La voiture de mes parents s’arrête à quelques mètres de la grande maison. Je retire les écouteurs de mes oreilles et ouvre la porte. La chaleur me prend de plein fouet. J’adore l’été, surtout quand je rejoins la maison de ma tante non loin de la côte. Toutefois, elle n’a nullement besoin de la mer, vue l’immense maison avec piscine dont elle est propriétaire. Un coup de crème solaire sur ma peau et je sors de ce four roulant, je déteste la voiture. L’ombre de la maison de ma tante m’offre une fraîcheur d’un bien fou. Un coup de vent passe sous ma robe dévoilant brièvement ma culotte. Heureusement que personne ne se trouve derrière moi, ma tante Sandra m’accueille à bras ouvert et pose deux baisers sur mes joues. — Bonjour Diane, comment vas-tu?— Bien et toi Sandra? Merci de nous accueillir.— Mais de rien voyons, on finit par se sentir seule à force. Je monte rapidement ma valise à l’étage et ouvre la première chambre. Un grand lit avec une fenêtre donnant sur la piscine, parfait. Je pose mes affaires sur le lit, ouvre ma valise pour prendre mon maillot de bain et l’enfile en vitesse. Quelques minutes plus tard, me voilà à bronzer au bord de la piscine. Non loin j’entends mes parents et ma tante assis autour d’un salon de jardin échanger des nouvelles. Je sens alors un fort picotement le long de ma peau, le style de picotement que l’on ressent quand quelqu’un nous observe. Mon corps se redresse un peu, je tourne le regard vers les discussions et voit alors ma tante plonger ses yeux dans les miens. Je me sens toute chose, Sandra détourne le regard et continue à parler comme si de rien n’était. Il vaut mieux que je me remette les esprits au clair. Je me lève et plonge dans la piscine. L’eau fraîche me fait oublier tous mes soucis scolaires, je n’ai envie que d’une chose, être au calme. Nageant jusqu’au bord de la piscine, je finis par m’accouder sur le rebord pour reprendre mon souffle. Mon regard se lève et je remarque qu’il n’y a plus que ma tante au bord de l’eau. En chassant les gouttes qui perlent sur mes yeux, je remarque quelque chose qui me stupéfait. Sandra cachée par un long chapeau et des lunettes de soleil, bronze… seins nus. D’un regard un peu trop insistant, je peux observer sa poitrine, d’une jolie rondeur, son ventre, quelques poils sortant de sa culotte de bain. Je plonge ma tête sous l’eau, mais qu’est ce qui me prend ? Quand je sors à nouveau la tête il n’y a plus personne. Ma main saisit ma serviette, je m’essuie et rentre dans la maison. Maman et Sandra discutent dans le salon. En me voyant ma tante me fait un joli sourire discret. Rouge de honte, je vais dans ma chambre. Je m’assois sur le lit, je n’ai pas le temps de réfléchir que la sonnerie de mon téléphone retentit. Je lis le message de ma meilleure amie et nous discutons longuement durant l’après- midi. Quand nous raccrochons, je remarque que la nuit commence à descendre. Je me lève et sort ma serviette de mon sac et me dirige lentement vers la salle de bain. Ma main se pose sur la poignée et ouvre la porte. Surprise, je vois Sandra face au miroir. Son corps est penché contre le lavabo, ma tante s’observe. Alors que la bienséance me hurle de faire demi-tour, je ne peux bouger. Sa poitrine nue attire le regard, mais qu’est ce que je fais ? Sandra se tourne vers moi. -Diane ! Que fais-tu ici ?-Désolée, je veux juste aller aux toilettes, je te laisse.-Non t’inquiète on est en famille. Voyant que je ne suis pas très à l’aise Sandra se penche pour m’embrasser la joue. Ses seins se collent contre les miens et ma tante sort de la pièce en me faisant un clin d’œil. — Tu es devenue une très belle femme Diane.— Merci tata. Dis-je les joues rosies de timidité. Sandra me sourit, je ferme la porte et peux enfin profiter d’un petit moment de tranquillité. Je finis par sortir, troublée de ne penser qu’à ma tante. Je rentre dans ma chambre après ma propre douche et ouvre grand la fenêtre, la fraîcheur du crépuscule me fait frissonner. Je m’apprête à aller sur mon lit lorsqu’un bruit venant de la piscine m’attire vers celle-ci. Je vois alors un spectacle qu’une fille ne devrait pas voir. Ma mère se fait langoureusement lécher le minou par mon père. Ils ne me voient pas, maman prend l’un de ses seins en main. Je l’entends gémir, mon père est nu lui aussi, mon regard se pose sur son sexe. Il est dur, la main de ma mère le masturbe lentement. J’observe avec fascination ce mouvement qui semble plaire à papa.Il a fermé les yeux, je n’en reviens pas. Je peux tout voir ! Le visage de ma mère se penche et elle suce doucement le sexe dur pour elle. Il disparaît dans sa bouche alors que maman se caresse le sexe. Puis maman le chevauche et se met à bouger des hanches sur cette hampe dure. Je ne peux me retenir de mettre ma main dans ma culotte. Sans réelle surprise, je remarque que mon abricot est humide. — Diane? Mince, ma tante est là sur le pas de la porte. Je reste figée, ma main toujours posée entre mes cuisses. Intriguée, Sandra s’avance pour regarder par la fenêtre et un sourire naît sur son visage. — Dites-moi jeune fille, se mêler des affaires des autres n’est pas correct. Sans rien dire, honteuse, je baisse la tête. Un dernier regard vers l’extérieur - mes parents ont fini, maman semble s’essuyer le visage. Ma tante s’approche de moi, glisse l’un de ses doigts devant moi pour écarter une mèche rebelle. — Mais tu peux te mêler des miennes si tu veux. Sandra me prend la main et me rapproche d’elle. Je décide de suivre mes pulsions et ma bouche se colle à celle de ma tante.
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