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Vacances dans les Landes

Chapitre 1

Les fêtes de Bayonne

Hétéro
Dès la sortie du périph’, l’ambiance karaoké s’était installée dans ma Clio, avec les tubes des années 90. Et à la première pause pipi-café-cigarette, on s’était déjà fait draguer. Il faut dire qu’à nous 3, on offrait le choix et en 3D (Dorine, Djihane, Dolia).
Dorine est une amie de lycée. Elle est maintenant nantaise, alors on ne se voit pas souvent. Heureusement, il y a internet. Justement, elle devait me rejoindre sur Paris pour cette première semaine d’août. Elle n’est pas très grande, châtain, yeux bleus, lunettes, bronzage façon "Jacob Delafon", mais surtout sans complexe, et grande déconneuse.
Djihane est une jeune collègue. Fraichement plaquée par son mec, elle a un peu de mal à refaire surface. Je lui avais dit « Si tu nages dans le bonheur, sois prudente, reste là ou t’as pied », mais elle avait bu la tasse. Elle est plutôt fine, brune, magnifique beurette, yeux noisette, et un cul haut et rebondi à nous rendre jalouses.
Et moi, toujours blonde, surtout l’été, et plutôt plantureuse.
Vu le bronzage de Dorine et le moral de Djihane, plutôt que de rester sur Paris-plage, je nous avais trouvé un bungalow à la dernière minute dans un camping à Labenne, juste sous Capbreton. C’était un peu loin pour une semaine, mais j’avais d’excellents souvenirs de la région, et j’étais certaine d’y trouver la mer et le soleil.
Dorine était enchantée, mais j’avais eu plus de mal à convaincre Djihane : "Tu ne la connais pas, mais tu verras, on va s’éclater toutes les 3. Et puis là-bas, tu vas peut-être tomber sur un beau surfeur".
Les presque 800 bornes avaient permis de toutes mieux nous connaître
Le lendemain de notre arrivée, après quelques courses et une épilation plus que nécessaire pour Dorine, nous profitions enfin de la plage. Et c’est là que nous avons fait la connaissance d’une bande de Landais qui jouaient au rugby. Un volley, j’y serais allée, mais un rugby... Il n’y a que Dorine pour s’y essayer.
Je les trouvais un peu jeunes, un peu kékés, mais sympas. Il y avait JP, Oliv’, Titi, Jérém’, Pat, et d’autres. Visiblement, les charmes de Djihane ne les laissaient pas indifférents. Un soir, ils nous ont invitées à les rejoindre dans une peña aux fêtes de Bayonne.
Je connais ce genre de soirée. Plus jeune, je me suis pris quelques bonnes cuites aux fêtes de Dax au point de ne plus me souvenir comment j’étais rentrée. Cette fois, pas de connerie, c’est Djihane qui ne boit pas d’alcool, qui est chargée de nous ramener toutes les 3 avec ma clio, au cas où...
On a eu un peu de mal à retrouver nos kékés parmi tous les festayres. Le centre de Bayonne n’est pas si grand, mais l’ambiance est indescriptible pendant les Fêtes dans ses rues étroites. Ils nous ont accueillies comme si nous étions amis depuis 10 ans.
Après quelques verres de sangria, la première à « partir » fut Dorine. Déjà qu’elle n’a pas besoin de ça pour mettre l’ambiance ! Heureusement Djihane, toujours bien entourée, la surveillait. Puisque les garçons nous payaient les boissons, nous offrions les cigarettes. Et fatalement, les 2 paquets n’ont pas passé minuit. Qu’importe, 4 cartouches m’attendaient sagement dans la voiture. Petits souvenirs de notre incursion en Espagne de la veille. J’abandonnais cette joyeuse compagnie au pied de la Cathédrale Ste Marie et m’engageais dans la rue port-neuf pour rejoindre le grand parking derrière la mairie. Marcher me faisait du bien, mais sans être saoule, je me rendais compte que la rue allait être plus difficile à remonter qu’à l’aller.
