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Vacances dans le Gard

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Ma belle-mère, ma femme et moi !

« Merci à Charlotte83 sans qui ce texte ne serait pas ce qu’il est »

Le week-end s’est terminé tranquillement sans qu’aucune allusion sur les événements de samedi ne vienne troubler la quiétude de ce début de vacances. Hugo et sa petite famille ont repris leur route dimanche au soir ; nous nous retrouvons donc de nouveau en petit comité : ma belle-mère Carole, mon épouse Béatrice, notre fils Jules et moi.

[ Mon petit Thomas, réalises-tu ce que tu viens de vivre ? ]

Voilà ce qui résonnait dans ma tête depuis 48 heures. Heureusement que j’avais une preuve sur mon téléphone ! Sinon, je suis persuadé que j’en serais arrivé à douter de moi-même.

Dès que Carole entra dans mon champ de vision, mon attention fut totalement centrée sur elle ! C’est comme si ces instants, je les vivais au ralenti. Même les discussions étaient en « slow-motion ». Plusieurs fois, j’ai été pris en flagrant délit de rêvasseries. Carole, elle, était radieuse, souriante, pleine de vie. Sans pour autant faire comme si de rien n’était, aucun malaise ne vint troubler nos lendemains. Si bien que de façon totalement tacite, ni elle ni moi, n’éprouvions le besoin d’engager une discussion.

Ce deuxième chapitre débute le mardi suivant. Comme précédemment, j’étais loin d’imaginer la tournure des événements qui se préparaient lors de cette première semaine complète dans le Gard.
Juste après la sieste de Jules, sur le coup des 16 h, nous sommes tous partis finir de profiter de cette belle journée ensoleillée au bord de la rivière. À peine 1 kilomètre et demi de marche sur le chemin poussiéreux et nous nous sommes installés sur notre petite plage de sable habituelle. C’est quelque chose de prisé ces quelques mètres carrés de sable dans cette région de galets. Il n’y avait personne de notre côté de la rivière, il faut dire que l’accès n’est pas des plus connus. Par contre sur l’autre rive, il y avait un peu plus de monde, cependant, la journée était bien entamée et la plupart des gens étaient sur le départ.
Nous avons déplié nos nattes, Jules est sorti de sa poussette et jouait avec le sable et des petites pierres au bord de l’eau. Béa, Carole et moi, nous relayions pour le surveiller. Bref, cette fin d’après-midi s’écoulait comme cette rivière : doucement, calmement, mais sûrement. Le seul regret que j’avais, c’était que nous n’avons rien pris pour nous baigner. Même si je pourrai profiter de la piscine en rentrant, j’aurais bien piqué une tête ici.

L’air devenait de plus en plus lourd, il ne serait pas étonnant que la soirée vire à l’orage, d’autant qu’un petit vent s’était levé et agitait maintenant le sommet des arbres. C’est Béatrice qui siffla le signal du départ :
— J’ai laissé du linge dehors et je n’ai rien préparé pour le repas de Jules ce soir. On devrait commencer à rentrer !— En plus, tu ne voulais pas regarder les débuts de la nouvelle série à la télé ? C’est ce soir non ? fis-je, nonchalamment.— Putain, oui, c’est vrai ! s’écria-t-elle. Je n’aurai jamais le temps de tout faire ! Allez, vite !
Et la voilà en mode tornade, commençant à ranger tout ce qu’elle trouvait.
— Commence à y aller, lui lança alors Carole, Thomas et moi on va ranger et rentrer doucement avec le petit, comme ça, quand on arrivera, tout sera prêt et je lui donnerai son repas. Tu seras tranquille et à l’heure pour ta télé ! — C’est vrai ? Super ! Mais ne tardez pas, Jules aura bientôt faim. A tout de suite.

