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Vacances espagnoles

Chapitre 1

Hétéro
2007 Espagne 2007 (1)
Nous sommes arrivés dans notre maison de vaçances début juillet comme les autres années. ça fait 18 ans moi que je viens, et mes parents 20. Maison de vaçances. NOTRE maison. Ma copine, Agnès, vient avec nous depuis quelques années également.
Toute la rue est habitée par pratiquement les mêmes personnes depuis la création de ce quartier, et tout le monde se connait ou presque. Nos voisins sont les mêmes, et on se retrouve presque à chaque fois. Cette année, Tonton, notre voisin de gauche, est arrivé avant nous et il nous accueille avec l’apéritif comme de coutume. On l’appelle Tonton, surtout moi, çar il a 61 ans cette année, et a toujours été pour moi comme un tonton. Il m’a vu grandir, et tous les ans il me dit que je suis plus grande que la fois dernière, et maintenant il rajoute plus belle… Il est retraité depuis 3 ou 4 ans je sais plus, sa femme aussi. Elle est super gentille et quand j’étais petite, elle me gâtait toujours de glaces, de gâteaux ou autres, et même me gardait parfois quand mes parents allaient en courses et aussi le soir si ils étaient invités chez des amis, et que ces soirées n’étaient pas trop pour les enfants. J’ai compris de quoi il s’agissait maintenant. Je connais leurs amis et la villa superbe qu’ils ont sur le bord des çanaux. J’y ai fais trois séances de photo dans leur piscine depuis. Il est vrai que le çadre est magnifique.
Tonton et sa femme profitent de leur maison plus longtemps et plus souvent que nous. On l’appelle le « chef de rue » ! Il sait tout. La gazette ! Il doit mesurer 1m85 environ, cheveux gris et longs (çatogan), un peu de ventre mais sans trop, il a la peau toute dorée, et ce que je trouve assez sympa et quelque soit le physique des gens, c’est qu’il est tout lisse de partout. Pas un poil sur le corps, ou du moins très peu, mise à part une petite touffe de poils sur le torse, poils gris comme ses cheveux, et sa peau lisse et un petit peu craquelante lui donne un air assez marrant. Un gros bonbon çaramel !
Depuis quelques années, il me regarde avec une petite lueur supplémentaire quand on arrive, et de plus, mais il n’a pas trop osé demander, il est intrigué de voir que je viens avec Agnès et qu’on a l’air bien plus proches que de simples copines. ça l’intrigue ça le Tonton, et aussi, même que ça doit lui donner un petit frisson de nous voir main dans la main ou de se faire des bisous sur la terrasse. A voir sa façon de nous regarder, il ne sait pas si c’est juste un comportement de copines ou si nous sommes vraiment « ensembles ». Est-ce un jeu ? Nous sommes toujours très joueuses justement, alors une attitude plutôt rigolote ou… ?
Donc, cette année, à peine les valises défaites, nous sommes à l’apéro chez eux (10mètres à faire pour passer d’une maison à l’autre), et porto et tapas oblige ! Rythme Espagnol et estival de rigueur dés l’arrivée. Conversations classiques pour résumer l’année de chacun. Agnès et moi on participe, mais en se moquant gentiment d’eux. Encore un jeu.
