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En vacances chez ma tante

Chapitre 5

Sport de plage

Inceste
Après l’épisode de Noël, je ne revis pas ma tante pendant plusieurs mois. Les premiers temps, je n’arrêtais pas de penser à elle, au contact de ses mains sur moi, à ses mots excitants. Et à chaque fois cela me procurait une érection énorme dont j’avais du mal à me débarrasser. Parfois, je devais me masturber plusieurs fois avant de retrouver un début d’apaisement.
Avec les filles de mon âge, par contre, c’était le calme plat, comme depuis le début du lycée d’ailleurs. Je me trouvais en complet décalage avec leurs préoccupations : sortir le soir, sécher les cours, embrasser le garçon le plus cool du moment, puis passer à un autre aussi sec. Il faut dire que n’étant pas le gars le plus cool du monde, je ne les intéressais pas trop non plus...
Le bac approchait à grands pas. Comme je visais des études supérieures qui exigeaient un bon dossier, les révisions devinrent ma priorité. L’échéance arriva et ce fut une période d’examen intense, mais finalement couronnée de succès.
Mon bac en poche, j’allais enfin pouvoir m’accorder un peu de repos avant de reprendre sur les chapeaux de roues en septembre, car j’étais admis en classes préparatoires. Le plus dur avait été de s’enfermer pour bachoter alors que le mois de juin offrait ses belles journées ensoleillées, et je comptais bien prendre du bon temps cet été. Mes parents partaient en vacances à la mer pendant 3 semaines et j’avais décidé de les accompagner.
Le jour du départ, assez tôt le matin, était un moment de joie intense. La perspective des futurs moments de détente, du soleil et de plage me réchauffait le cœur. Je connaissais bien le camping où nous allions. En effet, mes parents y allaient tous les ans depuis de nombreuses années et j’y avais passé toute mon enfance.
Après plusieurs heures de route en voiture, nous passâmes l’entrée du camping et je me sentis comme revenu à la maison après une longue période d’absence. La première semaine de notre séjour était déjà bien entamée quand mes parents m’annoncèrent une nouvelle qui allait bouleverser le restant de mes vacances.
— Devine qui va venir passer une semaine avec nous ?— Je ne sais pas, qui ça ?— Tonton et tata.— Tata Cathy ?— Oui et tes cousins aussi.
Une décharge électrique parcourut mon échine. J’allais revoir ma tante et cela réveilla instantanément ma mémoire. Mon corps se rappela aussi immédiatement les plaisirs ressentis lors de nos dernières rencontres.
— Ce n’est pas la période des moissons ?— A priori, ils vont finir plus tôt que prévu et ta tante souhaite prendre un peu de vacances pour une fois.
Deuxième décharge. Cathy était à la manœuvre.
— Où vont-ils loger ?— Ici au camping, ils ont loué un mobile home.— Ah... OK.
Je tentai de garder une apparence calme, mais j’étais en feu à l’intérieur.
Les jours qui suivirent furent interminables. Je tâchai de m’activer afin de ne pas penser aux jours à venir. Des images plus érotiques les unes que les autres tentaient de se frayer un chemin dans mon esprit. Pour les éloigner je passais le plus de temps possible à l’océan pour pratiquer le bodyboard. Malgré cela je ne pouvais pas éviter une trique d’enfer quand je me retrouvais seul dans les douches du camping ou sous la tente. C’étaient les moments où je m’adonnais aux plaisirs solitaires. J’imaginais alors caresser les seins de ma tante ou toucher sa vulve humide. Bref, je fantasmais à mort.
Le jour arriva enfin où l’objet de mes désirs arriva enfin comme prévu, accompagnée de mon oncle et mes cousins. Tout ce petit monde s’installa joyeusement dans un mobile home proche de notre emplacement, et nous goûtâmes tous aux joies des vacances en famille. Cependant mes espoirs furent rapidement douchés. Malgré nos moments passés ensemble à la plage, à la piscine, lors des apéros ou des soirées dansantes, Cathy se montra indifférente, voire froide à mon égard. Pas un échange de regards, ni aucun frôlement de mains ne nous rapprocha. Ma déception fut d’autant plus amère que mes espérances avaient été grandes. La dépression allait me gagner quand un événement changea le cours des choses.
Pendant un début d’après-midi ensoleillé, toute la famille avait passé du bon temps à la plage. Alors que le groupe s’apprêtait à partir, je décidai de profiter des belles vagues qui commençaient à monter.
— A tout à l’heure, je rentrerai à pied, lançai-je à tous en mettant en marche vers l’eau, planche sous le bras.
Une heure plus tard, après une bonne session, alors que je revenais sur la plage, quelle ne fut pas ma surprise de voir ma tante Cathy allongée sur sa serviette à côté de la mienne !