Un bras vint se poser lourdement sur mon épaule et me fit sursauter. Jérémy m’avait rattrapée.
— Je t’accompagne, tu vas te perdre.
S’il y a bien une chose que je possède à la différence de bien des filles, c’est le sens de l’orientation. Mais c’était gentil de sa part. J’ai vite compris qu’il était aussi intéressé...
En quelques pas, il m’avait déjà avoué son attirance, posé sa main autour de mes hanches et glissé son regard de près dans mon décolleté. Il était visiblement plus jeune que moi, d’une bonne dizaine d’années. Et quand je lui fis remarquer, il rétorqua qu’il avait toujours aimé les femmes plus âgées et que d’ailleurs, son ex avait mon âge. Mensonge ? Qu’importe, ce soir, j’avais envie de le croire.
Nous progressions difficilement dans cette rue étroite encombrée de festayres. Il m’attira sur le côté, sous les arcades. En longeant les rideaux baissés des boutiques, on marchait plus rapidement. Dans la pénombre, sa main glissa étrangement de ma hanche à ma fesse. J’avais beau la lui remonter elle redescendait et se faisait de plus en plus caressante au gré de nos pas. Un jeu plaisant finalement.
Il me dit à l’oreille.
— Tu es une drôle de coquine, tu n’as rien sous ta robe.
Choquée, je m’arrêtais net :
— Bien sûr que si !
Puisque sa main connaissait déjà cette partie charnue de mon anatomie, je la guidais pour qu’il sente par-dessus le mince tissu, juste dans le creux de mes reins, le haut de mon string.
Il constata son erreur, longuement, passa et repassa ses doigts le long de l’élastique. Moqueuse, je lui dis : « Si tu cherches à lire l’étiquette en braille, il est écrit ‘Etam, lavage 30° ‘ ! »Pour réponse, il posa ses lèvres sur les miennes, puis son autre main autour de mes hanches. Et dans le goût de sangria fruitée de ce baiser, je retrouvais mes 20 ans.
Encouragé par cet « échange linguistique », mon Jérémy se sentit pousser des ailes. Les mains sur mes fesses, il entreprit de soulever ma robe. Je l’arrêtai juste à temps et repris ma marche, le traînant par la main.
Sur le reste du trajet, j’eus droit à plein de compliments sur ma plastique et mes formes avenantes et généreuses. Avant de traverser la rue suivante, nous avons échangé un autre long baiser et je constatais avec fierté que ma compagnie lui avait provoqué une superbe érection. En passant devant la fontaine de la mairie, j’eus l’idée de l’éclabousser, histoire de rafraichir ses ardeurs et de le calmer un peu. L’effet fut inverse. Il m’aspergea lui aussi copieusement et le haut de ma robe devint transparent. Surprise par la fraicheur de l’eau, mes seins s’étaient durcis et dardés. Sans soutien-gorge, je dévoilais sans le vouloir mes 2 meilleurs atouts à ses yeux exorbités. Le pauvre n’en pouvait plus. Je partis en courant sous peine d’être violée sur place.
Il me rattrapa rue de Thiers, juste avant le parking, et m’embrassa plus fougueusement encore. Dans l’excitation, ses caresses étaient plus pressentes et plus brutales. Il délaissait maintenant ma croupe et s’occupait de ma poitrine, et ce n’était pas pour me déplaire. Il fit glisser les minuscules bretelles de mes épaules et fit jaillir mes gros melons blancs gonflés de désir.
Je constate trop souvent que les parkings sont mal éclairés. Ce soir, au contraire, je regrettais la puissance de l’éclairage public de Bayonne. Je mis un terme à regret à ses caresses, rajustai ma robe et repris ma marche en lui glissant « Pas ici ».