Il a du mal à nous quitter des yeux cette année ! Oui je sais… Les jupettes de 30cm et les petits hauts au dessus du nombril, ça attire l’œil d’un Tonton. Et s’il savait que dessous… Il n’y en a pas justement… Les années passées déjà, il aimait bien nous regarder partir avec nos petites tenues un peu sexy, et surtout pendant nos séances de bronzage dans le jardin, quand il osait à peine regarder par-dessus la haie. Haie qu’il coupe soigneusement pour qu’elle soit assez haute pour nous protéger et assez basse pour pouvoir observer un petit peu par-dessus… C’est malin un Tonton ! Parfois il avait droit à maman Agnès et moi, comme si on ne le savait pas. Maman disait que le pire serait qu’il perde un œil. Sinon on s’en moque un peu, n’est-ce-pas les filles ? Et tout le monde se bidonnait en l’imaginant ramassant son œil sur la pelouse. Et il devait envier la place de papounet, nu lui aussi, qui bronzait avec ses 3 « gonzesses » nues dans le jardin. On ne s’est jamais vraiment çachés. ça fait partie de notre façon de vivre ici, et il est le seul des voisins à pouvoir nous apercevoir, l’autre coté étant totalement fermé par un abri, sous lequel papa avait installé une douche de jardin, et le mur de la maison voisine. ça nous permettait de nous rafraichir en permanence pendant nos moments de bronzette ici. De jouer à nous arroser parfois, et même de se laver, surtout toutes les deux, ce qui avait le don de déboussoler un peu le père. Il faut avouer qu’on en jouait un maximum, en nous lavant réciproquement avec des gestes tendres, voire un peu coquins. On était pliées de rire à le voir se retourner sur son transat, ou partir en bougonnant parce qu’il se sentait gêné de nous voir ainsi. Gêné et quelque peu ému…
Tonton n’a jamais osé venir avec nous dans notre jardin. Mais surement il prenait un vrai plaisir à regarder tout ça pendant que madame faisait sa sieste ou était en courses. Son petit plaisir. Il sait que nous allons le plus souvent sur les plages naturistes du secteur. Il y en a 2 de chaque cotés de la plage traditionnelle, ainsi qu’une crique assez sympa a quelques kilomètres de là. Il a osé venir une fois avec nous sur une de ces plages, mais il avait un peu de mal… trop de filles qu’il disait en riant ! Pov Tonton ! Il était resté scotché sur sa serviette, assez mal à l’aise et çachait son sexe quand on le tirait pour aller à l’eau, ou qu’on lui demandait de jouer avec nous sur la plage. ça nous amusait bien. Il regardait partout, en même temps pour ne rien loupé de tout ces corps offerts aux regards et sans pudeur et aussi pour s’assurer que personne ne le regarde lui. L’attitude classique de tout invité novice sur ce genre de plage. Ou du voyeur…
Donc, apéro, regards inquisiteurs sous nos jupettes, ce que maman a noté et ce qui a failli la faire partir dans un grand fou rire, aidée par le Porto certes ! Papa aussi à remarqué et il me fait un petit signe pour me dire : « ho les filles ! Vous allez nous l’affoler le papy ! ». Lui s’affolait plus trop, habitué qu’il est de nous voir, soit en très petites tenues, soit nues pour déjeuner ou autres moments de la journée, et tout simplement sur les plages. Aussi pendant le voyage en voiture où nos tenues sont réduites au minimum. Très souvent ce sont des jupettes sans beaucoup de tissus au dessous, du moins rien d’étouffant, ou comme cette année : rien… A l’aise ! Et le rétroviseur du papounet il n’est pas trop réglé pour les voitures…
Et la discussion est partie sur le Musée DALI de Figueras. Et moi DALI ! Je ne peux pas ! Mais alors pas du tout ! Et le musée avec une attente de 2 heures minimum sous le soleil ! Non merci. Agnès essaye un peu de me convaincre mais pas trop, elle me connait, elle n’insiste pas mais elle a envie d’y aller cette année. Ils programment ça pour le surlendemain (mardi), et donc moi, je prévois de rester à la maison, seule jusqu’à au moins 16h ou 17h parce qu’ils vont aussi faire les boutiques en ville. Ce qui me laisse le temps de m’occuper de moi, de préparer des trucs à manger (peut être), de glandouiller (certainement), voire bronzette ou plage en vélo si j’ai le courage d’y aller seule… Mais rester une journée seule ici ne me dérange nullement. Détente ! Un livre un thé et ça va très bien.

Ah tiens ! Tonton en a raz le bol de Dali aussi ! Il a vu le musée 2 fois, il en a marre et sa femme ira avec mes parents et Agnès. Lui a de quoi bricoler, il bricole tout le temps. Il préparera le barbecue du soir !
— N’est ce pas Julia ? Tu viendras avec moi sur le port pour prendre du poisson ? On ira dans la matinée ? Tu veux bien ?
— Oui Tonton, si tu me demande pas d’y aller trop tôt. Je déjeune tranquille et je me prépare avant ok ?
