps pour être certaine que j’aie le temps de bien voir. C’est trop tentant, je pose une main sur sa cuisse, elle ne dit rien. Ma main monte et atteint l’entrejambe, elle me laisse faire. D’un doigt, j’écarte un peu plus le tissu qui ne demandait que ça et je découvre totalement sa vulve parfaitement épilée. Elle écarte un peu plus sa jambe, c’est une invitation. J’introduis un doigt, puis deux et commence un va et vient dans son intimité chaude et humide. « Descendons, dit-elle soudain ». Elle s’installe à quatre pattes sur la terrasse et me demande de continuer. Mes doigts recommencent à la pénétrer. Vue de derrière elle est terriblement excitante. Ma langue vient à la rescousse et se promène entre son vagin et son anus tout rose. Je suis à présent allongé sur le dos, elle libère mon sexe de mon caleçon et l’avale. Le visage enfoui entre ses fesses, je sens que ça monte, et soudain, l’explosion. Plusieurs saccades de sperme giclent dans la tiédeur buccale. Au même moment elle jouit en m’inondant de sa mouille. Je me réveille brutalement, trempé de sueur, le sexe en érection, dégoulinant de sperme. Je me lève sans bruit pour ne pas réveiller ma femme ni ma belle-mère qui dort dans la chambre d’à côté et vais à la salle de bains pour me nettoyer. Je retourne me coucher et m’endors comme une masse. Le lendemain matin, je me lève, il est déjà dix heures. Je descends en caleçon sur la terrasse. Ma belle-mère se fait bronzer, allongée dans sa chaise longue, vêtue d’un maillot de bains rouge. Elle me dit bonjour, et me demande : « dites-moi Stéphane, vous savez que je ne suis pas très bricoleuse, et j’ai l’impression qu’il y a une fuite sur le toit de ma pergola. Ca ne vous dérangerait pas de prendre l’échelle et de jeter un œil ?