— Je n’allais pas te laisser rentrer tout seul quand même ! me lança-t-elle un sourire au coin des lèvres, avant que je ne prenne la parole.— C’est sympa de ta part, dis-je en commençant à m’essuyer.— Mais on n’est pas obligés de partir tout de suite, on peut encore profiter de ce beau soleil.— Bien sûr comme tu voudras. Mais, les autres ne vont pas nous attendre ?— Ils sont partis faire les courses pour ce soir, alors on a le temps avant l’apéro !— OK cool, ça va me faire du bien de me poser un peu après le body-board.— Je t’ai vu tu te débrouilles bien !
Alors que nous échangions des banalités sur diverses techniques sportives, la température de l’eau et les courants marins, j’observais ma tante du coin de l’œil. Étaient-ce l’air du bord de mer et les bienfaits du soleil qui lui donnaient cet air épanoui dans son beau bikini. Les lunettes de soleil qu’elle portait lui donnaient une allure sophistiquée qu’elle n’avait pas au quotidien à la ferme.
— Ça te profite bien le body-board en tout cas, tu es plus musclé !
Je rougis, un peu gêné, ne sachant pas trop quoi répondre. Après un court silence, ma tante reprit la conversation :
— Allez, je vais essayer de bronzer encore un peu.
Elle se tourna sur le ventre, la tête tournée vers moi et elle dégrafa son haut de maillot de bain avec les mains dans le dos.
— Je voudrais éviter les marques de bronzage, dit-elle pour appuyer son geste.
Les lanières qui retombèrent laissèrent entrevoir la naissance d’un sein sur le côté. J’eus du mal à cacher quelques œillades appuyées. La vue commençait à m’émoustiller. Je continuai la conversation en essayant de masquer mon trouble tant bien que mal. Au bout d’un quart d’heure de ce régime, ma tante se retourna sur le dos en tenant son haut de maillot d’une main contre sa poitrine. Puis elle examina la plage d’un regard circulaire. L’après-midi avançant, elle commençait à se vider, les familles ayant ouvert la marche.
— J’ai l’impression qu’il y a moins d’enfants, ça te dérange si j’enlève complètement le haut pour bronzer intégralement ?— Euh, non non, tu peux. Ça ne me gêne pas.
Tu parles ! Je n’étais pas gêné du tout de me rincer l’œil. Le seul problème c’est que j’allais sûrement avoir une bonne érection, mais ça, je ne souhaitais certainement pas l’évoquer ! Cathy enleva donc sa main et le bikini glissa sensuellement sur sa poitrine jusqu’à la découvrir entièrement. Je n’en manquais pas une miette.
— On est entre grandes personnes après tout, ajouta-t-elle, comme pour contrecarrer définitivement toute velléité de protestation.
Ma tante resta ainsi, sur le dos, ses beaux seins gonflés par le plaisir de capter le plus de soleil possible, les tétons dressés par le bon air marin. De mon côté, j’entamais un numéro d’équilibriste assez risqué qui consistait à balayer l’océan du regard tout en reluquant furtivement le corps de ma tante à travers mes ray-ban. Je réfléchissais à l’absurdité de la situation présente. Ma tante et moi avions exercé sur l’autre des attouchements intimes très poussés, il n’y avait pas si longtemps, pour mon plus grand plaisir d’ailleurs. Mais à l’instant T, rien ne semblait avoir été réel. L’attitude de ma tante y était pour beaucoup. Elle me donnait l’impression de vouloir tourner la page sur ces épisodes brûlants. La suite des événements allait me donner tort.
Ma technique d’espionnage ne devait pas être aussi parfaite que je le croyais car ma tante se tourna vers moi en lâchant:
— Ce n’est pas la peine de te cacher, tu sais ! Je te vois me regarder depuis tout à l’heure !
Je la regardai, figé, ne sachant pas quoi dire. J’allais certainement me faire sermonner.
— Mais ce n’est pas désagréable... J’avoue que c’est flatteur d’être regardée de la part d’un beau jeune homme, sportif comme toi. Surtout que ça à l’air de te faire de l’effet, ajouta-t-elle en désignant du menton la bosse de mon slip de bain.
Eh oui, mon érection involontaire se voyait comme le nez au milieu de la figure dans cet accessoire que je choisis de porter pour des raisons de confort sous mon shorty en néoprène.
— Euh oui, excuse-moi.— Mais tu n’as pas à t’excuser, c’est une réaction tout à fait normale pour un garçon de ton âge plein de sève.
Elle ne pouvait pas mieux trouver comme expression, j’étais effectivement rempli d’une sève qui ne demandait qu’à jaillir tel un geyser à la moindre occasion.