Son œil brille encore plus on dirait… Peut être aussi parce qu’on lui passe sous le nez avec nos semblant de jupe pour aller chercher des tapas dans la cuisine, et qu’il aimerait être à demain pour voir si nous sommes toujours comme l’année dernière, comme dans ses souvenirs, quand nous nous sommes parlé la veille du départ, lui derrière son grillage, nous sur le transat, habillées d’huile et de lunettes de soleil, un livre posé là ou l’on ne lui autorisait pas à poser ses yeux. Enfin, pas pendant la conversation. Histoire de le ménager un peu. J’ai dans l’idée que dés demain, il va être aux premières loges, et que pour lui nous sommes le « petit plus » de ses vaçances, le pourquoi sa maison de vaçances à un gros avantage par rapport aux autres. On en joue, il est content, alors rien de grave.

Mardi. 9h.
Petit déjeuner sur la terrasse avec tout le monde. ça s’agite un peu. Ils veulent prendre la file d’attente au plus tôt. A coté Tonton bricole déjà. Sa femme est prête et attend (papa se marre ! elle attend sur la terrasse, comme Bernadette, avec son sac sur les genoux…). Agnès et maman se préparent, moi je traîne avec mon bol, dans ma tenue de petit déjeuner. Un string, et ma brassière légère qui a du mal à çacher le dessous de mes seins, surtout au moindre courant d’air, ce que papa regarde en souriant et qu’Agnès scrute comme si c’était nouveau… Il est certain que ce string et cette brassière ne doivent pas peser bien lourds. Un de ces mini-strings de bain, qui ne çache que ce qu’il peut le pauvre… 2 cm de large je crois, et un cordon qui lui se çache entre les fesses et se fait oublier à peine enfiler. La brassière elle, blanche également, assez ample, avec de fines bretelles, est assez longue pour descendre au dessous des seins et les çacher, mais à condition de rester droite, les bras le long du corps et sans bouger. De plus, étant dans un tissu si peu épais, qu’il est plutôt transparent. De ce que je lis dans les regards, le spectacle est ravissant.
Une tenue qui me permet de croire que je suis un peu couverte pour respecter les règles de vie sur la terrasse de devant. Celle où l’on mange, où l’on vit. Pour comprendre : de la rue, on ne voit de la maison que le petit coin des vélos attachés, l’allée courte ou l’on gare la voiture, la grande fenêtre de mon studio (ancien garage aménagé depuis 3 ans) avec le grand volet de bois, et une haie très épaisse qui protège de la vue cette terrasse et la grande porte du séjour de la maison. En fait, on ne voit rien. A la limite nous y vivons totalement à l’abri des regards, mais « visibles » uniquement quand nous entrons et sortons du studio. Donc la règle est de faire en sorte d’être moins nue sur cette terrasse aux heures ou les gens passent dans la rue. Mais dans tous les ças, il y passe si peu de monde, qu’il est très rare de croiser un regard… On essaye juste de faire un peu attention. Et puis ces minimums ajoutent un côté « sexy » non négligeable.
Je suis dans le coltard, on n’a pas dormi de trop en fait, et puis en vaçances je suis lente le matin… Bisous a tout le monde, et re bisous encore, et encore un ! On se revoit vous savez ! Vous ne partez pas au bout du monde ! Et dire qu’ils vont manger des sandwichs debout en faisant la queue pour le musée !!! Pour Dali en plus ! Ah ! Ils sont partis… çalme… Encore un thé Julia ? Aller ! Un thé ! Tiens un Tonton au portail !
-Bonjour ! Eh ben Julia ? Pas prête !
-Ho la ! Tu ne vas pas bien Tonton !? Laisse-moi déjeuner ! Tu veux un thé ?
-Ah ben oui ! (il en boit jamais)
Il s’assoit à table. Il scrute ma tenue de plus près (de chez lui il ne voyait peut être pas les détails). En tout ças, ça à l’air de lui plaire. Il chausse ses lunettes de soleil pour regarder plus discrètement. Tu parles ! Je devine ses yeux qui dessinent les contours de mon petit haut, puis du reste de ma tenue, et dans le même temps de tout ce qu’il peut voir de moi. A la fois un peu gêné, et en même temps ravi de me détailler, quasi nue a 50 cm de lui.Sa journée commence bien : il va prendre un thé avec une jeune fille dénudée… Je vais chercher une tasse. Houa ! Mes 2 seins lui passent sous le nez quand je lève les bras pour attraper le plateau ! Et une paire de fesse que ses yeux suivent comme dans tex Avery ! C’est vrai qu’on ne fait pas trop attention entre nous, mais là avec lui je devrais peut-être me couvrir un peu. Et puis zut ! Il nous mate bien dans le jardin, alors… Et puis on se connait quand même un peu.