Aussitôt dit, aussitôt fait ! Béa était déjà sur le chemin, marchant à grandes enjambées, nous laissant seuls, Carole et moi, avec le petit Jules qui continuait à jouer tranquillement. Cette proposition de Carole, qui nous a permis de nous retrouver seuls sans Béa, était sans arrière-pensée. D’ailleurs, Carole commençait déjà à prendre la relève de sa fille et poursuivit le rangement de nos affaires. Ce nouvel instant d’intimité en presque tête-à-tête avec ma belle-mère réveilla chez moi le désir éprouvé quelques jours auparavant. Je la déshabillai du regard, elle avait la peau couverte de minuscules gouttes de sueur. J’entamai alors la discussion :
— Il fait de plus en plus lourd non ? — Oui, heureusement que nous sommes au bord de la rivière et à l’ombre, car l’air est de plus en plus irrespirable ! — Vous ne vous êtes pas baignée ? — Non voyons, tu as bien vu ! De plus, nous n’avons pas prévu nos affaires ! — Tu n’as pas envie d’une petite baignade avant de partir ? »

Comme la dernière fois sur le balcon, le vouvoiement habituel que j’ai pour ma belle-mère disparaissait lorsque mes intentions devenaient plus intimes. Carole me regarda alors, avec beaucoup d’incompréhension. Je continuai :
— Carole, profite de ce dernier instant, je finis de ranger.

Elle me regarda comme si ce que je disais n’avait aucun sens.
— Je n’ai pas de maillot, Thomas ! — Il n’y a personne, je range, j’installe Jules dans la poussette et lorsque tu sors, tout est prêt pour partir.

Elle me sourit, regarde autour d’elle et me dit :
— Et en face ! C’est quoi peut-être ?
Finalement aujourd’hui, elle était plus retors à m’obéir que l’autre jour sur le balcon. Dans tous les cas, j’étais trop engagé dans cette discussion pour abandonner. En face, il y avait un vieux couple assis sur des chaises pliantes. C’était les derniers locataires de l’autre berge, leur camping-car garé juste derrière laissait à penser qu’ils n’allaient pas partir tout de suite.
— Je sais, j’ai vu, mais vu leurs âges et leurs tenues, je ne crois pas qu’ils vont mettre un pied à l’eau pour venir protester. Peut-être même qu’ils ne vont s’apercevoir de rien et finir tranquillement leur sudoku !

Carole me regarda pantoise. La défiant du regard, je lui lançai :
— Alors, il ne fait pas assez chaud, ou peut-être as-tu trop peur ?

Je vis alors ces yeux pleins de défi ! J’avais touché là où il fallait. J’imaginais très bien ce qu’elle pouvait se dire à ce moment-là dans sa tête...[ Ah mon petit Thomas, à peine ta petite femme tourne le dos que tu mets au défi la vieille de se foutre à poil ! Eh bien la vieille, elle n’a pas froid aux yeux et tu vas vite t’en rendre compte petit pervers. ] Enfin, c’est ce que j’espérais.

Au bout de quelques secondes, Carole se redressa, afficha un grand sourire comme à son habitude, puis comme si de rien n’était, déboutonna très lentement son pantalon. Celui-ci tomba sur le sable. Après quelques secondes, elle souleva son petit top et me le lança en pleine figure. En à peine un éclair, elle était en petite culotte devant moi et mon fils. Un dernier regard aux alentours et doucement, tout en me regardant, elle fit glisser sa petite culotte de gauche à droite jusqu’à ses chevilles. Je vous laisse imaginer la bosse dans mon caleçon. Et c’est avec son regard de victoire et ces petits seins pointus qu’elle fit volte-face et pénétra dans l’eau jusqu’aux cuisses. Mes yeux ne quittaient pas son dos, sa chute de reins et ses petites fesses absolument sublimes.

En face, Monsieur venait de réaliser, il semblait comme hypnotisé par ma belle-mère, mais il était immobile et muet si bien que Madame à côté était toujours plongée dans son magazine. Carole n’en avait cure, elle avançait doucement vers l’aval où la rivière était plus profonde afin de pouvoir s’allonger complètement et de réaliser quelques brasses. Comme convenu, je finis de ranger toutes nos affaires, les vêtements de Carole sur le dessus du sac. Puis j’installai Jules dans sa poussette.

C’est à ce moment-là qu’un bruit de moteur surgit derrière nous. En quelques instants, un scooter déboula avec deux jeunes dessus. Ils se garèrent. Carole dans l’eau, moi, ainsi que les deux petits vieux en face, tous, nous les suivîmes du regard. Ils ne se dirigèrent pas vers la plage, mais plutôt vers les arbres un peu plus loin. Les anciens reprirent alors leurs lectures, enfin surtout Madame. Carole retourna à sa nage. Allongée comme elle était, on pouvait distinctement voir ses fesses à travers l’eau claire. Moi, je décidai alors d’abandonner Jules et nos affaires pour me diriger vers les nouveaux arrivants.