— Je n’en peux plus, me dit-il en me rattrapant « Je n’ai jamais bandé aussi fort ».
Ma main vint se plaquer sur la braguette de son jeans. Effectivement, mon Jérémy était en pleine forme et c’était un peu de ma faute. Culpabilité ? Curiosité ? Je ne pouvais pas le laisser comme ça...
La clio était en vue, mais les buissons à côté du carrousel étaient plus près. Accroupie à l’abri de la maigre végétation, je sortis le diable de sa cachette. Il se laissa faire sans rien dire. J’étais parti chercher des clopes, et me voilà avec un cigare à moustache. Une belle verge, bien dans la moyenne, dressée pour moi, avec un petit goût de sel et d’iode qui me rappelait que la mer n’était pas loin. Qu’importe l’âge, cette belle queue me régalait...
Tout en pompant de plus en plus ardemment, je me disais que cette bite, je méritais bien de me la prendre ailleurs. Surtout qu’il y avait des préservatifs dans la boîte à gans. Je me relevais, à la grande déception de mon amant, et tout en continuant à le branler lentement, je lui dis :
— On va aller jusqu’à ma voiture, j’ai ce qu’il faut pour habiller ton engin, et tu vas me le mettre bien profond.
Ce n’était pas négociable, j’en avais en envie folle maintenant.

Il n’a même pas remballé sa marchandise. Collé à moi, discrètement, il a voulu que je continue à astiquer son manche tout en marchant jusqu’à la voiture. Je le menais par le bout de la queue et ça ne me déplaisait pas.
Je me suis assise côté passager, laissant Jérémy debout devant moi, la verge à l’air. J’ai trouvé les pochettes à leur place, puis j’ai repris sa bite en bouche quelques instants avant de lui enfiler son costume de latex. Je lui ai demandé d’ouvrir la porte arrière pour préserver un peu d’intimité, pendant que je m’agenouillai sur le siège pour lui offrir mon cul.
Il a relevé ma robe, caressé mes fesses qu’il connaissait déjà, glissé un doigt entre mes cuisses et il a trouvé ma fente déjà bien humide. J’adore être troussée et offerte comme ça... Puis, sans me déculotter, il a écarté la fine bande de tissu de ma raie et a placé son sexe à l’entrée de ma chatte. En deux coups de reins, je m’étais complètement ouverte. Il pouvait enfin me la mettre bien au fond.Oh quel pied !
Maintenant, ses pénétrations se faisaient de plus en plus rapides et violentes. Mes seins gonflés par cette attente se ballotaient et s’entrechoquaient à chaque va-et-vient. Tête baissée, je me retenais de ne pas crier mon bonheur. Le levier de vitesse devant mes yeux me semblait être un autre phallus dressé. Je me mis à le branler au même rythme que ses coups de pine. De temps en temps, il ralentissait, restait au plus profond de moi, et venait empoigner mes 2 airbags. Puis, il replaçait ses mains sur ma croupe pour la maintenir et reprenait de plus belle sa chevauchée. Un régal...
Lorsque d’un doigt expert, il a parcouru mon sillon pour s’arrêter sur l’anus, je me suis sentie partir, lentement, mais intensément. Une vague plus haute que celles qu’on trouve sur ses plages m’emporta. Mon râle encouragea Jérémy, il passa la 5ème, et quelques secondes plus tard, jouit à son tour.
J’adore ce genre de plan, simple, rapide, sans prise de tête. Impromptu, intense, mais respectueux.
Sur le chemin du retour, j’avais encore eu droit aux caresses de Jérémy sous ma robe. Visiblement, il était fan de mon cul. D’ailleurs, il rebandait déjà.
Submergée par les endorphines, je l’aurais encore bien sucé si nous n’étions pas déjà arrivés. La joyeuse bande était heureuse de nous voir revenir avec les cigarettes. Moi, je l’étais encore plus de mettre dévouée pour aller le chercher.
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