— Ils aiment bien être regardés, mais je crois qu’ils aimeraient aussi être touchés un peu... Qu’est-ce que tu en penses ? En disant cela, ma tante tendit sa poitrine dans ma direction.
Je me tournai alors aussi sur le côté en hochant affirmativement la tête.
— Si c’est pour leur faire plaisir alors, il ne faut pas les décevoir.
Je tendis une main et entrepris de toucher ces beaux globes. Ma tante ferma les yeux pendant que mes doigts effleurèrent sa peau, puis ma main enveloppa presque complètement un sein. Je caressais en même temps le téton durcit et Cathy émis un gémissement de plaisir. Je passais ainsi d’un sein à l’autre pour ne pas faire de jaloux et ma tante avait l’air d’apprécier étant donné le regard gourmand qu’elle m’adressa. Puis, après avoir jeté un coup d’œil aux alentours, elle tendit une main vers moi et saisit mon membre à travers le maillot de bain.
— Mmmh c’est bien dur tout ça...— Oui c’est sûr. Attention !
Nous retirâmes nos mains juste à temps pour ne pas être surpris par la famille qui remontait la plage à ce moment-là.
— Ouf, c’est risqué. soufflai-je.— C’est bon, il n’y a plus personne ! Continue à me caresser c’est si bon.
Je ne me fis pas prier, et de son côté c’est sous mon maillot de bain que sa main glissa. Le contact de sa peau douce et chaude sur mon gland puis sur tout mon sexe me rendit encore plus dur. Elle faisait sortir mon vit pour mieux le branler. A ce régime-là, il ne lui fallut pas beaucoup d’allers-retours pour me faire exploser. Ma main enserra ses beaux nichons et j’envoyai une grosse giclée sur son ventre et le reste se répandit dans le sable.
— Ah la vache c’est bon, lâchai-je sans retenue.— Oui ça à l’air. Moi aussi je suis tout excitée maintenant. Je crois que mon petit bouton a besoin d’être caressé lui aussi...
Ma tante reprit sa main pour s’essuyer rapidement le ventre et écarta presque imperceptiblement les cuisses, me donnant le signal pour lui chatouiller le minou. Je lui rendis ainsi la politesse en frôlant son ventre puis l’intérieur de ses cuisses et enfin en glissant un doigt puis deux sous l’élastique de son maillot à l’intérieur de sa jambe. C’était plus pratique pour moi et j’avais immédiatement accès à toute sa vulve qui était déjà trempée. Je parcourus ses lèvres du bout de mes doigts puis je m’attardai finalement sur son clitoris gonflé comme elle me l’avait enseigné.
Tata voulut écarter encore plus les jambes pour profiter un maximum de mes caresses, mais nous n’étions pas seuls et il fallait rester discret. De plus, bien que la plage fût de moins en moins peuplée au fur et à mesure que l’après-midi avançait, je dus retirer vivement ma main à plusieurs reprises quand des vacanciers s’approchaient trop près. Cela finit par incommoder Tata qui n’arrivait pas à s’abandonner complètement à son plaisir.
— On n’est pas tranquille ici. Viens, on y va.— D’accord !
Changer d’endroit, oui, mais pour quoi faire ? En avait-elle marre et souhaitait-elle rentrer au camping ou avait-elle une autre idée en tête. Je n’osai pas évoquer le sujet de manière directe de peur de rompre le charme qui s’était installé sur nous. Nous nous rhabillâmes légèrement, ma tante avec son paréo autour de sa taille, et moi en T-shirt. Nous remontions la dune quand je fus pris d’une forte envie d’uriner. C’est ce qui arrive souvent après un long moment dans l’eau... et surtout après avoir éjaculé comme tout à l’heure.
— Je dois m’arrêter pour une pause technique, dis-je en me dirigeant vers les pins les plus proches.— Tu n’as pas besoin d’aide ? demanda Cathy d’un air blagueur.— Normalement, ça devrait aller, mais j’apprécie la proposition. Un coup de main peut être utile parfois ! Répondis-je en souriant malicieusement.
Je commençais à me soulager la vessie contre un tronc d’arbre, quand contrairement à toute attente, ma tante vint se positionner sur le côté, fixant avec intérêt ma verge sortie.
— Je viens vérifier que tout se passe bien, dit-elle sans bouger le regard.
Son attitude, qui m’était apparue comme déplacée au premier abord, commençait à me troubler. Pendant les secondes qui suivirent, j’exhibai fièrement mon membre à la vue de ma tante. Même après avoir fini ma "petite commission", nous restâmes quelques instants ainsi. Pris dans l’ambiance, mon sexe avait gonflé sans être complètement en érection. Je commençai à me branler lentement devant Cathy qui semblait apprécier. Puis, elle ouvrit son paréo et je découvris avec surprise qu’elle ne portait pas le bas de son bikini, exposant ainsi sa toison à ma vue.