[ Carole, je compte bien te mettre à l’épreuve puisque tu sembles n’avoir aucune limite.]

Arrivé à une dizaine de mètres d’eux, ils me fixèrent d’un regard soupçonneux. Il s’agissait de deux jeunes maghrébins. Le pilote du scooter devait avoir 20 ans, il était plutôt baraqué, l’autre un peu plus jeune, plus grand, mais aussi plus frêle. Je finis de m’approcher :
— Salut, les gars, je cherche un petit truc pour bien finir la soirée ! Vous auriez de quoi me dépanner ?
Ils me regardèrent fixement sans rien dire. Pourtant, je suis sûr de moi, s’ils sont venus ici si tard, c’est pour fumer tranquilles à l’abri des regards.
— Alors ? Juste une boulette, on peut faire un échange ! (fis-je, espérant enfin une réponse.)— Tu échanges quoi ? me dit alors le plus balèze.
Profonde respiration...
— Là-bas, dans l’eau, il y a ma mère qui se baigne à poil ! Si vous voulez, je l’appelle vous pourrez la mater et peut-être même vous videz les couilles devant elle !
Instantanément, leurs deux têtes se tournèrent dans un même mouvement vers la rivière.
— La vieille là ? Elle est d’accord pour ça ?— Si tu as quelque chose pour moi, oui !
Il sortit alors de la poche de son jogging une barrette complète de shit, en cassa un bout et me le tendit. Je le récupérai dans ma paume. Puis je me tournai vers la rivière et je criai :
— Carole ! Carole !
Carole me regardait. Il n’y avait que sa tête qui sortait de l’eau. Le couple de petits vieux me regardait aussi depuis l’autre rive, mes cris les ayant sortis de leurs lectures.
— Carole, viens ! ajoutai-je, joignant le geste à la parole. Ma belle-mère n’osa pas bouger.
— Allez, viens, viens !
Réitérai-je, toujours en faisant de grands gestes du bras.Devant mon insistance, Carole se releva et sortit doucement de l’eau pour venir dans notre direction. En face, Madame découvrit la nudité de la baigneuse et à côté de moi, les deux jeunes réalisèrent la véracité de mes propos. Carole arriva vers nous, ses yeux me lancèrent des éclairs, décidément le temps est à l’orage.
— Maman, ces deux jeunes hommes ont eu une longue et dure journée, je leur ai proposé de se rincer l’œil et d’évacuer toute cette pression ! Tu veux bien rester ici devant eux pour te sécher au soleil ? Merci.

Avant même que Carole n’ouvrît la bouche, les deux minets sortirent leurs bites par-dessus leurs joggings et commencèrent à se masturber.Tous en commençant à redescendre vers la berge, je lançai :
— Maman, je vais chercher les affaires et le petit et on y va ! OK ? — OK, répondit Carole en me regardant un peu ahurie.

Pendant que je retournai près de Jules, les autres s’astiquèrent frénétiquement, reluquant Carole droite et immobile plantée devant eux. En face, Monsieur s’était levé et sa mégère à côté le vilipendait, l’incitant à intervenir tout en vociférant des insultes et des « mais ce n’est pas possible ! Qu’est-ce que c’est que ça ?... »

J’arrivai auprès de Jules, j’attrapai le grand sac et avec la poussette, je remontai en direction du chemin. Il me fallut un peu plus de temps pour remonter, car la poussette n’était pas très pratique sur ce terrain. Une fois arrivé en haut, mes yeux se portèrent sur Carole et les deux jeunes, pile au bon moment. Le plus jeune déchargea sur la cuisse et le ventre de ma belle-mère. Des jets puissants dignes d’un ado en rut. L’autre se branlait toujours, mais avait son autre main sur un des seins de Carole, qui a mon grand étonnement se laissait caresser. Celui qui venait de finir son affaire, remballa son matos et retourna près du scooter. Il ne restait plus que le balèze. Je le regardai faire, il profitait clairement de la situation et pelotait plus Carole qu’il ne s’astiquait vraiment ! Je lançais alors :
— Maman, tu as bientôt fini ? Il faut qu’on bouge, l’heure tourne.