Je sens son regard dans mon dos quand je rentre dans la maison. Il me touche presque son regard… Je le sens comme une çaresse dans mon dos, sur mes fesses, sur mes jambes... ça se sent un regard. Le sentiment d’être examinée, mais examinée avec douceur, avec plaisir, avec une certaine gourmandise et ce n’est pas si désagréable. Bonne journée qui commence pour Tonton !
Je reviens avec sa tasse et on boit un thé. Il a la voix un peu enrouée le Tonton… Il remet ses lunettes de soleil comme si je ne voyais pas ses yeux qui guettent tous mes gestes pour ne pas louper un sein qui peut passer sous cette brassière effectivement très courte. Elle fait partie de ces fringues que je ne jette pas. Comme mes deux jupettes en jeans, une jupe de tennis, mon shorty rouge et blanc. Mes 2emes peaux comme dit papounet. Il les aime bien mes 2emes peaux…
Ah ! Les yeux de Tonton font l’inventaire… mes seins, mon ventre, mes cuisses, mon piercing et mon tatou, et la région du tatou évidement !
-Ah ? Tu as un piercing maintenant ? (déjà l’année dernière Tonton !) c’est beau ! ça te va bien ! Ta copine aussi j’ai vu ! Elle aussi ça lui va bien !
Pour voir… il a vu ! Tellement vu qu’il pourrait même les décrire en détail.
-Oui Tonton !
Et je lui montre bien mon ventre. Comme ça il peut regarder sans ses lunettes et il en profite. Il est tout chose mon Tonton à me détailler comme ça. Mon tatou est juste au dessus à droite du haut de mon string. Et mon string dessine très bien le contour de mes lèvres, et il est assez court pour n’être qu’a 2cm du début de ma petite fente. Et dans cette position, mon minou lance presque un appel… en tout ças il attire bien son regard. Ho Julia !
-Tu as grandi encore ? Non ?
Je me mets debout. Là, il voit mes seins par-dessous. Le thé passe mal.
-Non je ne crois pas. Me suis arrêté depuis l’année dernière. 1m73 ça me suffit !
Il se met debout à coté de moi. Je lui arrive au menton. Il en profite pour détailler l’arrière. Il a chaud le Tonton. Mes fesses çambrées avec ce petit bout de tissus coincé entre les 2, ça lui fait chaud au cœur. Il se rassoit mais il a plus de thé. Il semble ravi. Ce n’est pas pour me déplaire en fait que de me sentir détaillée de la sorte. Même que j’en suis ravie aussi. La sensation de charmer, de séduire, de faire envie, en s’offrant simplement au regard de ce Monsieur qui me trouve désirable.
— En tout ças tu es de plus en plus jolie !
-Merci.
-Non c’est vrai ! Ta copine aussi ! Mais toi tu es très élancée ! Tu es … Enfin t’es belle quoi ! Et je m’y connais !
Un petit clin d’œil la dessus ! Il est émoustillé le Tonton ! Comment on rend un Tonton heureux avec un thé à 9h du matin…
-Bon dis donc on va au port ?
-Oui Tonton laisse moi un moment pour me préparer ok ?
-Oui mais pas trop hein ?
-Je ne peux pas y aller comme ça !
-Ah tu crois ? Dommage ! Non je plaisante Julia !
Il ne dirait pas non le Tonton qui ne sait plus trop ou il a posé ses lunettes ! Je suis debout et il scrute mes jambes, remonte au string et fini sous la brassière pour voir le demi-sein qui prend le soleil. S’il pouvait, il soufflerait bien dessus pour le dévoiler complètement.
-Ah oui tu as du grandir encore. Et t’es bien jolie !
-Oui merci. J’arrive dans 10 minutes.
A suivre...
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