— C’est moi qui ai besoin d’aide désormais, me lança-t-elle en souriant malicieusement.— Avec plaisir.— Pas ici, nous pourrions nous faire surprendre.
En effet, l’endroit que j’avais choisi pour me soulager n’était pas complètement à l’abri des regards d’éventuels promeneurs. Nous décidâmes donc de nous enfoncer un peu plus profondément dans la pinède. Tout en progressant entre les arbres, je passais de temps à autre mes mains sous son paréo pour fourrager dans son pubis humide avec le bout de mes doigts. Elle aussi cramponnait ma tige dressée à travers mon maillot de bain. Parfois nous nous arrêtions quelques instants, et je caressais plus fortement son clitoris, ou j’introduisais mes doigts dans son vagin complètement liquéfié. Au bout d’un moment, nous trouvâmes un endroit isolé, entouré d’arbousiers qui nous mettaient hors de vue.
— Ici c’est parfait, nous serons tranquilles, chuchota Cathy en m’enlaçant.— Oui, soufflai-je en entreprenant de caresser ses seins gonflés de désir à travers le paréo. Alors tu avais besoin d’aide c’est ça ?— Oh oui, aide-moi ! Gémit-elle en libérant ses seins. Embrasse-les !
Je m’exécutai avec zèle, caressant de mes mains et léchant ses tétons tout durs.
— Mmmmmh c’est bon ! Continue !
Ses jambes tremblaient, je sentais qu’elle allait défaillir. Une femme pouvait-elle avoir un orgasme uniquement par les seins ?
— Attends, j’ai envie que tu m’embrasses, souffla-t-elle les yeux mi-clos.
Bizarrement, cela me gêna brièvement car cela m’apparut comme le signe ultime d’une intimité entre nous, alors que, jusque-là, nos rapports n’avaient été finalement que "charnels". Cependant je compris que cela procurerait à ma tante encore plus de plaisir (et à moi aussi par la même occasion). Je rapprochai donc mes lèvres des siennes et je commençai à les effleurer, ce qui eut pour effet de faire gémir ma tante un peu plus fort. A ma surprise, elle lécha mes lèvres, et pour lui répondre, ma langue vint se mêler à la sienne. Une de ses mains pressa la bosse de mon maillot de bain et ce contact la fit gémir de plus belle. Je descendis à mon tour une main vers sa vulve qui dégoulinait littéralement sur ses cuisses.
— Oh mais c’est drôlement mouillé ici, je dois absolument intervenir, lui susurrai-je à l’oreille tout en glissant un doigt dans son vagin. L’effet sur ma tante fut immédiat :— Aaah ! Oh mon Dieu ! C’est bon ce que tu me fais, mmmmmhhhh.
Elle dégagea mon membre dur de son carcan et fit glisser mon maillot à mes chevilles. Je me retrouvais ainsi la bite à l’air à quelques centimètres de son antre de plaisir. Il ne fallut pas attendre une seconde pour qu’elle dirige ma queue entre ses lèvres écartées.
— J’en veux plus, j’ai envie de te sentir, viens !
Même si c’était une première pour moi, l’invitation ne souffrait aucune hésitation. Je donnai un coup de reins pendant que ma tante inclinait ses hanches vers moi. Je fus littéralement absorbé en elle. Nous étions tous les deux face à face, debout, moi les jambes pliées et ma tante sur la pointe des pieds suspendue à mon cou. La position était inconfortable mais la sensation puissante. Je n’avais jamais eu une trique comme ça et je sentais bien les parois serrées autour de moi. Toutes ces nouvelles sensations étaient magiques. Je faisais de mon mieux, et après quelques coups de boutoir, ma tante agrippa mes fesses d’une main et c’en fut assez pour moi. Alors que la première giclée de sperme s’échappa, un jet de liquide m’inonda les cuisses. Cathy, se raccrocha à mon cou et des spasmes violents lui parcoururent tout le corps.
— Oh oui c’est bon ! oh oui ! oui ouiiiiiiii !!!
Je déversai mes derniers flots de semence à l’intérieur de ma tante tout en la serrant fort pour l’empêcher de glisser au sol tellement ses jambes étaient devenues molles.
— Eh bien dis donc, je n’avais pas eu autant de plaisir depuis longtemps, tu m’as bien aidée petit coquin, me dit-elle après avoir retrouvé son souffle et de la force dans les jambes.— C’était ma première fois, tu sais.
Les yeux de ma tante s’écarquillèrent de surprise.
— C’est vrai ? Oh mon chou, me dit-elle en me prenant la tête entre ses mains et en m’embrassant sur la joue. J’espère que c’était bien pour toi.— Oh oui tata, c’était même très bien.
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