Carole me regarda alors, d’un air qui semblait dire « tu ne manques pas de toupet ». Puis elle se baissa, plaçant son visage à hauteur de bite. L’autre accéléra alors la cadence. Carole ouvrit grand la bouche, tira la langue et joua de tous ses charmes. Si bien que, quelques secondes après, un jet de sperme lui éclaboussa le visage et le menton. Elle se releva légèrement et le jeune homme finit de décharger une grosse quantité de semence sur ses seins. Sans plus de cérémonie, il essuya son gland sur Carole et partit rejoindre son compère sans un mot. Je regardai ma belle-mère et lui dis :
— Allez, on y va !

Elle me regarda, son corps entier était souillé.
— Je vais me rincer, j’arrive, attends-moi.

Elle dévala la petite plage et rentra dans l’eau pour se nettoyer. En face d’elle, le couple était furieux. Lui est debout, les pieds presque dans l’eau. Elle est rouge de colère sur sa chaise pliante, je n’entendais pas clairement leurs propos, mais ils menaçaient d’appeler la police et proféraient des insultes. J’entendis juste Carole, alors qu’elle évacuait tout le sperme en s’aspergeant d’eau, leur répondre :
— Si vous revenez un de ces jours ici, je m’occuperai de vous, Monsieur, cela n’a pas l’air d’être la fête tous les jours chez vous !

Puis c’est avec le sourire jusqu’aux oreilles qu’elle leur tourna le dos et s’enfuit dans ma direction telle une adolescente, les laissant à leur colère. Je n’attendis pas qu’elle arrivât vers moi, et je commençai à prendre le chemin du retour, si bien que ce n’est qu’au bout de plusieurs dizaines de mètres qu’elle finit par nous rattraper.
— Thomas, Thomas, mes vêtements ! Je ne vais pas rentrer à poil jusqu’à la maison ! — Alors, sympa cette baignade de fin d’après-midi ?— Arrête Thomas, tu me fais faire vraiment n’importe quoi ! Donne-moi mes affaires ! — Ils étaient en colère en face les petits vieux ? poursuivis-je tout en l’ignorant. — Oui, plutôt, mais ce n’est pas grave, cela leur fera un sujet de discussion ! — Tu sais contre quoi, je t’ai échangée ?— Non !
Tout en continuant d’avancer, je lui montrai mon morceau de cannabis.
— Tu vois, tu ne vaux pas très cher...
Elle me tapa sur l’épaule.
— Tu te drogues toi maintenant ?! — Non, c’était juste pour trouver une monnaie d’échange, je n’allais pas t’offrir gratuitement quand même !
Puis je jetai tout le contenu de ma main dans les broussailles.
— Thomas, mes vêtements s’il te plaît. Il y a un virage juste là et n’importe qui pourrait surgir à tout moment. J’habite ici, je n’ai pas envie d’une mauvaise publicité d’autant que j’ai déjà pris de gros risques ! Me dit-elle en me tenant le bras.
Je lui tendis son pantalon et son top, mais avant de les lâcher, je la regardai et lui demandai :
— Carole, j’aimerais que Béatrice soit aussi libre et impudique que toi ! On a qu’une vie et elle est prisonnière de ses principes. Maintenant que je sais de quoi sa mère est capable, je suis persuadé que l’on peut l’aider à se libérer. Peux-tu m’aider ? Pour Béa !
Tout en se rhabillant, Carole me répondit :
— Je veux bien essayer, je ne voudrais pas qu’on dise que j’ai élevé une coincée ! Toute cette fin de semaine, part faire un tour de vélo, tous les après-midi pendant la sieste de Jules. — OK, mais qu’est-ce que tu prévois pour ta fille ? — Je vais commencer par l’initier au bronzage intégral, elle en a besoin et cela créera un environnement propice pour la tester et voir si on peut la débloquer un peu. Par contre, c’est une histoire entre mère et fille donc toi, tu n’interviens pas Thomas, en tout cas pas avant que je ne te le dise ! — OK, très bien belle-maman, répondis-je avec le sourire. Par contre, je veux des infos voir des photos...— On verra petit pervers...— Je souhaite vraiment que cela fonctionne.— Au fait Thomas, tu n’es pas jaloux au moins ? Parce qu’il faut toujours se méfier de ses souhaits ! On ne sait jamais ce qui peut se révéler !

Puis nous finîmes d’arriver à la maison.
Vivement demain que commence ce plan machiavélique pour transformer ma douce Béatrice. En tout cas, ce soir je tenterai malgré tout une approche classique de mon épouse dans le lit conjugal, car depuis plusieurs minutes, je n’ai pas débandé.
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